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Alicia et moi ; l’évolution de notre couple Chapitre 3

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Quarante Ans

Résumé de l’épisode précédent :
Il y a plusieurs mois, Alicia a couché avec un autre homme, je suis un homme comblé.

Treize juillet, quarante ans ! Ça y est, j’ai quarante ans !
Pour l’instant, j’attends toujours la fameuse crise de la quarantaine, mais elle n’est toujours pas là. J’imagine que le fait d’avoir une vie heureuse aide beaucoup.

Je m’appelle Denis et suis marié avec Alicia qui est un peu plus âgée que moi… Nul n’est parfait ! Ça la fait suffisamment râler, mais pour moi elle est la femme idéale en tous points de vue : assez grande, elle possède des formes merveilleuses, en particulier une poitrine de rêve et des cheveux châtain foncé assez longs. Elle a aussi un super boulot, et surtout, surtout… Elle m’aime !
Au lit, nous avons expérimenté et découvert plein de trucs… Ça fonctionne plutôt bien. Il y a quelques mois, elle m’a trompé à deux reprises. La première fois par erreur, si, si… Je vous assure, c’était lors d’un jeu de rôle qui était légèrement sorti de ses rails, et la deuxième était avec le même homme, mais en pleine connaissance de cause. Oui, je sais, ça peut paraître curieux, mais j’ai raconté la scène par ailleurs.

Je ne me plains pas du tout d’avoir été cocufié, au contraire… Cela faisait des années que je rêvais de savoir Alicia dans les bras d’un autre homme, de la voir se donner entièrement et jouir avec son amant. C’est ce qu’on appelle le candaulisme… Ce n’est pas un vice, mais un état d’esprit : c’est le désir de voir sa femme totalement comblée, complètement heureuse ; c’est l’envie de la partager, de partager son bonheur, mon bonheur.

Alicia et moi ; l’évolution de notre couple Chapitre 3
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Le seul truc qui m’embête, c’est que les deux fois, je n’ai rien vu ! Oh, c’est sûr, elle m’a raconté, et quand Alicia explique, c’est super excitant… Elle a les mots et surtout les gestes qui vont bien. Je n’ai pas pu la voir faire l’amour avec un autre, donc, beaucoup de plaisir pour elle, mais pour moi, un tout petit peu de frustration quand même. J’espère bien que nous allons rattraper ça un de ces jours et que je pourrai enfin jouer le voyeur.

Bon, quarante ans donc dans quelques jours. Ce soir, nous sommes en train de préparer le repas quand Alicia me dit :

« Si l’on faisait ton anniversaire avec tes copains du club ? »

Le « club » est un groupe de fans de motos anciennes. L’on est une dizaine de quadras et de quinquas partageant pas mal de goûts en commun : les motos bien sûr, mais aussi la voiture, la musique et la lecture. En gros, une bande de gars vraiment sympas, certains mariés, d’autres divorcés, et il y a même un vrai célibataire.

Les gars connaissent bien sûr tous Alicia, mais pour elle, c’est sans plus… Elle me dit qu’elle a toujours eu peur de rouler à moto. Bref, la mécanique n’est pas son truc, elle ne veut pas interférer dans la « dynamique du groupe », et si le siège du club se trouve dans ma grange que j’ai complètement aménagée, elle n’y fait que de courtes apparitions ponctuelles pour saluer tout le monde et discuter quelques minutes.

Elle poursuit :

« Samedi prochain, on invite officiellement tout le monde et l’on prévoit les choses en grand : un barbecue, des salades, quelques bouteilles… Mais raisonnablement. En plus, on pourra fêter le départ de Carlo en même temps (Carlo, c’est le dernier membre du club, le plus jeune aussi, mais il est militaire et vient de recevoir sa mutation pour le Sud). Écoute, si tu veux, j’organise tout. Je contacte tout le monde et m’occupe des approvisionnements… T’inquiète, je gère, OK ? »

Si elle gère…

Arrive donc le fameux samedi « retrouvailles ». L’on a prévu une longue promenade, le temps est idéal.
Avant notre départ, Alicia a déjà commencé à préparer les apéritifs et les amuse-gueule : elle a prévu des salades, des travers de porc, des merguez… Enfin, tout ce qu’il faut pour que nous ne mourions pas de faim lorsque nous reviendrons. Elle s’adresse à la cantonade :

Alicia et moi ; l’évolution de notre couple Chapitre 3
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« Bon, je vous fiche la paix, vous êtes entre mecs pour le moment, tout est prêt, débrouillez-vous ! On a installé des sacs de couchage et des oreillers pour ceux qui ne voudraient pas repartir ce soir… Juste au cas où ! Amour, je vais finir deux ou trois trucs à la maison, ensuite j’irai au salon de coiffure, puis je finirai de régler quelques détails pour ce soir. Je te téléphonerai vers dix heures pour la suite du programme, surtout, n’oublie pas de décrocher, il y aura une ou deux surprises ! »

