Après tant d’années d’abstinence, Lucette revit. chapitre 1
Marc jeune marié, emménage avec sa femme Audrey, c’est chez sa maman Lucette, veuve depuis plusieurs années, en attendant que leur appartement soit rénové. Ils sont accueillis à bras ouvert par la maman. Cela fait déjà un bon moment que les trois cohabitent, cela se passe à merveille. Des liens se nouent, entre Audrey, et Lucette. Malgré la différence d’âge, elles s’entendent parfaitement bien.
Audrey est une femme très sociable, toujours souriante. Etant Prof, elle profite de ses vacances scolaire.
Entre deux corrections de copies, elle propose à sa belle-maman, de profiter avec elle, des rayons du soleil. Très prude Lucette peine à montrer son corps. cette femme d’une cinquantaine d’années, aux formes généreuses, et très discrète. On ne lui connait aucune relation intime.
Audrey réussit à la convaincre. Lucette enfile un maillot de bain, et se regarde dans le miroir en faisant la moue. Elle trouve que le maillot la boudine, et qu’il met trop en évidence ses formes. Audrey passe en bikini devant la chambre de Lucette dont la porte est ouverte. Sa belle-maman l’interpelle :
Audrey, vous pouvez entrer s’il vous plait !
Elle dit en rougissant :
-Avec se maillot sur le dos, j’ai l’impression d’être affreuse, vous voyez comme il me moule les fesses, sans parler de mes seins, regardez, comme ils débordent, j’ai honte de porter une chose si minuscule !
Audrey très souriante lui répond :
-Mais Lucette vous êtes magnifique, vous avez un corps de rêve, il vous va très bien ce maillot !
Audrey se place derrière sa belle-maman et tire sur le tissu, pour l’ajuster. Au contacte des mains sur son corps Lucette se cabre légèrement. Enfin convaincue, Lucette suit sa belle-fille.
Les deux femmes prennent place sur serviette éponge étendue sur l’herbe jaunie par le soleil. Mais au bout de quelque temps, la peau laiteuse de Lucette rougit. Audrey dit :
-J’ai de la bonne pommade protectrice, je vais vous en mettre sur les dos !
Elle s’absente un instant, et revient avec un tube. Elle s’agenouille à côté de sa belle-maman, et habilement dénoue le soutien gorge, et dégage d’un geste leste les épaules des bretelles. Elle fait gicler quelques perle de crème sur le dos de Lucette, et l’étale doucement, en faisant avec sa main de petits cercles. La douceur des mains de sa belle-fille, sur sa peau, fait soupirer profondément Lucette.
Elle croise ses bras, et pose son front dessus, en cachant son visage surement rouge de honte. La gêne que récent Lucette est visible, son corps fébrile est secoué de frissons. Elle n’ose pas relever la tête tellement, elle est honteuse. Audrey continue de frictionner très lentement le corps magnifique de sa belle-maman. A chaque fois que les mains douces passent sur une partie sensible de son corps, Lucette frissonne. Audrey lui dit avec beaucoup de tendresse :
-Ce que votre peau est douce, belle-maman, une vraie peau de bébé !
Les mains en longeant les flancs, glissent sur une partie des lobes mammaires, en faisant cabrer légèrement Lucette.
Les mains ne caressent plus, maintenant elle malaxent le bas du dos, elles glissent sur les reins, à la limite de la culotte.
Lentement les doigts s’infiltrent sous le tissus, et glissent sur le haut des fesses. Lucette ravale sa salive, en déglutissant bruyamment.
En progressant sur les fesses bien rebondies, les mains entrainent la culotte. Lentement. Avec des gestes bien ajustés, Audrey découvre les fesses bien bombées de sa belle-maman. Elle les empoigne, les pétris en enfonçant ses doigts dans la chair souple.
Lucette souffle, mais ne repousse pas la masseuse improvisée. Elle cambre même sa croupe. Les doigts agiles s’insèrent dans le large sillon qui sépare les demi- sphères, et glissent sur l’anus. Audrey appuie le tranchant de la main sur le muscle rectal. Lucette se cabre en poussant un long gémissement, qu’elle étouffe en se mordant la main. Enfin en délaissant les lobes fessiers, Audrey demande à sa belle-maman de se mettre sur le dos. Lucette rouge comme une pivoine obtempère. Elle remonte comme elle peut sa culotte, et rajuste son soutien gorge.
