Audrey, trouve du réconfort chez ses parents

Audrey, trouve du réconfort chez ses parents.

Cela fait quelques mois, qu’Audrey 25 ans, très volage, s’est fait larguer par son copain, depuis elle a beaucoup de mal à remonter la pente. En pleine détresse, elle téléphone à ses parents, Josiane et Roger. Sous leurs conseils, elle rentre chez eux. Ils sont fous de joie de l’accueillir. Les étreintes et embrassades sont interminables. Elle fond en larmes dans leurs bras. Roger craint le retour de sa fille, il a vu, qu’avant qu’Audrey ne quitte la maison, avec sa maman et elle, partageaient les mêmes amants. Il se dit que peut-être les deux salopes ont changés depuis le temps, mais il doute.

Les jours passent, Audrey est triste, mais reprendre le dessus. Après le petit déjeuner. Elle se blotti contre son papa sur le canapé. Audrey raconte encore ses déboires amoureux. Elle se met à califourchon sur les genoux de mon papa. Elle le tient par le cou.
Elle lui donne une multitude de baisers sur tout le visage. Souvent ses lèvres se posent sur les siennes, elle le sent se crisper. Il déglutie, et semble déstabilisé, par audace de sa progéniture, ses yeux brillent. Il sait que sa fille est une chaudasse tout autant que sa femme qui à l’occasion offrent leurs corps insatiables à d’autres.

Elle lui donne un baiser très appuyé sur les lèvres. Il se cabre, et la regarde étrangement. Audrey, est assise sur le haut des cuisses de son papa. Elle commence à sentir contre mon bas-ventre, une bosse qui enfle de plus en plus.

Roger serre les cuisses très fort, Audrey sent qu’il est très gêné. La coquine s’agite doucement en observant la réaction de son papa, et tout cela sous les yeux amusés de sa maman.
Elle connait bien son mari, elle sait que là, il est tétanisé. Elle est surprise, lorsque, inconsciemment Roger, agrippe le haut des fesses de sa fille, et se cambre. Audrey ne peut ignorer l’érection qui prend encore du volume. Josiane sourit, et dit :

-Attention ma chérie, tu es entrain d’exciter ton papa, bien qu’il soit très réservé, je ne sais combien de temps il va pouvoir se contenir !

Audrey se raidit, et agite encore plus fort son bassin. Enfin, elle descend de sa monture improvisée. Et regarde la bosse énorme qui déforme son pantalon. Elle se pince les lèvres et en faisant une moue, dit en souriant :

-Oh vilain papa, tu bandes pour ta fille. Mon Dieu, tu dois avoir une belle queue vu la bosse !

C’est la maman qui réplique :

-Oh oui il est bien monté le cochon, il me remplit bien !

Josiane s’avance vers son mari et sans aucune gêne, lui presse la verge au travers du pantalon, elle dit en riant :

-Elle n’est pas encore au top ma chérie, il peut faire mieux, je vais y remédier !

Sans se poser de question, elle commence à branler l’engin qui déforme encore plus le pantalon. Roger très gêné, dit en béguant :

-Josiane, je t’en prie, nous ne sommes pas seuls !

Josiane en souriant dit :

-Oh tu fais ta chochotte, elle n’est pas bandante notre petit trésor, avoue que tu te la pointerai bien !

En disant ces phrases, elle retrousse la jupe de sa fille, et en découvrant sa culotte, ajoute :

-Regarde de quoi tu te prives Roger, admire les trésors qui se cachent sous le tissu !

Roger, ravale sa salive, pose ses mains sur la bosse gênante, en serrant les dents. Il voit le tissu inséré entre les grandes lèvres de la vulve. Il se crispe, mais se méfie car elles sont capable de tout, les deux salopes, du bien comme du pire.
Roger se lève et disparait, car il sait que cela peut mal tourner. Il se souvient de l’anniversaire des dix-huit ans de sa fille. Les deux femmes avaient trop picolées, il les avait surpris, (sans se faire voir), entrain de se caresser. Et depuis se jour elles aller même a échangeaint leurs amants. Roger pour ne pas faire de scandale, faisait celui qui ne voyait rien.