Nous partons donc dans un joyeux tintamarre sur nos vieux brêlons, essentiellement des Japonaises des années soixante-dix. Nous tournons tout l’après-midi sur les petites routes de campagne, le retour à la grange étant prévu vers sept heures du soir.
De retour, on parle de voitures, de motos, et d’autres diverses choses. On bricole, on prépare gentiment le barbecue, on blague, on discute. Claude m’interpelle, suivi par les autres :

« C’est super cool que ta femme s’occupe de tout comme ça. »

« Tu m’étonnes, et elle n’a rien oublié. »

« Et il paraît qu’il y aura une surprise ! »

« Pour tout le monde ! »

« Moi, elle m’a dit que tu serais sur le cul ! »

« À moi, elle a parlé d’un de tes plus chers désirs qui allait se réaliser, carrément, mais c’est privé… C’est entre vous. »

Bon, elle gère, pourquoi est-ce que je m’inquiéterais ? Je leur réponds :

« Je n’ai aucune idée de ce qui est prévu. Quand elle décide de s’occuper d’un truc, je laisse faire. »

« Tu as une sacrée chance d’avoir une femme comme ça, elle est vraiment au top ! »

« Super-sympa ! »

« Marrante ! »

Serge approuve vigoureusement :

« En plus, elle est drôlement sexy ! »

Ah, il y en a qui commencent à avoir chaud aux oreilles… S’ils savaient à quel point elle est au top à tous points de vue, ils seraient verts de jalousie. Tous les jours, je me dis que j’ai de la chance de vivre avec elle.

Dix heures, mon téléphone sonne, je décroche, c’est bien sûr Alicia :

« Amour ? »

«  Lui-même ! »
« Bon, tu vas mettre ton téléphone sur haut-parleur et monter le son, j’ai une annonce générale à faire. »

« OK, ça y est. Écoutez tous, Alicia a un message à passer ! »

« Re-bonjour à tous ! Ce soir, c’est l’anniversaire de mon Amour… »

Divers cris, des gloussements et des rires.

« Je me suis dit que quarante ans, ça doit se fêter dignement et qu’il fallait marquer le coup. Je voulais trouver l’idée inoubliable, pas seulement pour lui, mais aussi pour vous. »

Quelques secondes de blanc, puis elle reprend :

« Alors, j’ai engagé une danseuse. »

Un silence stupéfait suit l’annonce, puis tout le monde se met à applaudir et à siffler.

« Attendez ! Elle va vous faire un petit show à la maison ! Attention, rien de professionnel, c’est une pure amatrice qui va faire le spectacle, mais nous avons convenu d’une petite danse pour le fun. On a installé une scène au salon, et ce n’est pas tout, comme je voulais vraiment quelque chose de spécial… »

Cris d’approbation, applaudissements.

« … J’ai préparé un chapeau dans lequel se trouvent des tickets portant chacun le nom de l’un d’entre vous. Lorsque la danseuse aura terminé son numéro, elle tirera au sort l’un des tickets et le gagnant emportera… »

Suspense insoutenable, nous sommes tous en train d’attendre :

« … Le vainqueur aura droit à la soirée avec la danseuse ! Et au fait, j’ai oublié de préciser que la danse sera un strip-tease… »

Alors là, c’est du délire, on se croirait en finale de coupe du monde, tout le monde crie, siffle, se tape dans les mains. Roger me claque le dos et s’exclame :

« Non, mais elle est incroyable… Où est-elle allée chercher un truc pareil ? Elle est trop, ta femme ! »

« Oh, ce n’est pas vrai ? Quelle soirée ! »

« Ah la vache, ce n’est pas Josiane qui aurait pensé à ça !

« Pareil, ce n’est pas ma femme qui m’offrirait un spectacle pareil… »

Ils sont dans un état de joie indescriptible, tout émoustillés déjà, tout guillerets.
Alicia reprend la parole :

« Attention, avertissement au vainqueur : la danseuse décidera ce qui se passera ensuite : petite discussion au coin du feu, ou plus si affinités… C’est son choix à elle. Bien, la danse commencera au salon dans cinq minutes et, ah oui ! Désolée pour toi, mon Amour, mais tu ne participes pas au tirage, tu es mon chéri quand même ! Au fait, je t’ai laissé un petit mot sur le bar. Bonne soirée à tous ! Ne t’inquiète pas, mon amour, je suis sûre que tu vas quand même adorer ta soirée, bisous ! »

Et elle raccroche sous les applaudissements et les cris.
Les gars sont morts de rire et me charrient, on peut dire que l’ambiance est au beau fixe.

