...
Histoire de Sexe Histoires Taboues 2025 : Vos Fantasmes les plus Secrets

Après mon divorce, ma patronne m’initie au désir féminin

On t'offre 200 jetons et 1 semaine de test Ultimate sans conditions : Teste le générateur IA Photos & Vidéos !   

Je m’appelle Claire, j’ai 39 ans, et je vis à Paris, dans un appartement modeste du 11e arrondissement, non loin de Bastille. Nous sommes en juillet 2025, la ville ploie sous une chaleur oppressante, les pavés brûlants et les terrasses bondées exhalant une odeur de vin et de transpiration. Mon divorce vient d’être prononcé il y a trois mois, après quinze années avec Marc, un mariage qui s’est éteint dans l’indifférence et les silences. Désormais seule, je me débats entre le soulagement et un vide que je ne sais pas combler. C’est dans ce tumulte que Hélène, ma patronne, est entrée dans ma vie d’une manière que je n’aurais jamais imaginée.

Hélène a 52 ans et dirige l’agence de communication où je travaille comme graphiste depuis sept ans. Elle est imposante, dans tous les sens du terme : une silhouette généreuse, des hanches pleines qui tendent ses tailleurs, une poitrine opulente qu’elle assume sans détour, et des cheveux auburn qui cascadent sur ses épaules. Ses yeux noisette ont une intensité qui me déstabilise souvent, et sa voix, grave et assurée, résonne dans les réunions comme une caresse autoritaire. Depuis mon divorce, elle m’a prise sous son aile, m’invitant à déjeuner, me confiant des projets ambitieux, et je sentais, sans oser l’admettre, une tension grandir entre nous.

Ce soir-là, elle m’a conviée chez elle, dans son loft élégant du Marais, sous prétexte de discuter d’une campagne urgente. La pièce était baignée d’une lumière dorée, les fenêtres ouvertes laissaient entrer l’air tiède et les murmures de la rue. Elle portait une robe fluide, noire, qui épousait ses courbes sans rien cacher, et moi, une jupe légère et un chemisier blanc, mes cheveux châtains détachés pour une fois. Nous avons partagé un verre de chardonnay, assis sur son canapé en cuir, et la conversation a glissé, imperceptiblement, vers l’intime. “Claire, tu mérites mieux que ce que tu as vécu,” m’a-t-elle dit, ses doigts frôlant mon poignet. Mon souffle s’est coupé, et je n’ai pas retiré ma main.

Elle s’est rapprochée, son parfum – un mélange de jasmin et de bois – m’enveloppant comme une vague. “Laisse-moi te montrer quelque chose,” a-t-elle murmuré, et avant que je puisse répondre, ses lèvres ont trouvé les miennes, chaudes, pleines, d’une douceur inattendue. J’ai hésité, puis cédé, mes mains tremblantes posées sur ses épaules, son corps pressé contre le mien. Elle m’a guidée sur le dos, la robe glissant sur ses cuisses épaisses, et j’ai senti son poids, sa présence, me clouer au cuir frais. Elle a défait mon chemisier, bouton par bouton, ses doigts effleurant ma peau, et mes seins, petits mais sensibles, se sont tendus sous son regard.

Hélène a ôté sa robe d’un mouvement fluide, révélant une lingerie rouge sombre, son ventre rond, ses hanches marquées par des plis doux, et cette poitrine qui débordait de son soutien-gorge. Elle l’a dégrafé, laissant ses seins tomber, lourds, les aréoles larges et sombres, et elle m’a attirée contre elle, ma bouche trouvant instinctivement un téton. J’ai sucé, timidement d’abord, puis plus fort, sa chair chaude et salée sous ma langue, un gémissement rauque vibrant dans sa gorge. “Continue,” m’a-t-elle soufflé, et j’ai obéi, mes mains explorant ses flancs, pétrissant la peau tendre de son ventre.

Elle m’a allongée complètement, a relevé ma jupe, écarté ma culotte trempée avec une assurance qui m’a fait frissonner. Ses doigts ont glissé sur ma fente, déjà moite, et elle a plongé en moi, deux doigts épais qui m’ont arraché un cri étouffé. “Tu es si sensible,” a-t-elle dit, sa voix basse, et elle m’a caressée, lentement, ses yeux rivés aux miens pendant que mon bassin se soulevait malgré moi. Puis elle s’est penchée, sa langue large et chaude a léché ma chatte, s’attardant sur mon clitoris gonflé, et j’ai senti une vague monter, mes cuisses qui tremblaient contre ses joues.

Elle s’est redressée, a ôté sa culotte, dévoilant une toison brune fournie, humide, qui cachait ses lèvres épaisses. “Viens,” m’a-t-elle ordonné, et elle s’est assise sur mon visage, son poids m’enfonçant dans les coussins, son sexe pressé contre ma bouche. L’odeur était forte, musquée, mêlée de sueur et de désir, et j’ai léché, maladroite mais avide, ma langue glissant entre ses plis, goûtant sa moiteur salée. Elle gémissait, ses hanches ondulant, ses seins qui dansaient au-dessus de moi, et j’ai senti son plaisir couler sur mon menton, un liquide tiède qui m’inondait.

Hélène m’a relevée après, m’a embrassée encore, nos goûts mélangés sur nos lèvres, et elle m’a pénétrée avec ses doigts pendant que je faisais de même, mes mains perdues dans sa chair pulpeuse. On a joui ensemble, un cri partagé, nos corps collés, trempés, dans cet été parisien qui semblait suspendu. Elle m’a serrée après, “tu es à moi, maintenant,” et j’ai souri, encore étourdie. Mon divorce m’a libérée, mais Hélène m’a révélée, et je sais que ce n’est que le début.

Comment avez-vous trouvé cet article?

Cliquez pour voter !

paragraphe 4 ia porn

Appréciation Moyenne / 5. Total des votes :

Pas encore de vote. Soyez le premier à voter !

Info : Cet article a été créé avec l’aide d’une intelligence artificielle et peaufiné par nos soins pour rester authentique et utile. L'IA a été utilisée pour la mise en forme et la vérification des informations données. ia porn generator free tokens"baise

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire

Crée tes images et vidéos avec le générateur porno IA GRATUIT

generateur porno gratuit

Liste des histoires taboues

Voir la liste des histoires taboues par ordre alphabétique

Naviguer par catégories

Générateur Porno IA

generateur porno gratuit