Après une mutation, dès leur arrivée dans cette région, ils ont acquis une jolie maison dans un lotissement, et tout allait pour le mieux, jusqu’au jour où, deux ans après, la femme Alice vient de perdre son emploi de comptable.
Malgré le salaire de Jean son mari, les difficultés financières apparaissent bientôt, et ils ne peuvent bientôt plus faire face aux remboursements du pavillon…
Jean avait prévenue Alice : Que ses clients ne sont pas forcément des gens biens. Ils font des choses à la limite de la légalité mais ils ne sont pas méchants. Alice était rassurée, elle sait que Jean ne les mettrait jamais en danger.
Depuis peu Jean semble de plus en plus inquiet au sujet de son travail pour ces gens.
Un soir.
– Bonsoir chéri. Je suis rentrée ! Lance Alice en rentrant ce jeudi soir.
– Je suis dans le salon…
– Et tu ? Bonsoir Monsieur.
– Bonsoir Madame.
– Chérie, je te présente Monsieur… Hésite Jean.
– Appelez-moi Ange, coupe l’homme.
– Monsieur Ange est un client.
– Assez mécontent d’ailleurs mais on peut s’arranger. Quand on a une femme comme la votre, Jean, c’est qu’on a de la ressource.
– Monsieur Ange, si on passait dans mon bureau, propose Jean.
– Comme vous voudrez, répondit-il.
Les deux hommes entrent dans le bureau en laissant une drôle d’impression a Alice. Quelques minutes plus tard, quand ils sortent de là, Jean a les yeux baissés et Monsieur Ange arbore un sourire inquiétant. Les deux hommes s’installent au salon pour boire un verre. La discussion est cordiale, amicale même, Monsieur Ange propose de faire embaucher Isabelle dans une de ses sociétés industrielles dont il est le propriétaire.
Le couple alors pense au miracle, car alors, toutes leurs difficultés s’envolent !
Alors que Jean le remercie chaleureusement, il leur dit :
– Attendez, ne vous emballez pas comme ça, il y a une condition !!
Tombant un peu de haut, Jean lui demande alors laquelle ?
– C’est bien simple, je veux que ta femme m’appartienne sexuellement !
Il faut dire aussi qu’Alice est une magnifique méditerranéenne de trente ans, grande, mince, la peau mate, de superbes fesses et une belle poitrine du 90 C encore ferme. Elle a de beaux yeux en amande et une bouche pulpeuse.
Ahuri, Jean lui répond qu’il est fou, qu’il n’en est pas question….
Ange leur dit :
– Alors, c’est vous qui voyez, vous allez vous débrouiller avec vos remboursements et vos dettes, votre maison servira a rembourser ce que tu m’a fait perdre et vous allez vous retrouver en HLM, couverts de dettes ! Et toi Jean tu te retrouvera au chômage.
Le couple ne répons plus rien…
Alice inquiète, se tournais vers son mari qui n’ose ni parler ni la regarder.
Ange vide son verre et se lève pour sortir de la maison, il ajoute :
– Je vous laisse réfléchir…La nuit porte conseil…Je vous laisse jusqu’à demain soir pour me donner votre réponse…Réfléchissez bien…!
Monsieur Ange sort.
Ce soir, ils sont complètement sonnés, ne sachant plus quoi faire…Lorsqu’il est le moment de manger, Jean semble toujours aussi perturbé. Il ose enfin ouvrir la bouche.
– J’ai fait perdre pas mal d’argent à monsieur Ange…
– Pas mal ? C’est-à-dire ?
– Assez pour que…
– Pour que quoi ?
– Pour qu’il réclame réparation…
– Il n’a qu’à se retourner contre ton boulot. Ils doivent avoir une assurance pour ça… et des avocats…
– Ils ne s’occupent pas de ce type de client…Ils m’avaient prévenu que je serais seul sur ce coup là.
– Tu m’as moi…
A cette phrase, Jean se met à pleurer. Alice a visiblement touché un point sensible…
– Tu as entendu le marché qu’il nous a proposé.
