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Alice devient une grosse cochonne et découvre la dépravation sexuelle Partie 2

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Le lendemain, lorsque Alice se réveille, il faut un certain temps pour qu’elle réalise que les événements qui se sont précipités dans sa vie ne sont pas le songe d’une nuit d’été. Depuis deux jours à peine, un tsunami a chamboulé son existence de bourgeoise tranquille.

Quatre mâles en rut l’ont baisée une nuit entière et elle a hurlé de plaisir. Sa première sodomie, le sexe si gros, si dur de Moussa a remplit son cul.

 

Et la queue de Marc ? La veille, sa seconde sodomie. La bouche de Lisa sur sa chatte, ses doigts dans son puits d’amour. Tout ça remonte à la surface, elle sait que dorénavant, plus rien ne sera comme avant.
Il y a cette moiteur sournoise qu’elle connaît bien maintenant, qui monte dans son ventre, cette chaleur qui gonfle sa moule et fait durcir ses tétons. Elle a envie. Encore envie de sexe, envie de queues, envie de moules. Elle écarte les cuisses. Son index passe sur l’entrée de sa grotte qui s’entrouvre déjà, toute humide. Le bout de son ongle touche son bouton d’amour déjà dur.

Son souffle s’accélère au fur et à mesure que ses caresses se font plus précises. L’index pénètre, puis deux puis trois doigts. Maintenant, elle se bourre vite et fort, bruits mouillés nettement audibles. Elle fait des efforts pour ne pas crier, se met sur le ventre. Une main glissée sous son ventre, l’autre par-dessus son cul, elle se doigte l’anus.

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Son doigt entre tout seul, son corps répond. Elle jouit de sentir ses doigts proches à se toucher, à peine séparés par la fine membrane de chair. Elle crie dans l’oreiller, y écrase son visage, elle continue à se pénétrer, ne veut pas s’arrêter. Puis le plaisir redescend.
– Bonjour ma chérie ! Déjà chaude ?

Dans son délire, elle n’a pas entendu Lisa entrer dans la chambre.
– Il est déjà tard ! Marc nous attend pour le petit-déjeuner. Il a hâte de te faire boire son lait de mâle du matin.
Comme Alice fait mine de passer un peignoir, Léa intervient.
– Non ! Marc te veut nue, viens.
Sur la grande terrasse, Abdou a servi un opulent petit-déjeuner.
Nue, debout devant Marc, elle sent ses yeux, mais aussi ceux de Lisa parcourir son corps.
– Délicieuse petite salope, venez me sucer.

Alice s’accroupit devant lui et entreprend de défaire sa ceinture. Puis elle s’attaque au bouton du pantalon avant de baisser le zip de la braguette où déjà elle sent la tension qui l’habite. Il se soulève légèrement pour qu’elle le débarrasse de son pantalon, ne lui laissant que son tee-shirt et son slip moulant sa virilité.

Alice dépose des petits bisous sur le lycra noir puis lentement sa langue passe sur toute la longueur de cette bosse qui ne fait que grandir. Enfin, elle sent monter l’excitation de Marc, elle le libère, en faisant franchir à sa queue bandée le rempart de tissu en la saisissant de ses doigts. Elle le fixe dans les yeux avec son sourire le plus ingénu, elle le porte à sa bouche, dépose au bout du gland un petit bisou des plus sages.

Tout en le maintenant entre ses doigts, elle entreprend de le branler lentement. Puis c’est un petit coup de langue rapide qui parcourt son gland, arrachant à Marc un gémissement de plaisir. Elle continue à le masturber en le fixant, enfin elle le prend dans sa bouche, entre ses lèvres. Très douce, elle s’applique à le sucer le plus lentement possible, lui faisant profiter de la douceur de sa langue et de la chaleur de sa bouche. Ouvrant les yeux de nouveau, elle le fixe. Il est à elle.

Alice s’applique, elle alterne les séquences de fellation rapide et d’autres beaucoup plus lentes, où elle fait sortir le gland gonflé pour lui asséner de délicieux petits coups de langue ou mieux, le lécher sur toute la longueur de sa queue, jouant toujours de ses yeux dans les siens pour voir son plaisir.

Lisa se lève et se positionne à ses côtés. Elle est si belle, si sensuelle, Alice est obligée de se surpasser. Elle va dépasser tous ses tabous pour lui prouver, mais aussi à Marc qu’elle est la plus douée.
Lisa la fixe dans les yeux alors qu’elle suce son homme du mieux possible, elle lui arrache déjà des râles de plaisir. Alice lui sourit tout en continuant à branler Marc d’une main. Lisa lui tend ses lèvres, elles s’embrassent, sa langue la fouille, elle la câline, la cajole, elle adore.

 

Puis Alice reprend Marc dans sa bouche alors que Lisa a remplacé sa main par la sienne, lui imposant un rythme encore plus élevé. Ses yeux se perdent de nouveau dans ceux de Marc qui semble lutter pour ne pas craquer. Lisa semble lire dans leurs yeux à tous les deux.
– Marc, elle va te faire jouir dans sa bouche de pute. Tu adores ça, n’est-ce pas, mon chéri ?
Mais Marc en veut plus que cela.
– Alice, je vous rappelle que vous deviez être punie, aussi vous allez me faire jouir dans votre bouche et je vous interdis d’en perdre une goutte.

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Lisa la pousse légèrement sur la nuque pour qu’elle reprenne Marc en bouche. Comme dans un rêve, Alice se met à le sucer encore plus profondément, le sentant grossir encore sur sa langue alors que Lisa pose sa main sur sa chatte trempée. Elle la caresse, passant sa main à plat. Puis son index frôle son bouton d’amour, le pince, arrache à Alice un râle de plaisir étouffé par son bâillon de chair.

Marc se cabre, rugit. Alice sent une, puis deux, puis trois décharges de sperme s’écraser sur son palais. Elle prend soin de ne rien perdre, alors qu’elle ouvre les yeux elle voit Marc tétanisé par le plaisir, tendu comme un arc sur son fauteuil. Il ressort de sa bouche, et en se tournant vers Lisa elle lui montre le plaisir de son homme dans lequel sa langue surnage. En la fixant dans les yeux, elle déglutit une, puis deux gorgées, salées et tièdes.

 

Pour toute réponse, Lisa colle ses lèvres aux siennes et elles échangent un baiser souillé du plaisir de Marc.
– Je ne te savais pas aussi douée, ma chérie. Maintenant, à la douche !
Lisa l’entraîne dans la salle de bains et la pousse sous la douche. L’eau tiède qui ruisselle sur son corps lui fait du bien. Lisa se colle à Alice et l’embrasse en lui caressant les fesses et les reins. Elles sont collées l’une contre l’autre, chacune fouillant la bouche de l’autre, les cheveux plaqués sur leurs visages. Lisa glisse une main dans la raie d’Alice et ses doigts tripotent son anus.

 

Son index s’enfonce dans son cul.
– Fais-moi pareil ? Murmure Lisa.
Elles se font jouir en se frottant et en se masturbant l’anus.
Puis Lisa lui demande de s’accroupir et décroche le pommeau de la douche. Elle le glisse entre les cuisses d’Alice et la branle avec pendant que son autre main lui tripote toujours l’anus. Le jet d’eau écarte la vulve d’Alice et la pénètre. Le liquide gicle au fond de son puits d’amour, alors que le manche de la douche écrase son clitoris.

 

Alice se tortille entre les mains de Lisa, elle finit par jouir en poussant un cri et en éclaboussant autour d’elle.
– Eh bien, ma chérie, constate Lisa, tu deviens insatiable ! Plus tu en as plus tu en veux !
C’est vrai, qu’Alice doit s’avouer qu’elle est en train de devenir boulimique de sexe. Lisa s’empare d’un grand pot de crème.
– Je vais t’appliquer une crème relaxante, il faut que tu sois dispose pour la journée.

Lisa entreprend de lui appliquer la crème sur les épaules et le cou. La respiration d’Alice s’accélère quand Lisa s’attaque à ses seins. Elle les enduit de crème, malaxe les masses de chair, tripote avec un plaisir crapuleux les pointes gonflées. Narines pincées, Alice savoure les sensations procurées par les doigts agiles, ses mamelons épais dardent déjà.

Lisa se met à oindre le ventre d’Alice, fait luire la peau, introduit un doigt dans le nombril. Alice s’abandonne aux attouchements, ses seins se soulèvent puis retombent au rythme de sa respiration saccadée. Elle se sent couler à nouveau. Lisa se place derrière elle pour passer la crème sur son dos, puis sur ses fesses. Elle caresse, frotte le cul offert, pétrit les globes.
– Quel cul splendide ! On le mangerait !

Lisa glisse un doigt dans le sillon des fesses d’Alice pour explorer son anus qu’elle sent s’alanguir. Elle-même, à présent chaude, sent sa mouille couler. Lisa applique la crème sur les cuisses, les fait luire. Sa main s’aventure vers la moule qui bâille. Alice écarte davantage les jambes pour livrer son puits d’amour trempé aux doigts fouineurs.

Lisa s’empare des seins d’Alice qu’elle caresse, s’attarde sur les tétons.
– Tu es très sensible des seins, Alice, je vois tes pointes grossir encore.
Elle passe la main sur le buisson qui recouvre la motte, caresse la vulve, étire les longues lèvres. Lisa a un sourire.
– On voit bien ton gros clito et tes lèvres épaisses.

Alice soupire quand Lisa lui enfonce trois doigts dans sa grotte d’amour.
– C’est un vrai marécage ! Tu me mets ta mouille plein la main !
Le ventre en feu, Nathalie écarte davantage les cuisses pour offrir son con.
– OOH ! Oui, j’aime tes doigts dans ma chatte ! Frotte-moi bien !

Lisa la branle d’une main, et de l’autre lui tripote le clitoris. Bouleversée, Alice remue sa croupe, projetant son bas-ventre à la rencontre des doigts qui entrent et sortent de sa moule gluante. Lisa cesse son manège, interrompant net la montée de la jouissance. C’est elle qui mène le jeu.
– Ne t’en fais pas, tu vas prendre ton pied ! Je sais m’occuper des femelles en chaleur comme toi !

Alice est prête à se soumettre à toutes ses lubies, ses mamelons et son clitoris sont durs, presque douloureux.
– Dis-moi ce que tu fais pour te soulager, quand tu n’as pas été sautée par ton mari !
– Je mets trois ou quatre doigts dans ma grotte,  je me branle les yeux fermés, tout en me triturant  mes tétons et mon clitoris !
– Je vais arranger ça.

Lisa s’agenouille, lui écarte les cuisses, sa langue effleure sa moule dégoulinante de jus.
– Montre-moi ton cul, Alice !
Alice s’agenouille docilement sur le tapis et présente son cul.
– Ouvre-toi, je veux voir ton trou !
Alice écarte ses globes, expose sa raie. Elle frissonne lorsque un doigt parcoure son sillon.
– Tu es aussi un tout petit peu velue de ce côté ! J’aime.

Elle passe la langue, s’attarde un peu, revient face à elle. Ses yeux brillent de vice.
– Alice, ça sent fort. J’aime, ça sent le cul et la mouille et aussi un peu la pisse.
Lisa replonge entre les jambes d’Alice qui se met à geindre quand la langue s’enfonce dans les replis de sa moule baveuse. À genoux sur le tapis, Lisa lèche, suce, mordille, mange sa moule en feu.

 

Les yeux chavirés, Alice se pétrit les seins, torture ses tétons bandés, secouée par un immense orgasme.
– À toi, maintenant, Alice ! Je veux sentir ta langue dans ma chatte et mon trou du cul ! Couche-toi !
Obéissante, Alice s’étend sur la moquette et Lisa s’assied sur elle. C’est-à-dire sur sa bouche, tout le visage d’Alice est enfoui entre les fesses de Lisa, prisonnière de sa croupe.

 

Lisa la chevauche, son nez dans son cul et sa bouche dans sa vulve. Elle se frotte comme une furie, à grands coups de reins, les mains crispées sur ses seins. Elle a des grognements obscènes et se met à geindre :
– Fort ! Baise mon cul, grosse salope ! Encule ! Suce ! Fais-moi jouir ! Fais-moi gicler ! OUUIIIII !

Lisa se jette en avant, entoure les jambes d’Alice de ses bras et enfouit sa tête entre ses cuisses, contre sa moule. Elle pousse un hurlement.
– Je jouis ! Je vais pisser !
La pisse de Lisa jaillit, elle remplit sa bouche ce qui déclenche un second orgasme à Alice. Enchevêtrées en tête à queue, elles roulent sur la moquette en se pissant dessus.

 

 

 

Après une bonne douche, Alice s’allonge sur son lit et elle s’assoupit de fatigue érotique.

La voix d’Abdou derrière la porte de la chambre l’arrache à sa petit sieste.
– Monsieur Marc et madame vous attendent au salon. Ils désirent que vous soyez nue.
Nue, se dit-elle… Va-t-elle comme la veille devoir sucer Marc ? Que lui réservent-ils aujourd’hui ?