Les gémissements des deux amantes, et de leur partenaire, le rendaient fou, il devait se masturber à la toilette pour cracher son venin. Maintenant qu’Audrey est de retour, il craint que cela ne recommence. La maman et sa fille sont seules. Elles s’enlacent et se laissent tomber sur le canapé. La main de Josiane passe sous la jupe de sa fille, qui ouvre largement les cuisses. De ses doigts habiles, elle caresse la vulve qui s’humidifie rapidement.

Audrey yeux fermés, tête rejetée en arrière, geint doucement. Roger veut entrer au salon, il reste sans voix en voyant les deux femmes en pleine action. Il se fait discret est de son observatoire, ne perd pas une image du spectacle. Il remarque que la tache s’étend sur la culotte, cela le fait vibrer. Sa verge se met à grossir. Josiane retire sa main et enlace sa fille, qui ronronne comme une chatte. Les lèvres s’unissent, pour un long baiser.

Les langues se nouent, une flot de cyprine est échangé. La bite du papa voyeur, est dure comme du bois. Pour calmer l’affut sanguin, il la presse fortement en vain. Il grimace, mais ne quitte pas des yeux le couple enlacé. Il se dit en se pinçant les lèvres. Oh putain je la défoncerais bien cette petite salope. Il faut que je m’élève cette idée de la tête, c’est ma fille tout de même. Pourtant la tentation est grande.

Le baiser cesse, Audrey regarde sa maman, et dit :

-Oh maman, reprenons nos délires d’autrefois, c’était si bon !

La maman a les yeux qui pétillent elle dit :

-Je ne demande pas mieux ma chérie, mais avant nous avions de la queue à disposition, aujourd’hui rien !

Audrey éclate de rire et dit :

-Si seulement papa le voulait, il nous rendrait heureuses avec sa queue, et comme tu dis elle est bien grosse !

En poussant un gros soupir, Josiane réplique :

-Il est bien trop prude, et faire, l’amour à fille, je doute qu’il le fasse !

Audrey se pince les lèvres et dit :

-Dommage, il doit être un bon amant papa !

-Roger a tout entendu, son sang ne fait qu’un tour. Il entre au salon et dit :

-Je vous ai entendu, mais vous êtes de vraies salopes, jusqu’à présent je gardais le silence, se supportais d’être cocu, mais maintenant c’est fini, vous voulez de la queue, eh bien sales putes je vais vous en donner !

La maman et la fille restent sans dire un mot. Roger prend l’initiative :

– A poils salopes, et faites vous des câlins comme autrefois, je ne veux plus m’en priver !

Les deux femmes se regardent puis lentement s’effeuillent comme des stripteaseuses. Les yeux du papa sont braqués sur le corps de sa fille, qui en agitant lestement son bassin, avec la souplesse d’un félin, se dénude. Roger ravale sa salive, en voyant la fine toison garnir la vulve, aux fines lèvres bien dessinées, de sa fille. Sa queue gonfle dans son pantalon. Soudain, il baisse son pantalon et son slip, sa verge se détend comme un ressort, en oscillant sur son bas-ventre en cherchant la stabilité. Les yeux d’Audrey se figent sur le membre tendu de son papa, elle est étonnée par l’épaisseur et la largeur de l’engin. Elle salive bruyamment, sans quitter des yeux le mandrin garnit d’un gland monstrueux.

Elle regarde sa maman et dit en écarquillant les yeux :

-Mon Dieu quel morceau, c’est un défense cul son machin, maman !

La maman en souriant répond :

-Ah je t’e l’avais dit, qu’il me remplissait bien !

Roger se redresse, et exhibe sa verge en l’agitant. Il faut dire que le papa est fière de ses attributs. Josiane comme lui a demandé son mari, bascule sa fille sur le canapé et lui caresse outrageusement les parties intimes. Audrey ouvre largement les cuisses pour mieux offrir ses trésors à sa maman. Ses doigts glissent sur la fente, et un à un, pénètre le conduit déjà inondé. Josiane à l’art de fouiller le vagin, cela remet en mémoire, les moments délirants de lesbianisme, que les deux femmes ont eus ensemble. Audrey s’ouvre le plus qu’elle peut en geignant. les doigts agiles tournent dans le conduit, en s’enfonçant profondément. Audrey grimace une moue déforme son visage d’ange.