– Euh ? Lequel ?
– Que tu rembourse une partie de ma dette…
– On peut voir. Ça dépend de la somme. Il veut que je rembourse combien ?
– Ce n’est pas de l’argent qu’il veut…
Soudainement, Alice comprend ce que Jean veut dire. Elle ne sait pas comment réagir. Elle est perdue, déboussolée, inquiète, meurtrie, trahie, sale…
En ce couchant, ils en ont longuement parlé tout les deux, Alice dit que c’est un vicieux, un pervers, qu’elle ne pourra jamais…Après de longues heures de réflexion et une nuit blanche, Alice se décide à parler à son mari qui lui m’explique.
Si Alice accepte de laisser Mr Ange faire d’elle ce qu’il veut, la dette de l’argent perdue diminuerait chaque jour d’une belle somme. De son côté, Jean va mettre les bouchées doubles pour que Mr Ange récupère la somme perdue.
– Il y a bien un autre moyen, mais je risque d’avoir de très gros ennuis ?
Alice le supplie de ne rien faire, qu’elle fera ce qu’il voudra pourvu qu’il ne leur inflige pas pareil déshonneur.
– Tu sais chéri, il vaut mieux céder, je crois qu’il vaut mieux dire oui…
– Merci ma chéri. Mais nous serons délivrés de cette contrainte que ? Lorsque la somme perdue sera récupérée par Mr Ange. La mort dans l’âme, Alice finit par accepter.
– Mr Ange passe ce soir pour avoir notre réponse.
L’esprit ailleurs, Jean est partie au travail.
Le soir Mr Ange vient aux nouvelles. Une fois assis dans le canapé, il demande :
– Alors, qu’est ce que vous avez décidé ?
Alice lui répond…
– Vous croyez qu’on a vraiment le choix ? C’est oui. Je suis d’accord.
Mr Ange sourit :
– Eh bien vous voyez, vous voilà plus raisonnables !! C’est alors, qu’il dit froidement :
– Écoutez ! Puis que vous êtes d’accord, on va s’arranger, madame est jolie et elle me fait sacrément bander, alors si elle veut faire tout ce que je veux ? Pas de problème, je suis prêt à une certaine condition ?
– Laquelle, demande Alice apeurée ?
Mr Ange s’adresse a Jean.
– Toi tu fait ce que tu veux, mais je ne veux pas te voir ici pendant ces deux jours. Tu part d’ici où tu te caches, mais si je te vois ? Mes conditions tombe à l’eau.
Jean peste, il veut lui casser la figure, mais il est grand et fort. La cinquantaine, il semble un colosse, c’est vrai qu’il a été un légionnaire pendant dix ans. Jean tourne les talons et rentre dans son bureau.
– C’est ça ! Profite s’en pour récupérer mon argent et que je te vois plus cri Ange.
Alice regarde froidement la porte du bureau entre baillée. Elle le devine plutôt qu’elle le voit, puis elle se retourne.
– Allez, déshabille-toi.
– Vous êtes d’accord ?
– T’emballe pas, ma salope. Faut que j’examine la marchandise avant.
La marchandise ? Ce salaud la prend pour un vulgaire bout de viande.
– C’est un bon choix, déshabille toi, fais moi voir ce que je viens d’acheter.
Choquée par son manque de considération, Alice obtempère et se trouve nue devant l’homme. Devant le regard vicieux qu’il lui lance, Alice a un moment de pudeur, elle masque son pubis et sa poitrine comme elle peut.
– Va m’attendre dans le jardin.
– Nue ??
– Bien ! Oui nue, connasse !
Elle sortie et Ange enlève aussi tous ces habits. Il est nue et bande à moitié.
Jean voit tout et sa queue lui parait bien plus grosse que la sienne tant en longueur qu’en épaisseur. Ses couilles sont grosses comme des mandarines.
Mr Ange caresse son appareil génital et sort dans le jardin.
Il prend Alice dans ses bras et l’embrasse à pleine bouche, ses mains la caressent sur tout le corps, les fesses et les seins.