Elle, si respectable avant sa rencontre avec Marc et Lisa, maintenant elle devient insatiable, tout l’excite. Elle a besoin de sexe. Il lui semble qu’elle a perdu trop de temps emprisonnée dans sa vie sage de bourgeoise…

 

Lorsqu’elle entre au salon, l’accueil lui semble moins chaleureux que la veille. Sans ambages Marc annonce :
– Alice, vous connaissez déjà Abdou ?
Abdou, qui jusqu’alors se tenait près de la porte, s’avance. Il est noir, son visage carré, son nez cassé et ses multiples cicatrices le rendent impressionnant. Il guide Alice par le bras jusqu’à un fauteuil et la fait s’agenouiller.
– Abdou ! Veuillez vérifier !

La voix froide de Lisa, habituellement si douce, la fait frémir.
– Met-toi à quatre pattes, plus vite !
Alice s’exécute, toujours à genoux devant le fauteuil vide, son visage tourné vers le mur. De cette façon, elle exhibe ses fesses à Abdou. Ainsi offerte, elle laisse deux doigts parcourir sa fente sans s’y attarder.
– Alors, Abdou ?Demande Marc.
– Elle est mouillée !

Abdou attache un collier autour du cou d’Alice. Glissant un doigt dans la boucle, il maintient Alice à genoux. Elle est menottée dans le dos, une chaînette relie les bracelets au collier.
Abdou se place face à elle. Alice a son pantalon tout près de son visage, elle a un petit mouvement de recul. Il ouvre sa braguette. Elle sent, à travers le slip, la bite frotter contre son visage. Une main lui maintient la tête, la fait pivoter à droite, à gauche.

La bite est très grosse, plus elle se frotte, plus elle grossit. Le gland est sorti du slip, à moitié découvert il est épais, Abdou s’amuse à le passer sur son visage. À chaque passage, une odeur âcre la submerge, qui l’excite et l’attire à la fois.

Lisa ordonne :
– Baisse son slip avec tes dents ! Ensuite, tu lécheras cette queue délicatement, lentement, pour t’imprégner de ce parfum qui te grise, je le sais.
Alice obéit, fait glisser le slip à l’aide de ses dents, découvre la queue raide. Elle coince l’élastique sous les couilles. Elle a devant les yeux un sexe énorme. Elle le détaille. Il est très foncé, les veines  qui courent et battent le long de la hampe, le rendent encore plus majestueux. Il est presque plus gros que le sexe de Moussa.

Alice ferme les yeux, presque rêveuse, et commence à faire courir sa langue sur la tige tendue. Elle part du sommet pour descendre sur les deux grosses couilles velues, lourdes et pleines.                       Marc ordonne :
– Je veux voir dégouliner votre salive, je veux vous voir récurer cette queue !
Alice obéit avec docilité et application. Elle voit le cylindre de chair monter et descendre le long de sa bouche. Ses lèvres parcourent les veines épaisses qui donnent à la queue une forme noueuse et tortueuse.

Alice glisse la langue entre le prépuce et le gland, la faisant tourner délicatement, les odeurs l’enivrent. Elle dépose de la salive au sommet de la bite, la laisse couler, puis la récupère avec une volupté qu’elle a du mal à cacher.
Elle gobe gloutonnement la queue quand Lisa le lui ordonne. Ses lèvres se referment sur la chair épaisse qui recouvre encore le gland congestionné, puis glissent lentement pour le dégager.

Alice est comme ivre. L’odeur de Abdou, sa soumission de femelle obéissante la grisent. Elle avale la verge tout entière, la ressort, apprécie la douceur et la chaleur du gland sous son palais. Ses mouvements de bassin trahissent son envie de plus encore.
Abdou grogne qu’il va juter. Sur l’ordre de Marc, Alice garde docilement la bouche grande ouverte.

 

Abdou se recule et elle voit sortir les jets de foutre qu’elle recueille sur sa langue et ses lèvres. Elle est fascinée par le spectacle et avale le liquide visqueux, tiède et salé.
La situation humiliante dans laquelle elle se vautre a levé toute inhibition. D’elle-même, elle nettoie la bite et récupère avec sa langue le foutre qui macule son visage.
– Abdou, vous pouvez vérifier de nouveau, si vous voulez !

Avec le pouce et l’index, Abdou écarte les lèvres de la moule d’Alice.
– C’est extraordinaire, elle est trempée, cette fois, ça dégouline sur mes doigts.
Il s’applique à étaler la mouille épaisse le long du périnée, se rapprochant de plus en plus de l’anus qui palpite, s’ouvre à l’approche d’un doigt. Alice est au bord de la jouissance.
– Bien, ça suffit, Abdou, laissez-nous !

Lisa retire les menottes et le collier et lui ordonne de mettre ses mains sur ses hanches et d’écarter les jambes, debout, de dos à Marc.
Elle s’exécute, curieuse de la suite des évènements, mais surtout follement excitée, au bord de l’orgasme.
– Tourne-toi, et approche de Marc lentement, qu’il ait le loisir de t’admirer.
– Couchez-vous sur mes genoux, Alice, dit Marc en s’approchant du bord du fauteuil.

Fermant les yeux, elle s’allonge sur ses genoux, attendant l’exécution de la sentence. Son fin pantalon de lin est tendu, elle le sent, alors que sa main se pose sur l’une de ses fesses, la parcourant et provoquant un délicieux frisson.
Elle tourne la tête pour regarder Lisa qui vient de s’asseoir dans le canapé leur faisant face. Elle est indécente, elle vient de passer l’une de ses jambes sur l’accoudoir, s’exhibant à leurs yeux.

 

Alice imagine que Marc ne la quitte pas des yeux. Sa main la parcourt, glissant sur l’une de ses fesses avant de parcourir l’autre.

Puis il la force, sans qu’elle n’oppose beaucoup de résistance, à écarter les jambes. Sa main parcourt sa raie, elle ferme les yeux alors que son index pointe sur son petit trou plissé avant de glisser plus bas, où l’humidité règne. Elle les rouvre pour découvrir que Lisa se caresse. Ses doigts parcourent sa fente lisse et déjà luisante de son plaisir naissant.
– Eh bien ! Marc, tu ne devais pas la corriger, cette petite peste ?

Alice se cambre dans l’attente de la punition. Mais au lieu de celle-ci, c’est un index qui force ses lèvres intimes qui s’ouvrent.
– Je suis sûr que Alice préfère un autre style de correction. Je me trompe ?                                               Dit-il alors que son index la pénètre. Il poursuit.
– Lisa veut jouir, venez…

Marc se lève et la conduit vers le canapé. Alice le voit se positionner entre les jambes gainées de nylon noir de Lisa . Il dépose un baiser sur son sexe, puis sa langue parcourt sa fente, l’ouvrant encore davantage à son passage. Lisa ferme les yeux alors que Alice s’empare de ses lèvres, trouve sa langue.

Entre les cuisses de Lisa, l’action gagne en intensité. Marc aspire le bouton tout en pénétrant de son index la moule de Lisa. Alice quitte sa bouche, sous ses yeux, à quelques centimètres, elle voit Marc s’affairant sur le clitoris dardé. Il glisse un second doigt recourbé dans la grotte de Lisa qui geint, se cabre.

Marc fixe Alice dans les yeux et lui tend ces deux doigts à sucer. Elle a souvent léché ses doigts alors qu’elle se masturbait, mais là, le partage du plaisir de Lisa devant les yeux de Marc la rend folle.

Alors que Marc glisse de nouveau ses doigts en Lisa, Alice l’embrasse. Sa langue se glisse entre ses dents pour la fouiller ; Alice pose sa main sur la chatte, trouve son bouton dardé qu’elle masturbe. Puis c’est sa bouche qui s’empare de son clitoris. Sa langue se darde pour parcourir toute sa fente et enfin faire le tour de son bouton.

Marc laisse Alice donner le maximum de plaisir à Lisa. Elle continue de la lécher, d’aspirer son clitoris, en s’aidant de son index qu’elle a glissé dans sa grotte, elle lui arrache des râles de plaisirs.
– Continue, cochonne, je vais jouir ! Divine salope, tu fais ça si bien. Rale Lisa.
– Alice, vous allez pouvoir la boire à sa source, elle adore !
– Ouiiiiii !!!

Lisa jouit dans une longue plainte, elle se cambre alors que Alice essaye de rester soudée à son plaisir, sa bouche plaquée sur son clitoris.
Lisa est la première à reprendre ses esprits, elle se lève, laissant Alice étendue sur le canapé.
Marc s’est déshabillé et s’approche, vient sur Alice. Il la lèche. Il l’embrasse. C’est grisant de le voir lui faire ce cuni, de goûter sa mouille sur sa bouche. Elle est offerte, palpitante.

Il lui ordonne de se mettre à quatre pattes pour le recevoir, de se cambrer. Alice se met en levrette, elle se sent femelle prête pour la saillie. Il plonge les doigts en elle. Ils sont gluants de mouille. Il les lui donne à lécher, elle tire la langue pour bien tout nettoyer.
Elle adore se prêter à ce jeu d’humiliation, lui montrer quelle parfaite chienne elle peut être. Tout, pour être baisée ! Elle est devenue une vraie nymphomane. Mais elle s’en fout, tout ce qu’elle veut, c’est qu’il la prenne et qu’il lui fasse du bien, et du mal, et que ça n’arrête pas.

Il prend un fouet terminé par plusieurs lanières de cuir.
– C’est un chat à neuf queues. Les capitaines pirates s’en servaient pour punir leurs hommes.
Marc vient derrière Alice, frotte avec les lanières de cuir sa fente et la raie de ses fesses, la faisant encore une fois frissonner. Elle se cambre. Il se présente à l’entrée de son cul, et d’un coup, fait entrer sa queue. Elle pousse un long râle de plaisir.

Il l’encule fort, sensuellement, ponctuant chaque pénétration d’une caresse du fouet, ou d’un coup plus vif sur son dos. Elle sent à la fois la chaleur de sa queue qui va et vient en elle, augmentant son plaisir à chaque pénétration. Une montée inéluctable vers l’orgasme et la morsure cuisante du chat à neuf queues, et aussi la brûlure des coups précédents, qui ne s’atténue pas.

Et tout se mélange ! Ses grognements de mâle en rut, les plaintes que lui arrache sa queue, les cris que lui arrache le fouet, le claquement du fouet sur sa peau, dans les rares moments de silence, le bruit mouillé de sa pine dans son cul.

Quand elle jouit, elle reçoit un coup de fouet à chaque cri qu’elle pousse. Et le coup de fouet double son cri d’orgasme d’un cri de douleur, comme un écho, avant qu’elle ne s’écroule, vidée de toute énergie, le dos brûlant.
Sur le ventre, elle tend le cou, tire la langue, offre son visage à la queue de son mâle, qui crache sa semence tiède, et qu’elle accueille avec bonheur.

 

 

Ce matin, la température est déjà élevée lorsque Alice arrive sur la grande terrasse. Abdou sert le petit-déjeuner. Au bord de la piscine, Lisa et Marc, nus, sont étendus dans des chaises-longues. Alice se débarrasse de son peignoir et les rejoint.

Abdou, imperturbable, va et vient, sert des boissons. Mais les petits coups d’œil et les regards qu’il jette dans sa direction n’échappent pas à Alice, étendue dans sa chaise longue.
Elle revoit la scène de la veille. Les couilles lourdes et velues du majordome, qu’elle a sorties de son slip, sa queue noire, si grosse, se vidant dans sa bouche, maculant ses joues.
Cette chaleur sournoise qu’elle connaît bien maintenant, qui rampe dans son bas-ventre, cette moiteur entre ses cuisses, qui lui fait écarter les jambes un peu plus. Elle glisse une main entre ses cuisses.
Lisa ne s’y trompe pas :
– Tu le veux, hein, ma cochonne ! Tu l’auras, c’est promis.

Marc s’assoie sur le bord de sa chaise-longue, son sexe est dresser, il regarde Alice en sortant sa langue d’entre ses lèvres. Alice, toujours nue, comprend ce qu’il attend d’elle, Alice va se caler entre ses genoux et entame une nouvelle fellation dont elle a le secret, ses fesses sont bien relevées, Lisa se met à genoux derrière Alice, elle la met en condition en lui faisant un cunnilingus qui la fait gémir de plaisir malgré sa bouche pleine du sexe de Marc.

 

C’est le moment que choisit Azor pour couiner à la porte de son enclos. Lisa demande à Abdou d’aller lui ouvrir, il se précipite vers le trio, il bouscule Lisa pour qu’elle lui laisse la place et il lèche Alice avec avidité. Elle n’est pas d’accord et essaie de se dégager, mais Marc lui maintient fermement la tête pour qu’elle ne lâche pas sa sucette, elle cherche à se coucher pour empêcher Azor de se régaler, mais Lisa tient fermement Alice dans la position à genoux, et Azor lèche, lèche, Alice se défend, se défend moins, ne se défend plus. Lisa relâche son étreinte, Alice tend les fesses, et Azor se délecte autant de l’anus que de la moule d’Alice qui gémit de plus en plus.

 

Entracte, le temps de reprendre ses esprits et de se désaltérer. C’est l’occasion qu’attendait Lisa pour dire qu’elle adore quand Azor la lèche, pour que Marc dise qu’il prend un grand plaisir à regarder les ébats d’Azor et Lisa en laissant entendre qu’Azor ne régale pas Lisa uniquement avec des lèchouilles. Alice écoute avec attention les commentaires ?