« Allez, on y va, il ne faudrait pas que le spectacle commence sans nous. »

« Attention les mecs ! Pas un mot de plus, Denis va être jaloux… »

Mais non, il a quand même le droit de mater, lui aussi… »

« Mais c’est tout… »

« Allez ! »

« En avant ! »

Le salon est plongé dans une semi-pénombre, les rideaux sont fermés, seule une scène improvisée est délimitée par des spots de couleur et une corde est tendue entre deux chaises… Pour empêcher la foule en délire d’approcher sans doute. Les haut-parleurs sont devant la corde. Au milieu de la scène se trouve une chaise tournée vers le public, sur l’assise se trouve un chapeau, et posé sur le bar, un mot de la main d’Alicia :
« Mon amour, le show va commencer dans trente secondes, j’espère que tu te souviendras que c’est ton épouse préférée qui a tout géré de A à Z : nourriture, boissons, ambiance et… Spectacle. Alors, d’après toi, qui vas danser ce soir ? Qui va être le seul et unique lot du tirage au sort ? Je vais faire des trucs ce soir comme tu n’imagines même pas… »

Je n’ai même pas le temps de réfléchir qu’une musique commence à se faire entendre, nous nous tournons tous vers la scène.
La porte de la cuisine s’entrouvre, un pied chaussé d’escarpins à très hauts talons apparaît, une jambe se tend, puis la danseuse entre. Ce n’est pas Alicia, contrairement à ce qu’elle m’a écrit, la femme est blond platine, les cheveux sont tirés en queue-de-cheval, elle porte un loup noir, ses yeux sont hypermaquillés et ses lèvres pulpeuses sont rouge écarlate. Elle Sergehe lentement à petits pas, comme une gymnaste. Elle porte un tailleur très strict sur un chemisier blanc et des bas noirs avec des escarpins de même couleur. Tournant autour de la chaise, elle fait un entrechat, prend le chapeau, joue avec les tickets qu’elle nous montre et laisse retomber en pluie dans le chapeau, puis elle le pose tout en faisant de gracieux mouvements de mains.
S’avançant vers nous, elle me fait signe de la rejoindre. Je m’avance et…

M… ! C’est Alicia ! C’est Alicia teinte en blonde ! C’est pour ça qu’elle m’a parlé du rendez-vous chez la coiffeuse.

Elle m’adresse un sourire complice, ou moqueur, car elle doit bien se rendre compte que je ne l’avais pas reconnue. Elle m’attrape gracieusement par la main et me mène vers la chaise, me fait asseoir face au « public » et prend appui avec ses mains sur mes genoux, la croupe bien tendue vers l’assistance en se dandinant voluptueusement au rythme de la musique. Elle me dit tout bas :

« Tu aimes ma coiffure ? »

Les haut-parleurs étant devant la corde, la musique couvre nos paroles.

« Tu es folle, ils vont te reconnaître. »

« Ils sont bien trop concentrés à mater mon cul ! Tu penses qu’ils apprécient ? »

Comme je ne réponds pas, elle ajoute :

« Il y en a un qui va pouvoir le toucher de tout son saoul tout à l’heure, n’oublie pas le tirage au sort… Ça t’excite ? »

Elle n’attend pas ma réponse, se redresse, fait demi-tour et longe la corde. À chaque pas, elle retire un à un les boutons de son tailleur puis fait demi-tour, revient et fait glisser la veste au sol. Quelques mouvements de danse, elle bombe le torse, revient vers moi, s’appuie sur mes épaules et frotte sa poitrine sur mon visage.

« Tu penses qu’ils aimeraient voir mes seins ? »

Elle m’abandonne en virevoltant, longe la corde et retire les boutons de son chemisier. Elle fait demi-tour, revient vers moi et le fait tomber. Elle est maintenant en soutien-gorge noir, un magnifique modèle à balconnets qui met en valeur ses seins voluptueux. J’entends applaudissements et sifflets, elle continue ses gracieux pas de danse et, en un clin d’œil, se défait de sa jupe qui tombe et qu’elle enjambe d’un pas félin en revenant vers moi tout en révélant un porte-jarretelles noir, des bas ainsi qu’une culotte minuscule. Les amis poussent une exclamation collective.
Elle passe derrière moi et pose ses mains sur mes épaules, sa bouche est contre mon oreille :

« Ça devient chaud, non ? J’espère que tu apprécies, je fais tout ça pour toi… Au fait, avec lequel tu préférerais que je fasse l’amour ? »

Elle m’embrasse dans le cou, puis repart vers le devant de la scène. Je comprends mieux l’exclamation d’il y a un instant : sa culotte est en fait un string et je peux admirer ses fesses totalement exposées. Elle tourne le dos au public et se plie lentement en deux en faisant glisser ses mains le long de sa jambe jusqu’à la cheville, elle ôte une chaussure puis fait de même avec l’autre.

