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Alicia et moi ; l’évolution de notre couple Chapitre 2

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Alicia va-t-elle franchir le pas ?

Résumé de l’épisode précédent :
Au cours d’un jeu de rôle, Alicia a réellement fait l’amour avec un inconnu et se pose beaucoup de questions.

L’ambiance est plutôt curieuse depuis quelques jours à la maison.
Suite aux évènements de la soirée « jeu de rôle » à l’hôtel la semaine dernière, Alicia a un comportement étrange, elle est sur les nerfs et ne semble pas avoir digéré la façon dont tout a dérapé, il faut dire que tromper son mari sans le faire exprès ça n’arrive pas non plus à tout le monde, mais laisser ses coordonnées à l’inconnu qui a eu le bonheur de faire l’amour avec elle, ça, c’était le pompon !

J’essaie d’aborder le sujet avec elle, mais elle détourne le regard et change de sujet de conversation systématiquement. Notre vie sexuelle est sinon à l’arrêt, du moins pas mal perturbée.
Ce soir, je décide donc que nous devons absolument parler, nous retrouver. Rapidement, elle m’explique :

« Tu comprends, je ne vis plus, chaque fois qu’un des téléphones sonne, j’ai peur que ce soit lui. »

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« Oui, je vois, c’est vrai qu’on est dans le flou, on ne sait pas ce qui va se passer. »

« Au moins s’il rappelait, on serait fixé, on pourrait régler le problème. »

« Il ne rappelle pas simplement parce qu’il était de passage, qu’il venait de loin, ça sert à ça les hôtels, il est reparti, peut-être à cinq cents kilomètres, il a tiré un trait. »

« Oui, peut-être… »

Elle soupire, l’air désemparé, je reprends :

« Dis-moi, tu es bien sûre que quelque part, s’il rappelait, tu ne serais pas contente ? Juste un peu ? »
« Mais non ! Je suis une bonne épouse, une femme normale. Je t’aime toi et pas un autre. »

« Je ne te parle pas d’aimer un autre gars. Je veux juste dire que pour ce que j’ai pu entendre tu as pris du plaisir avec lui, beaucoup même ! »

« Mais je pensais faire l’amour avec toi ! »

« Tu m’as quand même dit qu’à un moment tu t’imaginais vraiment faire l’amour avec quelqu’un d’autre que moi… »

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« Oui. Oh, tu adores rationaliser ! Tu m’énerves par moments. »

« Je t’énerve parce que j’ai raison : Tu as peur qu’il rappelle parce que tu ne sais pas comment tu gérerais la situation, et en même temps, quelque part, s’il rappelait, s’il t’offrait une nouvelle occasion, peut-être que… »

« On ne peut vraiment pas dire que tu m’aides là… »

Je la prends dans mes bras, l’embrasse tendrement puis lui dis :

« Je t’aime, je t’aime comme tu es, et pourtant tu m’as trompé et c’est une chose terrible !

Elle me regarde, stupéfaite.

« Mais non, je plaisante. Sans le vouloir, tu as réalisé un de mes fantasmes, tu m’as procuré une joie immense. Comment t’expliquer, j’ai toujours peur que tu ne sois pas comblée et en fréquentant un autre homme je me dis que tu seras plus heureuse, plus épanouie, et ça, ça fait mon bonheur. »

« Je ne te comprendrai jamais, en tout cas, s’il appelle, je l’envoie promener, je ne veux plus entendre parler de cette histoire. »

« OK, c’est ton choix. »

Nous ne parlons plus du tout de « l’évènement » ni du trouble que cela a créé. Petit à petit au fur et à mesure des jours qui passent, Alicia semble oublier ses appréhensions. Quand le jeudi après-midi mon téléphone sonne, je décroche, c’est Alicia qui chuchote :

« Denis ? Il a appelé ! »

Pas besoin de demander qui…

« Il vient de m’appeler sur le portable et m’a dit qu’il aimerait bien me voir. Quand je lui ai dit que c’était une mauvaise idée, il a répondu qu’il avait quelque chose à me rendre… Mais le pire, c’est que je le connais ! »

« Tu le connais ? »

« Oui, il s’appelle Vincent quelque chose, il travaille pour la Poste et nous sommes en pleine négociation sur le renouvellement de leur flotte HL pour le secteur. Il est en mission provisoire ici pour boucler le dossier, et ce matin, il était avec mon directeur dans le bureau à côté. Je l’ai vaguement aperçu, mais lui, forcément, il m’a vue, en plus il devait me chercher puisqu’il a ma carte de visite. C’est super inconfortable, je le déteste !

