Après tant d’années d’abstinence, Lucette revit 2
Audrey, se jette sur le lit en ouvrant les jambes. Sa chatte humide, est garnit d’une fine toison soyeuse. Lucette se surpasse, l’élève dépasse le maitre. Elle dévore la chatte de sa belle-fille, avec ardeur. Les grognements d’Audrey, prouvent que la coquine prend son pied. Elle jouit plusieurs fois, en gémissement comme un animal tombé dans un piège. Lucette s’autorise de lui travaille la chatte et le cul en même temps. Ses doigts fouillent les orifices le plus profondément possible, en arrachant des gémissements terribles à Audrey. Cambrée comme jamais Audrey offre aux doigts agiles de sa belle-maman ses orifices en gourmands. C’est un feu d’artifice pour Audrey, elle jouit encore et encore sous les assauts de Lucette qui semble déchainée.
Enfin Lucette retire ses doigts et observe un long moment les orifices béants de sa belle-fille, qui continue de geindre en haletant fortement sur le lit. Elle la reagrde et dit en souriant :
-Oh la vache tu m’as fait jouir comme une chienne en rut, tu apprends vite Lucette !
En souriant Lucette répond :
-Mais j’ai eu un bon professeur, je suis heureuse que j’ai su te faire jouir comme tu le méritais. Tu vois, je suis un peu fière de moi !
Audrey lui saisit la main, et l’attire vers elle. Elle se colle à elle, et comme ma remercier, elle l’embrasse sauvagement. Elle lui suce la langue, la noue avec la sienne et lui inonde la bouche de salive. Bien que le baiser soit étrange, Lucette semble l’apprécier, elle fait comme son amante, elle lui suce la langue. Avant de déverser un flot de sa live dans sa bouche.
Les deux amantes roulent sur le lit, en échangeant des mots tendres, elles s’embrassent le visage à tour de rôle sans omettre els lèvres. Une pulsion terrible envie de faire l’amour, les contraint à se mettre tête bêche l’une sur l’autre. C’est mutuellement qu’elles se dévorent les orifices. Pour Lucette c’est le summum du bonheur, c’est la première fois qu’une langue lui lèche l’anus et réussit à le pénétrer de deux trois centimètres.
Lucette relève la tête et dit avec beaucoup de trémolos dans la voix :
-Oh ma chérie, j”en apprends des choses merveilleuses avec toi. Oui fouille moi bien le cul, oh putain comme c’est bon !
Lucette plaque sa bouche sur l’œillet brun d’Audrey et lui fait subir les mêmes outrages, qu’elle reçoit. Les deux femmes grognent, elles se livrent totalement l’une à l’autre, leur plaisir est total. Une fabuleuse jouissance anale, mutuelle, les fait gémir fortement. Soudain la porte de la chambre s’ouvre brusquement. C’est Marc, ne trouvant pas sa femme dans sa chambre, a collé son oreille à la porte de la chambre de sa maman, et a entendu des bruits étrange. Inquiet, il a ouvert la porte.
Ce qu’il voit le pétrifie, il peine à dire :
-Mais, mais, vous êtes de grosses salopes, vous, vous gouinez comme des malades, et sans honte encore !
Les deux femmes prisent en défaut, ne peuvent nier l’évidence. La maman rouge pivoine tente de cacher sa nudité, c’est Audrey qui, prend la parole :
-tout est de ma faute Marc, j’ai draguée ouvertement ta maman et comme tu me connais j’arrive toujours à mes fins. Comme depuis des années, elle n’a fait l’amour que digitalement, et encore rarement qu’elle m’a dit. Donc j’ai voulue combler cette lacune, d’ailleurs, j’avais envie d’elle. Oui, nous, nous sommes explosées, j’en avait trop envie, et elle aussi je crois !
Marc reste sans voix après de telles révélations, il s’avance vers le lit, contemple les corps à peine voilés, et dit en se pinçant les lèvres :
-Je vois que vous, vous êtes éclatées, le lit est trempé, il se souviendra de vous mes cochonnes !
Marc connait les actions lesbiennes de sa femme, car elle lui, a raconté ses aventures d’internat. En soupirant profondément, il dit :
-Tu as fait un retour aux sources Audrey, maman je ne te savais pas lesbienne, cela m’étonne !
En ravalant sa salive, la maman dit faiblement :
-Je ne l’étais pas, je viens de faire cette expérience maintenant !
Marc sursaute et répond :
-Ah, et c’était comment avec une femme !
Un peu gênée, sa maman répond :
-Pour être franche, eh bien, c’était fabuleux. Ll faut dire que j’avais un bon professeur !
Marc en opinant de la tête dit :
-Ah, pour sucer, Audrey sait le faire, elle connait pas mal de chose ma salope, je suppose que vous aviez fait la totale !
Audrey en souriant répond :
-Tu le sais, lorsque je me donne c’est à fond que je le fais !
Marc regarde sa femme et demande :
-Et maman comment elle est !