Alice voit Ange porter son index à sa bouche. Avant qu’elle n’ait le temps de réagir, il le lui plonge brusquement entre ses cuisses et force l’entrée de son vagin. Elle essai de se soustraire à cette pénétration, mais il l’empêche de fuir en passant sa main libre derrière mon cou.
– Qu’est-ce que vous faites ?
– Ça ne se voit pas ? Je teste la qualité de la marchandise. Et à ce que je sens, tu es vraiment une sacrée salope. Ta chatte est toute chaude et humide de ce que je te fais.
Alice veut protester. Même s’il dit vrai et que la situation l’excite plus qu’elle ne l’aurait imaginé, elle n’aime pas ses manières. Pourtant, seul un léger soupir sort de ses lèvres. Ce salaud vient de rajouter un deuxième doigt dans sa grotte d’amour et commence à faire des va-et-vient dedans. Sa façon de la fouiller la perturbe et lui fait du bien, mais elle fait tout pour ne pas lui montrer.
Puis il s’allonge à même le gazon et dit :
– Viens me sucer, ma belle.
Hésitante ? Alice devrait renoncer, mais le regard intense qu’il lui lance et ses doigts qui continuent de fouiller finissent par lui faire perdre la raison et ses dernières barrières volent en éclats.,elle s’y résout mais dit :
– Les voisins, ils peuvent nous voir …
– Je me fiche de tes voisins et s’ils voient, tant mieux, ils sauront .
Son trouble ne lui échappe pas et le fait sourire.
– Tes pas habitués à voir un pareil calibre. Il est trop tard pour avoir peur et reculer. Tu vas la sentir passer et tu vas aimer ça.
Devant son absence de réactions, il lui saisit une de ses mains qu’il porte à son pénis. Ses doigts en font à peine le tour, Alice n’ose imaginer les proportions qu’il va prendre une fois en pleine érection.
Alors Alice s’agenouille entre ses cuisses, regarde le sexe de Mr Ange et dit :
– Mais il est énorme, il est trop gros.
– Ah ça te change de celui de ton mari, n’est-ce pas ?
Elle ne répond pas. Elle décide de poser des baisers sur toute la longueur de son pénis. Le contact de ses lèvres sur ce membre dur et chaud a le don de l’électriser. Ange semble apprécier ce qu’elle lui fait, car sa respiration s’accélère légèrement. Néanmoins, il se lasse assez vite de cette caresse.
– Suce-moi maintenant.
Alice ne se sent toujours pas prête pour faire entrer un tel monstre dans sa bouche. Elle se met donc à le lécher sur toute la longueur de son membre. Elle est en train de faire tourner sa langue sur son gland quand il plonge ses mains dans ses cheveux.
– Je t’ai dit de me sucer.
Elle sent ses doigts se refermer autour de mon crâne et il force soudain l’entrée de sa bouche avec son pénis. En quelques secondes, elle se retrouve avec son gland qui chatouille sa luette. Un frisson mêlé de crainte et d’excitation la prend quand elle constate soudain qu’il est loin de lui l’avoir enfoncé en entier. Il en reste encore plusieurs centimètres dehors. Alice redoute qu’il poursuive sa progression, mais il se satisfait visiblement de cette profondeur de pénétration et commence à faire des allers et retours lents dans sa bouche. Après un moment, il finit par relâcher sa pression sur son crâne.
– À toi de jouer maintenant.
Elle prend l’engin dans sa main gauche et embouche un bout de la bite tendue. De sa main droite elle malaxe les couilles. Elle lèche bien le gland et lentement elle descend sa bouche sur la colonne de chaire. Elle remonte sa tête lentement, elle recommence le manège plusieurs fois. Alice suce la queue d’Ange avec avidité. Jean qui les espionne s’en rend compte.