Je vois Serge, les yeux exorbités, son visage à moins d’un mètre du postérieur d’Alicia. Celle-ci se redresse, esquisse plusieurs pas de danse sur la pointe des pieds et tourne sur elle-même en faisant des mouvements de bras. Revenant vers moi, elle se déhanche lascivement et se caresse la poitrine. Puis, me tournant le dos, elle s’assied sur mes genoux, se laisse aller en arrière, lève les jambes, fait quelques battements de pied et se rassied normalement. Tout en se tortillant, elle me chuchote :

« Dégrafe mon soutif, c’est toi qui offres ta femme à tes amis ! Alors, c’est qui ton préféré pour être mon amant ? »

J’avale ma salive, ma gorge se noue d’excitation, puis je lui obéis et fais sauter l’agrafe.

De son bras droit, elle maintient fermement le soutien-gorge, se lève et rejoint à la corde en se dandinant. Regardant la bande de potes, elle écarte enfin son bras pour dévoiler ainsi sa poitrine à la vue de tous. Ils sont subjugués par le spectacle de ces seins fermes aux tétons dardés. Alicia se caresse, suce ses deux index et fait le tour de ses aréoles gonflées puis soupèse sa poitrine, elle la fait rebondir en l’offrant aux regards avides.

Elle me rejoint à nouveau, tend une jambe et pose un pied sur ma cuisse. Elle dégrafe les fixations du bas qu’elle roule ensuite vers la cheville et tire sur son extrémité pour le retirer. Elle se penche vers moi en prenant appui sur la chaise pour mieux mettre en valeur sa croupe et ses longues jambes, puis elle tourne sur elle-même, me tend l’autre cuisse, m’invitant ainsi à retirer le deuxième bas.

Elle danse quelques instants avant de retirer le porte-jarretelles pour ne plus porter que le minuscule string et arpente fièrement la scène en s’exposant. Elle s’arrête sur un côté et se place de trois quarts, ce qui nous permet à tous de bien la voir. Elle commence à caresser son sexe à travers le tissu, sa main remonte sur son ventre, puis redescend et se glisse sous la dentelle. Je peux voir ses doigts s’activer, je distingue clairement son majeur entrer profondément en elle alors qu’elle se masturbe. Son corps s’arque, elle donne des coups de reins en mesure avec la musique, j’ai l’impression que cela dure une éternité avant que sa main ne sorte de sa culotte et qu’elle ne revienne une fois encore vers moi. Elle me donne ses doigts à lécher et ronronne :

« On l’enlève, ou pas ? Ton choix ! Tu tires dessus et le dernier rempart à ma pudeur tombe. Je serai entièrement nue face à une horde de mâles affamés… Ça devrait te plaire ! À propos, il y a un de tes copains qui me fait carrément mouiller, j’espère que c’est lui qui va gagner ! »

Elle danse de nouveau et se déhanche. Ses seins suivent le rythme, elle se tourne, se trémousse, ses fesses ondulent, puis elle insiste :

« Attention, la musique est presque terminée, il va être trop tard pour me déshabiller complètement… Allez, soit gentil… Tes amis aimeraient sûrement me voir toute nue. Hé, j’ai une idée ! »

Elle repart, franchit la corde et attrape Richard par la main pour l’entraîner côté scène sous les applaudissements. Il lui murmure quelque chose à l’oreille en passant derrière elle. Elle se tourne vers le public, il saisit les ficelles du string et le baisse jusqu’aux chevilles, Alicia fait un pas de côté pour se libérer totalement de la culotte, écarte les jambes largement pour se faire admirer, puis fait un demi-tour… Et là, j’ai encore un choc : son sexe est totalement lisse, on dirait qu’elle est encore plus nue, le spectacle de cette fente sans toison me fait frémir de désir, mais déjà elle se retourne pour s’exhiber aux yeux de tous, franchit la corde et va se pavaner au milieu de ses admirateurs. Elle fait un petit bisou par ci et une caresse par là, plusieurs mains s’égarent, lui touchent les seins et les fesses, ce qui la fait roucouler de plaisir. Puis elle revient côté scène, fait signe à Richard de rejoindre les autres, se penche sur moi et me dit :

« Tu n’as même pas essayé d’empêcher ton ami de me mettre à poil, hein ? On dirait que ça te plaît, mon cochon ! Si moi aussi je me laissais aller à mes bas instincts, ce serait un gang-bang instantané au salon, ils sont tous dans un état pas possible. D’ailleurs, toi aussi, mon amour, tu as l’air d’être sur le point d’exploser… Je parie que si je me couche sur le dos et que je donne le signal, tu ne seras pas le dernier à me sauter dessus ! Chiche ? »

