Les semaines et les mois ont passés. Jean part tôt au bureau et en rentre tard. Il évite de circuler dans le coin. Il fait ses courses ailleurs. Le printemps est arrivé, nous sommes au mois de mai.
Un bruit réveille Jean. Il y a du monde dans ma maison ?
Jean se lève et ?? Stupéfaction. Il se trouve nez à nez avec Alice. Il y a des valises dans le salon. Elle regarde son mari. Jean la regarde, elle est enceinte jusqu’aux yeux, son ventre est très gros. Il sourit, elle sourit.
-Bonjour mon chéri, je suis rentrée, je suis revenue chez nous !
– Définitivement ? Plus d’ange derrière toi ? Vrai ?
– Vrai ! Plus d’Ange !
Jean se jette dans ses bras et l’embrasse passionnément. Elle répond à son baiser.
– Pourquoi ? Tu quitte Ange maintenant ? Ça fait au moins deux mois que je lui ai récupérer tout son argent ?
– Ange c’est exilé dans sa maison de campagne. S’il restait là avec moi, il aurait été poursuivi pour proxénétisme et moi pour prostitution. Alors voilà, je suis là !
Alice a accouché d’un adorable garçon au tain légèrement mate.
Alice a trouvée du travail comme secrétaire dans une filial d’une entreprise appartenant a Mr Ange, il a tenu sa promesse.
Mais depuis un an déjà Jean fantasmais à l’idée de voir sa femme avec d’autres hommes en même temps. De se faire prendre, soumettre et défoncer par d’autres l’excitait au plus au point.
Il a toujours souhaité la voir, s’offrir à une bande de mecs qui la défonçait, l’humiliait comme la pute qu’elle était devenue.
Mais Mr Ange n’a jamais donné son accord, tantôt elle lui disait oui, mais Ange disait non. A l’époque c’était elle, qui venait lui en parlé, elle y narrait ses exploits quand elle suçait des tonnes de bites et qu’elle finissait recouverte de sperme. Tantôt elle était prise en sandwich par des maghrébins, tantôt elle ce faisait enculer à la chaîne et elle avait plusieurs queues pour elle toute seule et ainsi de suite. C’est qui avais fait naître une idée chez Jean.
Avec le temps Jean ne pouvait plus tenir, il avait tout essayé. Jean lui ai proposé des rencontres avec des amis, il lui a soumis l’idée de tester des boites libertines, mais elle ne répondait pas à ses demandes.
Du coup après un an d’attente Jean c’est décidé. Elle n’aura plus le choix, il va la mettre devant le fait accompli et elle ne pourra plus faire marche arrière. Jean sait au fond de lui même qu’elle ne protestera pas. Il voit bien quand ils font l’amour que sa femme attend plus que ce qu’il lui donne.
Jean a donc contacté cinq mecs de sa boite, bien bâtis dont un black pour les inviter chez lui un vendredi soir.
Il leur a imposé deux règles, qu’ils ne se branlent pas jusqu’à la date fatidique, pour que ma femme soit entièrement recouverte de sperme, et qu’ils se cassent dès l’affaire finie
Un vendredi, je leurs donne donc rendez vous chez moi vers dix huit heures en sachant qu’Alice finit un peu plus tard. Les cinq mecs arrivent en même temps, nous faisons les présentations puis connaissance. Nous balançons les lieux communs les plus évidents, puis autours de verres de bières et de whisky je commence à leur exposer les règles. Je leur dis d’être sympas, attentionnés parce que depuis plus d’un an, elle n’a pas refait l’amour à plusieurs. Commencer doucement, y aller crescendo et finir dans un déluge de foutre et d’hormones.
Ils sont sympas et semblent tout à fait comprendre. Nous commençons à être pas mal imbibés quand Alice arrive dans la maison. Elle porte une jupe quelconque et a un débardeur où on peut voir la naissance de ses seins, mais rien de très bandant. Elle est surprise de voir autant de monde, et que des hommes. J’ai fais exprès de me mettre dans un coin où elle ne peut pas s’asseoir à mes côtés et trouve la seule place (belle coïncidence) entre deux mecs sur le canapé. Nous discutons de tout et n’importe quoi, je lui présente mes collègues du bureau et au fur et à mesure des verres je vois que son œil commence à s’égailler et qu’elle devient un peu grise.