 

– Quand pense tu Alice ?                                                                                                                       Demande Lisa qui a pris beaucoup de plaisir à voir Azor s’occuper d’Alice.                                         Alice dit qu’un cunnilingus fait avec la longue langue d’un chien donne des sensations différentes que ceux faits par un homme ou une femme, et que c’est fort agréable !                                                      Parfait, la suite sera facilitée, pense Lisa.

 

Clin d’œil entre Marc et Lisa, il faut battre le fer quand il est chaud, Marc ordonne une nouvelle fellation, obéissance immédiate. Lisa gratifie Alice d’un mini-fist qui a pour résultat de bien lubrifier la moule d’Alice, puis Lisa appel Azor qui avait été faire un tour dans le jardin, il revoit la femelle les fesses à l’air, il se précipite et recommence à la lécher.Sa nouvelle partenaire ne se défend pas et accepte ce témoignage d’intérêt.

 

C’est alors que Marc enlace Alice pour l’embrasser et l’empêcher de bouger. Elle est là à quatre pattes , la croupe offerte, ses deux bras repose sur les cuisses de Marc. Lisa tapote les fesses d’Alice, Azor arrête son léchage de moule, se jette sur Alice, enserre sa taille avec ses pattes, Lisa dirige immédiatement le sexe d’Azor dans la grotte d’Alice qui devient une chienne sans avoir eu le temps de réagir.

 

Elle se débat violemment, mais Marc, Lisa et Azor sont plus forts qu’elle, ils la maintiennent dans la position de se faire saillir. La défense s’affaiblit, les gémissements de plaisir remplacent les cris de rage et de douleur.

 

Quand Marc et Lisa voient que l’assistance qu’il donne à Azor n’est plus utile, il laisse les deux amants à leurs violents ébats. Puis les râles d’Alice deviennent de plus en plus marqués alors qu’ Azor a cessé ses mouvements, ils sont restés soudés pendant presque un bon quart d’heure minutes pour faire passer le temps encore plus agréablement, Marc a donné sa queue à Alice pour qu’elle finisse la fellation qu’elle avait commencée. Puis Azor s’est dégagé, s’est nettoyé avant de venir consciencieusement nettoyer sa chienne. C’est seulement quand cette toilette est terminée qu’ Alice s’est laissée tomber sur le sol et que le sperme du mâle s’est écoulé d’elle.

 

 

Lors du déjeuner, bien évidemment, la conversation n’a concerné que cette première expérience, Lisa expliquant qu’Azor est son amant une ou deux fois par semaine. Plus souvent que Marc, et qu’il  ne lui fait jamais aussi bien l’amour qu’après avoir été le témoin de leur union bestial.

Ils ont longuement insisté pour connaître les impressions d’Alice qui ne voulait pas se dévoiler. Ce n’est qu’après un long interrogatoire qu’elle a fini par avouer qu’elle avait beaucoup, beaucoup aimé. Ils ont ri d’Abdou parce qu’il c’était masturbé en contemplant le spectacle.

 

Ils ont informé Alice que leurs amis Louis et Claire, eux aussi zoophiles, accompagnés de leur chien Canaille viendront déjeuner demain à midi, ils ont dit les voir assez souvent et que Lisa et Claire aiment échanger leurs amants canins. Alice n’ayant pas demandé des détails concernant Canaille, il ne lui en ont pas donné.

Alice implore Marc pour qu’il lui donne l’autorisation de revêtir une robe pour les accueillir, le refus est net, elle doit obéir durant tout le séjour, et ne pas demander de faveur.

Ils sont arrivés à l’heure de l’apéritif, Alice, nue, s’est réfugiée dans les toilettes, elle n’est pas sortie pour les accueillir et n’a donc pas vu le monstre qui occupait l’arrière du break. Ce monstre est tout frétillant en reconnaissant l’endroit où ils sont et en voyant Lisa.

 

En rentrant dans la maison et ne voyant pas Alice, Marc d’une voix tonitruante hurle.                              – Viens ici immédiatement.                                                                                                                    Penaude, elle sortit de sa cache, une main sur son sexe, et l’autre cachant ses petits seins.                      – Durant tout ton séjour, tu nous appartiens et tu feras ce que l’on te dis de faire. OK ?                         – Elle acquiesce d’un murmure et un signe de tête.                                                                                   – Ce sont nos amis et ils sont venus pour te baiser, alors tu baiseras avec eux, et avec les chiens!       – Tu sera puni ! OK ?                                                                                                                                     – Nouveau murmure et nouveau signe de tête.                                                                                             – Mets tes mains sur ta tête, et tourne sur toi-même qu’ils voient un peu à quoi tu ressembles.                       Alice obéit et elle est félicité d’être une si jolie femme. Elle en est très fier.

 

Durant l’apéritif, les deux femmes habillées jouent avec Alice toujours nue, et qui maintenant n’a plus de retenue, Lisa a été chercher des sex-toys, elles lui font avoir un orgasme en lui introduisant un gode électrique dans son puits d’amour. Puis elles lui introduisent le plug muni d’une queue-de-cheval dans l’anus, et elle lui donne des petits coups de cravache sur les fesses pour la faire trottiner comme une jument sur la terrasse.

 

Le spectacle les divertit. Parfois, elle s’arrête à la table pour s’abreuver d’un porto. On ne reconnaît plus Alice. Il n’y a que le premier pas qui coûte, Ils sont bien convaincu qu’elle se complaît dans cette situation.                                                                                                                                         Louis fait signe à Lisa de venir près de lui, Claire continue de faire le cocher, Louis sort son sexe et l’introduit dans la bouche de Lisa, ce sexe est immensément long et d’une épaisseur en accord avec la taille du gaillard.

Quand il a pris toute sa raideur, Claire dirige sa jument vers la table où Louis retire brusquement le plug de son anus, ce qui lui arrache un cri de douleur et le remplace immédiatement par son gigantesque braquemart, c’est alors un hurlement de douleur qu’Alice émet. Mais docile, elle laisse Louis prendre tout le plaisir qu’il mérite. Au bout de peu de temps c’est elle qui a un orgasme, Louis sort de boyau et déverse sa semence dans la bouche avide d’ Alice.

Il est bien tard quand ils passent à table qui a été dressée par le majordome et c’est lui qui fait  l’essentiel du service.

 

Après le repas, les trois femmes montent se pomponner, se faire une beauté et se câliner à l’étage en vue de la suite de la journée.

Marc nous demande de l’aider à mettre dehors dans le jardin les plantes grasses et les pots de fleurs qui se trouvent sur l’estrade. Je m’exécute, mais intrigué, je demande pourquoi. Il me donne les explications sollicitées, je comprends et suis impatient de la voir utilisée.

 

Les femmes redescendent, nues toutes les trois, elles veulent déshabiller les hommes, Marc leur rappelle qu’Abdou n’est qu’un spectateur, elles ôtent les vêtements des deux autres mâles, les voilà nus tous les cinq, ils se mêlent et s’entremêlent les râles, les mots crus, les cris fusent durant plus d’une heure en fonction des différentes actions entreprises par l’un ou par l’autre, les sex toys sont souvent utilisés.

 

Puis, Marc ordonne alors à Claire d’aller chercher le deuxième mâle qui doit attendre impatiemment, elle va extraire Canaille du break de ses maîtres. Pendant ce temps Lisa passe un gros collier clouté avec une boucle au cou d’Alice ?                                                                                                                  Alors Alice se souvient de la punition promise tout-à-l’heure quand Claire revient avec Canaille.

 

C’est un dogue allemand de taille moyenne. Il sent vient renifler Alice, elle sursaute quand il passe une délicieuse langue sur sa moule. Elle ne s’y attendait pas.                                                               – Met toi à quatre pattes, c’est ta punition promise Alice !                                                                                      Ordonne Marc. Alice s’exécute. Lisa vient enfoncé dans le puits d’amour d’Alice un gode qui a une très large base,  une fois qu’il est introduit sa base recouvre toute l’entrée du puits d’amour.                  Les lèvres intimes d’Alice sont écartées par la base du gode ?

 

Canaille vient sentir son cul. Elle frémit à cette idée qui l’a toujours excitée. L’idée d’être livrée à un animal devrait faire horreur à Alice mais les coups de langue de Canaille la chauffent de plus en plus. Elles perd la tête. Jamais on ne l’avait léchée avec cette fougue, cette force, cette gratuité.

 

Plus longue, plus chaude, plus mobile et plus rêche que celle d’un homme, la langue d’un chien est un bonheur infinie pour la raie. Son dégoût est immense mais les décharges de plaisir qui montent dans ses reins démentent son aversion intellectuelle. Alice tâche de résister mais bien malgré elle, elle cambre son corps pour trouver la meilleure position.

 

– C’est un de nos meilleurs enculeurs, alors profite ! Murmure Lisa.                                                     C’est quand elle sent canaille lui monter sur le dos qu’elle commence à comprendre. Alice réalise maintenant que si Lisa lui a enfoncé un gode dans sa grotte, c’est pour que son anus soit le seul puits de libre pour la saillie. La bite de Canaille comporte un nœud, qui va être très difficile à rentrer dans son jardin secret, qui devra s’élargir au maximum.

Quand Canaille sodomise Alice, la douleur est si terrible qu’elle ne ressent pas le plaisir qu’elle avait imaginé. Une fois qu’il est en elle, il tente de faire entrer son sexe avec son nœud auplus profond de son ventre, ce qui fait hurler Alice de douleur.

C’est Claire qui la sauve en aidant canaille à trouver le bon angle de pénétration. Quelques instants plus tard, tout le membre du reproducteur est complètement entré, ça y est Canaille est entré jusqu’aux couilles. Alice le sent alors commencé à remuer. C’est là que le plaisir, puis le bonheur survient. Ses mouvements lui procurent une sensation intense qui comblent toutes les douleurs qu’elle a pu ressentir.

 

Canaille la soumet totalement, sauvagement avec des coups brusques, réguliers. Pour la seconde fois, elle se sent vraiment chienne. Canaille ne cesse de pousser en avant, en lâchant régulièrement des petites giclées de sperme et à chaque fois elle sent son sexe se gonfler par intermittence. Alice a un premier orgasme en sentant le sperme chaud se répandre dans son ventre. Les deux amants sont liés ensemble. Durant cette union Alice a plusieurs orgasmes, elle griffe le sol tellement ses orgasmes son violents.

 

Vingt minutes plus tard, Alice sent Canaille essayer de sortir de son rectum. Horrifiée à l’idée de se séparer de cette sensation, elle tente de le retenir en serrant les fesses au maximum. A sa grande surprise, elle y parvient. Il reste en elle et Alice sent que ça lui fait plaisir à lui aussi. Ils tiennent encore quelques minutes de plus puis Canaille se retire complètement. La douleur survient de nouveau quand il faut repasser le nœud, mais elle est moins intense.

 

– Tu as réussi à le garder en toi ? Il y a très peu de femmes qui y arrivent. Tu n’imagine pas ce que ça signifie !                                                                                                                                                        Dit Marc a Alice, en enlevant le gode de son puits d’amour pour l’introduire dans le puits de ses reins encore ouvert. Lisa s’approche d’Alice pour rétorquer.                                                                                                                                         – Oh, mais elle va s’en rendre compte. Effectivement, Alice a du potentiel, je n’en doutais pas. Elle va bien nous servir. Mais commence par prendre une douche et te reposer ma chérie, nous en reparlerons plus tard.

 

– Combien de temps allez-vous me gardez ici ? Demande Alice.                                                           – Oh, juste qu’a la fin de tes vacances, mais tu reviendras de toute façon par toi-même ensuite.              – N’y comptez pas ! Répond Alice outrée, je ne suis pas votre servante, une fois que j’aurais regagné mes pénates, je ne reviendrais certainement pas de moi-même !

Et si ils avaient raison ? Alice a adoré cette séance et se réjouit à la perspective des suivantes… Mais  elle devient dépendante au sexe ? Elle peut rester le temps de ses vacances, mais les autres semaines, les autres jours ? Si Alice devenait dépendant, comment allait-elle faire ? Et si mon mari ne suffisait pas à combler ses besoins ??

 

 

 

Il est déjà midi passé quand Alice se réveille. Elle chasse très vite la pensée que demain tout se terminera et il qu’il lui faudra retrouver sa vie bourgeoise, sage et tranquille. Dix jours de sexe et de luxure ont chamboulés son existence, Elle a même goutée à la zoophilie qu’elle a aimée..

( Je suis une vraie salope parce que j’en ai envie, j’en ai besoin. Je veux appartenir à des mâles, être prise, sentir leurs queues me pénétrer. Je suis une nymphomane et j’aime la bite et ça me plaît) se dit Alice.

Elle s’étire dans son lit. Elle est moite, elle a encore sur elle l’odeur des mâles qui l’ont couverte, la nuit passée. Toutes ces langues qui l’ont léchée, ces bouches qui l’ont sucée, ces queues qui l’ont investie et qui l’ont fait râler de plaisir.
Elle glisse une main entre ses cuisses et se fait jouir très vite, très fort. Elle se lève, va prendre une douche.