Audrey secoue la tête et dit presque en pâmant :
-Elle est magnifique, elle apprend très vite, c’est une bombe sexuelle, et je ne te dis pas une jouisseuse exceptionnelle !
Marc en faisant une moue réplique :
-Ouah tant que ça, une vraie bombe que tu dis !
Audrey en faisant un large sourire et un clin d’œil, répond :
-Je le confirme, c’est une baiseuse hors paire !
Marc s’avance encore plus près et dit :
-Mais c’est qu’elles m’excitent c’est salopes !
Il retire son pantalon, et son slip, sa verge se détend comme un ressort, en oscillant sur son bas-ventre velue. Il s’étend entre es deux femme, sa maman regarde le membre en écarquillant les yeux, elle ne savait même plus comment que c’était fait.
Celui de son fils est recourbé comme un sabre, bien large, sans parler de l’épaisseur qui est impressionnante. Sa femme, le saisit, le décalotte et l’observe un long moment, pour permettre à Lucette de bien regarder le gland violacé.
Audrey approche sa bouche de l’engin tendu, et donne quelques coups de langue sur le gland. Elle en fait le tour plusieurs fois, titille le frein, avant de lécher la hampe recourbée, sur toute sa longueur. Rapidement Marc commence a couiner. La langue est maniée par une femme habile.
Lucette regarde la langue glisser sur le membre, et recueillir sur le gland, les quelques perles qui s’échappent du méat ouvert. Audrey gobe le cèpe royal, le suce et le tète férocement, en faisant geindre son mari. Lucette serre les cuisses, sa vulve entre en ébullition. Elle la presse fortement pour l’empêcher de couler, mais en vain.
Les bruits de succions sur le gland sont bruyants, soudain Audrey recrache le gland et dit :
-Vas-y, Lucette, c’est ton tour, vas-y suce la belle bite de ton fils, regarde comme elle perle !
Marc ne dit pas un mot, sa maman regarde l’engin en frissonnant. Audrey insiste. Timidement sa belle-maman saisit l’engin, et donne de nombreux coup de langue dessus. Elle ouvre la bouche le plus possible et gobe le gland, tout autant de sa belle-fille, elle s’acharne dessus. Elle le suce comme une vorace, le tète comme une affamée. Marc ferme les yeux et dit :
-Oh la vache maman ce que tu suces bien, c’est le manque de queue qui te fait sucer aussi bien, oui, oui, continue, c’est trop bon, oh la vache je vais décharger, oui, oui sa vient ,maman, maman !
Une violente giclée remplit la bouche de Lucette, qui repousse brusquement son fils en se pinçant les lèvres. Audrey intervient :
-Avale, Lucette, avale, c’est trop bon !
Lucette déglutie et petit à petit avale toute la crème onctueuse. Au fil des années, elle en avait même oubliée le goût. Audrey reprend en bouche le gland pour le nettoyer du jus visqueux qui le recouvre. Marc dit :
-Allonge toi ma chérie, je vais te déglinguer comme tu le mérites !
Audrey dit tendrement :
-J’aimerai que tu prennes ta maman, depuis le temps que son corps n’a pas était visité par une queue, cela doit lui manquer, baise-là mon chéri !
Lucette reste sans voix devant une telle proposition. Mais rapidement elle réagit. Elle s’étend sur le lit, Audrey lui retrousse la nuisette, et dit :
-Ta maman est à toi mon chéri, honore la bien !
Sans chercher à comprendre, Marc prend place entre les cuisses de sa maman, et d’un coup de reins brutale l’empale jusqu’aux couilles. Il commence à faire un va-et-vient qui prend de la vitesse. La forme étrange de la queue de son fils, lui rabote fortement les parois de la gaine vaginale. Lucette s’accroche à lui, elle agite son bassin pour être bien possédée. La queue de Marc, voyage dans le ventre de la femme qui la mis au monde. Le bougre ne la ménage pas, son gland large et épais, à chaque enfoncement, frappe fortement le col de l’utérus de la maman soumise. Lucette geint comme une bête, elle retrouve enfin les plaisirs du sexe, que longtemps elle avait oublié.
Audrey lui saisit le clito et le branle sauvagement en lui disant :
-Joui, joui, ne te retiens pas, explose comme une grosse salope !
En donnant des coups de reins terribles, Marc défonce sa maman, comme s’il voulait la traverser avec sa queue. Lucette geint en s’agrippant fortement à son baiseur. Elle pousse un long gémissement et explose de jouissance, Audrey lui écrase le clito, elle sait que cela décuple la jouissance. Marc dit :
-Oh maman ce que tu est bonne, ta chatté est brûlante !
C’est juste à ce moment là, que son fils lui remplit le ventre de semence. Avant de ce retirer, Marc donne encore plusieurs coups de reins violents.
Audrey est émerveillée par les jouissances de sa belle-maman. Elle ne se lace pas de la regarder jouir. Elle donne un gros baiser sur la bouche se Lucette en lui disant :
-Lucette, j’aimerai que Marc te prenne par le cul, dis oui, je t’en prie !