Audrey fait gicler quelques gouttes de pommade, sur le haut des seins et le ventre plat de Lucette qui ferme les yeux. Elle étale délicatement la crème sur haut du torse, passe ses mains sous le soutien gorge, et dégagent les seins. Les masses de de chair, s’étalent mollement sur le torse. Audrey regarde un long moment les mamelons larges et épais. Elle se pince les lèvres en ne les quittant pas des yeux. Elle englobent de ses mains agiles les seins, les pressent puis les massent longuement. Lucette serre les poings, ses mamelons sont devenus monstrueux. Enfin les mains quittent les seins, et frictionnent longuement le ventre plat.
Les doigts passent sous le tissu, et comme pour les fesses ils entrainent la culotte. Les doigts agiles s’avancent du temple, en faisant des cercles qui se rapprochent du temple. Quelques fois, volontairement, ils passent sur la fente, avant de remonter sur le ventre. Inconsciemment, Lucette entrouvre les cuisses. Audrey remarque que sa belle-maman mouille terriblement. Sans savoir pour quelle raison, elle lui plaque sa main sur la vulve et la presse plusieurs fois. Elle sent sous ses doigts le clitoris qui à doublé de volume. Audrey, se ressaisit, elle retire sa main, et remonte lentement le maillot pour couvrir la vulve suintante. Elle replace le soutien gorge et dit :
-Voila, c’est finit, il ne nous reste qu’à se faire lécher par les rayons du soleil !
Lucette reste dans cette position, un bon moment, sans faire de mouvements, avant de reprendre ses esprits. Ses yeux sont humides, son visage est rouge pivoine. Elle ose à peine croiser le regarde de sa belle-fille. Audrey, souriante lui dit :
-Lucette vous êtes magnifique, j’envie votre corps !
Lucette se pince les lèvres sans répondre. L’heure tourne, il faut préparer le diner, les deux femme se mettent à l’ouvrage. Après le diner, et la douche, Lucette enfile sa courte nuisette et monte dans sa chambre. Marc reste au salon devant la télé. Audrey après sa douche, c’est revêtue d’une nuisette ultra courte transparente, et monte rejoindre sa chambre.
Mais avant, elle frappe à la porte de Lucette, qui lui dit d’entrer. Belle-maman semble troublée, elle regarde un long moment sa belle-fille, avant que celle-ci, ne s’avance vers elle.
Audrey l’enlace et lui donne un baiser pour lui souhaiter une bonne nuit. Lucette, timidement, lui dit en marmonnant:
-Aujourd’hui, Audrey, ce que vous m’aviez fait pendant la journée, m’a troublée énormément, j’en suis encore bouleversée. Vos mains sur mon corps, je les sens encore, vous avez des mains de fée ma parole !
Audrey souriante se laisse tomber sur le lit, et en regardant belle-maman dit :
-Pour être franche, moi aussi j’ai été troublée, je ne sais pas ce qui m’a prise, à un moment je vous ai même désirais, heureusement que j’ai su me reprendre !
Lucette écarquille les yeux et dit :
-Vous me désiriez ?
Audrey répond sans se formaliser :
-Oh oui, ce n’est la première fois qu’une femme me fait cet effet, je sais que c’est insensé, mais encore maintenant, je suis attirée par vous !
Lucette reste coite, elle regarde intensément sa belle-fille, et dit faiblement :
-Je vous attire, et cela ne vous dérange pas, que je sois une femme ?
En se pinçant les lèvres, Audrey répond :
-Non pas du tout, j’ai déjà eu des relations lesbiennes, lorsque j’étais étudiante en internat à l’université !
Lucette sursaute, curieuse elle s’assoit à coté d’elle, en disant :
-Comment que c’était avec vos amies, vos jouissances étaient aussi intenses qu’avec les hommes !
Audrey, réplique :
-Ce n’est pas du tout pareil, les femmes sont beaucoup plus douces, plus attentionnées, elles connaissent nos points sensibles, les hommes bien sûr sont plus virils et violents, c’est autre chose, les jouissances ne sont pas les mêmes !
Lucette a les yeux qui luisent. Audrey, lui demande :
-Et vous, jamais avec une femme ?
Lucette presque outrée, répond :
-Oh non, jamais une idée pareille ne m’a efflorée, à tort peut-être !
Audrey l’enlace et lui dit tendrement :
-Vous, voulez sauter le pas !
Lucette sursaute, ses yeux jettent des flammes. Elle répond avec beaucoup de trémolos dans la voix.