Lisa et Marc, nus, sont déjà attablés lorsque elle les rejoint sur la terrasse. Abdou fait la mise en place pour le déjeuner. Il est nu lui aussi.
– Ma chérie, tu te souviens, je t’avais promis Abdou ?
Abdou fait son service, Alice a sous les yeux sa grosse queue, qui pend et balance sur ses couilles velues, lourdes et pleines. Prometteuses d’innombrables giclées. Oui, elle veut ce mâle. Ce gorille velu, elle le veut dans sa moule, elle veut sentir cette pine noueuse et épaisse lui remplir son puits d’amour à ras bord.
– Avant d’être à notre service, il était l’un des meilleurs baiseurs de la région. Il est inépuisable, ma chérie, je m’en sers parfois, lorsque Marc rend les armes.

Tout en parlant, Lisa caresse les fesses de Abdou comme on cajole le dos d’un toutou.                          – Il te comblera, ma chérie. Sais-tu qu’il est capable de gicler trois ou quatre fois ?
Alice touche à peine aux mets servis et va s’étendre sur une chaise longue. Elle a envie. Elle veut jouir. Qu’il vienne enfin ! Qu’il la lui mette ! Lisa la sermonne :
– Tu veux attraper un coup de soleil ? Il faut mettre de la crème.

Elle débouche un flacon d’ambre solaire et dirige une giclée sur la poitrine d’Alice. L’huile lui coule sur les seins, sa consistance épaisse lui rappelle le sperme de Abdou lorsque il a juté sur elle.               Lisa s’accroupit et étale doucement la crème sur les épaules, le cou et la poitrine d’Alice. Les yeux fermés, elle se laisse aller. Lisa remarque que le traitement agit. Les pointes des seins, déjà durcies, s’allongent encore. Alice rejette la tête en arrière, comme pour bien dégager son corps et sa gorge.

Lisa étale l’ambre solaire sur tout le buste, revenant sans cesse sur les seins dont elle effleure les mamelons à chaque passage. Elle poursuit son massage insidieux qu’elle étend à l’intérieur des cuisses.
Alice pousse des soupirs, crispe ses mains sur les longerons de la chaise longue et écarte largement les jambes, invitant la masseuse à s’en occuper.
Lisa comprend le message. Délaissant la poitrine, elle caresse l’intérieur des cuisses de ses mains enduites de crème. Installée au bout de la chaise longue, elle masse les deux jambes en même temps par de lents mouvements de bas en haut.

Quand Lisa arrive au creux des aines d’Alice, elle insinue ses pouces, effleure les poils de la toison pubienne. Chaque fois, Alice se cambre, et pousse un soupir bruyant, en écartant un peu plus les cuisses.
Marc observe. Il a sa queue en main et se branle lentement. Abdou l’imite. Ils ont une vue directe sur l’entrejambe. Les yeux fixés sur les mains de Lisa, ils espèrent qu’elle va enfin s’occuper de la moule d’Alice.

Lisaa pose ses mains en haut des cuisses, juste au ras du renflement du mont de Vénus. Avec une cruelle lenteur, elle rapproche ses pouces l’un de l’autre. Ses doigts clapotent dans la mouille qui détrempe les poils et les bords du puits d’amour d’Alice.
Elle les remonte à l’intérieur de la moule, vers le clitoris, caresse les petites lèvres et l’entrée de la grotte. Alice se raidit, supplie :
– Plus vite !

Lisa se prend au jeu. Compte tenu de la grosseur de ce dernier, elle n’a aucun mal à dénicher le clitoris, qu’elle masse et fait rouler entre ses pouces. Alice fait vaciller la chaise longue en décollant ses fesses. Elle se cambre, soulève sa croupe pour offrir sa moule baveuse et son petit trou aux doigts inquisiteurs, à cette main possessive.
Finalement, la bouche ouverte sur un cri strident, elle explose dans un orgasme interminable. Ses mouvements désordonnés font pénétrer les doigts de Lisa dans son puits d’amour. Elle les laisse s’enfoncer jusqu’à ce que cessent les spasmes du plaisir.

Alice gît sur sa chaise longue, inerte, sans force. Les cuisses ouvertes, sa moule qui baille est visible. Elle se vautre dans sa nudité moite, cuisses écartées, face à Abdou qui dévore des yeux son corps. Elle est obscène, elle fait penser à une putain qui s’offre à un client. Le client, c’est Abdou.
Il s’approche, la queue raide, dressée jusqu’au nombril. Lisa quitte sa chaise longue, s’agenouille et s’empare de son membre.Elle passe sa langue dessus. Elle le prend dans sa bouche et le suce.

Elle dit à Alice de le faire aussi. Alice ouvre la bouche et sort sa langue. Abdou regarde la langue se poser sur sa queue. Elle lèche doucement, en même temps que Lisa, tout le long, et puis elle poursuit seule. Gloutonne, elle suce le gland et le laisse glisser entre ses lèvres. Maintenant turgescent, il suinte et remplit sa bouche.

Abdou grogne, lui tire les cheveux, puis soudain, sans ambages, il la bouscule ventre sur les serviettes de bain, fesses offertes.
Sa langue plonge entre ses fesses, lape les lèvres humides. Un doigt parcourt son sillon, s’enfonce dans ses deux orifices. Alice frissonne, ses reins ondulent, ses tétons durs frottent sur les serviettes. Elle quémande une nouvelle jouissance, elle veut être saillie, elle est une chienne en chaleur.

Il l’a fait mettre à quatre pattes, elle lui présente son cul. Abdou la lèche encore, écarte ses fesses, salive sur elle, passe et repasse sa langue sur sa moule et son cul jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Alors il la pénètre et elle se cabre pour mieux recevoir ses coups.

Il la prend par les hanches et la fait aller et venir et sa queue ainsi branlée, il la ramone toujours plus profondément. Elle gémit, il mord son épaule. Elle tourne la tête, leurs langues se mêlent et son puits d’amour bien rempli commence à bouillonner.
Un long filet de bave blanche ruisselle de sa grotte sur les serviettes de bain. Il lui pince le clitoris en la traitant de salope et la laboure encore, en lui écartant méchamment les fesses pour mieux voir sa queue s’enfoncer dans sa grotte.

Il applique une main sur sa bouche quand il la sent venir, attrape ses cheveux, elle halète. De sa gorge s’échappent des râles rauques et les voilà tous deux tordus de jouissance.
Bête à deux dos, ils restent écroulés.  Abdou ne se retire pas, il reste en elle et elle sent qu’il ne débande pas tout à fait.

Un gémissement lui fait lever la tête ? Marc, agrippé aux accoudoirs de sa chaise longue, éjacule dans la bouche de Lisa.
Lorsque Abdou sort enfin de sa grotte et se relève, elle voit que son gros mandrin noir est encore à demi bandé, luisant de mouille et de sperme. Il pique une tête dans la piscine, imité par Lisa et Marc.

Lisa l’exhorte à les rejoindre dans l’eau, mais après quelques brasses, elle retourne se coucher sur sa chaise longue. Elle n’est pas rassasiée, elle en veut encore. (Je suis une cochonne insatiable) Se dit-elle, elle sent sa moule bailler d’envie.
Elle écarte les cuisses. Marc et Abdou peuvent voir sa moule entrebâillée s’écarquiller impudiquement au-dessus de leurs têtes. Ils sortent du bassin, elle les regarde venir. Ils bandent tous les deux et la verge d’Abdou est à nouveau d’une grosseur impressionnante.                                             – On va la rafraîchir, la pauvre, clame Lisa. Vous avez vu comme elle transpire ?

Lisa puise de l’eau dans le bassin, à deux mains, et la répand entre les seins d’Alice, et descend vers la moule. Alice frissonne de plaisir, se cambre pour s’offrir au filet frais. Lisa l’exhorte :
– Écartes les cuisses ! Abdou va t’en verser sur la moule.

Les yeux fermés, elle obéit. Abdou puise de l’eau et Alice sent que Lisa lui ouvre la moule. Abdou, à genoux, y verse l’eau tiède, en un mince filet.
– OOOH ! C’est bon ! C’est…..
Alice se cambre encore plus.
– Ils vont bien s’occuper de toi, Abdou et Marc.

Abdou fait entendre une sorte de grognement. Lisa encourage Alice.
– Montre-toi bien. Fais-nous tout voir ! Ils vont t’aider.

Marc et Abdou lui font passer les genoux par-dessus les accoudoirs. Marc lui ouvre les lèvres de sa moule. Abdou se penche entre ses cuisses ouvertes. Une coulée de mouille lui coule hors de la moule et descend dans la raie des fesses. Lisa bat des mains :
– Il va te baiser ! Tu veux qu’il te baise encore ?
– Oui, je veux qu’il me baise encore !! Crie Alice.
– Je te branle un peu, juste avant ? Je te prépare pour lui.

Alice se met à gémir, follement excitée, quand les doigts de Lisa jouent à l’intérieur de sa grotte. Ils pincent, tirent, farfouillent, sous les yeux exorbités d’Abdou . Marc intervient.                                   – Vous permettez, Abdou, je vais passer le premier pour bien lui ouvrir le trou.

Serrant sa grosse bite dans son poing, Abdou se relève. Une excitation bestiale se reflète sur ses traits en regardant Marc pénétrer Alice.

 

Elle le serre convulsivement contre elle, le corps agité de spasmes rapides. Lisa prévient Marc :
– Attends ? Ne la fait pas jouir tout de suite. Elle n’a pas encore été enculée ! Je veux voir Abdou l’enculer. Vous voulez bien l’enculer, pas vrai Abdou?
Marc se retire. Abdou lâche d’une voix rauque :
– Je veux l’enculer ! Ah ! Oui !
– Oh ! Mais vous êtes aussi pervers que Marc ! Retourne-toi, ma chérie. Mets-toi à genoux sur la chaise.

Alice obéit.
– Écarte bien les fesses ?Donne-lui bien ta turbine à chocolat !
Marc sépare lui-même les fesses dAlice, pour faire saillir l’anus. Abdou s’avance, avec son pieu braqué devant lui. Marc dirige.
– Oui, Alice, ouvre bien ta moule, il va te l’enfoncer, ouvrez-la encore plus, tu es une cochonne ! Voilà, c’est parfait !

Abdou enfourche ses mollets retournés et pointe son gland au bord de sa moule. Il s’enfonce d’un coup, tout au fond de son puits d’amour, la faisant crier d’une voix rauque. Mais tout de suite après, il se retire, et appuie son dard sur la petite porte de ses reins. Alice se met à gémir.

Le gland s’enfonce, puis toute la grosse queue, lentement. Quand ses couilles touche la moule d’Alice, il se met en mouvement. Il la besogne longuement, à grands coups de bite, se retire et revient. Alice à l’impression que ça dure des heures et que ça n’en finit pas.

Elle bave, elle râle, elle jouit, elle geint, elle jouit encore. Finalement, Abdou grogne.                            – Je peux plus ! C’est trop BOOONN !
Se mordant les lèvres, il est agité par une violente convulsion et éjacule. Il reste collé à la croupe ouverte, puis se recule et son gourdin ressort.

Épuisé par l’orgasme, il s’allonge sur une chaise longue. Mais en voyant le corps nu d’Alice vautré devant lui, il a une nouvelle érection. Lisa exulte.
– Regarde, Alice, il bande encore une fois. Profites-en ! Va sur lui, enfonce-toi-la par devant !

Il présente son pieu à la verticale. Alors, Alice enfourche la chaise longue et s’accroupit sur lui, elle s’empale. Marc enfourche la chaise longue à son tour et écarte les fesses d’Alice.
Il n’a aucune peine à l’enculer son anus est resté dilaté et bien graissé. Alice s’agite sur Abdou, monte et descend, en haletant, en bredouillant des mots obscènes, pendant qu’il lui pétrit les seins et Marc suit le mouvement.

Ils jouissent dans un concert de gémissements et de râles et tout de suite après, c’est Marc dans ses reins, Alice s’affaisse sur la poitrine de Abdou.
Ils restent un bon moment emboîtés. Puis les mâles se détachent d’elle, elle les entend plonger dans la piscine.

Encore affaiblie par le plaisir, Alice n’a pas la force de les rejoindre. Ses yeux se ferment et elle se couche sur la serviette de bain, les bras en croix. Une brève somnolence la terrasse.

 

 

 

Alice est dans sa voiture sur le chemin du retour, les vacances sont terminée.
Alice a encore envie. Elle veut une bite ? Ce matin, avant son départ, Marc ne l’a pas baisée, il s’est contenté de lui faire boire son lait de mâle du matin, selon l’expression de Lisa.
Elle écarte les jambes. Sa main glisse sur sa fente, se ferme sur sa grotte entière qui s’ouvre sous sa petite culotte. De l’index, elle pousse le tissu dans sa moule  ouverte, palpitante. Elle revoit Marc, la chevauchant comme une jument, l’amenant à l’orgasme à coups de cravache.

Alice est prise dans un embouteillage sur une voirapide à deux voies. À sa droite, le pare-chocs d’un camion dépasse lentement sa voiture, la cabine s’arrête à sa hauteur. Elle lève les yeux. Le chauffeur lui fait un grand sourire auquel elle répond. Elle ne referme pas ses cuisses. Le pouce levé, le chauffeur lui fait signe qu’il apprécie.

