Aurélie, veuve trop tôt, ce morfond, cette femme de quarante-cinq ans, femme de ménage n’a pas beaucoup les moyens pour faire des extra. Depuis le décès accidentel e son mari Logan, elle à beaucoup de mal à remonter la pente. Heureusement qu’elle a un couple d’amis bien plus vieux qu’elle, Serge et Marion, eux, ne sont pas dans le besoin. Ce sont ses meilleurs amis, ils ne l’a laissent pas tomber. Souvent ils l’invitent pour partager quelques bon moments ensemble.
Comme il savent, que c’est l’anniversaire d’Aurélie. A son insu, ils organisent une soirée. Vers dix-neuf heures, Marion téléphone à son amie, pour lui dire qu’elle à besoin d’elle, en urgence. Aurélie accourt pour rendre service à son amie. Mais une fois que Marion lui à ouvert la porte, un ban d’applaudissements resonnent, et des voix se font étendre :
-Bon anniversaire Aurélie !
Aurélie sursaute, surprise et très émue, éclate en sanglots. Toutes ses connaissances sont la attablées. On lui réserve la place d’honneur, entre Serge et Marion. Le repas commence, le champagne est de rigueur, il coule à flot. Pour l’occasion, Serge met de la musique, et invite Aurélie à danser. Encore sous l’émotion, elle tremble, elle se lève en lui faisant un large sourire. Il l’enlace et la serre très fort contre lui. Cet homme aux tempes grisonnantes, à toujours porté intérêt à Aurélie, et sa femme le sait, et s’en amuse. Les couples se forment, les corps s’étreignent, sur la piste improvisée.
Serge ondule du bassin, il le frotte contre celui d’Aurélie, elle ravale sa salive, elle est mal à l’aise. Serge la serre encore plus fort dans ses bras. Aurélie tremble, elle sent son souffle chaud sur sa joue, et le début d’une érection qui commence à appuyer sur son ventre. Aurélie ravale sa salive. Les bassin ondulent au son de la douce musique. Enfin la danse cesse. Aurélie rejoint sa place accompagnée par Serge, elle semble embarrassée. Marion lui lance un sourire, et lui dit, mais tu danses très bien, je te réserve la suivante. Le reâs reprend, le champagne ne cesse de couler. Marion pousse son amie à boire. Un peu euphorique, Aurélie dit :
-Mais tu veux me souler !
En souriant, Marion lui répond :
-Qui sait !
l’ambiance est parfaite, Marion invite Aurélie, bien serrée contre elle. les deux discutent souvent es états de rires, se font entendre, qu’est-ce, qu’elles se racontent? elles seules le savent. les visages sont très près, les haleines chargées d’alcool se mêlent,les yeux sont vitreux. Marion dit en souriant :
-Depuis que tu es veuve, le sexe ne te manque pas ?
Aurélie un peu gêner, reste un instant muette, puis dit :
-Pour être honnête, j’avoue cela me manque un peu !
Marion toujours avec sa franchise, lui caresse les fesses et ajoute :
-Avec le cul que tu as, tu ne devrais pas avoir de mal à raccrocher un homme avec une bonne queue !
Les deux femmes éclatent de rire. les corps se frottent outrageusement. les mains de Marion voyagent sur le dos d’Aurélie qui frissonne. Une fois la dansé terminée, Marion prend la main de son amie et lui dit :
-Viens je vais te montrer quelque chose !
Elle l’entraine dans sa chambre, Aurélie s’assoit sur le lit, et Marion sort d’une petite valise un gode ceinture, elle l’agite sous le nez d’Aurélie qui écarquille les yeux. Marion dit en souriant:
-Serge se régale lorsque je l’utilise sur lui, il jouit fortement le cochon, et plus que lorsqu’il me fait l’amour !
Aurélie, sans dire un mot prend l’engin en main, l’observe, et le triture pour en connaitre la texture. Elle se pince les lèvres en le malaxant. Marion ajoute :
-le gde est interchangeable, j’ai ai de bien plus gros, voila celui que préfère Serge !