Jean regarde sa femme sucer cette queue qui n’est pas la sienne. Alice s’active pendant au moins quatre minutes, son nez maintenant s’écrase sur le pubis d’Ange. Cette situation, cette façon qu’il a de se servir d’Alice comme une vulgaire vide couille devrait lui paraître dégradante et la révulser, pourtant cela a l’effet inverse. Alice sent son plaisir monter. Un plaisir nouveau et étrange, celui d’être soumise aux pulsions sexuelles d’un homme qui n’est pas son mari.
Mr Ange fait mettre Alice sur le dos, écarte ses cuisses et lui enfonce un doigt dans sa grotte.
– Mais c’est qu’elle mouille l’épouse, elle est toute excitée de m’avoir sucé la bite.
Ange retire son doigt. Il pose ses deux mains sur ses hanches et positionne son gland sur l’entrée du puits d’amour d’Alice et s’enfonce en elle. Alice pousse un hoquet de surprise simplement en sentant le gland la pénétrer. Il poursuit sa pénétration, distendant sa grotte comme jamais. Elle ne cesse de pousser de longs râles, tant ce qu’il lui fait ressentir est inimaginable. Alice pousse un cri étouffé. Ange pousse encore et entre totalement jusqu’aux couilles. Alice crie cette fois franchement au moment où elle sent son pubis appuyer contre ses fesses.
– Jusqu’aux couilles dans ta chatte de salope.
Alice est prise, ouverte par la queue énorme de son amant. Sa tête va de gauche à droite et ses râles sont bruyants. Ange se retire et commence de la baiser de toute sa puissance.
Jean, voit très bien le sexe d’Ange entrer et sortir. Cette simple pénétration a rendu Alice haletant. Sa grotte est pleine comme elle ne l’a jamais été et malgré le tiraillement elle adore ça.
– Attends, tu vas voir, je vais modeler l’intérieur de ta chatte à la forme de ma bite ! Quand j’en aurai fini avec toi, tu ne ressentiras plus rien avec la petite bite de ton mari.
Il ressort extrêmement lentement sa queue de sa grotte pour ne laisser plus que la pointe de son gland avant de replonger pour une fois arriver au bout donner un coup sec et faire claquer leur corps. Il reproduit cette pénétration à de nombreuses reprises avant de progressivement augmenter le rythme. Rapidement, ce n’est plus une bite qu’Alice a en elle, mais un pieu qui ramone intensément l’intérieur de mon vagin.
Les seins d’Alice se balancent au rythme furieux de ses coups de bite. Elle devrait être écœurée par cette façon qu’il a de la prendre, pourtant elle sent une boule qui monte au creux de ses reins. Alice sent un plaisir nouveau et énorme monter avant d’exploser. Elle crie, elle gémit comme jamais. Alice est emportée par un orgasme terrible. Jamais elle n’aurait cru qu’on pouvait jouir ainsi. Ce salaud entretient son plaisir en continuant de la prendre aussi rudement pendant qu’elle jouit.
– Ah la petite pute, elle jouit comme une salope ! Tu aimes ça te faire défoncer. Tu en veux encore ?
Alice est incapable de réagir, elle est encore au septième ciel. Elle ne revient sur terre qu’au moment où tout son corps est brusquement propulsé vers l’avant par une série de coups de bites titanesque.Il la prend longuement ainsi, la faisant jouir trois fois avant de s’enfoncer en elle pour libérer son sperme au plus profond du puits d’amour d’Alice. Il restent soudés l’un à l’autre puis Alice repousse son amant et s’enfuit.
Jean a juste le temps de regagner son bureau sans qu’elle le voie. Alice est partie se laver.
Ange entre dans le salon et appelle Alice :
– Viens ne t’habille pas, reste nue et sers nous à noire.
Ils discutent dans le salon.
– Alors, Alice, tu vois c’est pas la mer à boire, et c’était bon non ?
Alice le regarde en fronçant les sourcils et avec une mimique de la bouche.
– Quoi, tu as pris ton pied trois ou quatre fois, et tu boude ?
Alice ne parle toujours pas.
– Alors, c’était comment ?
– Bien. C’était bien.
– Bien seulement ?