Alice replie sa jambe gauche, pose son genou contre le volant et écarte l’autre jambe, se renverse contre la portière, lui faisant face. (Je suis une chienne en chaleur et ça me plaît ) Se dit-elle.                 Elle tremble, maintenant ça l’excite à mort de s’exhiber devant ce mâle.

Il peut deviner sa moule à travers l’étoffe humide de sa petite culotte qui pénètre entre les lèvres. Sans quitter l’homme des yeux, elle soulève son fessier, ses doigts coulent vers son cul. Son index presse sur la rondelle, plusieurs fois. Elle répète cette caresse obscène, elle offre son cul qui s’ouvre.
Les regards de plus en plus salaces de l’homme sur elle et son geste obscène, lui font comprendre qu’il se branle ce qui la rend folle. Elle ouvre son chemisier, découvre ses seins nus, elle pince, triture les tétons bandés. Son odeur de femelle en chaleur l’enivre, sa chatte est remplie de ses doigts qui s’enfoncent. Son petit slip est trempé, sa moule ouverte est bave.

Son regard ne quitte plus celui de l’homme. Ses doigts s’enfoncent, frictionnent son entre-jambes de plus en plus vite, elle presse ses doigts habillés du tissu sur sa chatte brûlante, sur le clito en feu.
Lorsque l’homme tire la langue et simule un léchage, tout son corps se soulève, elle se raidit, ses jambes se crispent, son ventre se gonfle. L’orgasme la secoue, sa main se colle contre sa grotte emprisonnant ses doigts au fond de sa moule en ébullition. Sa mouille gicle, coule sur ses cuisses.
Elle retire ses doigts de sa grotte, ils sont trempés. Et tout en regardant son voyeur, elle les porte à sa bouche et les suce l’un après l’autre. Le routier lui fait signe le pouce levé que le spectacle lui a plu.
Elle retrouve peu à peu son calme au moment où la file de véhicules se remet en mouvement. Dommage il a sûrement une belle grosse bite : Se dit-elle.

L’amalgame de véhicules se traîne encore une demi-heure sous un soleil de plomb, Alice est en sueur, elle colle de partout. Lorsque elle voit le panneau annonçant une aire de repos avec service, elle décide de s’arrêter. Sur le parking, il n’y a aucune autre voiture et le petit resto est pratiquement vide. Deux retraités jouent aux cartes. Alice s’installe au fond de la salle, face à la table occupée par un Arabe, un grand sac à dos à ses pieds, un auto-stoppeur sans doute.

Elle va aux toilettes se rafraîchir, commande le menu. Tout en mangeant, elle observe discrètement l’Arabe. Il la mate sans vergogne. Et son regard lui rappelle Moussa. Une chaleur sournoise alourdit le bas-ventre d’Alice. Elle se remémore, Moussa et sa grosse bite. Moussa l’enculant sur le canapé.

Alors elle se cambre un peu, dévoilant le haut de ses cuisses, ouvre doucement les jambes, les croise et les décroise, offre le spectacle de son entre-jambe.
Le regard de l’homme ne quitte plus ses cuisses. Elle sent ses tétons darder à travers sa chemise, elle sait qu’elle offre une vue imprenable sur sa petite culotte qui cache à peine son sexe.

Elle imagine qu’il a mille pensées lubriques. Sa culotte lui colle à la moule, les joues en feu, elle voit son regard s’incruster entre ses cuisses. Elle imagine qu’il voit qu’elle est mouillée rien qu’à l’idée de se montrer devant lui.

Elle s’entend lui demander s’il fait du stop et qu’elle peut l’emmener, s’il veut.                                         ( J’aurais pu tout aussi bien lui demander de me mettre sa queue) Se dit-elle. Il lui répond que oui, qu’il veut bien et qu’il s’appelle Rachid.

Lorsqu’ils s’engagent sur l’autoroute, un nouveau bouchon est en train de se former et elle profite de la prochaine bretelle de sortie pour prendre la nationale.
Avachi sur son siège, Rachid est silencieux. Elle jette un coup d’œil. Il bande comme un cerf et elle sent son regard sur elle. Plus précisément sur ses cuisses, qui sont d’autant plus découvertes avec sa petite robe d’été qui lui colle à la peau.

Lorsque elle sent sa main effleurer sa jambe, puis commencer à faire remonter sa robe, elle écarte les cuisses. Un doigt se glisse, se faufile vers son entre-jambe, poursuit sa progression, se pose contre sa grotte, à travers sa petite culotte. Il ce penche sur elle et lui lèche le lobe de l’oreille.
– Tu mouilles fort, la cochonne.
– Arrêtez ! Je dois conduire !

Mais c’est pour la forme qu’elle proteste. Car l’index fouineur lui fait perdre toute volonté lorsqu’il enfonce le fin tissu dans sa grotte, et qu’il se met à la branler à travers sa culotte. Chaque fois que le doigt lui écrase le clito, elle se cambre en poussant un gémissement sourd. C’est si bon, elle sent qu’elle va jouir dans sa culotte, elle ne parvient plus à se concentrer sur la route.

Alors au prochain chemin qui se présente, elle y engouffre la voiture, s’arrête dans le sous-bois.
Il lui laisse à peine le temps de couper le contact, la saisit par la nuque et l’embrasse. Une pelle d’enfer, les langues se cherchent, se sucent, il mordille ses lèvres, elle bave dans sa bouche, il boit sa salive.

Il fait sauter les boutons de son chemisier,  Il libère ses seins aux tétons tendus, granuleux. Impatiente, en se trémoussant elle l’aide à le lui retirer.. Il plonge son visage entre les globes, lèche et mord les bouts dardés avant d’aller passer sa langue dans les touffes des aisselles.

Elle se penche vers lui, ouvre son short, pose sa main sur l’érection qui gonfle son slip. Sa queue palpite. Elle tire le slip, fait glisser l’élastique sous les couilles. Elle les lui lèche. Sa verge se dresse,  elle la prend en main, lentement, elle fait tourner son pouce sur le gland cramoisi déjà suintant.
– Arrête ! Tu vas me faire juter !

Il quitte le véhicule, se débarrasse en un tour de main de son short et de son t-shirt. Alice l’imite, elle se met à quatre pattes, le visage dans l’herbe. Elle soulève sa robe et baisse sa culotte. Elle est sa chienne, son cul et sa moule sont à lui.
Mais au lieu de la baiser ou de l’enculer, il se branle au-dessus d’elle en la traitant de femelle lubrique et éjacule sur le bas de ses reins et sur ses fesses. Puis il ordonne :
– Reste comme ça, salope ! Je dois te laver !

Juste le temps que sa queue ramollisse un peu pour que ça puisse sortir, et il lui pisse dessus. Un jet fort dans la raie des fesses. La tête dans l’herbe, Alice sent le jet frapper son trou du cul et la pisse passer sur sa moule avant de s’écouler le long de ses cuisses, jusqu’à terre.
Rachid passe sa main partout, comme pour la laver, puis il lui présente sa bite et ses couilles, qui comme sa main sont mouillées d’urine. Elle embrasse, elle lèche, elle nettoie, elle suce. C’est si bon, les parfums et les goûts mélangés de sa pisse et de son cul.

Il se couche, elle se met assise sur lui, et comme une folle, elle se branle sur sa bouche. Elle y frotte son cul trempé de pisse, il lui suce la rondelle, baise son petit trou de sa langue. Elle couine comme une chienne en chaleur et elle pisse à son tour.
Elle lui en met partout, de sa bouche à sa queue, elle arrose sa bite et l’embouche. Dans sa bouche, elle est dure à nouveau et sent fort le foutre et la pisse, ce qui la fait geindre d’impatience.
– Mets-la moi ! Baise-moi !

Il la relève. Il la plaque contre un arbre, il se colle à elle. Elle entoure l’arbre de ses bras, les reins cambrés elle lui offre son cul. La main de l’homme fouille son entrecuisse, l’écarte. Elle se pousse vers lui, contre sa queue tendue entre ses fesses.
Elle veut être saillie comme une chienne, elle est prête pour son mâle. Les deux bêtes en rut vont s’accoupler.

Il la sodomise, il la remplit, il lui besogne sa turbine à chocolat très lentement, profondément. Elle jette ses fesses sur la bite rigide, mais il la retient, il lui impose son rythme, ses mouvements lents et profonds.
Elle a mal, clouée contre cet arbre. Chaque coup de queue écartèle son petit puits d’amour et écorche son ventre, l’écorce rugueuse lacère ses tétons et les ongles de Rachid ses hanches.
Elle geint. De douleur, de plaisir, les deux ne font qu’un. Véritable salope soumise, elle sait que ses plaintes ne font qu’exciter davantage le mâle qui la domine. Il lui enfonce trois doigts trempés de mouille dans la bouche, elle suce avec gourmandise.

Alors elle s’empale sur la pine. Son con dégouline contre les couilles du mâle, elle jouit, elle hurle et mord ses doigts et il se met à rugir et à gicler.
Puis il la couche sur l’herbe, et comme une chatte avec son chaton, il la nettoie, partout, lèche ses plaies et son foutre et leur pisse…

Alice dépose Rachid sur la prochaine aire de repos. Elle n’a plus besoin de lui, il l’a faite jouir, il a rempli sa fonction de mâle.
Elle reprend seule la route. Des mâles et des queues, elle sait qu’elle en aura encore beaucoup.
Elle sait aussi qu’elle retournera chez Marc et Lisa…
Alice est perdu dans ses pensées ( J’ai le feu au cul ? Je suis devenue boulimique de sexe, je suis une nymphomane et une hyper-sexuelle ? Oh ! Mon Dieu, comme j’aime ça !

 

 

 

 

Depuis un mois cette pensée tourne dans sa tête tel un leitmotiv.
Au bureau, elle remarque maintenant les regards qui se posent sur elle, sur son corps. Au paravent, elle avait bien remarqué quelques fois ce type de coup d’œil, mais elle n’y prêtait pas attention. Ses tenues ont changé. Un décolleté plus généreux, des robes ou des jupes un peu plus courtes.

Que ce soit un homme ou une femme qui essaie d’apercevoir un peu plus que ce qu’elle dévoile ou qui la déshabille des yeux, maintenant elle se surprend à rechercher ces situations, presque à les provoquer. Où à se dire, lorsque son miroir lui renvoie l’image d’une bourgeoise sage, qu’elle pourrait pimenter sa journée en omettant de mettre une culotte.

 

L’idée de se promener nue sous sa jupe, l’impression que tout le monde peut deviner sa nudité la fait mouiller. Et toujours le leitmotiv qui tourne et tourne dans sa tête. Une partie d’elle est chez Marc et Lisa avec Claire et Louis et aussi Azor et Canaille. Elle revit les moments intenses qu’elle a vécus, qui lui ont révélés sa perversion et qu’elle veut vivre encore.

Peut-être espérait-elle vivre tout cela avec son mari pour ne pas avoir à le tromper, à lui mentir. Il lui fait l’amour tendrement, comme d’habitude. Même si elle apprécie, et aime ces moments, Alice n’est pas tout à fait comblée.

Il ne possède pas la bestialité d’Abdou, ni la queue si dure de Moussa, ni la perversité de Marc et de Lisa. Elle réalise qu’elle ne pourra jamais éprouver avec lui ces moments d’excitation perverse, de vice et de luxure.
Parfois, cette révélation lui fait presque peur. Il faudrait qu’elle arrête tout cela pour ne pas sombrer définitivement. L’éventualité est rapidement repoussée. Elle se rend compte qu’elle est devenue addictive à toutes ces sensations, elle en est en manque.

Il arrive qu’un homme la suive dans la rue, les yeux sur ses fesses. Et surtout, lorsqu’il s’agit d’un ou deux Arabes son cœur bat la chamade, lui donne envie d’aller plus loin. De retrousser sa jupe, de montrer son cul, de baiser. Cela la fait trembler. La sueur coule entre ses seins. Elle perd tous ses moyens s’ils s’approchent et elle entend.
– Tu tortilles du cul, salope, tu aimes ça, allumer les mecs ? Je suis sûr que ta culotte est trempée. Tu veux nous sucer ?

Alors le soir, allongée à côté de son mari endormi, elle se masturbe, s’imaginant suivre les deux Arabes dans un couloir sombre. Elle retrousse sa jupe jusqu’à la taille. La crainte d’être surprise, au lieu de l’inhiber, attise son désir. Il faut faire vite.
Ils ouvrent leur braguette, sortent leur queue, se branlent en la regardant fourrer la main dans sa culotte. Elle suce l’un en se frottant et il éjacule dans sa bouche tandis que l’autre gicle sur ses cuisses.

Elle jouit en se mordant les lèvres pour ne pas laisser échapper ses gémissements.
De plus en plus souvent, malgré le travail qui l’accapare, ses journées lui semblent interminables. Elle ne pense qu’à une chose ? Retourner chez Marc et Lisa. Mais sous quel prétexte s’absenterait-elle ?

Son mari s’absente bien quelques fois, mais jamais plus d’un jour ou deux.