Je perçois les regards lubriques des mecs sur son débardeur. Tout le monde sait ce pourquoi nous sommes là sauf Aline. Nous commençons à parler de cul, des expériences de chacun pour déboucher sur le gang-bang. Je vois qu’elle prend du plaisir à en parler. Elle parle de ses expériences avec Ange où elle suçait tous les soirs un gars différents. L’idée fait son chemin. Puis la main du type à sa gauche commence à lui effleurer la cuisse. Je suis surpris de voir qu’elle décroise les jambes pour que le mec remonte plus haut. Le mec à sa gauche fait la même chose puis commence à lui caresser l’épaule pour descendre malaxer son sein. Elle comprend très vite la situation, et au bout de quelques minutes elle me lance un regard qui semble dire, ah, tu l’as fais, tu as raison au final. Les deux mecs n’arrêtent pas de la tripoter et je commence à bander comme jamais. Je vois également que les cinq mecs ont le pantalon déformé par une bosse au milieu de l’entrejambe.
Puis elle se lève d’un coup et part aux toilettes. Nous continuons donc à parler de cul et certains me font beaucoup de compliments sur la salope que j’ai à ma disposition et sur le fait que je suis chanceux. Puis au bout de cinq minutes elle ressort des toilettes.
Ah, elle a très bien compris. Elle réapparaît avec des escarpins aux talons très fins et hauts, une robe qui lui arrive aux fesses. Ses jambes quasi nues sont exposées à toute l’assemblée. Elle a un décolleté qui ne cache pas grand chose, on voit ses deux beaux seins resserrés et prêt à sortir. Tellement ils sont gros je crois que la robe ne va pas tenir et se fissurer. Et pour finir elle s’est mise du rose sur les joues, du rouge à lèvre lui faisant une bouche de pompeuse de queues, du fard à paupières noirs et eye-liner noir lui faisant un regard de salope.
Je regarde les mecs en train de baver sur elle, et la bosse de leur pantalon encore plus grosse. Elle est magnifique ma pute. Elle vient s’asseoir au même endroit entre les deux mecs sur le canapé et là toutes les flatteries fusent.
– WOUAH ! T’es vraiment trop bonne comme ça
– Dis donc tu as vraiment des gros seins ils sont pas refait ?
– Putain t’as de la chance d’avoir une salope pareille avec toi !
Les deux mecs recommence à lui peloter les seins. Ils pétrissent ses deux gros seins aux travers de la robe. Un fait sortir un téton qu’il commence à le titiller et à le lécher puis le pincer en lui embrassant le cou. Elle prend des initiatives. Pendant qu’on s’occupe des ses seins ses deux mains se sont déployés de chaque côté et commence à caresser l’entrejambe des mecs. Un troisième mec et arrive derrière le canapé, le caleçon baissé et la bite à l’air et présente à ma femme sa queue, de taille moyenne à la bouche.
Ma salope ne se fait pas prier et tout en déboutonnant les jeans de ses voisins elle lèche la bite du mec derrière. Le spectacle commence. Ma femme, face à moi en train de sucer un mec pendant que chacune de ses mains branle une bite. Les deux autres ne sont pas en reste, ils ont sorti leur engin et commencent à se branler sur le spectacle qu’offre une telle chienne, qui semble affamée de bites. Elle alterne entre les queues pendant que ses deux gros seins sont sortis de la robe et que des pairs de mains s’emploient sur ma belle pute, à lui caresser le clitoris, des doigts lui fouillent la chatte, s’ enfoncent dans son cul ou lui malaxer les seins.
Les bites s’enchaînent dans sa bouche de pompeuse de queues. Ses mains branlent celles qu’elle ne suce pas. Ils se masturbent sur elle en la gratifiant d’un :
– Salope t’es vraiment qu’une pompe à jus, t’as du en sucer des kilomètres de queues pour sucer comme ça
– Quel garage à bites ! Putain elle t’avale la bite en entier
Plus les insultes sont salaces plus elles semble aimer et être excitée. Je commence à sortir ma queue et me a branler, toujours assis en face. Je la vois changer de queues, bouffer la première qui se présente devant elle sans chercher qui en est l’heureux propriétaire. Je la vois alterner entre les couilles et les glands. Elle remonte le long des hampes pour venir bouffer littéralement les bites, et gober les couilles.