La maman bien attentionnée, veut donner à sa fille le maximum de plaisir. Elle saisit la boule magique et l’agite férocement. Audrey se cabre en geignant fortement, elle est au bord de la jouissance. C’est ce moment que sa maman choisit pour lui écraser le clito. l’effet est immédiat. Audrey se cambre et en hurlant, et explose de jouissance. Le papa yeux écarquillés, a du mal à croire qu’une femme, peut jouir aussi fort. Josiane veut sa récompense, elle invite sa fille à lui rendre le même service.

Audrey se met à genoux face à sa maman qui ouvre les cuisses largement. La coquine plaque sa bouche sur la chatte détrempée, et aspire tout le jus qu’elle peut. Enfin elle enfonce sa langue dans la gaine et en fouille chaque recoin. Josiane geint comme une bête malade, en appuyant sur la tête de sa fille qui s’acharne maintenant sur son clito. Roger, savait sa femme salope mais, là, il est estomaqué de la voir, se faire brouter par sa propre fille, en poussant de longs râles rauques. Il saisit sa queue et en grimaçant l’agite doucement. Quelques perles s’échappent du méat, et tombent sur le sol. Soudain, il sursaute, sa femme vient de pousser un hurlement terrible, en remplissant la bouche de sa fille, avec son jus abondant.

Audrey se gave de cyprine avant d’aspirer le clito monstrueux de sa maman. Elle le suce et le tète en pratiquant dessus de puissantes succions. La maman, rugit comme un fauve. Roger reste sans voix devant le plaisir que prend sa femme. Excité à l’extrême, il ne peut retenir le sperme qui jaillit de sa verge, sur le sol par grosses giclées. Son membre gonflé au maximum, et secoué de soubresauts, qui rejette la semence cachée dans la hampe épaisse.

Roger n’en peut plus, il branle avec rage son membre. Il grimace, se cabre et envoie encore sur le sol plusieurs giclées de sperme. Un autre hurlement de sa femme le fait sursauter, la coquine vient de jouir pour la seconde fois sous les assauts de sa fille. Enfin les deux amantes se séparent. Roger s’avance vers sa fille, en tenant en main sa verge gluante. Audrey regarde l’engin, elle le saisit et commence à le branler. Son papa serre les dents, il cambre les reins pour bien offrir à la main de sa fille sa bite gonflée. Audrey ne quitte pas des yeux le manche visqueux, elle l’agite encore plus fort.

Roger geint comme une bête. Puis sans crier gare, envoie une puissante giclée de sperme sur le sol, déjà souillé par les précédentes éjaculations. Le bougre doit avoir beaucoup de semence en réserve car il ne la ménage pas. Josiane dit en salivant :

-Suce la bite de ton papa ma chérie, il n’attend que cela le cochon !

Audrey décalotte le gland, donne quelques coups de langue dessus, avant de le gober. Elle suce et tète comme une vorace, presse la hampe pour qu’elle libère la semence qu’elle cache. Le papa fébrile il est au bord de l’explosion.
Il repousse brutalement sa fille sur le canapé, et lui ouvre les jambes. Sa verge gluante se place contre la fente humide d’Audrey, qui attend l’estocade avec impatience. Roger se cramponne à ses hanches et pousse. Le gland appuie sur les grandes lèvres, elles s’ouvrent en laissant le passage libre, au manche épais qui s’engage dans le conduit, qui attendait la pénétration. Audrey grimace, elle s’accroche à son papa qui continue de pousser.

Une fois, la bite bien au fond du cratère en ébullition, Roger commence un va-et-vient redoutable. Les parois sont rabotées par le gland épais, à chaque allers et retours. Audrey gémit comme une bête malade, en haletant. La maman voyeuse, dit en salivant :

-Roger, éclate-là, mais ne m’oublie pas, moi aussi je veux ta queue !

Le papa incestueux s’acharne sur sa fille, ses coups de reins sont brutaux, ses couilles frappent à chaque pénétration la chatte en feu de sa fille. Elle se cambre à chaque fois, que le gland lui laboure le col de l’utérus. Josiane envieuse, commence à s’énerver :

-Fini-là Roger, fais-là gueuler cette petite pute !