Et finalement, n’y tenant plus et mettant à profit une des courtes absences de son mari, Alice s’aventure ce soir-là dans la cité la plus proche.
Elle s’est même habillée en circonstance : soutien-gorge en balconnet qui remonte les seins, la culotte, transparente à souhait laisse deviner sa toison.

 

Pour un voyeur, c’est très excitant, d’apercevoir des poils s’échapper de la culotte. Des bas couleur chair, petite jupe noire qui moule les fesses, chemisier blanc qui se croise sur le devant et qui lui fait toujours un décolleté dans lequel les hommes ne peuvent s’empêcher de plonger.
Ce qu’elle cherche, elle le sait. Elle a envie. Envie de bite. Envie de faire des choses sales. Elle est fébrile. Elle est chaude, en mal de mâle.

Ce mâle, c’est elle qui le mate, à la terrasse de ce café. Le regard de l’homme est lubrique, il la

déshabille. Elle voit la bosse qui déforme son pantalon et elle écarte les cuisses. Impudique, elle lui montre tout et c’est tout juste s’il ne sort pas sa queue et se branle.

Elle descend aux toilettes. Il la suit, en bas elle l’attend. Lourd, velu, en sueur. Sans un mot, il sort sa bite. Une verge épaisse, déjà mouillée de sperme. Elle se l’enfourne, la queue sent fort. Elle la suce et empoigne ses couilles et avec un râle d’animal en rut il lui remplit la bouche. Il la laisse, barbouillée de sperme, la culotte trempée, la moule baveuse à souhait.

Quand elle remonte, il a disparu. La pizzeria allume des lumières sur l’arbre qui couvre la terrasse et elle part aussi. La rue est sombre, elle traîne, excitée, en attente, dans sa tête l’image de cette verge raide dans sa bouche, dans sa gorge le goût du sperme. Sa grotte est une fournaise.

Soudain, surgis de nulle part, des grosses mains ce posent sur ses seins, elles se ferment sur ses mamelles. Elle reconnaît son odeur lorsqu’il se colle contre elle. Quelque chose de dur se frotte contre son bassin. Elle appuie sa main sur la bosse et la frotte. Il l’entraîne sous un porche.

Il ouvre sa braguette, sort sa queue tendue, empoigne Alice par les cheveux et lui fourre sa verge dans la bouche. Goulue, elle suce et lèche, la verge gonfle, le gland suinte, épais et rond durcit dans sa bouche. Alice ne réfléchit plus, elle promène sa langue sur la pine raide, sous les couilles velues, lourdes, pleines. Elle avale sa queue jusqu’au fond de sa gorge. Cette furieuse fellation la rend folle, elle geint de désir, elle trempe sa culotte…

L’homme la relève, la plaque contre le mur rugueux. Ses lèvres mangent les siennes, ses mains sont sur sa peau, sous sa chemise. Il se colle à elle, prend sa bouche, frotte sa verge tendue sur son ventre.

Il glisse une main entre ses cuisses et remonte sur sa petite culotte. Ses doigts massent l’étoffe contre sa moule trempée, l’enfoncent dans sa grotte en ébullition. Il déchire la culotte et ses doigts s’enlisent dans son intimité brûlante. Elle empoigne sa bite et le branle, bouche contre bouche, ils se masturbent mutuellement.

Il la colle contre le mur, il l’empoigne sous les cuisses, la soulève et la laisse retomber sur son pieu tendu. Les jambes nouées autour des hanches de l’homme Alice le chevauche comme une furie. Agrippée à son cou, elle râle de plaisir, elle se laisse envahir par son membre, par ses gémissements et ses grognements de mâle en rut. Sa grosse pine lui ramone s grotte, et quand il éjacule, Alice est secouée par un orgasme fulgurant, elle lui plante ses dents dans l’épaule pour ne pas crier.

Il la tient soulevée encore un instant, le temps de débander, puis la laisse retomber. Avachie contre le mur, dépoitraillée, la culotte en lambeaux, elle regarde l’homme se rebraguetter et disparaître sans un mot. Elle reste encore ainsi un long moment, le sperme de l’homme dégoulinant sur ses cuisses.

Dans son lit, avant de sombrer dans le sommeil elle sait qu’elle retournera demain dans la cité.
Le lendemain, à la tombée du jour Alice est de retour sur les lieux de son crime, comme elle aime se l’avouer non sans une pointe d’humour noir…

Au fond d’un petit square, elle s’installe sur un banc inoccupé, non loin d’un groupe de jeunes. Elle s’y installe de trois-quarts, les cuisses largement découvertes. Appuyant son coude sur le dossier du banc, elle fait mine de téléphoner en gesticulant, ce qui laisse voir ses seins à chaque lever de bras. Elle n’a pas à attendre, trois très jeunes Arabes se détachent du groupe et s’approchent.
Ils l’interpellent de façon très directe en la tutoyant, lui demandant si elle veut faire un tour avec eux. Après un faux moment de réflexion, elle accepte. Ils s’entassent dans une camionnette, roulent jusqu’à la périphérie de la cité, stoppent devant un vieux hangar.
Ils descendent, Alice remet sa jupe en place sous les regards des trois jeunes. Ils ont soudain l’air moins sûr d’eux et elle décide de prendre les choses en main :
– Alors, on y va ?

Les choses sont claires. Les trois viennent de comprendre ce qu’elle veut et l’entraînent dans le hangar. Il est encombré de vieilles ferrailles et de vieux cartons, mais, dans un coin, un espace est dégagé et  aménagé avec de vieux matelas, de vieux canapés et de vieux fauteuils.
Les trois s’approchent d’elle et commencent à la toucher. Elle ne bronche pas. Dans son ventre, elle sent monter cette chose qui la rend toute moite. Ils s’enhardissent, glissent leurs mains sous sa jupe et dans son chemisier. Elle les laisse faire.

Celui qui est derrière elle fait tomber la jupe, les deux autres lui retirent son chemisier. Elle se retrouve en petite culotte noire entre les trois types. Une main dans son dos se glisse dans sa culotte et la fouille.
– Elle coule comme une fontaine !

Les deux autres devant elle enlèvent leur chemise et leur pantalon. Celui qui est derrière elle la force à se pencher en avant. Il fait glisser sa culotte sur ses cuisses et se met à la lécher. Sa langue la parcourt de la chatte à l’anus, s’y attarde un peu, puis revient dans son abicot. Elle se sent dégouliner. Et quand il la pénètre sans autre forme de procès, elle ne peut pas s’empêcher de gémir sous l’assaut.
Pour garder son équilibre, elle s’agrippe aux deux autres. Ils font glisser leur slip, sortent leurs bites.
– Suce !

Elle les prend l’une après l’autre en bouche, elle suce au rythme de celui qui la pilonne.
Ils l’entraînent vers un matelas où ils l’étendent. Deux lui écartent les jambes tandis que le troisième, se couchant sur elle, s’enfonce dans son puits d’amour. Son plaisir grimpe en flèche, elle devient boulimique de sexe ! Elle entend un téléphone sonner et l’un des gars répondre qu’ils sont au hangar et qu’il faut qu’ils amènent des packs de bière.

Elle comprend alors que d’autres vont les rejoindre. Cela la fait brutalement jouir, ce qui a pour effet de faire gicler celui qui la baise. Dès qu’il se retire, un autre la fait mettre à quatre pattes et l’enfile tandis que le troisième joue avec ses seins qui ballottent, tout en lui maintenant sa verge au fond de sa bouche, avec une main crochée dans ses cheveux,.

Celui dans son dos change d’avis. Sortant sa bite de son puits d’amour, il la présente contre l’entrée de ses reins, qui s’ouvre sans difficulté devant la bite lubrifiée par sa mouille. Avec un grognement, il enfonce sa bite totalement au fond de ses reins. Les autres semblent ne pas en revenir. Leurs exclamations et leurs commentaires montrent qu’ils sont aux anges de sauter à plusieurs une femme  consentante, lubrique et qui en redemande.

Ils se déchaînent, l’un dans son cul, l’autre dans sa bouche et le troisième, celui qui a déjà joui, titille son clitoris et investit sa moule de ses doigts.
C’est ainsi que les trouvent six autres arabes, porteurs chacun de deux packs de bière. Ils en restent un instant ébahis, puis ils décident de participer en se déshabillant à leur tour.

Alice prend alors la direction des opérations. Être prise en sandwich la fait tellement jouir, qu’elle leur demande de se relayer tous les neuf de sorte d’avoir en permanence une queue dans son puits d’amour et un pieu dans le boyau de son ventre en même temps. De temps en temps, elle réclame une gorgée de bière pour se rafraîchir.

Dès que l’un a joui et se ramollit, elle l’expulse et en appelle un autre qu’elle guide dans l’orifice laissé libre. Elle a ainsi tout le reste de la soirée neuf jeunes mâles en rut au service de ses deux puits d’amour. Ils en jouissent tour à tour et la font jouir à de nombreuses reprises.

Bien entendu, ceux qui attendent leur tour, assis dans un fauteuil ou sur un canapé, la mitraillent de leurs portables. Au risque d’apparaître à visage découvert sur le net !
Enfin, il n’y a plus de candidats. Elle se lève, les jambes flageolantes, boit une grande quantité d’eau à un évier accroché au mur, et ayant envie de faire pipi, elle n’a d’alternative que de sortir du hangar, et de se soulager dans l’herbe.

Et les cochons en profitent ! Pendant qu’elle pisse, ils se relaient pour la doigter de la moule au trou du cul. Ils la font encore jouir et couiner et elle se frotte sur leurs mains, leur criant de lui pisser dessus, faute de pouvoir encore la baiser !
Pour finir, ils la raccompagnent tous dans le centre-ville, où elle reprend sa voiture. Elle rentre chez elle. Exténuée, elle se glisse dans son lit. Elle sent le sperme et la pisse et sombre dans un sommeil de plomb.

Au réveil, faisant le bilan de sa nuit, Alice doit s’avouer qu’elle est restée sur sa faim. Elle a été prise et baisée une bonne douzaine de fois, mais ces jeunes se sont contentés de la baiser comme des lapins. De tirer leur coup, comme on dit, et de jouir trop vite. C’est trop sommaire. Elle n’est pas rassasiée. Elle se rend compte qu’il lui faut autre chose.

Elle se triture le clitoris d’une main, tandis que de l’autre elle caresse, palpe le cadeau en bois précieux que lui a offert Lisa. Un magnifique phallus en bois d’ébène, noir, luisant. Lisa le lui avait enfoncé en la fessant, sous les yeux d’Abdou et de Marc.

Obéissante aux ordres de Lisa et de Marc, à genoux, menottée, baissant le slip d’Abdou avec les dents et suçant sa grosse pine qui sent le bouc. Marc la fait aussi geindre de plaisir en la cravachant. Il y a aussi les saillies d’Azor et de Canaille dans ses deux puits d’amour. Alice ne peut les oubliées. C’est de TOUT ÇA qu’elle a besoin !

Elle s’enfonce le phallus d’un coup. Son con est si trempé qu’il reçoit l’objet sans peine, malgré sa taille. Prise de frénésie, elle s’enfonce l’engin toujours plus profond et plus fort. Elle halète et râle et se laisse partir. L’orgasme qui la secoue est si fulgurant qu’il la laisse pantelante, le souffle court.
Elle resserre les cuisses sur l’instrument de son plaisir et s’endort.

Son mari est en déplacement pour un moment à l’étranger ou il visite des succursales et des clients. Lorsque le soir même son mari l’appelle, lui annonçant qu’il ne sera pas de retour comme prévu et que son déplacement durera encore une bonne vingtaine de jours, Alice sait que le moment est venu.
Le lendemain, elle expédie les affaires courantes et les dossiers urgents, prend un congé et envoie un mail à Marc et Lisa leur annonçant son arrivée le plus tôt possible..

 

 

En rentrant chez elle, Alice annonce à Marc qu’elle part un fin d’après midi, pour un séjour prolongé.
Marc s’étonne même qu’il prend finalement autant de plaisir à soumettre Alice.
Il donne quelques consignes sur les diverses tenues que devra porter Alice pour la circonstance.
En fin d’après midi, elle part en voiture, sur le trajet elle est toute excité d’arriver plus tôt.

Elle arrive chez Marc et Lisa, une fois la voiture stationnée le Majordome Abdou, vient lui ouvrir la portière et elle en descend, le remercie.

 

Ensemble ils montent les marches, Marc et Louis viennent la recevoir.
– Bonjour Alice, vous avez fait bonne route ?
– Bonjour Marc, oui parfait un plaisir de vous voir une nouvelle fois.
– Alice dit bonjour à Louis  !

Elle s’approche et comprend immédiatement qu’elle doit être à la hauteur. Elle tend ses lèvres que Louis s’empresse de prendre à pleine bouche insérant sa langue à l’intérieur y déposant une grande quantité de salive, le baiser dure plus d’une trentaine de seconde, Alice y prend un certain plaisir.
– Bonjour fait Alice une fois l’étreinte terminée.