Elle sort de la valise un gode très épais garni de petits picots, et le passe son amie, qui reste bouche bée devant l’engin impressionnant. Marion regarde son amie et pose le gode sous son menton et le descend lentement. l’engin passe lentement entre les seins d’Aurélie, qui ne dit pas un mot, et progresse doucement vers le ventre. Il approche dangereusement de l’entrejambe. Aurélie frémit, puis se lève. Marion en souriant, range les objets dans la valise, et les deux rejoignent les invités.
les deux en un bon coup de fourchette, et la descente abrute pour le champagne. Les danses se suivent en devenant plus audacieuses. Des couples s’embrassent, se caressent délicatement en dansant. Serge frôle souvent ses lèvres à celles d’Aurélie, sans jamais les toucher. Aurélie ne peut ignorer l’érection de son ami, qui en se frottant contre elle, prend de plus en plus de volume. Le bougre mime doucement une copulation en faisant faire à son bassin des allers et retours. la danse suivante c’est Marion qui se frotte contre Aurélie, elle lui suçote le lobe de l’oreille, lui lèche doucement le pavillon. De temps en temps, la coquine monte son genoux contre le bas ventre de son amie qui se cabre légèrement, en frissonnant.
Aurélie est brulante, sa vulve suinte, elle ne sait que faire, jamais ses amis ont agit de la sorte avec elle. Une fois à table, Marion, pose sur sa cuisse une main, et la caresse doucement. Aurélie cesse de manger elle est tétanisée. La main moite de son amie, glisse sous sa jupe et progresse vers l’aine. Soudain, Aurélie se cabre, la main de Serge vient de se poser elle aussi sur sa cuisses, et sous la table, glisse elle aussi sous sa jupe. Les deux mains pleines de chaleur, avancent vers le temple bouillant, qui n’a que seul rempart la culotte humide. les doigts on ne sait de qui, glissent sur la culotte, cherchent la perle sensible, au travers du tissu, la trouve, et appuient dessus, en faisant grimacer Aurélie.
Aurélie tremble comme une feuille, elle ravale son verre. Ses yeux embuée, font le tour de la table, mais personne ne se soucie d’eux, chacun est trop occupé avec sa ou son partenaire. Aurélie semble rassurée, des doigts agiles saisissent son clito et commence un doux branlage. Aurélie, s’enfonce sur sa chaise en ouvrant automatiquement ses cuisses, elle grimace se mord doucement la main, pour ne pas geindre trop fort. Sa jouissance rapide, elle se mord la main au sang pour étouffer son gémissement. Les mains se retirent, Serge et sa femme regardent Aurélie en souriant. Elle, ravale sa salive en se demandant ce qu’il lui arrive. le dessert arrive, il annonce que le repas va se terminer. Une dernière danse fait encore onduler les corps brulants. Une fois les invités partis, il ne reste que les trois amis.
Aurélie remercie, Serge et sa femme pour cette délicate attention. Elle embrasse Marion, ses lèvres se posent à la commissure de ses lèvres. Marion frissonne, et regarde son amie dans les yeux. Aurélie embrasse maintenant Serge, lui, carrément pose ses lèvres sur celles d’Aurélie. Le couple d’amis, propose à Aurélie de coucher là, car, tous en trop bu. Elle ne peut qu’accepter. Elle prend une douche, Marion passe une nuisette à son amie, lui montre sa chambre, avant qu’elle même prenne sa douche, en même temps que Serge, pour gagner du temps.
Les deux montent à l’étage. Un rai de lumière passe sous la porte. Marion entrouvre la porte et passe sa tête, elle demande si, ils peuvent entrer. Aurélie en souriant accepte. Serge à en main trois verres et une bouteilles de champagne, il dit:
-Aurélie, il faut terminer ton jour d’anniversaire en beauté, triquons !
Il fait péter le bouchon, malheureusement, le champagne gicle sur la nuisette d’Aurélie. Elle est trempée. d’un bon, elle repousse les draps et se redresse; Cela, comme un t-shirt mouillé, moule parfaitement les seins d’Aurélie. Serge confus s’excuse, il regarde avec intérêt les bouts larges et épais qui appuient sur le fin tissu comme pour le transpercer. Marion dit en prêtant main forte à son amie :
– Oh quel maladroit, retire ta chemise, elle est trempée !
Rapidement, avec l’aide de son amie, la nuisette, se retrouve sur le dossier d’une chaise. Aurélie est nue devant ses amis, qui la dévorent des yeux. leurs yeux pétillent autant que la champagne. Marion dit sans la quitter du regard :
-Mon Dieu comme tu es bien faites ma chérie, tu as un corps de rêve, je ne comprends pas pourquoi tu es encore seule !