Je ne l’ai jamais entendue dire des trucs pareils et commence franchement à avoir peur.
Juste à ce moment, la musique stoppe, Alicia se baisse, attrape son string qui gît au sol et l’enfile en riant :

« Trop tard… On ne saura jamais, tu as eu chaud, non ? »

Elle se dirige vers le devant de la scène et fait une grande révérence. Tout le monde l’applaudit, siffle et manifeste son contentement, je pense que c’est aussi une façon de relâcher la tension. Puis elle repart vers le fond, ramasse le chapeau et me fait signe de la rejoindre. J’ai la gorge serrée, je tremble d’excitation, mon cœur bat à cent à l’heure. Elle est là devant moi, quasiment nue, vêtue uniquement de ce string minimaliste. Elle est légèrement essoufflée, ses seins se soulèvent au rythme de sa respiration… Qu’elle est belle !
J’approche, elle me fait un grand sourire aguicheur, sa main virevolte au-dessus du chapeau et fouille parmi les tickets. Elle les remue, les mélange et en choisit un qu’elle me tend en me chuchotant :

« Talaaaaa ! C’est le grand moment, tu vas devoir annoncer tout haut le nom de mon amant du soir, c’est super sexy, non ? Tu ne m’as toujours pas dit qui tu voudrais dans mon lit… Ou peut-être que tu préférerais tout arrêter ? »

J’ai une boule dans la gorge. Je prends le ticket, hésite à le lire, regarde machinalement dans le chapeau et constate que le même nom est inscrit sur tous les tickets… Je la regarde, elle me fait un clin d’œil et murmure :

« Parfois, il faut donner un coup de pouce au destin. Allez, dis-le maintenant, je suis sûre qu’on a choisi le même. »

« Carlo ! »

Je viens de prononcer son nom à haute voix.

« Ouaiiiis ! »

Applaudissements, sifflets… Les félicitations tombent pour le grand gagnant. Je comprends en les écoutant qu’ils ont adoré le strip-tease, qu’ils auraient tous voulu être à ma place, et qu’ils regrettent tous que ça n’ait pas duré plus longtemps.

Alicia ramasse les vêtements, me fait signe de la suivre dans la cuisine, referme la porte derrière nous et me saute dessus en m’embrassant fougueusement :

« Oh, je suis hyperexcitée ! J’ai failli jouir tout à l’heure. Masturbe-moi, il faut que j’évacue la tension ! »

Elle plaque son dos contre le mur, les bras en croix. Comme je m’apprête à me mettre à genoux, elle me stoppe :

« Non, avec tes doigts uniquement. Vite, branle-moi ! »

Je glisse ma main dans le string, son sexe est trempé, mes doigts glissent à l’intérieur de son vagin et je commence à la caresser, à faire des va-et-vient entre ses lèvres tout en lui suçant les seins, et il ne faut que quelques secondes pour que son corps se tende et qu’elle pousse d’énormes soupirs en se mordant les lèvres pour ne pas faire trop de bruit. Elle repousse ma main.

« Mon Dieu, j’en avais besoin, sinon j’aurais sauté sur le premier venu. Bon, je vais me faire toute propre pour Carlo et je reviens au salon… Va t’occuper de tes invités. »

Et elle s’éclipse. Quelques minutes plus tard, elle est de retour, vêtue d’une robe rouge moulante et courte. Elle a gardé son loup, mais a défait sa queue-de-cheval… Et ses longs cheveux blonds encadrent ses épaules. Elle se dirige vers Carlo et lui murmure quelque chose à l’oreille. Les deux s’enlacent brièvement puis vont s’asseoir dans le canapé, un peu à l’écart du reste du groupe. Elle croise haut les jambes, il a déjà posé une main sur son genou. Je ressentirais presque de la jalousie à voir à quel point Alicia a l’air d’être heureuse et pressée de se rouler dans les draps avec lui…

L’ambiance est bien retombée après l’intense excitation qui régnait il y a encore cinq minutes. Ça sent la fin de soirée et si les conversations continuent, on sent déjà que l’appel des lits se fait entendre. C’est la fin de la soirée et les discussions vont bon train, les commentaires élogieux pleuvent, tout le monde se souviendra de mes quarante ans. Je me rends compte qu’au moins trois vidéos ont été prises avec les téléphones, je n’avais rien vu pendant le spectacle, par contre, Alicia l’a forcément remarqué.

Un bruit de moteur. Je regarde dehors et je vois la moto de Carlo qui s’éloigne. Alicia est assise derrière lui. Collée à son dos, elle le cramponne fermement – cheveux au vent – et je me fais la réflexion qu’il est déjà entre les cuisses de ma femme… Le feu disparaît dans le lointain.