– Bon ! Alice tu est revenue chez nous pour te faire baiser ? Donc voilà nos conditions pour la durée de ton séjour ici. Je suis ton maître de stage sexuel, tu fait tout ce que l’ont te dira de faire, tu baise avec tout ce que nous t’imposerons, toi et ton corps nous appartient. Si tu n’es pas d’accord tu repart de suite !

 

– Je ferais tout ce vous me direz de faire, je baiserais avec ce que vous voulez, je suis à vous point final.

– AH ! La bonne femelle que voila, une merveilleuse soumise ! Lui dit Marc.
– Alice suit Abdou il va te préparer !
Elle emboîte le pas du Majordome et il s’agit du grand black d’une cinquantaine d’année.
Elle le suit jusqu’au premier étage, ou il ouvre une porte qui donne sur la chambre avec un lit rond.

Il dépose la valise sur une table et ordonne à Alice de se mettre nue afin d’aller se doucher.
Alice est surprise du ton autoritaire que lui adresse Abdou, elle comprend immédiatement ce que cela signifie.
C’est elle, qui est revenue dans cet endroit, Marc veut lui faire comprendre que seul lui décide de son future séjour parmi eux..

Elle se dévêt en mettant son bras devant sa poitrine et son sexe.
– Madame, ne vous cachez pas dès ce soir, je pourrais utiliser vos orifices à de multiples reprises quand Marc me l’autorisera, je vous aurais rempli plusieurs fois de ma semence durant cette première nuit.

A ces mots Alice reste immobile. Le ton est assuré et monocorde, comme un texte apprit par cœur et débité sans que l’on puisse y échapper.
Alice prend la direction de la douche, elle se lave et retourne dans la chambre. Abdou se tient là, il a déposer une robe de soirée de couleur noire, une paire de bas, un porte jarretelle et un soutien gorge qu’Alice ne connaît pas. Il s’agit tout simplement d’un porte seins, laissant ses seins nus dessous et les maintenant hauts perchés, une paire de talons à sa pointure.

Une fois vêtu ainsi il lui ordonne de la suivre, ils descendent les escaliers et se retrouvent dans

le salon ou les deux hommes se trouvent assis sur des fauteuils, sirotant un whisky.
Abdou annonce.
– Monsieur, elle est prête.
– Mène là dans la pièce nous allons pouvoir commencer.

Abdou, prend la main d’Alice et la dirige vers une petite porte qu’elle ne connaît pas, il l’ouvre et ils entrent dans une petite pièce ou se trouve un siège munit de sangles en cuir.
– Asseyez vous, Alice je vais vous préparer.

Alice s’assoit attendant qu’Abdou lui fixe les différentes lanières en cuir lui bloquant dans un premier temps les chevilles puis, les cuisses, les poignets, les bras et pour finir, lui place deux sangles l’une juste au dessous de la poitrine et l’autre au dessus, en ayant prit le soin avant de fixer cette dernière de lui descendre la robe dévoilant cette fière poitrine soutenue de la sorte.

Une fois harnachement fixé il part chercher les deux hommes.
– Messieurs, elle est prête !!
Les trois hommes entrent dans la pièce, Alice est assise, la position est inconfortable, la position sur le siège fait en sorte que sa poitrine soit en avant ses seins jaillissent.
– Parfait !! Annonce Marc, Tu peux commencer Abdou.

Le Majordome se précipite au fond de la pièce et revient avec un chariot roulant en inox, ou tout une série d’objets y ont été soigneusement disposé et ordre pré-établit.
Abdou, se saisit d’une sorte de ciseaux sans lame, mais composé de cercles percés en son extrémité.
Il saisit la pointe du sein droit d’Alice, la pince la fit tourner afin qu’elle se raidisse, puis fixe l’objet sur la pointe du sein procurant une douleur immense dans le téton dAlice.

 

Il répétât la même gestuelle sur le sein gauche, procurant la même douleur sur l’autre sein.
Puis enfilant des gants et une aiguille il perce le premier sein d’Alice, un cri lui échappe.
Il fait de même pour l’autre sein puis vient lui fixer deux barres de quatre cm à peine sur les seins en vissant à l’extrémité une petite boule.
– Voilà Alice tu es parfaite avec ces barres sur tes seins, sublime et magnifique, s’exclame Marc.

Il s’approche d’elle et tord immédiatement les deux pointes d’un demi tour.
– AIEEEE ! Hurle Alice de douleur.
– Chut, lui fait Marc, une bonne femelle remercie et ne se plaint pas de sa condition de soumise obéissante.
– Merci Monsieur Marc.

Des larmes coulaient sur ses joues, Louis s’avance et sort sa langue pour les lécher.

Son halène, n’a rien d’engageant, elle a put s’en rendre compte lorsqu’il l’a embrasser sur le perron, mais là l’odeur reste sur la joue et sa joue est si proche de ses narines que cela en devient presque entêtant.
– Passons au salon Abdou ! Ordonne Marc.

Les deux hommes retournent dans la pièce principale, alors qu’Abdou commence a défaire les différentes sangles qu’il a déposé il y a peu.
– C’est bien Alice, vous ne vous êtes pas évanouie comme certaines le font. Marc, va pouvoir me récompenser pour cela, je vous remercie.
Une fois libérée, il accompagne Alice dans la pièce, prend une chaise et la dispose devant les deux hommes qui ont reprit leur verres respectifs.

Abdou prend la main d’Alice, il l’a fait asseoir sur les genoux devant les deux hommes les mains posés sur le dossier, la poitrine toujours découverte, dans cette position ses seins maintenant ornés des deux barres pointant vers le haut.
– Abdou, c’est à toi maintenant.

Abdou se place derrière Alice, remonte la robe, puis vient se placer à l’entrée de son sexe qu’il constate humide.
Son sexe en main, il s’approche de l’entrée de sa moule et d’un seul coup sans finesse, il s’introduit avec force.
– AAARR ! Râle Alice, laissant échapper un cri autant appréhension que de désir.

Même si son sexe a connu bon nombre de partenaires différents ces derniers jours, celui d’Abdou semble toujours incomparable, elle aime être remplie de la sorte, il est si long si gros, en quelque sorte interminable.
Abou, prend un rythme lent et assuré, Alice sent déjà en elle venir ce premier orgasme dont elle avait tant envie. Marc le sent et se lève et compagnie de Louis, les deux comparses s’avancent jusqu’à Alice.

Les yeux de celle-ci la trahissent juste au moment où le premier orgasme la terrasse, ils prennent ensemble chacun un sein de la belle et font un demi tour de la pointe ceci facilité par la barre en acier qu’elle vient de se faire poser.
La jouissance accentuée par la douleur de ses deux seins malmenés, Alice connaît un premier orgasme dévastateur qui la fait vaciller, immédiatement remise en place par un coup de butoir d’Abdou, qui déverse une quantité exceptionnelle de sperme dans sa grotte détrempé.

– Marc ! Abdou vient de déverser son sperme dans la chatte d’Alice, sa formation a commencé a cet instant. Abdou continue sur un rythme lent de pilonner le puits d’amour d’Alice poussant à chaque mouvement son sperme plus près de l’utérus d’Alice.
– Parfait comme à chaque fois cet Abdou ! Dit Marc satisfait.

Les deux hommes sortent de la pièce laissant Abdou, continuer sa besogne, celui-ci continue son œuvre durant plus de vingt bonnes minutes, procurant plus d’une dizaine d’orgasmes successifs à la nouvelle Alice empalée sur ce membre monumental.
Abdou sort du puits d’amour d’Alice et prend une coupe de champagne et à l’aide d’une cuillère il récupère dans la coupe tout le sperme qui sort de la moule d’Alice.

Il aide Alice à se relever et la conduit dehors après des deux hommes.
Elle tremble a chaque pas qui l’approche d’eux. Abdou tend la coupe à Alice, et ils trinquent avec elle.
Alice boit ce breuvage d’une traite comme s’il s’agissait de trouver pour elle un quelconque réconfort. Marc dit à Alice.
– Je te félicite, tes progrès sont spectaculaires ces prochains jours sont déjà destinés a accélérer ceux-ci.
– A table s’exclame Marc.

 

 

 

A table, Alice eu du mal a reprendre ses esprits toujours subjuguée par les innombrables orgasmes que lui a procuré Abdou, elle reste silencieuse nue bonne partie du repas se contentant de répondre aux sollicitations des deux hommes.
– Que pensez vous de votre retour avec d’Abdou ?
– Trés bien monsieur Marc ! Très bien. Les yeux encore pleins de ces multiples jouissances, se contente de répondreAlice.

– Je le vois bien, vos yeux en disent longs. Que pensez vous des barres qui ornent vos seins ?
– C’est douloureux Monsieur Marc, très douloureux.
– Il est normal, votre corps n’y est pas habitué mais d’ici quelques jours vous verrez bien seul un contact sur vos pointent fera mouiller votre entrejambes. N’ayez crainte vous n’êtes pas la première ni la dernière a avoir subi cela et toute en sont satisfaites.

– Oui monsieur Marc, je n’en doute pas un instant dit elle, résignée.
Marc converse une partie du repas ne faisant plus cas de la présence d’Alice, un peu comme s’il avait délégué le pouvoir qu’il détenait sur elle a Louis.
A la fin du repas Marc s’adressa a Abdou.
– Mon cher, il est temps de recommencer ton œuvre, Alice doit être formée le plus tôt possible pour que son mari sache qu’elle en lui appartient plus.
– Pas ça! s’il vous plait, mon mari ne comprendrait pas que je ne lui appartienne plus aussi longtemps.
– Ton mari sera content de visionner les quelques films de ton séjours chez nous et de voir ce que tu as fait, ce que tu es devenu ? Une chienne en chaleur.
– Ne faites pas ça, je tiens à lui.

Abdou, saisit la main dAlice, la fait se lever et l’emmene dans la chambre suivit de Marc et Louis.
Les deux hommes prennent place sur deux fauteuils distincts et consomment un verre ensemble, regardent Abdou s’approcher de sa proie.
-A genoux femme !!

Le ton est ferme et ne laisse guère el choix à Alice qui s’agenouille immédiatement.
– Sors l’objet de tes jouissances répétés et c’est maintenant à toi de faire l’honneur de sa virilité.
Alice défait le pantalon d’Abdou, elle reconnait son odeur a travers le tissu du caleçon, même enserré il est de taille impressionnante, elle comprend a cet instant pourquoi ce magnifique sexe lui avait donné autant de plaisirs lors de son premier séjour.

Une fois déplier elle peut se rendre finalement compte de la taille réelle de l’engin.
Elle le contemple de toute sa splendeur et l’embouche presque immédiatement.                                       Quel bonheur : Se dit elle.Je vais encore l’avoir en moi dans quelques instants et j’aurais d’immenses jouissances sans discontinuer.

Elle s’applique du mieux qu’elle sait faire, la taille est de celle qu’elle préfére, elle s’acharne sur l’engin, Abdou la fait se lever et se place sur le lit.
– Viens t’empaler ma belle, vient chercher ton bonheur et recevoir le jus d’Abdou. Maintenant monte et descend sur ton bonheur fais du bien à Abdou.

Alice prend un rythme sage mais le sexe d’Abdou est tellement gros et long que ses va et viens deviennent de plus en plus rapide. Elle sent son sexe humide devenir trempé. Elle sent ses muqueuses se dilater , elle sent de nouveau le plaisir la subjuguer et la terrasser.
– OH OUIIIIIIIIII!!!! AAAARRRFF !!  Fait elle dans un dernier déhanché.
Elle s’affale sur le torse puissant d’Abdou, une magistrale claque sur les fesses la font sortir de son bonheur.
– Qui t’a dit d’arrêter ? Hurle Abdou.

Alice en pleine transe doit rependre ses mouvements la faisant obtenir comme de petits orgasmes a répétition à chaque fois que le puissant sexe entre a fond dans sa moulee dilatée.
Abdou lui saisit les hanches et imprime d’un coup un rythme infernal la faisant chavirer tantôt à droite tantôt à gauche, comme une poupée blanche désarticulée, avec laquelle on jouait étant enfant.

Les orgasmes se succédent a une vitesse hallucinante, elle se demande encore comment elle ne s’est pas encore évanouie.
Puis il se raidit et lâche un cri surpuissant, tel un animal de la jungle. Alice crie a son tour de plaisir, jusqu’au moment ou ses deux tourmenteurs quelle n’a pas vu se lever lui saisissent ses seins et les font tournoyer à nouveau, lui procurant une douleur immense et déclenchant chez elle un nouvel orgasme ravageur.

Elle sentit à cet instant Abdou se libérer, plusieurs jets venir atterrir au fond de son puits d’amour. Abdou comme un peu plus tôt n’arrête pas ses mouvements, il continue comme une machine pourrait le faire poussant toujours plus loin son sexe dans le ventre de la belle maintenue à présent par les deux hommes au regard complice.

Cela dure plus d’une dizaine de minute avant qu’Abdou enfin vaincu décide d’arrêter ses va et viens.
– C’est parfait lui dit Marc. Maintenant prépare là pour la nuit il faut que pour demain elle soit fraiche. Je t’autorise a dormir avec elle mais ne l’utilise pas trop. c’est compris ?
– Oui Monsieur Marc, je ferais attention ne vous inquiétez pas pour cela.
Il est ravi de pouvoir passer la nuit avec la belle Alice et pouvoir jouer quand il en aura envie des ses charmes.