Je le prends sur le ton de la plaisanterie :

« Eh, ce n’est pas de sa faute, il s’est fait à moitié violer et son agresseur lui a donné toutes les preuves pour être retrouvée. »

« Merci de me le rappeler, merci beaucoup pour ton soutien, ça t’amuse ou quoi ? Parce que moi, pas du tout ! »

« OK, désolé, j’imagine que c’est stressant… Bon, on fait quoi ? »

« Toi, rien. Je lui ai donné rendez-vous au Chêne demain après-midi. »

« Tu veux que je t’accompagne ? »

« Surtout pas ! Je gère. Je récupère ma c… Enfin, tu sais quoi, et je vais lui expliquer pour tout arrêter. »

« Oui, tu as sans doute raison. »

« À tout à l’heure ! »

Elle raccroche. Je suis songeur, elle prend la situation très à cœur.
Fin de journée tranquille, soirée banale, conversations sans grand intérêt, nous allons nous coucher relativement tôt et après un peu de lecture, extinction des feux…

Ce matin, il me semble qu’Alicia met plus de temps que d’habitude à se préparer, et si elle s’habille classique, c’est du classique plutôt chic, attractif, et son maquillage est plus sophistiqué qu’à l’accoutumée. Comme elle semble être sous tension, je ne dis rien et fais comme la veille, tout est normal, il ne se passe rien.

Ma journée se passe sans rien à signaler quand Alicia m’appelle en milieu d’après-midi et me dit :

« Je l’ai vu. »

« Et ? »

« Et quoi ? Je lui ai expliqué que tout ça était une vaste erreur, que nous sommes un couple heureux qui avons juste voulu faire une mise en scène et qu’il y a eu un quiproquo. C’était super gênant, mais il s’est conduit très correctement et s’est même excusé d’avoir appelé. »

« Et il ressemble à quoi ? »

« Est-ce que je sais, moi ? Un type, grand et mince comme toi, l’air sympa, mais ce n’est pas la question. »

« Et ? »

« Tu m’énerves avec tes « et » ! Je lui ai dit stop et je te rappelle que je suis au boulot et que j’ai du travail à faire, bisous.

Et elle raccroche. Oh, là, elle est vraiment énervée. Bon, ce soir c’est moi qui préparerai le repas, et je sens qu’il va falloir marcher sur des œufs pendant quelque temps…

L’ambiance est assez curieuse à la maison depuis quelques jours…
Alicia oscille entre gaietés forcées et périodes de langueur, voire de tristesse. Aujourd’hui, elle a pris son après-midi pour se reposer, mais elle erre comme une âme en peine, aucune activité ne trouve grâce à ses yeux. En fin d’après-midi, alors qu’elle passe devant le canapé où je suis assis, je lui tends la main et lui dis :

« Viens t’asseoir près de moi, je vais te faire un petit massage des épaules, ça va te détendre. »

Elle obtempère et s’assied en me tournant le dos. Je l’embrasse dans le cou, passe mes bras autour de ses épaules, déboutonne son chemisier et dégrafe son soutien-gorge que je laisse glisser. Je commence à la masser doucement, épaules, dos, cou, épaules, et mes mains se dirigent vers sa poitrine, je soupèse ses seins merveilleux, je roule les tétons entre mes doigts, je l’embrasse dans le cou et elle soupire, se laisse aller enfin, s’abandonne aux caresses.

