Ma meilleure amie !
Christelle, c’est ma meilleure amie. Nous nous connaissons depuis très longtemps, elle a presque le même âge que moi, la soixantaine, toujours coquette et toujours sexy. D’ailleurs nous nous sommes mariées à une semaine d’intervalle. Son mari, c’est André, copie conforme de Roger, mon mari.
Nous nous voyons régulièrement Christelle et moi, une fois chez elle, une fois chez moi, toujours quand nos maris sont absents, pour pouvoir papoter tranquille.
Il y a quelque temps, j’étais chez elle, mon « coup de canif » avec Damien me brûlait les lèvres, je devais lui raconter. Elle m’a écouté, avec un air un peu surpris et quand j’ai terminé mon récit… elle a éclaté de rire.
« Enfin ! Je croyais que tu allais finir ta vie sans baiser ! »
Je ne m’attendais pas à cette réaction, venant de la sage Christelle, du moins c’est ce que je croyais.
« Qu’est-ce que tu crois, si je dois attendre qu’André me baise, les poules auront des dents ! Non je fais mon marché, je me tape des petits jeunes et autres, et ça fait un bien fou ! Quand j’ai envie de baiser, je baise ! »
« Quand tu me vois partir le mardi, ce n’est pas uniquement pour faire des courses ! »
Je n’en revenais pas, sous son apparence de femme mariée bien à tous égards, Christelle était une cougar, comme quoi je la connaissais mal.
« J’ai une idée, mardi prochain viens avec moi, je vais te présenter quelqu’un, c’est Gatien, mon sexfriend, comme on dit maintenant. Ce n’est pas un intello, mais il en a dans le pantalon et il sait s’en servir, crois-moi ! »
Et mardi, Christelle est venue me chercher. Curieusement elle portait un long manteau, devant mon étonnement, elle l’a ouvert, ‘’ooooohhhhh » Christelle ne portait que de la lingerie, soutien-gorge pigeonnant en dentelle noir, string, bas avec porte-jarretelles, s’il vous plaît ! Et talon haut, de quoi exciter la bête, comme elle m’a lancé, et puis comme ça, on gagne du temps !
Nous avons roulé une petite demi-heure, direction un petit village Vendéen. Christelle s’est arrêtée devant un immeuble défraîchi, je l’ai suivie. Nous sommes entrées dans un long couloir a peine éclairé, au bout un vieil escalier, et nous sommes montés au premier étage. Une porte est entrouverte et dans l’encadrement, Gatien, en jeans, torse nu. Le bad boy avec ses tatouages et sa barbe de trois jours, nous sourit et nous fait entrer.
Un petit studio ! Une petite cuisine, une pièce principale, du vieux mobilier avec dans un coin, un grand lit en fer, un peu défoncé et au mur un poster représentant BRUTUS un énorme taureau en furie, qui fait peur.
« Gatien, comme je te l’avais dit je te présente, Alicia mon amie, j’ai pensé que tu serais content de la voir ».
Gatien s’est approché, d’un air goguenard, j’étais un peu tendue. Il m’a regardé de la tête aux pieds, en passant derrière moi, il m’a caressé les fesses.
« Pas mal la bourgeoise, alors tu veux voir ce que je fais à ta copine, regarde ! »
Je me suis assise sur le vieux canapé poussiéreux, Christelle a enlevé son manteau, je ne la reconnaissais plus. Elle s’est installée à quatre pattes sur le lit, complètement soumise. Gatien s’est placé derrière elle, a déboutonné sa braguette, libéré son sexe, une claque sur les fesses de Christelle.
« Alors ma vieille salope, tu es venue pourquoi ? Dis-le à ta copine ! »
« Pour me faire baiser ! »
« Plus fort ! »
« POUR ME FAIRE BAISER ! »
« Oui et tu aimes ça. Dis-le que tu aimes ça, vieille cochonne ! »
« Oui j’aime ça ! »
Christelle se faisait insulter, maltraiter par ce gars et elle en redemandait. D’un coup, Gatien a descendu le string. Pas de caresse, pas de préliminaire, une nouvelle claque sur les fesses et sa bite est entrée en force dans sa chatte. Il l’a prise par les hanches et a commencé à la pilonner.
« Alors ma salope, dis-moi qu’est-ce que tu veux là ? »
« Que tu me défonces ! »
« Plus fort, que ta copine t’entende ! »
« QUE TU ME DÉFONCES ! »
Le lit grinçait, les yeux fermés, Christelle gémissait, lâchait de petits cris, je dois dire que la scène m’excitait ! C’est vrai qu’il sait s’en servir. Le cul de Christelle appartenait à Gatien, il en faisait ce qu’il en voulait et elle aimait ça !
Quand il l’a enculée, Christelle s’est accrochée aux barreaux du lit, Gatien continuait à l’insulter, il était à fond et elle criait son plaisir et tant pis pour les voisins.
Le lit ne grinçait plus, Gatien s’est reboutonné, laissant Christelle pantelante allongée sur le lit, elle avait un grand sourire… Comblé !
« Alors la bourgeoise, ça t’a plu ? »
« Tu en veux toi aussi ? Suffit de demander ! »
Christelle m’a glissé à l’oreille, « profite ! » Elle avait raison, ma devise était maintenant « prendre un maximum de plaisir ! »
« Allez la bourgeoise, déshabille-toi, que je vois si tu es baisable ! Ou plutôt non, Christelle déshabille là ! »
Fantasme masculin, voir une femme déshabiller une autre, et plus… Comme je le disais, cela fait longtemps que je connais Christelle, mais je ne la savais pas aussi… Tactile ! Oui, elle m’a déshabillé, mais ses mains se sont souvent perdues sur ma peau, mes seins, mes fesses, au grand plaisir de Gatien, le voyeur.
« Et si ma vieille salope… léchait la bourgeoise, je veux voir ça ! »
Christelle n’avait pas l’air troublée, que du contraire, mais pour moi, c’était nouveau, les mains d’une femme sur ma peau, sa bouche qui descend le long de mon ventre et se pose sur ma chatte.
« Non Christelle ! »
« Chut, laisse-toi faire, tu vas aimer ! »
C’était doux, chaud, Christelle savait y faire avec sa langue.
Gatien se branlait en nous regardant, je savais que cette queue, bien tendue allait être pour moi.
Cette fois-ci c’est moi qui me suis retrouvée à quatre pattes sur ce lit défoncé,
« A ton tour vieille cochonne ! » a lancé Gatien.
Il m’a prise par les cheveux, et directement, il m’a sodomisée. Christelle a commencé à me caresser, à m’embrasser, j’étais troublée, coincée dans mon éducation, un homme, une femme, je découvrais de nouveaux plaisirs !
Il m’a fait mal, mais j’ai aimé ça ! J’en voulais, j’en ai eu !
Voilà nous nous sommes arrangé, Christelle voit Gatien le mardi et moi… le mercredi ! Humm ! Gatien était ravi ! Et Christelle et moi nous nous sommes donné rendez-vous une fois chaque semaine pour une relation saphique afin de parfaire notre relation saphique.
Roger est rentré tard, petite phrase habituelle
« Tu as passé une bonne journée ? »
Je n’ai pas eu le temps de lui donner une réponse, qu’il avait déjà allumé la télé.
Vivement mercredi !
À suivre !!
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