Elle semble jouir par la bouche cette putain.
– Allez sort ta langue pour venir me lécher les couilles. C’est bien t’es une bonne chienne. T’auras tout mon jus à gagner.
– Putain je vais la recouvrir cette pouffiasse. Allez dit le que t’es une salope dis le que t’aimes les queues ? Salope on t’entend pas.
– Oh ! Oui ! Répond Alice comme si elle jouissait.
– Abusez de moi je ne suis que votre salope, une vide couilles, une éponge à foutre. Videz vous sur ma gueule ou dans chacun de mes puits d’amour.
Je ne l’avais jamais vu comme ça, je suis estomaqué. Je savais que c’était une salope mais là, à ce point, se lâcher comme ça, j’en suis ravi et excité. Je n’ai jamais bandé aussi dur et je sens mes couilles prêtes à exploser.
On la retourne, elle se met a genoux sur le canapé, remonte le bas de sa robe jusqu’aux hanches et présente sa croupe bien en évidence pour se la faire défoncer. Elle continue à sucer une queue les mains malaxent les couilles pendant que ses deux gros seins se balancent au rythme des coups de queue que lui impose le type. Il lui baise littéralement la bouche. Il lui maintient la tête avec sa main, et elle fait des petits bruits et semble adorer être un objet sexuel, être une pute offerte. Il ne met pas longtemps à jouir, trop excité car cette pompe à bites fait bien son travail. Le mec lui décharge dans la bouche en lui tenant le crane.
– Tiens prends ça ! Avale espèce de banque à sperme. Crie t-il en jouissant.
Une des mecs se positionne derrière elle, tapote son sexe contre la chatte suintante de ma femme redevenue une catin et y enfourne sa bite d’un coup sexe jusqu’aux couille. Alice est surprise mais ne peut dissimuler qu’elle adore ça et ce qu’elle l’attendait. De la cyprine coule de l’orifice d’où rentre et sort une grosse queue. Maintenant elle se fait prendre par les deux bouts. Une bite lui baise la bouche l’autre la chatte et chacune de ses mains branle une bite, dont celle du black qui est vraiment impressionnante. Ça lui fait une toute petite main en comparaison de l’autre. On enlève sa robe pour la mettre complément nue. Elle est a poil, ses gros seins jaillissent.
Un troisième se branle sur elle. Il approche sa queue du visage de ma femme. Sa bite gonfle et devient veineuse. Je vois ma pute sourire puis tendre la langue pour recueillir tout le foutre. Elle en a pour son grade la pute. Quand j’ai demandé aux mecs de ne pas de branlait je ne m’attendais pas à ça. Le mec lui inonde la figure, ça sort pas torrent se rependant sur ses cheveux, sur son visage et dans les yeux, ça coule sur ses deux gros seins. Et ça lui inonde la bouche.
L’éjaculation a du durer trente secondes et elle se prend une dizaine de jets blancs et juteux sur le corps. Le mec se finit sur sa langue et dans sa bouche. Elle a la bouche remplit. Il sort son téléphone portable et lui dit maintenant avale tout pauvre chienne. J’aurais pensé qu’elle soit honteuse ou scandalisée par se faire filmer dans un tel état de dégradation mais pourtant elle ne se fait pas prier et semble même apprécier. Elle est couverte de sperme et continue à pomper des queues. Le mec qui lui pilonne la chatte en lui assène des gifles sur le cul, elle en a un orgasme.
– Alors petite souillon on aime ça se faire défoncer, sale morue. Tu la sens ma grosse queue dans ton garage à bite ?
– Oh, oui venez me péter le cul avec vos grosses bites, je veux être remplie par tous les orifices et qu’on se vide sur moi. Je mouille comme une vrai pute.
– T’inquiète petite salope, en temps et en heure. Maintenant bouffe moi le cul sale chienne, lèche moi le trou du cul dit un troisième gars en présentant ses fesses sous le nez d’Alice.
Elle hésite quelques secondes puis elle obéit, comme la bonne grosse pute soumise qu’elle est. Elle déploie sa langue et vient lécher le trou du cul du mec pendant que sa main lui branle la queue par devant. Elle lui nettoie l’œillet et rentre à l’intérieur sa langue. Un des mecs la prend par le cou et l’oblige à fourrer tout son visage à l’intérieur pour lui nettoyer le cul. Je suis la en spectateur passif, et je bande comme un taureau. Je viens vers elle, la prend par les cheveux, la tire, elle gémit un peu et pousse quelques cris, puis lui faisant face je lui crache au visage et la remet dans cet endroit qui a l’air de lui plaire tant.