Mince, elle refuse toujours de rouler avec moi et là, sans hésitation, elle l’accompagne et n’a même pas mis de casque. J’ai comme une petite boule au fond de la gorge, c’est curieux ce mélange de désir, d’appréhension, ce sentiment de perte et en même temps d’excitation, d’anticipation. Mais je ne pensais pas qu’elle irait ailleurs, je croyais que… qu’est-ce que je croyais, au fait ? Je ne sais pas vraiment, elle a manifestement tout prévu et moi je suis dans le flou total, un peu idiot. Je fais quoi maintenant ? Je cogite dur.

Voilà, la maison est silencieuse. Après le départ de Carlo et de la « danseuse », tout le monde est venu me dire bonsoir, certains sont repartis chez eux, d’autres sont dans le coin dortoir de la grange, tous m’ont prié de remercier Alicia pour son organisation sans faille et pour le super spectacle, tous ont bavé sur le physique de l’artiste, mais pas un seul d’entre eux ne l’a reconnue…

Mon portable sonne, je décroche le cœur battant :

« Alicia, tu es où, ça va ? »

« Bien sûr ça va, pourquoi est-ce que ça n’irait pas ? »

« Toi, à moto, alors que d’habitude tu as peur, et sans casque, j’étais un peu inquiet. »

« Je pars avec un homme en pleine nuit et tu es inquiet à cause du casque ? »

« Bon, OK, compris, tu es où ? »

« Je suis chez une amie qui m’a prêté son appartement. »

« Tu n’es pas seule, j’imagine. »

« Oh non, je suis très bien accompagnée. »

« Eh, heu… Il sait que c’est toi ? »

« Il y a encore quelques secondes, je pense qu’il l’ignorait, mais comme il est collé derrière moi depuis cinq minutes en train de me caresser les seins et que mon téléphone est sur haut-parleur, là, je crois qu’il a compris… »

Un blanc.

« Tu sais, Amour, je vais me donner entièrement à Carlo ce soir, il pourra faire ce qu’il veut de moi, j’espère que tu es heureux… »

J’écoute les petits bruits que me transmet le téléphone.

« Mais tu vois, je ne suis pas encore prête à te savoir juste là. »

Oh non ! Je vais encore rater ça ! Elle reprend :

« Mais je me sentirais coupable de te tromper comme ça et te laisser sur ta faim, surtout pour ton anniversaire, alors j’ai pensé à quelque chose : va dans ton bureau, ton ordinateur t’attend, clique sur la nouvelle icône. Vas-y. »

Je vais au bureau. Ah, effectivement, il y a une icône « Alicia », je clique, à l’écran apparaît la vue d’une chambre avec un grand lit, personne. Alicia apparaît par un côté, elle porte toujours son loup, elle s’assied sur le lit face à la caméra, me regarde et dit :

« Voilà, à partir de maintenant on n’a plus besoin du téléphone, tu peux raccrocher. »

Elle pose son téléphone par terre, retire le loup.

« Bien, tu as le son, tu as deux caméras à ta disposition, une au pied du lit, l’autre sur le côté, tu n’as qu’à cliquer sur la flèche pour changer de vue. Ah oui, toi tu me vois et tu m’entends, mais moi je n’ai plus aucun contact avec toi. Je voulais te dire que je t’aime pour tout ce que tu fais pour moi, pour tout ce que tu me laisses faire et pour tout ce que tu me fais faire. Ton fantasme, on le réalise petit à petit, par paliers, comme ça, on ne l’use pas trop vite, il y a toujours une nouvelle étape, plus excitante. »

Elle me regarde par caméra interposée et me fait un baiser :

« J’espère que ta soirée sera aussi bonne que la mienne, parce que tu vas pouvoir constater dans quelques instants que j’ai vraiment bien fait de choisir Carlo ! »

Elle fait un petit signe et je vois Carlo entrer dans le champ, il est entièrement nu. Mince, je savais qu’il était bien fichu, mais pas à ce point ! Ce mec n’est pas très grand, mais il a un corps d’athlète : ses bras sont plus gros que mes cuisses et le comble est qu’il est super viril et super excité.
Il s’assied au côté d’Alicia, l’embrasse, l’enlace, commence à lui caresser la poitrine. Il fait rouler les pointes entre ses doigts puis tire une bretelle pour la faire glisser… Puis la deuxième, Alicia laisse tomber sa robe jusqu’à sa taille. Ses seins sont à peine couverts par le soutien-gorge noir en dentelle qui s’arrête largement sous les aréoles. Carlo commence à les embrasser tout en caressant le dos d’Alicia.
Tchic, le soutien-gorge est ouvert, Alicia l’attrape et le jette. Elle bombe la poitrine devant la caméra pour que je voie bien ses seins magnifiques, elle les saisit à pleines mains, les pétrit longuement, pince les tétons.