– Oui ! C’était bon ?
– Tu regrettes ?
– Non, mais j’espère que vous tiendrez parole.
Alice apporte les boissons, elle se promène nue comme naturellement devant ce quinquagénaire qui pourrait être son père. Après un moment, il dit :
– Viens me sucer, ma jolie.
Sans rien dire Alice le lève et s’agenouille entre ses jambes. Elle le suce immédiatement. Elle y met du cœur et de l’ardeur.
Il l’arrête et la fait asseoir sur le fauteuil, il est face à elle, la queue à bonne hauteur de sa bouche. Elle ouvre la bouche en grand, il y introduit son sexe hors norme.
Elle prend d’elle même ses couilles dans ses mains. Il lui baise la bouche, il s’y enfonce régulièrement au plus profond, manquant de l’étouffer.
Soudain, il stoppe et ne laisse que quelques centimètres de sa bite dans la bouche d’Alice.
– Je jouis dans ta bouche de pute, avale mon sperme, avale tout ?
Il râle et Alice reçoit toute la quantité de sperme. Elle suce la bite en se retirant et avale le tout d’un seul coup. Puis elle reprend le sexe en bouche et le suce encore.
La salope, elle en redemande. Elle qui avait toujours refusé que son mari jouisse dans sa bouche, elle permet à cette homme de le faire et a même avalé son sperme.
Jean en rage, derrière la porte de son bureau, il n’y comprend plus rien.
– Formidable, tu suces très bien et tu te comportes comme une vraie professionnelle. Ton mari est un homme heureux ?
– Mon mari lui n’a jamais eu droit à ça.
– Ah bon … Alors, pourquoi, moi ?
– J’en avais envie, c’est tout.
– Parfait, parfait, je suis donc privilégié et en avance sur ton cocu de mari … ?
– Oui, on peut voir les choses ainsi.
Le soir, ils dînent dans le jardin. Jean toujours dans son bureau les entend rires. Alice se rend plusieurs fois à la cuisine mais n’a aucun regard vers la porte du bureau. Elle est toujours nue. Enfin ils entrent, lui derrière elle, la serrant contre lui, lui pelotant les seins. Dans ses bras, Alice semble une petite poupée fragile. Elle le guide vers la chambre conjugal.
Jean attend un moment et ose ouvrir délicatement la porte de son bureau. Il s’avance dans le couloir qui mène à la chambre conjugal.
La porte était largement entrouverte. Par chance la lumière du couloir n’est pas allumée, mais les lampes de chevets de la chambre le sont. Jean attend ainsi quelques minutes et aussitôt que il comprend qu’ils sont en train de faire l’amour. Il se risque dans la chambre d’amis juste en face de la sienne, dont il laisse la porte entre baillée. De là, il a une vue complète sur le lit.
La tête dans les oreillers, Alice est possédée par Ange qui la prend en levrette. Il la prend fortement à grands coups de reins. Les mains sur les hanches de la femme, il la bourre. Alice râle en permanence et crie sa jouissance en continue. Ils durent ainsi au moins une trentaine de minutes.
Ange s’arrête et suce le cul d’Alice un long moment. Puis il la prend de nouveau, la faisant encore jouir. Jean voit qu’il glisse ses doigts dans sa fente humide pour en recueillir la cyprine qu’il étale sur son petit trou.
Il y enfonce un doigt, jusqu’à la deuxième phalange puis fait de petits mouvements ronds, écartant le petit trou si serré et encore vierge. Car elle n’a jamais prise de bite dans son cul, trouvant cela sale et douloureux. Aussi elle proteste vite quand elle comprend son intention.
– Non crie Alice, non pas par là ! Je n’ai jamais ?
Jean ce voit rassuré de cette négation.
– Tu es à moi pour ce week-end et tu ne dois rien me refuser ?
– Mais je ne savais pas que … ?
– Pas de limite, tu m’appartiens. Tu es ma pute, je fais ce que je veux de toi. Si j’ai envie de t’enculer, alors je t’encule. JE décide, TU te tais, ton corps m’appartiens !