Le mec pousse des râles. Il se retourne d’un coup lui prend la tête avec les deux mains et fourre sa queue au plus profond de sa bouche pour déverser tout son foutre à l’intérieur de sa gorge de salope. Il semble y avoir des litres, tant et si bien qu’à la fin elle ne peut tout avaler. Sa semence ressort des coins des lèvres de mon Alice et vient perler sur ses seins et couler le long de son menton.
– Allez on avale tout sale pute et on dit merci !
– Oh merci, dit-elle dès qu’on lui a retiré la bite de la bouche
– Et maintenant on me nettoie la queue salope. Repris le type.
Alice s’y emploie magnifiquement bien et avant qu’elle ait pu terminer le gars s’essuie dans ses cheveux.
Un autre vient placer sa bite devant sa bouche et elle l’aspire comme une bonne pute, elle tire sa langue et gobe ses couilles pleines de foutre, comme une bonne pompe affamée, ce sperme épais et chaud qui va lui remplir l’estomac.
Les bites se succèdent dans sa chatte, elle prise dans tous les sens. Moi je m’approche de temps en temps pour lui faire bouffer ma queue, puis je m’éloigne un peu pour regarder la scène. J’ai sorti mon appareil photo et je filme la scène. Elle ne proteste pas. Le black sort aussi son téléphone et la mitraille de photos et de vidéos. Il les envoie à ses potes qui ne semblent pas du tout dessus.
Puis le black se place à l’entrée de l’anus d’Alice, et après avoir inséré quelques doigts à l’intérieur de l’orifice il lui plante son énorme bite. Ça a un peu de mal à rentrer. Sa bite est très impressionnante, épaisse et longue, toute veineuse. Quand il l’avait foutu dans la bouche de ma femme je me souviens de ces joues déformées par la taille de l’engin. Elle semble suffoquer et manque de s’étouffer mais semble adorer. Un autre gars vient se placer en dessous et lui enfourne sa bite dans son puits d’amour.
Les trois autres retrouvent la forme et se présentent devant sa bouche. Les commentaires vont bon train
– Bourre la cette pute, éclate le cul de cette pouffiasse !
– Défonce lui le cul à cette grognasse !
Alice gueule et crie de plaisir et d’extase comme une truie quand sa bouche n’est pas investit par une queue ou une autre. On lui palpe les seins, on lui malaxe les seins, on abuse d’elle et elle aime ça. Elle est là, les trois trous de remplit. Elle est empalée sur le mec du dessous qui s’emploie à lui filer des coups de butoirs dans la grotte, la bouche baisée par une bite qui lui touche les amygdales et fait s’étirer la peau de son cou. L’énorme bite du black qui sort et rentre de son cul comme un piston. Dans chaque main elle branle une queue, et moi j’immortalise le spectacle par une vidéo. Je n’ai jamais autant bandé. Elle pompe dans tous les sens, insatiable, avidement. Un mec lui agrippe les cheveux pour lui faire bouffer sa queue à son rythme.
– Alors ma chérie ça te fait quoi d’être redevenue une pute ? Que je lui demande.
Elle détourne le regard pour me regarder et je la vois, reprendre son souffle, adorer ce faire soumettre dans ces conditions. Elle jouit à chaque fois qu’une paire de couille vient frapper son trou du cul ou ses lèvres. Elle pleure de plaisir, et hurle avant d’être prise de spasmes quand le black décharge de son cul.
– Je vais jouir dans ton cul, salope !
Des filets de sperme coulent tout le long de son trou, elle est remplie de foutre et adore ça. Elle pousse un grand râle, son corps se raidit, frappé par un orgasme foudroyant. Le black se retire et laisse le trou du cul dilaté de ma femme qui suinte de sperme, il est béant.
– T’es vraiment une sale pouffiasse a défoncer. Lui dit le black en finissant de s’égoutter sur le dos de ma belle pute.
