Inattendu !
Je devais voir Christelle, et j’étais impatiente de la retrouver surtout, j’étais impatiente de baiser avec elle. Notre dernière rencontre m’avait laissé un goût de trop peu. Envie folle de sentir sa peau sous mes mains et de redécouvrir son corps avec ma bouche.
Roger allait partir au boulot, il savait que je voyais Christelle aujourd’hui « entre copines » pour le reste… Chut !
Mais c’est quelques minutes après son départ, que j’ai reçu ce coup de téléphone de Christelle, très triste. Son mari, André avait pris congé à la dernière minute, donc impossible de nous voir !
Oh non ! Christelle et moi étions comme on dit chez nous, dé foutues tristes. Mais, juré, quoi qu’il arrive, nous nous voyons la semaine prochaine.
Alors quand j’ai le moral dans les talons, il n’y a qu’une seule chose qui puisse me le remonter un peu c’est… le shopping.
J’ai pris mon temps, comme ont dit, j’ai fait chauffer la carte, mon compte va encore en prendre en coup ! Tant pis ! J’ai trouvé un petit ensemble de lingerie, Humm ! Réservé à ma prochaine rencontre avec Christelle !
C’est en rentrant de cette journée qui avait mal commencé, a pris une tournure tout à fait inattendue. Je remontais la rue sur le trottoir, quand en arrivant presque à la hauteur de la maison, la voiture de mon mari est passée à côté de moi. Je me suis dit :
« Tiens Roger rentre déjà ? »
Étonnée, j’ai vu la voiture entrer directement dans le garage, et encore plus étonnant, il me semblait qu’il y avait quelqu’un à côté de lui !
J’ai pris la petite rue qui mène derrière la maison, traversée rapidement le jardin. Par chance, j’avais la clé de la porte de derrière, en silence je suis entrée. Pas de bruit, ou plutôt si, des bruits étouffés venant de l’étage. Et c’est au pied de l’escalier que j’ai commencé à comprendre. Au sol, le veston de Roger, un manteau de dame, une paire de chaussures à hauts talons et un string. Mon cher mari était en train de s’envoyer en l’air dans notre lit. Bon, je n’avais pas fait mieux avec Gatien, donc comme on dit : un partout !
J’ai enlevé mes chaussures, et je suis montée sur la pointe des pieds. Par chance, notre salle de bains a une porte dans le couloir et est contiguë à notre chambre, je vais pouvoir voir par entrebaiement de la porte qui donne dans la chambre.
Et quelle vision ! Par la porte entrouverte, mon cher et tendre debout et Hélène, une de ses collègues, à genoux en train de le sucer. Elle ne porte plus qu’une minijupe en cuir. J’ai déjà rencontré Hélène, même pas trente ans, lord d’une réception de l’entreprise qui les emplois, Roger me l’avait présentée comme sa nouvelle secrétaire personnelle et je vois, aujourd’hui, qu’elle est très, très personnelle. En tout cas, la garce n’avait pas l’air farouche et avait l’air d’aimer la queue de mon mari qui allait et venait dans sa bouche.
Entre parenthèses, il y avait longtemps que je ne l’avais plus vue, en aussi bonne forme, il faut dire que cela fait un long moment qu’elle m’a plus visitée ! Je voyais le sperme couler sur les lèvres de sa secrétaire.
Roger l’a prise par les cheveux, et l’a jetée à plat ventre à moitié sur le lit, les jambes écartées d’Hélène touchaient le sol. Décidément, j’allais de surprise en surprise. Sa bite était de nouveau bien droite, tendue comme jamais, Hélène l’encourageait « va y mon étalon défonce moi ! » J’ai vu Roger la prendre brutalement par-derrière dans les trous.
Je n’en revenais pas ! Mon mari, un étalon ! Derrière l’habitué du canapé se cachait un super baiseur. Hélène en redemandait, pendant un long moment, elle a subi avec un plaisir non dissimulé, les assauts répétés de Roger dans de multiples positions et même certaines que je ne connaissais pas. C’était trop ! Il fallait que j’intervienne ! Je suis donc entrée dans la chambre… nue et tout excitée. Moi aussi j’en voulais de cette queue au garde à vous qui donnait tant de plaisir à Hélène.
Roger m’a vu, il n’avait pas l’air surpris, j’ai su par après qu’il avait remarqué ma présence. Hélène, elle, ne m’avait pas vu, le visage enfoncé dans la couette et le cul bien relevé, bourré par Roger.
Je me suis allongée à côté d’elle sur le lit, là, elle m’a vu, un grand sourire, pas inquiète d’être découverte en train de baiser avec mon mari.
« Bonjour Alicia… tu en veux aussi ? »
« Oui ! Oh que oui que j’en veux depuis le temps ! »
Quand Roger m’a prise par les hanches, tous les souvenirs de nos premières baises sont revenus, je savais que cela allait être bien. Je n’ai pas été déçue, au contraire j’ai retrouvé mon Roger, et malgré ses 64 ans, il était en forme.
Hélène me caressait les seins et m’embrassait pendant qu’il me défonçait. Nous nous sommes partagé Roger une bonne partie de l’après-midi, moi, surtout sa queue, j’avais du temps à rattraper. Pour la première fois depuis des années je l’ai repris en bouche, j’avais oublié que j’adorais ça ! Hélène était parfois un peu en retrait, nous laissant, Roger et moi, nous retrouver. Ah Hélène ! Sa peau douce sous mes mains m’avait troublée, décidément, j’aime de plus en plus les femmes… les hommes aussi bien sûrs ! Il faudra absolument que l’on se revoie.
Roger a reconduit Hélène. Quand il est rentré, j’étais toujours allongée sur le lit, et quand il a ouvert la porte de la chambre, j’ai écarté les cuisses :
« Viens »
Quelle nuit !!
À suivre !!
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