« Tu es un peu triste, hein ? »

« Non, pas du tout… C’est juste que j’ai un moment un peu difficile, mais rien de grave. »

« Rien à voir avec Vincent ? »

Je sens la tension instantanée, je continue à la masser et elle se détend légèrement, je relance :

« Tu sais, il va bien falloir en parler à un moment, ça va te soulager. »

« Je ne comprends pas. Je ne me comprends pas. »

« Tu as découvert autre chose, une évasion, une aventure, un truc. »

« Mais ce n’est pas bien, un couple ce n’est pas ça ! »

« Pourquoi ? Un couple ça peut être tout et n’importe quoi, l’essentiel c’est que les deux y trouvent le bonheur, le plaisir, à deux ou avec d’autres. Mon fantasme c’est toi avec un autre, ou avec une autre, ou toi avec d’autres. Mon bonheur, c’est toi… Heureuse dans les bras de quelqu’un d’autre, c’est sexuel bien sûr, mais pas que… Et ça ne marche qu’avec toi. »

« Oui, mais je me sens coupable. »

« Coupable, et donc tu as envoyé promener Vincent, mais maintenant tu es triste, un peu. »

« Ce n’est pas triste, c’est plutôt que je pense à tout ce que tu me dis depuis des années, et là, depuis une semaine que je t’ai trompé, tu as l’air heureux, épanoui, alors que j’étais avec un autre homme. J’essaie de me convaincre que ce que j’ai fait n’était peut-être pas si grave. Quand j’y repense, c’était un grand frisson, c’était tellement différent, lorsque j’ai compris que j’avais couché avec un autre j’étais atterrée et furieuse, mais maintenant, je n’arrête pas de penser que sur le coup c’était l’éclate. Je m’en veux de penser ça, mais je n’aurais pas dû réagir comme ça… »

« Rappelle-le ! »

« J’ai déchiré sa carte. »

« Regarde le répertoire de ton portable puisqu’il t’a appelée. »

« Je l’ai effacé en sortant du café. »

« Ah ! Et sincèrement, maintenant que tu n’as plus de moyen de le joindre, tu regrettes ? »

Elle a un moment d’hésitation, je sens sa lutte intérieure entre devoir moral et souvenirs plaisants enfin elle dit doucement :

« Un peu, j’aurais dû en parler avec toi tout de suite, mais… »

Avec son air de chien battu, à moitié nue devant moi, les yeux baissés, elle est craquante. Elle continue :

« Tu sais, j’ai des valeurs, c’est pour ça que je l’ai envoyé balader aussi durement, mais là, d’un coup, tout vole en éclat et je me demande si je n’ai pas fait une connerie. »

« Ouf ! J’ai cru que tu ne l’admettrais jamais. Bon, ne bouge pas, il est quelle heure ? Cinq heures et demie, ça devrait aller. »
J’attrape mon portable dans la poche arrière de mon Denis, j’appelle le bureau d’Alicia :

« Service HL, bonjour ! »

« Bonjour, Marion, c’est Denis. Dite, Alicia a perdu les coordonnées d’un client, le gars de la Poste, apparemment un nouveau, elle n’a pas de dossier. »

« Attendez, je regarde… »

Tout en parlant au téléphone, je tiens toujours Alicia serrée contre moi et je sens son cœur cogner fortement dans sa poitrine.

« Denis ? Voilà, ça doit être Vincent Munier, non ? »

« Voilà, c’est ce nom-là, vous avez son téléphone ? »

Elle me donne les numéros que je note sur la couverture d’une revue.

« Merci, au revoir. »

Je raccroche, repose le stylo, reprends Alicia contre moi et la serre d’une main. Elle-même me serre le bras très fort, je compose le numéro sur mon portable :

« Allô ! »

« Monsieur Munier ? »

« Lui-même. »

« Bonjour, je suis Denis Muller, le nom vous dit quelque chose bien sûr, je suis le mari d’Alicia.

Quelques instants de silence puis, Vincent répond :

« Je tiens à vous dire avant tout que votre épouse m’a expliqué la situation et que je suis désolé d’avoir abusé des circonstances… »

« Wouah, en plus vous êtes un gentleman. Écoutez, que diriez-vous de venir dîner ce soir chez nous ? Alicia a réagi sans doute beaucoup trop fermement et elle est très embêtée. »

« Je ne sais pas si… »

« Cela nous ferait vraiment plaisir, huit heures, je vous envoie l’adresse par SMS. »

« Euh, très bien, à ce soir. »

Je raccroche. Pose le téléphone, enlace Alicia qui me tourne toujours le dos et qui me presse toujours le bras. Elle bascule la tête en arrière sur ma poitrine et murmure :