– Je vous en prie, non pas ça, je ne l’ai jamais fait, pas même avec…..
– Pas avec ton con de mari, ça ne m’étonne pas ! Je sais que tu vas adorer ça être traitée comme une chienne et tu vas y passer !
Alice continue de se débattre mollement, car elle sait qu’il a raison. Ca la rend dingue cette façon qu’il a de la soumettre et surtout comment son propre corps réagit malgré elle. Son corps, avide, affamé, en demande encore et sa chatte ruisselle de mouille. Le doigt qui la fouille est vite accompagné d’un deuxième et il doigte son cul avec fougue, lui arrachant des gémissements.
Ange retire ses doigts et positionne son gland sur son anus qui tressaute déjà. Il lui tire alors ses cheveux, la cambrant au maximum avant de s’enfoncer dans son cul lentement. Il y va doucement, s’insinuent profondément, Alice le supplie d’arrêter. Mais, il sait qu’il a gagné. Il s’enfonce sans écouter les gémissements de la sacrifiée.jusqu’à sentir buter ses couilles contre sa chatte luisante. Alice crie, la douleur est si forte. Il est si énorme qu’elle se sens déchirée.
Une fois bien au fond, ancré dans ses tréfonds, il reste ainsi sans bouger. Alice pleure. Mais le bougre sait y faire, il entre trois doigts dans la grotte bien humide de la femme. Puis avec ses doigts imbibés de cyprine il masturbe le clito d’Alice qui ne tarde pas à réagir favorablement. Elle trémousse sa croupe de plaisir sur la bite qui est bien enfoncée dans ses entrailles. Il pousse un long soupir et commence alors à s’agiter en elle à un rythme lent.
Ange fait un retour de moitié de s’enfonce de nouveau très lentement. Il sort totalement et pénètre la grotte toute mouillée. Puis il l’encule à nouveau et cette fois pour y rester.
En quelques minutes seulement il a réussi à enculer Alice avec son gros sexe alors qu’elle a toujours refusée la sodomie à son mari qui a un plus petit sexe. Doucement il permet au cul d’Alice de s’adapter à son enculage et à la grosseur de sa bite. Tant et si bien que Jean entend des soupirs de plaisirs sortir de la bouche de sa femme. La douleur laisse la place à une drôle de sensation, un plaisir encore inconnu, mais tellement enivrant. Alice n’en revient pas quand elle entend les mots sortir de sa bouche
-Oh ! Ange, je n’aurais jamais cru ? C’est bon, c’est si bon, continue, OH ! OUIII ! Encule moi, encule moi comme une putain, comme ta pute que je suis !
– Dis que tu aime ma bite, ma putain ?
– Oh ! Oui ! Oui, je l’aime ta bite dans mon cul, dans ma chatte et dans ma bouche !
– Tu ne pourras plus t’en passer, je viendrais te prendre souvent, si tu veux.
– Oh ! Oui, tout le temps, tout le temps, Ange, tout le temps.
– Et ton mari ?
– Mon mari tu viens de le faire cocu, continue, encule moi ?
Ange ne se fait pas prier et il se mit alors à la marteler, saisissant ses hanches pour augmenter la puissance de ses coups. Sa queue, enserrée par sa chair si chaude, va et vient de plus en plus vite. Il la sodomise encore longtemps, enfonçant son membre bien profond et quand il sent les spasmes de l’orgasme d’Alice autour de sa queue.
– Je vais jouir dans ton cul ma chérie, je vais t’inonder le cul !
– OOOH ! Oui ! Oui, viens, viens dans mon cul !
Ils crient ensemble, Alice jouit encore de se faire enculer et il lui envoie tout son sperme dans l’étroit fourreau de celle qui était, il y a encore quelques heures, une fidèle épouse.
– Putain, tu as un cul de rêve salope! Je vais bien m’amuser avec toi, dit il en se retirant du derrière d’Alice
Elle ne peut pas parler. Elle semble seulement se remettre de l’orgasme qui l’a submergée. Tremblante elle sens le foutre couler entre cuisses, le long de sa moule.