Lucette ravale sa salive et répond :
-La seule pénétration anale que je connais, c’est ton doigts. Mais comme tu m’as fait découvrir de nouveaux plaisirs, je veux bien expérimenter une sodomie !
Audrey lui prend la bouche sauvagement comme pour la remercier. Le baiser fougueux trouble Marc, qui fronce les sourcils. Il se racle la gorge fortement, pour faire comprendre qu’il est là. Le baiser cesse enfin. Marc dit :
-Je veux te regarder dans les yeux, pendant que ma bite va t’ouvrir le cul maman !
Audrey connait bien la pratique, elle demande à Lucette placer un gros coussin sous ses reins, et de replier les jambes sur son ventre. la position prise, met en évidence les orifices. Le fils amant, regarde la petite pastille brune qu’il va forer, il passe plusieurs fois son doigts dessus, en faisant quelques pressions dessus pour en connaitre la souplesse. Il dit en souriant :
-Tu vas te régaler maman, je sens que tu vas adorer ma bite dans ton cul !
Audrey se penche et commence à lécher l’anus, que maintenant elle connait bien. Ses coups de langue font geindre Lucette, qui se cambre encore plus, pour mieux offrir son anneau ridée. Elle réussit pour la seconde fois, à enfoncer de quelques centimètres sa langue dans l’antre, que Marc s’apprête à investir. Elle le fouille longuement, avant de céder la place à son mari.
Marc approche son mandrin, il frotte le gland qu’il a prit soin de décalotter, contre l’anus que sa femme à bien préparée. Il saisit sa maman par les hanches et pousse.
Lucette se cabre, elle grimace en serrant les dents. Lentement le gland épais s’enfonce dans le conduit étroit, en le distendant au maximum. Les yeux de Lucette s’emplissent de larmes, une moue affreuse déforme son visage. Avec lenteur, le mandrin puissant avance dans la gaine distendue. Qui pour la première fois, reçoit la visite d’une bite bien épaisse. La maman croit mourir, elle grimace de douleur. Audrey lui saisit le clito et le branle férocement, cela ne peu qu’être bénéfique pour Lucette.
Marc cesse de pousser, soudain, il donne un grand coup de reins. La maman pousse un hurlement de douleur. Pendant la pénétration brutale, des larmes noient ses joues. Les couilles de Marc, viennent au contact des fesses de sa maman, qui geint de douleur.
Marc commence un très lent va-et-vient, sans cesser de regarder le visage de sa maman. Le beau visage de Lucette et déformé par un rictus affreux. Audrey branle avec de plus en plus d’ardeur le clito, qui comme par miracle, enfle de plus en plus à chaque mouvement de la main habile de la belle-fille amante. Lucette tire sur ses cuisses pour bien les maintenir ouvertes. Le mandrin puissant de son fils, lui ramone vigoureusement le rectum, à chaque coup, elle pousse un gémissement en serrant les dents. Mais au fil des minutes, la douleur s’atténue. Lucette accepte mieux le mandrin qui lui ouvre le cul. Audrey sourit, elle sait maintenant, que belle-maman va jouir analement une dingue. Marc lui travaille le cul comme un pro, il ne ménage pas ses efforts.
La bite prend de la vitesse dans la gaine distendue. Le fils enculeur donne des coups de pilons de plus en plus violents, a chaque fois ses couilles frappent les fesses de la maman qui commence à gémir de plaisir. Soudain le ton change :
-Oui oui, oui, ouiiiiiiiiiiii, Marc, je vais jouir, c’est monstrueeeeeeux ce que tu me fais, vas-y, vas-yyyyyyyyy !
Elle s’agite, je me suis regal comme une forcenée, se tend comme un arc, et explose son hurlement est inhumain, mais sa jouissance fabuleuse. Avant de libérer sa maman, Marc la défonce comme jamais. Il se raidit et envoie dans les entrailles de la sodomisée son sperme épais. Audrey continue de branler le clito, elle cherche à faire jouir sa belle-maman encore une fois, cela ne tarde pas, en poussant un long râle, Lucette jouit une seconde fois.
Marc regarde l’anus béant, il ne peut s’empêcher de dire :
-Maman tu as un cul d’enfer, je me suis régaler et toi ?
Elle répond avec beaucoup de trémolos dans la voix et d’émotion :
-Mon chéri, tu m’as éclaté, je peux dire que cette première sodomie, a été diabolique, et qu’elle sera accompagnée par beaucoup d’autres, si vous le souhaitez tout les deux bien sur !
Audrey saute de joie, l’enlace et lui dit :
-Si tu le veux nous ferons participer des amis, tu vas être prise dans toutes les positions, sucer des bites à t’en déboiter les mâchoires. Recevoir dans tes trous des bites monstrueuses. Tu jouiras comme une fontaine. Je t’avoue que Marc et moi nous aimons les échanges, nous allons t’en faire profiter ma chérie
Linsee
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