« Vraiment ? »

« Vraiment. Tu as un peu plus de deux heures pour te préparer, ça devrait le faire, non ? De mon côté je prépare l’apéro, commande chez le traiteur, et je prépare la table. »

« Amour, tu es dingue, tu me jettes dans ses bras, littéralement. Tu n’as pas peur ? »

« Bien sûr que si, il y a un peu de peur, mais je te rebats les oreilles avec mes fantasmes depuis des années, si je n’assume pas maintenant alors que tu en as envie… »

« Je m’habille comment ? »

« Alors, réfléchissons, au choix… Soit tu lui fais le grand jeu, hypersexy, maquillage d’enfer, bouffeuse d’homme, au premier regard il sait qu’il va te culbuter ; sinon plus soft, à peine sexy, voire pas du tout, juste pour qu’il ait le doute. »

« En gros, salope ou bonne épouse. »
« En gros, oui, mais à moins que je ne me trompe, une bonne épouse qui a enfin réalisé la chance qu’elle a et qui mouille d’avance, non ? »

Elle se retourne, face à moi, m’adresse un petit baiser et me dit :

« Je sais, c’est toi qui vas me laver dans mon bain et m’habiller, c’est toi qui vas choisir tous les vêtements et préparer la victime pour le sacrifice ultime. »

« Ah, parce qu’il n’y a même plus de doute maintenant, tu es déjà sûre de finir au lit ! »

« Je ne fais qu’obéir à mon seigneur et maître, je suis ta dévouée servante. »

« Pas mal, en plus tu n’es pas coupable puisque j’ai tout manigancé. Allez, on se prépare.

Pendant qu’Alicia fait couler le bain, je vais dans notre chambre, j’ouvre la penderie et choisis une robe beige très simple, très chic, longueur mi-cuisses, avec un décolleté qui peut être très sage si on laisse tous les boutons fermés, et qui peut être ravageur si l’on ouvre les susdits boutons, je trouve les escarpins beiges assortis. J’ouvre ensuite le tiroir à lingerie. C’est toujours merveilleux d’ouvrir ce tiroir, toutes ces dentelles, ce tulle léger, ces froufrous vaporeux, ces agrafes, les bas de différentes nuances, et par-dessus tout, ce nuage léger de parfums, l’odeur d’Alicia, c’est un avant-goût de paradis, c’est un ensemble de souvenirs merveilleux, c’est un concentré de plaisirs visuels et olfactifs.
Je finis par choisir un porte-jarretelles crème en soie et dentelles avec le soutien-gorge assorti et des bas fumés. Je dépose l’ensemble sur le lit, quitte la chambre, vais passer la commande chez le traiteur, puis rejoins Alicia dans la salle de bains.

Ma femme adorée est assise sur un tabouret en m’attendant. Je l’attrape par les mains, la redresse, lui retire ses chaussures, sa jupe, sa culotte, et la conduis vers la baignoire. Elle entre dans l’eau chaude, s’assied, s’adosse et se laisse aller dans l’eau parfumée avec un soupir de satisfaction. Elle se caresse légèrement les seins, puis sa main droite descend sous l’eau et se pose sur son sexe. Elle commence à se masturber lentement en me souriant, puis elle ferme les yeux, laisse aller sa tête en arrière et me laisse jouir du spectacle. Elle murmure :

« Il ne faut pas que je reste immobile trop longtemps sinon je risque de m’endormir tellement je suis bien. »

« Et donc tu te masturbes. »

« Pas du tout, enfin juste un petit peu, juste pour entretenir l’émotion, pour me faire patienter, pour te faire plaisir. »

« Quand tu auras fini, dis-le-moi que je te lave. »

Elle continue de se caresser tout en me fixant droit dans les yeux et ce n’est pas sa main que je contemple, mais son visage sur lequel je lis son plaisir. Encore quelques instants, puis elle se met debout, ruisselante, lève les bras comme une danseuse classique, tourne sur elle-même pour mieux se faire admirer et me dit :

« Je te plais toujours ? »

« Toujours ! Tu es ma Reine. Je n’ai pas fantasmé sur une autre femme depuis qu’on se connaît, pas une fois ! »

« Et si tu me vois prendre du plaisir avec un autre homme, tu m’aimeras toujours ? »

« Toujours ! C’est fou, non ? »

J’ai pris l’éponge et je commence à la frotter tout doucement, légèrement. Je passe des épaules aux seins que je fais remuer, le dos, les fesses rebondies, le ventre.