Le lendemain, au réveil Alice voit de nouveau ce monstre qu’il a entre ses cuisses cela la rend fébrile. Elle ne peut s’empêcher de repenser au plaisir qu’il lui a donné avec hier et à la terrible sensation qu’elle a ressentit lorsqu’il s’est glissé entre ses fesses.
Ils déjeunent dans le jardin, ils sont toujours nus.
Jean remarque que sa femme est tout à son aise. Elle l’embrasse d’elle-même et attrape souvent sa bite au passage. Jean l’entend même dire :
– Qu’est-ce que tu m’as mis ce matin, j’ai la moule ouverte, ton sperme colle mes poils.
– Et c’est pas fini …
– OH ! Oui, oui, j’en prendrais bien encore ?
Effectivement, après une sieste réparatrice, il la prend dans le jardin, puis l’encule encore une fois. Il dure encore plus longtemps que la veille. Il l’encule sans ménagement. Il a enduit son cul de beurre et il peut pénétrer son cul sans problème.
Alice se déchaîne et implore son enculeur de se retenir de jouir. Mais il jouit. Il se plante au fond de ses entrailles pour y déverser son sperme. Alice râle de plaisir : – Ange, Ange, je suis à toi, tu m’as révélée, je ne pourrais plus me passer de toi, maintenant !
– Je viendrais souvent t’en mettre un coup, rassure toi .
– OH ! Oui, Oui …
Vers vingt heures, Alice attire son amant dans la salle de bain.
Les deux amants sont au salon nus. Ange crie :
– Tu peux sortir de ta cachette le cocu !
Jean sort de son bureau et prend un air étonné,offusqué :
– Explique à ton mari ton week-end de baise.
– Nous avons eu des rapports sexuels comme t’as pu le voir, dit elle agacée.
– Alice a fait ce qu’elle pensait devoir faire pour vous éviter la misère et moi je suis satisfait de m’être envoyé une si jolie jeune femme. Tout le monde est content.
– Content, content, vous en avez de bonnes, vous, c’est de ma femme qu’il s’agit.
– Oui et donc tu es cocu et content ?
– Mon chéri, il faut bien reconnaître qu’Ange a été un gentleman et pour tout te dire, j’y ai pris beaucoup de plaisir comme t’as pu l’entendre.
– Quoi !!
– Ta femme te dis qu’elle a aimé que je la baise.
– Ah bon, elle a aimé ?
– Oui, mon chéri j’ai aimé et si tu veux savoir, j’ai joui plus qu’avec toi, Ange a une grosse queue, et il faut aussi que tu saches que je lui ai tout donné de moi ?
– Qu’est-ce que ça veut dire ?
– Je l’ai sucé et j’ai avalé son sperme et il m’a enculée.
– Qu’est-ce que tu dis, il ?
– Oui tu as bien entendu.
Jean s’effondre dans un fauteuil et fait semblant d’être atterré.
– Maintenant je rentre chez moi j’espère que tu as plus avancé pour récupérer mon argent que de nous espionner
Mr Ange remet ses vêtements et part.
Maintenant que le couple est seul ils ont beaucoup à ce dire. Sans dire un mot ils sont, assez désemparés, il faut bien le dire. Jean comprend qu’il faut dire quelque chose pour débloquer la situation.
– Je suis désolé, confus et je ne sais plus quoi penser, tout est allé trop vite !
– Trop vite, oui c’est ça, trop vite ?
-Je crois que tu devrais parler, expliquer ton état, tu doit m’en vouloir, tout est de ma faute.
– Non je préfère que tu parles le premier, tu doit avoir des choses à me dire.
– C’est vrai mais je suis coincé, comme paralysé … Je ne sais pas par où commencer … Tout est si confus en moi. En fait c’est comme si j’avais rêvé, tu es là devant moi nue et je ne sais plus si c’est réellement arrivé. J’ai vu ma femme se donner à un autre homme pour résoudre ma bourde financière, mais j’ai aussi observé qu’elle y avait pris beaucoup de plaisir et j’ai aussi été très excité de la voir ainsi prise par un autre homme.