-Mais jamais je n’oserai faire une chose pareille, c’est immorale !
Audrey enfonce le clou et ajoute :
-Mais cet après midi, lorsque je vous passais la pommade, j’ai remarqué que vous mouillez !
Lucette rougit et ne peut nier l’évidence :
-Oui c’est vrai, j’étais au bord de la jouissance, je suis impardonnable !
Audrey, lui relève le menton avec deux doigts et lui dépose un gros baiser bruyant sur les lèvres, avant de répondre :
-Mais belle-maman, il ne faut pas avoir honte c’est la nature !
Bien que beaucoup plus jeune que Lucette, Audrey prend l’initiative. Elle bascule doucement sur le lit belle maman, et se colle contre elle. Les deux corps sont brûlants. Lorsque sa belle-fille pose sa main sur sa cuisse, Lucette frissonne. En la regardant droit dans les yeux, Audrey glisse sa main sous la nuisette, et longe la cuisse. Doucement, l’intruse avance vers le centre des plaisirs. Lucette est rouge vif, elle tremble. Mais dès que la main se plaque contre sa vulve, elle se cabre en disant :
-Non Audrey il faut être sage, vous êtes un monstre, non, non, il ne faut pas !
Les longs doigts fins d’Audrey, glissent sur la fente, qui rapidement s’humidifie. Résignée, elle ne repousse pas sa belle-fille, automatiquement, elle ouvre les cuisses, sans refuser les caresses. Lucette geint et souffle comme un animal. Habilement, Audrey sort de son étui la boule magique, qui après quelques manipulations habiles, prend du volume. Lucette geint faiblement :
-Non, non Audrey, c’est pas sain, il ne faut pas, non, non, je vous en prie !
Audrey commence à agiter la boule de chair, de temps en temps, elle la presse fortement. A chaque pression Lucette ce cabre en poussant un gémissement. Sa vulve, ne peut retenir un filet de cyprine, qui s’étend sur le lit. Audrey se revoit quelques années plus tôt, dans sa chambre d’étudiante. Ses doigts branlent avec de plus en plus d’ardeur, le clito devenu extrêmement gros.
Lucette grimace, elle serre les dents, elle ne peut plus retenir sa jouissance, c’est en geignant comme une bête blessée qu’elle se cabre en explosant. Cela ne lui était pas arrivé depuis des années, elle tremble de tous ses membres. En recherchant un deuxième souffle. Ses yeux sont humides, elle dit entre deux respirations :
-Audrey, Audrey, nous sommes devenues folles, mais qu’est-ce qui nous arrivent, mon Dieu comme j’ai honte !
Audrey, délaisse le fuit juteux et remonte la nuisette au dessus des seins. Elle fait tourner ses doigts sur les aréoles brunes ou sont plantés les mamelons.
Rapidement, les petits mâts de chairs enflent. Dès qu’Audrey pose sa bouche dessus, Lucette se cabre comme si elle venait de recevoir une décharge électrique. Audrey les suce, les tète, voracement en faisant geindre belle-maman comme une possédée du démon..
Lucette se cache le visage avec ses mains, des larmes coules sur ses joues. Audrey lui embrasse le ventre, passe plusieurs sa langue sur son intimité, Lucette serre les dents, automatiquement, sans savoir pour qu’elle raison, elle ouvre largement les cuisses. La bouche affamée de sa belle-fille se plaque sur la vulve en ébullition, et aspire le jus suave qu’elle rejette. Lucette est cambrée comme un pont, elle geint en se mordant le poignet. Lorsque, Audrey, lui enfonce sa langue dans le conduit brûlant, elle pousse un long râle rauque. En se mordant au sang le poignet.
Audrey, sans relâche, fouille le puits profondément. Sa langue visite chaque recoin, Lucette défaille, c’est sans conviction qu’elle marmonne :
-Non, non, Audrey arrêtez, je vous en supplie !
Brûlante comme un brasero, Lucette grogne, elle enfonce ses doigts dans la longue chevelure de sa belle-fille et machinalement, la triture. Soudain Audrey lui aspire le clito, belle-maman se cabre encore plus, en poussant un long gémissement rauque. Audrey suce et tète la boule magique, avec ardeur.
Elle vient de comprendre que sa belle-maman n’a plus fait l’amour depuis des années. Donc elle veut la rendre heureuse. Lucette délire elle bredouille :
-Non, non, oui, oui, oh non, Audrey, Audrey, je vais jouir !