« Écarte un peu les jambes, il faut que je nettoie bien ici… »

Elle obtempère, se laisse aller et commence à frémir en s’appuyant des deux mains sur mes épaules. J’abandonne l’éponge et joue avec son sexe, le caresse, y introduis un puis deux doigts. Je titille son clitoris, elle pose un pied sur le bord de la baignoire et écarte un peu plus les jambes. L’invitation est explicite, je me mets à genoux et commence à la lécher, elle adore ça autant que moi… Elle a eu comme ça certains de ses plus beaux orgasmes.
Cette fois encore, alors que ma langue frétille sur son clitoris, elle se plie en deux en m’attrapant par les cheveux et pousse des cris de plaisir tout en donnant de violents coups de bassin. Je la cramponne par les fesses le temps qu’elle épuise sa jouissance et se calme.
Elle finit par me lâcher et se redresse.

« Dis donc, j’en avais vraiment besoin ! »

« Ça tombe bien, j’en super-envie ! »

« Mais tu restes sur ta faim. »

« Tu compenseras ça plus tard. Allez, je te laisse terminer ta toilette, tu vas finir par être en retard.

Lorsque je reviens un peu plus tard, Alicia est dans la chambre, elle finit de se maquiller et de se parfumer. Elle me regarde dans le miroir, indique des yeux les vêtements que j’ai sélectionnés et me dit avec un sourire moqueur :

« Et tu me reprochais d’être prête à coucher, hypocrite, tu serais super déçu s’il repartait sans me toucher. »

« Touché, Votre Altesse, mais le risque n’est pas bien grand ! »

« Et donc, pas de culotte ? »

« La dernière fois que tu l’as vu, tu es revenue sans… »

« Celle-là, je ne l’ai pas vu arriver. »

« Bon, en plus, là, c’est le spasme assuré lorsqu’il va faire glisser ta robe, ou qu’il va glisser sa main dessous, ou lorsque tu vas décroiser les jambes devant lui dans le fauteuil… »

« Eh bien, je vois que Monsieur a de l’imagination. »

« Si tu savais à quel point j’ai de l’imagination lorsque je rêve de ma petite femme dans des situations excitantes, un jour, je te raconterais. »

« Je ne voudrais pas te décevoir, mais là, rien n’est fait, il faut voir comment ça se passe, si on a un feeling, quelque chose, ça ne va pas être un truc bestial, sexuel bien sûr, mais si je ne le sens pas, on laisse tomber. »

« Je comprends ! Aucun stress, aucune obligation, tu feras ce que tu veux, comme tu veux, promets-moi juste de prendre du plaisir si ça se présente bien, ne pense pas à moi. Attention, je ne te dis pas de tomber amoureuse, surtout pas… Mais éclate-toi, quoiqu’il se passe, profite de cette soirée. »

« Tu es sûr que ça ne te fait rien d’avoir une femme adultère ? »

« Ça m’excite un max ! »

Elle se jette sur moi, m’embrasse fougueusement.

« En attendant, habille-moi, prépare-moi ! »

C’est fou ce que c’est sexy de parer sa propre épouse pour un rendez-vous galant ! Je prends un énorme plaisir à l’habiller, je lui enfile ses bas, je ferme les boucles de son porte-jarretelles, je mets son soutien-gorge, j’ajuste, je corrige, je caresse, je frôle, bref, je me fais plaisir, quant à Alicia, elle frémit à chacun de mes attouchements, elle a de petits rires, elle soupire, son cœur bat à grands coups.
Enfin, je l’aide à enfiler sa robe, je remonte la fermeture éclair, puis je lui passe ses escarpins, la voici fin prête et elle est absolument délicieuse, ses joues sont rouges d’excitation, ses yeux pétillent.
Je prends quelques photos pour immortaliser l’instant.