Carlo couche Alicia sur le lit et tire délicatement sur sa robe, ma femme soulève les fesses pour que celle-ci glisse, puis il retire le string, il le fait lentement glisser le long des jambes, avec la robe. Il les laisse tomber par terre, remonte sur le lit, se couche près d’Alicia et la caresse pendant de longues minutes. Ses mains en coupe enserrent les seins, les pressent, les remuent doucement pour mieux les soupeser. Carlo se délecte de leur fermeté, de leur poids, de la douceur de la peau si fine, il pince les tétons, puis sa main descend progressivement et se coule entre les cuisses d’Alicia qui fait d’abord mine de résister, mais se rend finalement lorsque les doigts se font plus pressants. Elle écarte alors lentement les cuisses. Comme à regret, la main se glisse plus avant dans l’espace ainsi libéré, les doigts fouillent, écartent encore les cuisses qui s’ouvrent de plus en plus largement, exposant totalement le sexe totalement épilé d’Alicia. Je vois les doigts de Carlo courir sur le mont de Vénus, glisser le long de la fente humide, exciter brièvement le clitoris puis redescendre et recommencer. Un doigt pénètre doucement l’intimité de ma femme qui soupire, émet de petits bruits, commence à haleter.

Elle se caresse les seins et moi je passe d’une caméra à l’autre pour ne rien perdre du spectacle.

Carlo introduit un deuxième doigt et commence à masturber Alicia en prenant tout son temps, en écoutant le plaisir de sa partenaire, je vois qu’il est focalisé entièrement sur ses réactions et qu’il n’a pour objectif que de la faire jouir intensément de chaque moment.
Il se laisse glisser lentement vers le bas du lit, embrassant et léchant ma femme au fur et à mesure de son mouvement, les tétons, les aréoles, le dessous des seins lourds, puis le torse. Il descend encore, embrasse le ventre, évite le sexe d’Alicia, ce qui la fait gémir de déception. Il lui embrasse passionnément l’intérieur de la cuisse, il est maintenant à genoux au pied du lit, il place ses mains sous chacun des genoux d’Alicia, puis les lui remonte en lui écartant les cuisses.

Devant mon écran j’ai une vue imprenable sur la vulve de mon épouse, luisante de son excitation… Puis le visage de Carlo se pose sur la fente qu’il commence à lécher, je passe en caméra latérale.

« Ahhhh ! »

C’est le premier cri de plaisir d’Alicia, suivi de halètements. Elle fixe la caméra, sourit entre deux petits cris, m’adresse un baiser coquin.
Carlo la lèche maintenant goulûment, je le vois entrer profondément sa langue dans le vagin d’Alicia qui se tord maintenant sur le lit, les deux mains sur la tête de Carlo, poussant et dirigeant pour maximiser le plaisir… Elle jouit une première fois, ses doigts dans les cheveux de Carlo qui continue son cunnilingus, elle l’exhorte :

« Ah oui ! Oui, continue, vas-y, c’est bon, c’est b… ! »

Elle jouit une deuxième fois et décolle ses fesses du lit dans un spasme violent, puis retombe, les bras écartés.
Il continue de la lécher et se consacre maintenant au clitoris, ce qui arrache des cris de plaisirs à ma femme qui se tord sur le lit, les mains crispées sur la couette, les jambes complètement écartées dans le plus total abandon.
Carlo remonte lentement sur le lit tout en l’embrassant, sur le ventre, les seins, les épaules, la bouche. Sa verge est maintenant au-dessus du sexe d’Alicia sur lequel il se frotte doucement. Je vois son gland glisser le long de la fente… Alicia me fixe, le regard fiévreux elle s’arque pour mieux sentir le contact sur sa vulve.

Il va la prendre, le gland commence à écarter les lèvres, mais Alicia le stoppe de la main. Elle se caresse avec la verge tendue, faisant durer l’attente avant le moment fatidique où elle se fera pénétrer. Pas un instant ses yeux ne cessent de regarder la caméra, elle gémit doucement tout en me souriant, semble hésiter encore un moment, puis lâche la verge de Carlo qui a bien compris et qui s’enfonce doucement, très doucement.
Je vois la verge disparaître petit à petit dans la moiteur du sexe de mon épouse qui pousse un petit cri lorsque la couronne du gland force le passage, alors elle lui saisit les fesses et le pousse en elle, m’adresse un baiser en fermant les yeux, puis son visage se tord sous la force du plaisir. Elle pousse encore, son bassin entre en contact avec celui de Carlo. Désormais, c’est lui qu’elle regarde, elle jouit sous les coups de boutoir. Elle crie et Carlo la pilonne sans relâche, je vois sa verge entrer et sortir pendant de longues minutes.