– Putain je vais t’emmener dans une cave de ma cité pour te faire sauter par tout le bloc tu vas aimer…
L’idée m’excite et je songe déjà à l’offrir à une vingtaine de racailles qui abuseraient d’elle et la baiseraient comme il se doit.
A peine, la bite du black sorti un autre s’engage déjà dans la voie. Alice pousse un petit râle de plaisir, mais la scène est beaucoup moins impressionnante tant l’engin est de taille inférieure. On l’encule comme ça une bonne demie heure, elle en hurle de plaisir. Ils la retournent dans tous les sens, la baisent par tous les orifices. On ne lui laisse aucun répit. Les mecs se succèdent et lui liment la chatte, la bourre sauvagement dans tous les sens. Elle est essoufflée et halète. Un mec sort de son cul pour lui enfoncer sa bite dans la bouche. Elle ne proteste pas et la lui bouffe comme une salope, le pompant et le branlant avec vigueur, en lui malaxant les couilles.
Un autre vient placer sa bite dans sa bouche. Les deux bites font du va et vient simultanément dans la bouche de ma femme, qui ressemble désormais a tout sauf à une bouche, déformée par la grosseur des deux queues. Sa mâchoire est distendue. Puis après la bouche s’est le tour de son cul, le premier mec n’a pas trop de mal à insérer sa queue dans le trou encore largement ouvert de mon Alice. L’autre mec, qui a une queue fine mais très longue, se place à coté du premier et la pénètre aussi. Elle jouit encore.
– Alors sale pute ça fait quoi de se faire fourrer par deux grosses queues, salope ?
Demande l’enculeur.
Elle ne peut répondre, un des autres mecs est en train de lui forcer la bouche.
Du coup le mec qui lui ramone le cul entreprend de redoubler la cadence et de venir frapper ses couilles le plus fort possible dans l’orifice. Le second type qui l’encule l’accompagne. Elle est là à quatre pattes se faisant défoncer le cul par deux bites. Elle recommence à hurler de plaisir et se libère de la queue dans sa bouche. Du coup le type de derrière reprend de plus belle.
– Alors pompe à foutre je t’ai posé une question. T’aimes ça te faire péter le cul par deux queues et ça te fait quoi ? Je paris que c’est la première fois pour toi.
– OOORRRF ! C’est trop bon. Répond Alice complètement dépassée par les événements. Sa voix est faible mais sincère. Elle est en extase.
– Je veux boire votre foutre et vous videz les couilles. Je suis une pompe à sperme.
Ces mots dans la bouche de ma femme sonnent comme du miel à mon oreille. Enfin cette salope est de nouveau satisfaite. Non seulement elle est traitée à sa juste valeur et elle le reconnaît et y prend du plaisir. Quand les deux qui sont dans son cul jouissent ensemble, elle en est terrassée par un orgasme phénoménale.
On la fait s’agenouiller sur le sol et on se place tous autours d’elle. Quatre bites qui l’entourent pour le recouvrir de foutre.
– Videz vos couilles sur ma gueule allez y, je peux tout avaler si vous me le demandez.
– T’inquiète salope ! Mon jus de couilles arrive.
Répond un des mecs en train de se branler près du visage d’Alice.
– Quelle garce quand même j’avais pas idée que ça pouvait exister. Renchérît un autre.
Elle est comme ça à poil, à genoux par terre comme la salope qu’elle est. Le bassin et la poitrine en avant, le cul bien en arrière comme si elle cherchait encore une queue pour se faire piner la rondelle. Elle est en position pour une douche de sperme, et en plus, elle tire la langue. Le premier jet ne met pas longtemps et venir recouvrir le visage de ma femme. Deux mecs ont sorti leurs appareils photos et la mitraillent de flash. Elle ne dit rien comme un bon réceptacle à foutre. Le sperme s’abat sur sa gueule de partout. Même dans les pornos je n’avais jamais vu autant de sperme.
Elle en est couverte de partout et doit finir de nettoyer les queues avec sa langue. Le sperme ruisselle, son visage est recouvert d’une crème épaisse. Ses gros seins aussi. Un des mecs décharge au moins un demi litre de sperme dessus. Elle prend ses seins entre ses mains, les resserrant en se touchant les tétons pour ne pas en perdre une goûte. Le foutre coule dans son nombril et finit sur ses cuisses, un torrent s’abat sur elle, et cette salope sourit, satisfaite et insatiable. Je continue de filmer la scène avec mon appareil, m’ayant rapproché au plus près du lieu de l’action. Les trois mecs qui ont déjà jouis ont encore des ressources et ont recouvert de semence une seconde fois sur ma salope de femme offerte qui lèche les couilles et les bites qui l’entourent, c’est magnifique.