« Je crois que Madame est prête, si Madame veut bien se rendre au salon, je pense que l’amant de Madame ne va plus tarder. »

Effectivement, il ne se passe que quelques minutes avant qu’une voiture ne s’arrête dans la cour.

« Chéri, je suis un peu angoissée, je t’aime. »

J’ouvre la porte et me trouve face à un jeune homme plutôt banal, mal habillé, carrément pas attirant du tout. Consternation avant qu’il ne me dise :

« Bonjour, c’est la livraison du traiteur. »

Oh ce soulagement ! J’avais complètement oublié le traiteur ! J’ai eu un coup de panique, je n’arrivais pas à concevoir Alicia et ce gars ensemble, merci, mon Dieu ! Je vais au salon chercher mon portefeuille, Alicia est debout, un peu pâle, un demi-sourire crispé aux lèvres.

« Fausse alerte, c’est le livreur. »

Je ressors, règle la livraison avec un pourboire généreux, prends les cartons, referme la porte.

Je mets tout à la cuisine, je prépare la table, relax !

« Je suis relax. »

Tu parles, on dirait une jeune vierge qui va connaître le loup pour la première fois, en gros, c’est à peu près ça qu’elle doit ressentir.

Coup de sonnette, cette fois c’est la bonne. Je vais ouvrir. Un homme, la quarantaine, grand, mince, l’air assez sympathique, mais que je sens plutôt gêné d’être là, je lui tends la main et me présente :

« Bonjour, Vincent, je présume ? »

« Oui, bonjour. »

« Denis, le mari d’Alicia, entrez. »

Il est plutôt crispé, franchement pas à l’aise, et tout de suite il me dit :

« Je sais que je n’aurais pas dû rappeler votre femme, j’ai résisté pendant plusieurs jours et je ne savais pas si elle était mariée ou pas, ou divorcée… »

« Pas de problème, ne vous excusez pas, nous allons en discuter avec Alicia, elle nous attend au salon, par ici. »

Je lui indique le chemin. Alicia l’accueille avec un sourire réservé, elle ne laisse percevoir aucune sorte d’invite, de son côté Vincent fait de son mieux pour éviter de trop la regarder, elle est pourtant si jolie, si attirante, mais en présence du mari il est obligé de se contrôler. Et il a bien du mérite, car elle est vraiment éblouissante et il ne faut pas être grand clerc pour deviner que l’attraction qu’elle exerce fait son effet.

Nous nous installons, Vincent dans le canapé que je lui ai indiqué, Alicia prend place à mes côtés dans l’autre canapé, j’avoue que j’aurais préféré qu’elle le rejoigne tout de suite, ce qui aurait été de bon augure pour la suite, mais bon, laissons le temps au temps.

Je sers l’apéritif, nous discutons de tout et de rien, de banalités destinées à créer de la normalité et peu à peu l’atmosphère se détend, les échanges deviennent cordiaux, mais je remarque quand même que ni l’un ni l’autre ne laisse filer une quelconque invite, pas de gestes, pas de sourires connivents.
Je me lève et dis :

« Chérie, viens m’aider à la cuisine cinq minutes. »

Elle me suit, je referme la porte derrière nous et lui demande :

« Alors, tu en penses quoi ? »

« Il a l’air sympa… »

« C’est tout ? Il a l’air sympa ? Nous voilà bien avec un gars sympa au salon, rien d’autre ? »

« Je n’ai pas l’impression qu’il s’intéresse beaucoup à moi, il ne me regarde pas, il ne m’a pas adressé trois mots, je dois être trop vieille pour lui. »

« Ah oui, c’est sûrement ça. »

Elle me fixe d’un regard outré.

« Bon, on va vérifier ta théorie, approche, plus près, ne bouge pas. »

Je défais le premier bouton de sa robe, les deux pans de son décolleté s’écartent nettement sous la pression de ses seins.