C’est en poussant un gémissement terrible, qu’elle tente d’étouffer en se serrant dans sa mâchoire son poignet déjà rougit par le sang. Lucette halète, Audrey devient plus audacieuse, sa main glisse plus bas que la vulve en fusion, et atteint l’anneau ridé. Avec son majeur, Audrey, appuie sur l’anus, qui se met à frémir. Habilement, Audrey le fait tourner sur l’œillet, en faisant quelques pressions dessus. Lucette croit mourir, jamais son mari n’a caresser anus. Pour elle c’est une découverte, jusqu’à présent agréable.
Une pression plus forte, fait cabrer, Lucette, la première phalange vient de disparaitre dans son anus, comme aspiré par le muscle rectal. Une seconde pression, fait disparaitre l’intrus entiérement, dans le rectum. Lucette dit faiblement :
-Audrey, Audrey, mais qu’est-ce que vous me faites, mon Dieu c’est diabolique, je dois être damnée, mon Dieu, mon Dieu je deviens folle !
Lentement le doigt voyage dans la gaine étroite, la sensation semble être agréable, car Lucette gémit doucement sans repousser l’agresseur. Pendant qu’elle lui fouille le rectum, Audrey reprend en bouche le clito. Elle le suce si fort que belle-maman, a juste la force de dire :
-Mon Dieu je meurs, je suis une catin, Audrey je te hais !
Le doigt, plus la bouche, font que Lucette explose une nouvelle fois. Pour terminer, Audrey, enfonce quatre doigts dans la vulve baveuse et la ramone pour obtenir une nouvelle jouissance. Belle maman au bord de la syncope, elle se cambre et jouit terriblement. Elle ouvre la bouche toute grande aucun son n’en sort. La belle-fille retire ses doigts et regarde sa belle-maman longuement, avant de lui dit :
-Belle-maman ce que vous êtes belle lorsque vous jouissez, je n’en reviens pas comme vos jouissances sont fortes !
Lucette, larmoyante, répond :
-Vous êtes un monstre Audrey, maintenant, je ne pourrai plus vous regarder en face !
Audrey prend la tête de sa belle-maman entre ses mains et pose ses lèvres sur les siennes. En voulant protester, Lucette entrouvre la bouche. Audrey en profite, pour insérer sa langue dans la bouche de sa belle-maman qui reste quelques secondes sans réagir. Les langues se nouent comme deux reptiles qui s’accouplent. Contre toute attente, les salive se mêlent. Lucette se lâche, elle enlace sa belle-fille, la serre très fort. Le baiser est interminable. C’est à bout de souffle que les deux amantes, disjoignent lèvres.
Lucette fond en larme dans les bras d’Audrey, c’est avec une voix chevrotante qu’elle dit :
-Audrey ce que vous m’avez fait, jamais je ne l’oublierai, bien que ce soit insensé, J’ai été heureuse d’avoir était un instant votre jouet !
Pendant un long moment, les deux femmes restent allongées côte, à côte. Lucette très renfermée, se dévoile doucement :
-Je viens de découvrir, ce que c’est que de faire l’amour, avec une femme. J’ai trouvé cela merveilleux, malgré mes protestations mensongères. J’avoue que depuis la mort de mon mari, je n’ai plus fais l’amour avec un homme. Mes seules plaisirs étaient digitaux et que rarement encore. J’espère que notre dérive, restera secrète !
Audrey curieuse, demande :
-Mais, sans être vulgaire, la queue ne vous manquez pas !
-Lucette en se pinçant les lèvres répond :
-Oui au bout de quelques années d’abstinences, j’y ai songé, mais je n’ai jamais oser franchir le pas, c’est vous qui venez de me dévergonder, je ne le regrette aucunement d’ailleurs !
Audrey ose dire:
– Sans vous mettre mal à l’aise, je dit que votre corps, mérite de bonne bites bien épaisses, surtout bien profondes. Je me suis rendu compte que vous étiez, une chaude du cul, excusez l’expression !
Lucette se pince les lèvres sans répondre. Audrey la regarde, ses yeux pétillent, elle dit timidement :
Si j’osais, je vous demanderais de me faire la même chose Lucette !
Lucette sursaute et dit en béguant :
-Que je vous fasse ce que vous vous venez de me faire ? mais, mais, je ne sais si je serai à la hauteur. D’bord plus de vous entre nous, nous sommes devenues très intimes, oui je veux bien essayer, donc de l’indulgence !
Linsee
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