Au fur et à mesure que chacun éjacule, et comme on l’avait convenu, les gars qui ont déchargé se rhabille et parte. Le premier s’approche comme pour l’embrasser, elle ouvre la bouche et il lui crache un mollard dans le gosier avant de partir en me demandant si je peut lui laisser son numéro de téléphone. Que les gars du chantier dans lequel il va bosser ne seront pas contre se taper une grande femme au gros seins et aussi salope. Je refuse en lui disant que cette pute m’appartient et que c’est moi qui l’offrais. L’idée du chantier m’intéresse, je prend quand même son contact.
Le second, lui étale son foutre sur la gueule avec son gland.
– Lèche moi salope ! Lui dit-t-il, le gland couvert du foutre qu’il vient de récupérer.
Elle ne se fait pas prier et lèche le liquide pour le faire disparaître dans son estomac. Elle fait claquer son palais et ouvre la bouche en grand pour bien montrer qu’elle vient de tout avaler.
– Quelle salope ! Dit le gars en prenant une dernière photo avant de partir.
Les autres lui emboîtent le pas. Ils tapotent leurs queues sur son visage. Le black la gifle gentiment me demandant si on peut remettre ça à l’occasion. Qu’il peut trouver des scénarios où que son idée de gang-bang dans une cité tient toujours. Je lui promet de le tenir au courant.
Quand la porte est refermée et le dernier partenaire parti, je demande à Alice son ressenti et ses impressions. Elle m’avoue qu’elle plane encore, qu’elle n’avait pas eu autant d’orgasmes depuis si longtemps, ce que je n’ai pas de peine à croire vu son état et son comportement de tout à l’heure. Elle est encore recouverte de foutre qui continue de ruisseler, et de son cul coule une liquide chaud. J’imagine les litres de sperme dans son estomac.
– Si tu veux faire comme avec Mr Ange ? Je suis d’accord, mais nous avons un fils et je ne veux pas qu’il nous arrive des ennuis d’histoire de prostitution mon chéri.
– Ah ça NON ! Je ne veux pas faire de toi une pute en permanente. Juste quelques gang-bang comme ce soir pour ton plaisir et aussi pour le mien.
– Là comme ça je suis pour mon chéri, vient me sodomiser il y a encore de la semence des autres comme tu aime.
A cette vue, Je n’y tins plus. J’y enfourne ma verge. Quel délice ! Le cul d’Alice est merveilleusement brûlant, étroit, humide. A chaque coup de rein, ma bite s’enrobe du sperme encore chaud laissé par mon prédécesseur. Ce n’est plus ma femme en ce moment. C’est une femme avide de se donner au plaisir, totalement vouée au sexe. Et je l’encule comme telle, fou de la découvrir ainsi, oubliant qui elle est, qui je suis.
Après un bon moment d’extase, je jouis longuement dans ses entrailles, en longs jets qui rendent les cris d’Alice encore plus perçants.
– Oui, c’est trop bon, comme les autres dans mon cul, inonde-moi le fion, j’adore ça !
Je mesure combien elle m’est précieuse, et combien elle m’est encore apparue nouvelle, différente, fascinante lors de cette soirée inoubliable. Seul, j’ai pu connaître les deux facettes de sa sexualité, la douce, la pure, la sauvage, l’infidèle, l’une après l’autre, l’une et l’autre mélangées.
– Oh, mon amour, comme je t’aime, quelle belle soirée !
– Ma chérie, tu as été merveilleuse ! Tu es belle au milieu de tous ces hommes…
– Et toi mon cœur, comme tu es beau quand tu me fais l’amour ! De tous mes amants de la soirée, tu es le meilleur, je t’adore !
Je la serre tendrement contre moi. Elle blottit sa tête contre ma poitrine en fermant les yeux. Nous restâmes là un moment, seuls au monde, puis, nous allons tranquillement dans la chambre, ivres de bonheur partagé, avant de se laisser glisser, une fois au lit, dans d’ineffables rêves…
Ainsi va leur vie.
Sam Botte
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