« Non, mais arrête, il va remarquer tout de suite ! »

« J’espère bien, mais si je ne fais pas quelque chose, dans quinze jours vous êtes encore en train de vous lorgner en catimini comme deux ados au premier rendez-vous. Allez, hop ! Prends cette assiette et rejoins-nous dans cinq minutes, pas avant… »

Je reviens au salon, m’assieds dans un des fauteuils et je m’adresse à Vincent :

« Bon, apparemment il faut que je mette les choses au clair. Vous avez l’air mal à l’aise à cause de ce qui s’est passé entre Alicia et vous. Ce n’était surtout pas de votre faute et je n’ai aucun grief à votre encontre. Alicia non plus, bien au contraire, sincèrement, nous avons adoré tous les deux la soirée que vous avez passée ensemble. J’ai toujours eu le désir de partager Alicia avec un autre homme, mais jusqu’à maintenant, elle avait toujours refusé l’idée de le faire. Par contre depuis qu’elle vous a… Euh… Connue… Elle a changé d’avis. En tout cas, elle y a réfléchi sérieusement, elle est très tentée, mais elle n’est pas sûre à cent pour cent, elle a encore des réticences parce que c’est une femme de principe. »

Le problème c’est que je ne sais pas si elle vous attire ou pas. Si c’est non, nous allons quand même faire un petit repas ensemble et vous repartirez après le café, par contre dites-le-moi tout de suite que je passe le message à Alicia.

« Non, non, votre femme est très attirante, mais… »

« Eh bien, montrez-le, courtisez-la, oubliez que je suis ici, mais par contre… Distinction, courtoisie, pas de vulgarité, Alicia c’est mon trésor et vous devez faire passer ses désirs avant tout ! »
« Vous êtes sûrs que… »

« Certain ! Elle a besoin de sentir que vous la trouvez désirable, alors ne la décevez pas ! »

Alicia revient de la cuisine, en plus de son décolleté qui est maintenant un peu ouvert et nous laisse découvrir une partie de sa poitrine, elle a dénoué ses cheveux, ce qui lui donne un air décontracté, plus ouvert.

Le repas se déroule sans accroc, il suffit de réchauffer les différents plats, tout se passe en souplesse. Au fur et à mesure de nos différents passages en cuisine, je réussis à défaire un, puis deux boutons supplémentaires du décolleté d’Alicia, à chaque fois elle fait mine de me gronder, mais elle ne remet pas les boutons, ce qui fait que son décolleté est maintenant béant, ses tétons dardent sous le tissu, et elle repart au salon en tortillant de plus en plus les fesses.

Elle est maintenant rayonnante, courtisée très délicatement par Vincent qui est assis en face d’elle. Je me réjouis de voir que le feeling passe bien dans les deux sens, tantôt Alicia rougit, tantôt c’est Vincent, il lance des regards admiratifs, ose quelques compliments bien tournés. Tout va donc pour le mieux, avec toutefois une réserve quant à la façon dont les choses vont tourner en fin de soirée… Je crains bien que la présence du chaperon, moi, ne bloque toute tentative de rapprochement entre les deux.
Au moment de préparer les cafés, nous sommes à la cuisine, Alicia et moi, et je lui dis :

« Bon, je sors, vous avez la soirée tranquille. »

« Quoi ? »

« On ne va pas se mentir, tu meurs d’envie de coucher avec Vincent, mais tu flippes parce que je suis là et que tu ne sais pas comment gérer la situation. »

« Je n’aime autant pas, et Vincent n’apprécierait pas vraiment. »

« Gros malin. »

« En tout cas, je vais me promener, profitez-en, vous avez la maison pour vous. »

« Tu ne vas pas me laisser maintenant, qu’est-ce qu’il va dire ? »

« J’espère seulement que vous allez saisir votre chance. Bon, tu me raconteras, éventuellement, ou tu me feras des trucs cochons pour te faire pardonner ton infidélité. »

« Des trucs cochons ? »

« Je suis sûr que tu trouveras. »

« Mon infidélité ? »

« J’espère bien oui… »

« Tu vas où ? »

« Aucune idée »

« Mais tu rentres quand ? »

« Aucune idée, c’est toi qui me diras. »

« Je t’appelle une fois que… Je veux dire quand il sera reparti. »

« Mince, la soirée va être longue… »

« Amour, je t’aime ! »

« J’espère bien !
J’ouvre le quatrième et dernier bouton de son décolleté, je l’embrasse, elle sent merveilleusement bon, je lui mets une gentille claque sur les fesses :
« Go ! »

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  • Excellente suite qui me rappelle de très bons souvenirs ! Vivement la suite !

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