Aurélie reste figée, elle ne tente même pas de cacher son corps dénudé. lentement, Marion fait tomber sa nuisette, elle aussi est nue devant sa meilleur amie. Elle enlace, la serre dans ses bras et lui couvre le visage de baisers. Aurélie frissonne, mais, ne se dérobe pas. la main douce de Marion explore ses formes, s’attarde sur ses rondeurs, les caresse longuement, en poussant d’innombrables soupirs. le corps d’Aurélie se met à trembler. Marion la regarde droit dans les yeux et lui dit d’une voix tendre :
Serge et moi, nous allons t’aimer, te donner le plaisir qui te manque ma chérie, Serge et moi, nous te désirons depuis de nombreuses années !
Très émue, surement aussi par le manque de sexe, et l’amour que ses amis lui portent, elle reste muette, quelques larmes coulent sur ses joues. Marion les lape d’un coup de langue. Sa langue passe sur les lèvres d’Aurélie, qui se raidit légèrement. Elles se regardent longuement dans les yeux, avant que leurs lèvres ne se soudent. Le baiser que lui donne Marion est un vrai baiser d’amour. Maladroitement, Les langues se cherchent, se nouent pour un long baiser. Ce que ressent Aurélie, jamais auparavant elle ne l’avait, jamais ressentit, elle fond sous le baiser qu’elle tente de rendre maladroitement. Serge reste émerveillé par le spectacle, il découvre que sa femme est autant éprise d’Aurélie que lui. Il retire son boxer, sa verge est déjà dressée sur son bas-ventre. Il se plaque contre son amie, en ondulant du bassin. Il frotte sa verge contre les rondeurs qui l’excitent encore plus. Aurélie et Marion bascule sur le lit. La bouche vorace de Marion gobe l’un après l’autre les mamelons, et les suce en faisant geindre son amie de plaisir. Aurélie marmonne :
-Marion, nous sommes folles de faire une chose pareille, c’est indécent, je t’en prie arrête !
Mais Marion ne l’entend pas, au contraire elle s’acharne sur les mâts de chair qui ne cessent de prendre du volume. Elle suce et tète comme une vorace, en faisant geindre son amie. Qui depuis la mort de son mari Logan, n’a connue que des plaisirs digitaux. Aurélie se contorsionne doucement, encore sous l’émotion, elle n’ose pas encore se livrer à fond. La bouche descend sur son corps fébrile, sa respiration s’accélère, son souffle devient rauque.
Les baisers brulants que donne Marion sur sa peau laiteuse, la font vibrer. Serge se penche et avec douceur lui ouvre les jambes. Aurélie, n’oppose aucune résistance. Elle livre au yeux de son ami sa vulve suintante de cyprine. lentement il avance sa tête vers le temple humide, hume fortement les effluves odorantes que rejette la chatte, en manque de sexe.
Mais dès qu’il pose sa bouche sur le fruit juteux, Aurélie se cabre et poussant un très long gémissement. Serge s’avère un très bon amant, l’expérience de l’âge joue. Il enfonce sa langue dans le conduit, en le fouillant profondément Au même instant, Marion lui fouille le nombril. Aurélie se cambre fortement en ne cessant de gémir, les bouches voraces la font délirer elle ne sait plus ce qu’elle veut :
-Non, non, arrêtez, je vous en prie, j’ai trop honte, oui, oui, encore oh mon Dieu, je vais jouit, oui, oui, ça vient !
Elle se tend comme un arc, qui va décocher sa flèche et explose de jouissance, c’est si intense, qu’elle éclate en sanglot. en se recroquevillant en chien de fusil. Ses mains plaquées contre sa chatte en feu. Serge et sa femme la regardent, leurs yeux s’illuminent. Marion caresse délicatement le corps replié sur lui même en disant tendrement :
-Oh ma chérie comme tu jouis bien, mais je te promets des jouissances bien plus fortes !
Elle lui donne un baiser sur le front, et délicatement la remet sur le dos. C’est à son tour de profiter de son fruit bien mûr. habilement, Marion aspire le clito hyper gonflé, et le suce à en faire grincer les dents de son amie. Aurélie agite son bassin ses râles ressemblent, à si méprendre à une agonisante. la bouche avide, atteint son but. Aurélie se cabre en poussant un gémissement terrible, une jouissance fabuleuse, qui ressemble à une brûlure lui traverse le corps. Marion se redresse et dit avec tendresse :
-Jouit, ma chérie, jouit ton corps en a besoin !