Josiane, est jambes ouvertes dans un fauteuil, elle se masturbe comme une furie. Elle se maltraite le clito comme une sauvage, en grimaçant, elle hurle :

-Eclate-là, éclate-là, oh putain je vais jouir, vas-y, vas-y Roger explose-là !

La queue voyage sans faiblir dans le ventre d’Audrey qui ne retient pas ses gémissements. Elle agite son bassin en marmonnant :

-Oh papa, oh papa, continue, continue !

Soudain, dans un hurlement incontrôlable, elle se cabre et explose. Sa jouissance est grandiose, son papa tire de plus en plus fort sur ses hanches, pour qu’elle prenne toute sa bite dans le ventre. En rugissant comme un fauve, il lui remplit le ventre de semence. Josiane explose au même moment, son corps se met à trembler, elle dit en marmonnant :

-Roger, Roger, prends-moi, prends-moi !

Elle replie ses jambes sur son ventre, et se cambre le plus qu’elle peut. Elle offre à son mari son anus qu’il à très souvent visité. Il se retire du ventre se da fille et rapidement se place entre les cuisses de sa femme. Elle lui saisit la bite et la maintient appuyée contre son anus. Roger donne un petit coup de reins, sa verge s’enfonce aisément jusqu’aux couilles dans le cul de sa femme, qui pousse un long râle pendant la pénétration. Roger entre immédiatement en action, le ramonage est rapide surtout profond. Josiane ne peut que geindre de plaisir, sous les coups de reins infatigables de son mari. Ses yeux sont vitreux, elle tourne la tête vers sa fille et lui demande en béguant :

-Ma chérie, viens branler le clito de maman, pendant que papa me fore le cul !

Audrey, ne ce le fait pas dire deux fois. Elle attrape la boule de chair énorme, et commence un branlage furieux. Josiane ne peut dire que :

-Oh putain, oh putain !

Roger adore la prendre par le cul, il donne des coups de boutoir féroces en serrant les dents, il dit :

-Joui, salope joui du cul, oh ce que ton cul est bon, tiens, tiens prends ça !

Josiane gémit de plaisir, elle grommelle :

-Ouah, je vais jouir, mon chéri, tape fort, tape fort !

Les coups de pilons sont dévastateurs, Josiane se tend comme un arc et en hurlant jouit du cul. Audrey profite de cet instant pour lui, écraser les clito, la jouissance de sa maman et quintuplée. Roger a l’impression que sa femme se vide, sa chatte gicle comme une fontaine. Enfin, il se bloque et lui remplit le rectum de semence avant de se retirer. Il regarde sa fille qui ne cesse de regarder la verge paternelle, en salivant. Elle se penche en avant et dit :

-Papa prends-moi aussi par le cul !

Roger profite que sa queue est toujours tendue. Il frotte son gland gluant contre la petite porte et pousse. Audrey grimace, elle serre les dents, car son papa est fort membré. Lentement la verge s’enfonce dans le conduit étroit. Audrey gémit comme une bête agonisante. Elle s’accroche au canapé pendant que son papa lui défonce le cul, il dit entre deux souffles :

-Oh ma chérie comme tu es serrée, c’est merveilleux comme ton cul étroit me serre bien la bite. Tu l’as sens bien dans ton cul petite cochonne, dis que tu veux que je te casse le cul, dis-le !

En grimaçant Audrey, dit :

-Oui papa je veux que tu me casses le cul, oui, oui, casses le cul de ta salope de fille !

Encouragé, Roger défonce sa fille comme un soudard, ses coups e reins sont violents et profonds. Audrey gémit, comme jamais elle ne l’a fait, elle agite sa croupe en marmonnant :

-Papa, papa, oh la vache comme tu m’exploses, vas-y à fond, oui bien à fond !

Audrey se cambre comme un pont en pleine tempête, et jouit du cul !

Elle se laisse tomber sur le sol en se désaccouplant de son papa, elle halète, en cherchant un deuxième souffle. Roger ne peut retenir sa jouissance, il asperge le corps de sa fille avec sa semence. Il se branle au-dessus d’elle, pour bien vider ses couilles. Le corps d’Audrey est recouvert de sperme. Sa maman se rue sur elle, et lèche la crème onctueuse, jusqu’à la dernière goutte.

Linsee