Durant la nuit Abdou fait tout de même attention mais par deux fois il sodomise Alice une fois dans la couche et une fois sous la douche, elle eu un nombre incalculable d’orgasmes parfois a répétition parfois long et dévastateurs.

Abou lui demande de se préparer car Monsieur Marc a préparer une journée particulière pour elle.
Alice reprend ses esprit, file sous la douche et met une nuisette en satin qui fait ressortir sa magifique poitrine désormais munie de barres horizontales sur les seins. Elle descend alors que les deux comppéres sont en train de déjeuner.

– Ah ! Ma belle, c’est parfait, je vois qu’Abdou ta bien préparé et que tu comprends parfaitement ton rôle de femelle faite pour le plaisir des hommes. Que pense tu du début de ton nouveau séjour ?
– Je ne les pensais pas de la sorte mais le destin en a voulu ainsi, je suis faite pour le sexe, je suis destinée aux plaisirs des hommes et c’est ainsi que ma vie de couple va être désormais. Mon mari doit l’accepter il en est ainsi maintenant.

– Très bien, tu vas avoir une belle journée aujourd’hui il te faut bien déjeuner dès à présent tu vas passer sous la table afin de recevoir ta première dose de vitamines de la journée.
Alice s’agenouille et passe sous la table, elle se place entre la cuisses de Marc, elle lui fait une fellation jusqu’à ce qu’il jouisse abondamment dans sa bouche accueillante.

Puis elle se dirige vers Louis qui une fois vidé dans sa bouche, il lui fait signe de se lever et de prendre un café noir.
– Il me semble que tu apprécie beaucoup les différences de couleur n’est ce pas Alice ?
– Oui répond Alice rougissante de plaisir.

Une fois le petit déjeuner prit elle doit remonter dans la chambre ou l’attend Abdou.
-Madame a bien dormi lui lance t-il avec un sourire non dissimulé ?
– Vous le savez bien Abdou, j’ai eu il me semble une nuit agitée.

Elle va directement à la douche, Abdou la rejoint et lui fait lui même la toilette. Insistant bien entendu sur les parties les plus intimes.
Puis va chercher une poire il lui fait un lavement en règle.
Elle n’avait jamais connu cette sensation et cela lui parait très désagréable, mais Abdou lui fait comprendre que cela va être plus que nécessaire.

Une fois séchée elle sort de la salle de bain. Abdou entreprend de chercher une tenue adaptée pour la première journée d’Alice.

Elle s’habille d’une jupe courte, un débardeur à décolleté et aucun sous vêtement.

 

 

Dès lors la journée va se passer comme Marc l’a décidé, Alice a enfin accepter sa condition de femelle docile et obéissante. Elle doit dire, que l’idée d’être contrôlée l’excite !

Louis conduit Alice dans un chalet au fond de la propriété. Un coin où elle n’est jamais aller.

En entrant Alice voit qu’il y a Marc et deux hommes qu’elle ne connaît pas.

Marc lui arrache la jupe et le débardeur et lui murmure à l’oreille :                                                             – Alice ! A présent, tu es ma chienne tu vas m’appeler Maître et faire tout ce que je te demande.         Elle hoche doucement la tête. Louis ramène une table sur laquelle il l’accroche solidement. Alice ne peut plus bouger du tout. Un grand mec blond commence à lui caresser la moule. Elle se cambre violemment. Il continue puis lui enfonce un doigt dedans. Bientôt, sa main entière l’a défonce.  Alice hurle plus de douleur que de plaisir.

Marc s’approche et lui dit :                                                                                                                             – Je t’interdit de crier c’est clair ? Sinon tu seras punie !

Alice se force à se taire. Louis cherche quelque chose dans sa poche.                                                  Oh,oh ! Des pinces à linge. Elle sait à quoi elles servent ? Il les mets sur ses seins. La douleur intense produit un certain plaisir qui révèlent ses instincts de chienne.

Alors, tout les hommes présent se mettent à la caresser, la gifler, la frapper, la lécher aussi.                    Alice fait des efforts mais une longue plainte s’échappe. Ses cuisses sont trempées. C’est la première fois qu’elle est excitée de là sorte.

Le blond qui l’a doigté s’avance pour la punir, il contourne la table, enlève son pantalon et son slip, lui recouvre la tête et les yeux avec son slip et enfonce son engin de sa bouche. Un filet de bave s’échappe. Comme Alice est une bonne suceuse. Rapidement il éjacule tout au fond de sa gorge. Elle avale le tout mais devant l’abondance, quelques gouttes de sperme glissent le long de son cou.

-Marc, elle est doué, faut qu’elle aille voir Tom.                                                                                              – T’as sûrement raison ? J’irais peut être l’emmener. Mais d’abord, continuons la leçon en silence.    Marc enfonce un bâillon boule dans la bouche d’Alice qu’il attache derrière sa tête.

 

Marc détache Alice, et il demande à son acolyte Louis d’accrocher une barre au mur. Elle frémit.  Oh non ! Mais si ! Il l’accroche à la barre de sorte qu’elle soit suspendus par les bras.                        Marc et les hommes qui sont présents dans le chalet, l’ont affublée de pinces, sondes et d’électrodes qu’ils branchent à des boîtiers de commande.

La torture va commencer, avec la peur le corps d’Alice se raidit, elle craint qu’emportés par leur désir de la voir souffrir et de se servir d’elle comme jouet qu’ils n’aillent trop loin.
De voir la tête qu’elle fait les amuse.
– Vous avez vu comme elle a peur et on n’a pas encore commencé la torture.
– Qu’est ce que ça va être quand on va mettre la gomme.

Marc ajoute son avis
– Elle est venue pour en baver, alors elle ne va pas se plaindre. Elle sait que je peux lui faire ce que je veux et qu’elle doit subir et ne rien dire.
D’entendre leur conversation ce n’est pas fait pour rassurer Alice.

 

Ils ont décidé de transformer des gadgets érotiques en objets de torture pour son malheur.
Un homme manœuvre les touches d’un boîtier de commande et au début Alice ressent des picotements et des sensations agréables sur les tétons de ses seins.
Voyant son manque de réaction, tout en la regardant il manipule les touches de commande et augmente progressivement la puissance du courant émis par l’appareil, petit à petit les sensations qu’elle ressent deviennent de plus en plus fortes jusqu’à ce que cela se transforme en douleur.

Alice commence à gigoter pour montrer qu’elle a mal ce qui les fait rire, encouragé par ses partenaires il augmente encore l’intensité et les élancements ressentis dans ses tétons percés deviennent intolérables. Alice fait ce qu’elle peut pour supporter la douleur en mordant dans la boule du bâillon.

Ils poursuivent leurs expériences.
C’est au tour des pinces fixées sur les lèvres de sa moule d’être parcourues par un courant électrique. De sensations agréables qui peuvent lui donner du plaisir mais cela devient vite très douloureux quand celui qui tient la commande en mains s’amuse à jouer avec les touches. Le corps d’Alice se soulève et tressaute, elle a envie de hurler mais son bâillon l’en empêche.

Ils s’occupent maintenant des sondes qu’ils ont introduit dans sa grotte et son anus et y font passer le courant, Alice apprécie les sensations jusqu’à ce qu’ils augmentent progressivement l’intensité pour arriver au delà de ce qu’elle peut supporter.
Ils l’observent pour voir dans quel état elle est mais n’éteignent pas les appareils.

Les deux appareils électriques de stimulation sont maintenant en fonction et le courant qui passe entre les électrodes notamment sur ses seins, son ventre et entre ses cuisses devient de plus en plus  vite et beaucoup trop fort.

Alice remue et sursaute de plus en plus car les douleurs sur ses seins et tétons, sur son ventre et dans ses orifices intimes deviennent intolérables. Si elle le pouvait elle arracherait les sangles qui la retiennent prisonnière. Elle maudit Marc et Louis et leurs jeux stupides.

Alice pleure et essaye de crier mais le bâillon étouffe ses cris. Elle ferme les yeux essayant de penser à autre chose mais c’est peine perdue les douleurs sont bien trop importantes.
Ils commentent et rient amusés par les incessants mouvements désordonnés de son corps.

Le supplice dure un bon moment pendant lequel ils s’amusent à faire varier la puissance du courant qui passe dans les parties de son corps ou ils ont mis des pinces, électrodes et sondes. En baissant la puissance ils donnent des moments de répit à Alice puis en l’augmentant progressivement jusqu’à ce qu’elle supporte difficilement la douleur.

– Regardez la mouille qui sort de sa chatte, il y a une belle tache sur le plancher.
– Oh ! Oui et elle est endurante, elle ne se s’est même pas évanouie.
Installés à la table ils boivent un verre sans se soucier d’Alice et de sa souffrance car ils ont laissé leurs appareils en marche.
Après ce qui lui a semblé une éternité, leurs verres sont vides, ils se soucient de nouveau d’Alice et baissent l’intensité des gadgets sans les arrêter de ce fait ce qu’elle ressent redevient agréable.
Enfin ils coupent le courant de tous les gadgets. Ouf ! Elle respire.

Ils écartent les lèvres de sa moule pour dégager son clitoris qu’ils masturbent un peu pour le faire saillir puis ils appliquent dessus une pompe vibrante que l’un d’eux tient fermement, pendant qu’elle fonctionne son ventre n’arrête pas de se soulever.

Un autre applique sur son intimité un vibromasseur de massage externe qui fait vite monter le plaisir dans son ventre.
Tout cela lui fait énormément d’effet, son corps se déplace sans qu’elle puisse le maîtriser, Alice ne tarde pas à être secoué par des spasmes et à atteindre l’orgasme ce qui les encourage dans leur entreprise.

Amusés par le résultat obtenu, surtout par la vue des jets de cyprine qui sortent de son puits d’amour, ils continuent à torturer son clitoris et son minou et la font jouir un certain nombre de fois avec des intervalles de plus en plus courts.

– Alice en a eu assez, elle va faire un arrêt cardiaque si on continue et maintenant c’est à notre tour de prendre du plaisir.
Ils sont trop excités pour continuer à la torturer.
Ils retirent leurs appareils qu’ils posent sur la table, Marc détache  Alice et libère sa bouche puis il la bascule sur un lit de camp apporté là.
– Alors ma chienne, ça ta plu ?
– Oh, non maître c’était l’horreur.
– Nous l’avons fait pour te voir souffrir, pas pour que tu prennes du plaisir mais tu as quand même réussie à jouir comme une salope.
Marc quitte la pièce laissant Alice aux mains des trois compères.

Impatients les trois hommes se ruent sur elle, Alice se retrouve à genoux avec une queue dans la bouche.
Un homme s’allonge sous elle et lui pénètre sa grotte qui est bien gluante et le troisième à genoux derrière elle enfonce son pénis dans le puits de ses reins.

Très excités ils n’ont pas besoin de remuer longtemps avant d’éjaculer.
Ils restent en place et ils continuent à défoncer la pauvre Alice pendant un moment puis chacun leur tour ils se soulagent dans l’orifice qu’ils ont investi.

Avec sa bouche et ses mains Alice fait ce qu’il faut pour qu’ils soient de nouveau en érection.
Elle se retrouve de nouveau avec une bite dans la moule et un dans l’anus, de temps en temps ils arrêtent de la défoncer pour échanger leurs places.
Ils s’acharnent et leurs queues font des aller-retour dans ses orifices anal et vaginal pendant un bon moment.

Le plaisir monte dans son ventre, prise de spasmes Alice atteint l’orgasme ce qui les motive car leurs coups de reins deviennent plus violents et plus rapides, elle ressent plus fortement le coulissement des queues car il y a peu d’épaisseur de chair entre son rectum et son vagin et la sensibilité est exacerbée.

Alice jouit encore avant que le premier d’entre eux n’éjacule arrosant ses intestins puis quelques temps après un deuxième laisse son sperme dans son puits d’amour mais reste en place sous elle pendant que sa verge ramollie et sort de son intimité car le troisième qui a pris la place du premier lui défonce la turbine à chocolat dans laquelle il finit par se soulager.
Ils en ont assez et ne cherchent pas à poursuivre les ébats.

 

Avant de sortir ils attrapent Alice, la soulèvent, elle se retrouve vite les bras écartés, les poignets attachés aux sangles fixées sur le mur.
Ils la lâchent sans précautions, elle crie de douleur car le poids de son corps étire brutalement ses bras. Du coup ils la bâillonnent pour ne plus l’entendre.
Ils partent la laissant en pleurs.
Au sol une tache s’élargit car le sperme s’écoule de sa grotte d’amour et de sa turbine  à chocolat défoncées par les pénétrations.

 

Alice se demande ce qu’il y a prise de venir comme ça chez Marc et Lisa. Elle venait pour se faire baiser et jouir jusqu’à plus soif de plaisir. Mais là elle se retrouve la seule femme à la merci de Marc et de Louis. Où sont Lisa et claire ? Abdou l’a fait plus jouir que lors de son dernier séjour.

Mais là être torturée, baisée par des inconnus sadiques, elle n’aurait jamais pensé que cela puisse lui arrivé.

Sam Botte,

Le final demain

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