Alicia gémit sans fin maintenant, elle peut à peine respirer, sa tête roule d’un côté et de l’autre, elle écarte les bras en croix, ses mains se crispent sur la couette, parfois elle relève la tête et regarde cette verge qui la laboure, elle pousse des gémissements et des cris incohérents et brusquement ses yeux se révulsent, elle hoquette, son corps se tend, elle a plusieurs spasmes. Sa tête retombe sur l’oreiller, elle a les yeux fermés la bouche grande ouverte pendant que Carlo continue de lui faire l’amour pendant quelques secondes avant de jouir à son tour longuement. Je le vois donner les derniers coups, se raidir pendant qu’il éjacule longuement au fond de ma femme crucifiée sous lui, puis il bascule sur le côté et se couche sur le dos.

Les deux sont haletants, luisants de sueur. Petit à petit, leurs respirations s’apaisent, Alicia a toujours les yeux fermés. Pendant plusieurs minutes ils gisent côte à côte inertes.

Enfin, Alicia se redresse. Elle se met à califourchon sur Carlo, se frotte langoureusement sur lui. Je vois ses fesses rouler, son sexe frotter la verge de Carlo. Elle se penche un peu plus et l’embrasse goulûment, il l’étreint en retour et je vois son sexe gonfler sous le retour du désir. En quelques instants, ma merveilleuse épouse a fait fonctionner sa magie et l’a remis en forme.

Changeant de position, elle le fait se déplacer aussi, mais le laisse sur le dos, puis elle remonte sur lui. Maintenant, ses fesses et son sexe sont exactement en face de la caméra, et lorsqu’elle passe sa main derrière ses fesses pour saisir la verge gonflée et la guider en elle, j’ai une vue parfaite de ma femme chevauchant son amant pour notre plus grand plaisir à tous les trois. Elle monte et descend et absorbe la totalité du sexe de Carlo, elle accélère un peu son rythme et je passe sur la caméra de côté. Ses seins remuent en cadence et caressent la poitrine de Carlo, je connais bien cette impression soyeuse des seins d’Alicia lorsqu’elle est dans cette position, elle s’arrange pour que ce ne soit qu’un tout léger frottement, mais ses tétons me mettent toujours dans un état d’excitation incroyable, et c’est aussi le cas pour Carlo qui bombe le torse pour mieux les sentir sur lui. Il saisit le visage d’Alicia et l’embrasse à pleine bouche sans qu’elle cesse ses mouvements, au contraire elle accélère encore puis se redresse en prenant appui sur le torse de Carlo pour le chevaucher plus sauvagement.

Il grogne de plaisir, elle soupire. Il lui pétrit les seins à pleines mains, elle pousse un petit cri d’approbation et se déchaîne sur lui. Manifestement, elle a décidé de le dominer et de le faire jouir en premier. Après quelques minutes ponctuées de halètements, de gémissements provenant des deux amants, brusquement, Carlo donne un énorme coup de reins et jouit une deuxième fois dans le sexe de ma femme, elle jouit quasi simultanément dans une explosion de cris et se laisse tomber sur Carlo qui l’étreint férocement tout en finissant de se vider en elle. Je vois les fesses d’Alicia qui frémissent, ses flancs qui se soulèvent pendant qu’elle cherche son souffle.

Je suis à la fois hyperexcité sexuellement ; hyperheureux d’avoir vu ma femme faire l’amour, et de quelle façon ! Hyperheureux de savoir qu’elle a été heureuse ce soir et en même temps triste de ne pas pouvoir la prendre dans mes bras, l’étreindre, partager toute cette joie, tout mon amour, tout son amour.

À l’écran, je vois Alicia basculer sur le côté, les jambes encore grandes ouvertes, la poitrine arrogante dans sa plénitude. Elle caresse son sexe comme machinalement puis saisit ses seins à pleines mains, les pétrit, étire légèrement les tétons, elle pousse un grand soupir de contentement, et en regardant la caméra, elle me dit :

« Joyeux anniversaire, mon amour, à tout de suite. »

Elle tend la main vers la table de nuit, l’écran devient noir, fin de transmission.

Une vingtaine de minutes plus tard, j’entends le bruit d’une moto qui s’arrête devant la maison, le moteur reste au ralenti pendant deux ou trois minutes puis la moto repart. La porte d’entrée s’ouvre puis se referme. Des bruits de talons jusqu’à la porte de la chambre, Alicia s’adosse au montant et me regarde :

« J’ai failli lui dire d’entrer… »

Elle se déshabille en un tournemain, se jette sur le lit, se met sur le dos les bras en croix et me murmure langoureusement :

« Je suis épuisée, vidée… Je ne pourrai plus jouir de la soirée et je n’ai pas pris de douche, mais si tu veux me sauter quand même, je suis à toi. »

Elle écarte les cuisses en grand et me regarde d’un air mutin :

« Venge-toi mon amour, baise-moi ! »

Quand c’est demandé gentiment…

« HAPPY BIRTHDAY ! »
A Suivre

Véronique et Julie

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