– C’est vrai, au début j’étais dans une sorte de dégoût envers toi et moi, puis le sexe a prit le dessus et je n’ai plus pensé qu’au sexe.
– Tu es allé très loin, tu lui as donné plus que tu ne m’a jamais accordé …
– C’est vrai aussi, je ne sais pas pourquoi mais je n’étais plus moi-même, je vivais ces moments de sexe, il faisait de moi ce qu’il voulait. C’est vrai que je me suis révélée être une sacrée salope, tu devrais dire.
– C’est exactement ça, tu t’es comportée comme une salope.
-Tous les hommes, aiment les salopes paraît-il …
-Sans doute, mais lorsque c’est leur femme, que c’est cet autre qui l’a faite pute comme c’est le cas …
-Eh bien tu as une pute à domicile, de quoi donc te plains tu ? Mais j’ai bien vu que toi aussi, tu aimais me voir jouir.
Dans leur chambre, ils sont allongés sur le lit, côte à côte, dans la pénombre, sans bouger, sans parler. Jean revoit sa femme se faire prendre et surtout se faire enculer, sur ce même lit, sur le lit conjugal.
– A quoi penses-tu ? Demande Alice a son mari.
– A toi …. Et à lui.
– Moi aussi.
– Je vous vois, j’ai tout vu, tout ce que vous avez fait, dans le salon, dans le jardin et ici, sur notre lit ?
– Je me doutais bien que tu nous regardais .
Elle se love contre lui et l’?embrasse. Puis elle prend son sexe et le branle. Il est dur.
– C’est vrai qu’il est petit, comparé à celui d’Ange. C’est drôle, cette énorme différence.
Alice ce met a sucer la bite de son mari.
Jean bascule Alice sur le lit et n’y tenant plus il la pénètre. C’est inhabituel, elle mouille considérablement, il entre en elle comme dans un gouffre béant.
Son sexe nage dans son vagin. Elle soupire. Jean s’efforce de donner de grands coups de reins. Mais excité comme il l’est, il ne tient pas longtemps et il jouit en elle avec un plaisir comme il n’en avait jamais eu. Il s’écroule sur sa femme en silence.
Elle lui caresse les cheveux et murmure :
– C’était bon, et pour toi mon chéri ?
– Je n’ai jamais ressenti pareil plaisir. Je pensais à la queue d’Ange. Et aussi physiquement, je ne t’ai jamais senti aussi accueillante et douce.
– Moi, même si je n’ai pas jouis, c’était très bon, c’était cérébral, je pensais aussi à Ange et à toi que j’avais fait cocu avec lui, à son sperme et à ton petit sexe … C’était très bizarre.
Après le week-end qu’elle vient de passer, Alice a beaucoup de mal à trouver le sommeil. Elle ce dit : Comment ai-je pu en arriver là ? Comment ai-je pu me donner, m’offrir, à un autre que mon mari ? Comment ai-je pu prendre un tel plaisir ? J’ai fait tout ça pour permettre à mon mari de sortir sa mauvaise situation financière, d’accord, mais ne suis-je pas allée beaucoup trop loin ? Repenser à lui, à tout ce qu’il m’a fait, m’excite, mes tétons se mettent à poindre et je sens mon vagin s’humidifier. Quel homme puissant il est ! La nature l’a vraiment gâté et en plus il sait parfaitement s’en servir. Jamais aucun homme ne m’avait donné autant de plaisir.
Ma morale et ma logique laissent bientôt place à une envie primaire. S’il était là, je me donnerais à lui sans retenue.
Ils se sont enfin endormis et n’ont plus reparler de ça durant trois jours.
La suite demain soir même heure
Sam Botte
belle histoire ma femme a eu relation avec mon superieur il passer la voir lorsque j’etais au bureau elle recever nu sous sa jupe