Serge attendait impatiemment son tour. Il se place entre les cuisses de son amie et lui enfonce lentement sa verge dans le ventre. Embrochée comme jamais, Aurélie s’accroche à son amant engeignant de plaisir. Il commence un va-et-vient, qui prend rapidement de la vitesse. le gland épais, racle les parois du vagin en faisant grogner Aurélie. Cela faisait des années que son corps n’avait reçu de verge. là, elle fond, elle s’agrippe comme elle peut à son amant, en agitant son bassin comme une forcenée. Serge ne la ménage pas il la démonte comme jamais elle ne l’a été.
Pendant ce temps, Marion s’arme du gode ceinture, se place derrière son mari et présent la bite factice à son anus. Elle le saisit par les hanches et pousse. Une grimace déforme le visage de son mari, qui ne peut que dire :
-Oh putain, oui ma chérie, bourre moi bien !
A chaque coup de reins que donne Marion, la verge de son mari s’enfonce profondément dans le ventre d’Aurélie. Aurélie à l’impression que la verge de Serge prend du volume dans son ventre, elle marmonne :
-Oui, oui, c’est trop, bon mes chéris, encore, encore !
Serge à chaque coup de boutoir de sa femme, ses couilles frappent la chatte insatiable d’Aurélie. Une jouissance inégalée, la fait hurler de plaisir. Serge déverse dans le ventre de son amie, un flot important de semence brulante. Il se retire des entrailles remplis de sperme, il se cramponne au lit, sa femme, n’en a pas finit avec lui. Elle le démonte comme une sauvage. A chaque enfonce du gode dans son rectum, un jet de sperme est expulsé de sa hampe. Il gémit à chaque jet. Un jet plus important que les autres, le fait hurler, il s’écroule sur le lit les bras en croix.
Marion le libère en souriant et dit :
-Mon chéri tes jouissances sont toujours aussi violentes, c’est un plaisir pour moi de te prendre par le cul !
Entre deux souffles, il répond :
Tu es une maîtresse femme ma chérie, tu sais manier le gode comme personne. Mais avant de dormir, J’aimerai sodomiser notre amie, je rêve de le faire depuis des années !
En souriant, Marion réplique :
-je crois, qui faut rendre un dernier service à notre amour, prenons là en double, mon chéri !
Aurélie encore fans un état second ne peut répondre. Marion s’allonge sur le dos et invite son amie à venir s’empaler sur son engin. Péniblement, avec l’aide de Serge, elle s’empale sur le gode jusqu’à la garde. Serge se place derrière elle et frotte son gland gluant contre l’anus d’Aurélie. lentement il enfonce sa verge dans la gaine étroite. Aurélie, grimace en serrant les dents. La verge puissante s’enfonce centimètre, par centimètre dans la gaine, en la distendant. Ce conduit, jamais sondée reçoit pour la première fois un bite puissante. Bien que cela soit douloureux, Aurélie veut faire plaisir à ses amis merveilleux.
Prise comme jamais elle ne l’a été, Aurélie subit pour la première fois de sa vie une sodomie et étrenne aussi une double pénétration. C’est monstrueux comme ses deux amants s’acharnent sur elle, elle grimace, geint, grogne, sous les assauts répétés de ses amis.
Les verges voyagent dans son corps sans lui laisser de répit. Son anus commence peu à peu s’habituer à la sodomie. Maintenant Aurélie prend du plaisir à cette pratique inconnue d’elle. Elle agite sa croupe en gémissant. Une jouissance monstrueuse la fait hurler, son rectum est secoué de spasmes violents. Plusieurs orgasmes sont déclenchés, Aurélie défaille :
-Mon Dieu, mon Dieu, c’est merveilleux, vous faites de moi une autre femme, oh comme je vous aime, oh mes chéris, mes chéris !
Mais Marion veut aussi sa part du gâteau. Elle demande à son amie de lui rendre le même service. Aurélie redevable, dévore pour la première fois une chatte. Elle réussit à faire jouir son amie comme une bête. Serge pendant qu’il défonce sa femme, Aurélie le sodomise avec le gode ceinture, et la novice, ne simule pas, elle le défonce comme une dératée. L’effet est identique que lorsque c’était sa femme qui le sodomisait, il jouit abondamment. Marion, a droit elle aussi à une double pénétration, elle jouit si fort que ses cris résonnent dans la maison.
Depuis ce jour, régulièrement le trio s’ébat, Aurélie et vraiment devenue une autre femme. Très demandeuse, une fois que les deux femmes, ont épuisées Serge, elle se dévorent pendant des heures, leurs jouissances sont si violentes, qu’elles sont indescriptibles.
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