Aurore initiée au sexe par ses parents

Aurore déprime suite à une déception amoureuse, cela fait plusieurs mois que cela dure. Très fusionnelle avec ses parents, elle se refugie sur le genoux de l’un ou de l’autre, pour se faire câliner. Aujourd’hui, en sanglotant, elle choisit ceux de son papa. la maman Julia regarde tendrement le couple. jacques le papa gâteau, lui donne plein de baisers sur le visage, et gobe les perles salées qui coulent sur son visage. Aurore renifle souvent, pousse de nombreux soupirs, elle se blottit dans les bras de son papa en le serrant très fort.

A force de s’agiter sur les genoux de son papa, une chose incontrôlable se produit. Le bougre de papa a la verge qui enfle fortement, il ne peut cacher son érection. Sa verge dure comme du béton glisse doucement contre les fesses bien rebondies de sa fille. Qui constate la forte érection, elle se raidit légèrement, et cesse de s’agiter, elle regarde son papa droit dans les yeux, en fronçant les sourcils, et en se pinçant les lèvres.

Jacques prit en flagrant délit, ravale sa salive, et baisse les yeux honteusement. Aurore pousse un gros soupir, puis saisit son papa par le cou et l’embrasse sur tout le visage. Elle lui murmurant au creux de l’oreille :

Qu’est-ce qui t’arrive papa, tu es pâle, et tu trembles !

Mais, elle omet de lui parler de la chose dure qui appuie fortement contre son fessier. Jacques pose ses mains sur les hanches de sa fille et inconsciemment agite doucement son bassin. Il lui répond :

-Juste un coup de fatigue, cela va passer ma chérie !

Qu’est-ce qui se passe dans la tête d’Aurore. Elle aussi se met à agiter son bassin. Elle sent la verge coulisser dans sa raie en entrainant le tissu de la culotte contre l’œillet ridé. la verge qui appuie plusieurs fois contre la petite fleur, comme pour le forer, la fait frémir. Elle se penche sur son oreille et dit d’une voix douce en reniflant une ultime fois :

-Tu bandes mon petit papa, je te fais tant d’effet que ça ?

Il lui murmure, en donnant un coup de reins violent, comme pour la pénétrer :

-Tais-toi petit monstre, tu mérites que je te punisse pour mettre ton papa dans cet état !

Aurore sourit et demande :

-Et qu’elle serai la punition méritée, mon petit papounet !

Il la regarde intensément et ajoute en déglutition bruyamment :

-Tu veux tout de même pas, que je te fasse un dessin ma chérie !

Aurore insiste :

-Dis-le, dis-le papa, je veux savoir ce que je mérite !

En soufflant comme un dragon, jacques répond sans se soucier de la présence de sa femme :

-Oh toi, toi, tu mérites que je te plante ma bite dans le ventre !

Aurore, serre très fort son papa entre ses bras. Julia dit avec quelques trémolos dans la voix :

-Fais-le jacques, fais-le, je t’en prie mon chéri, elle est si malheureuse notre princesse !

Julia, ne dit plus un mot, ses yeux lancent des éclairs, sa respiration s’accélère. Elle voit sa fille s’agiter de plus en plus vite sur les genoux de son papa. jacques se cabre et dit en grognant :

-Arrête ma chérie, je vais décharger dans mon pantalon !

Julia sursaute et s’approche du couple en souriant. Qu’est-ce qui se passe à cet instant dans son cerveau de maman. Sans réfléchir plus que cela, elle passe sa main sous les fesses de sa fille et saisit la verge dure de son mari, elle la presse plusieurs fois en disant :

-Ne jouis pas mon chéri, laisse ce soin à notre petite princesse de faire gicler ton geyser !

Aurore surprise par les paroles de sa maman, descend des genoux de son papa, elle observe l’énorme bosse qui lui déforme le pantalon, elle souffle :

-Oh papa, il semble monstrueux ton engin !

En disant cela, elle regarde sa maman qui ne cesse de contempler le manche gonfler le tissu. Instinctivement Aurore saisit la verge au travers du pantalon et la presse plusieurs fois en soupirant fortement. Puis instinctivement, elle commence à agiter lentement le mandrin qui est prêt à exploser. Julia lui dit entre deux souffles :

-Sors-là, ma chérie, sors-là de son carcan, et fait là encore grossir, elle est si belle la verge à ton papa, vas-y ma chérie ne te gêne pas, ose !

Aurore ravale sa salive et maladroitement extirpe du pantalon la verge tendue. Elle la prend à pleine main et commence un branlage qui devient de plus en plus énergique. Julia regarde en écarquillant les yeux fortement, le membre dressé comme un mat que sa fille agite fermement. Bien que Julia voit souvent la verge de son mari, La grosseur l’impressionne à chaque fois. En poussant un gros soupir, elle dit sans ce rendre compte que c’est de l’inceste :

-décalotte-là ma chérie, regarde comme son gland est épais, j’adore le sucer, je te conseille d’en faire autant ma chérie, hum elle est si bonne !

Les yeux émerveillés d’Aurore ne quittent pas le gland fraichement décalotté, elle avance sa bouche de la protubérance monstrueuse, et donne quelques coups de langues bien ajustées sur le champignon large et très épais.
Elle lape les perles de rosées que le méat libère. le cœur de Julia bat à se rompre dans sa poitrine, sa respiration et rapide, elle ne semble pas réagir que c’est sa propre fille qui lèche la bite de son mari, la coquine s’excite de plus en plus. Elle observe chaque geste que fait sa fille, elle l’encourage même :

-Prends-là en bouche ma chérie, suce-là, ton papa adore ça, vas-y, vas-y suce bien ma princesse, boit son sperme, boit ma chérie, avale tout !

La bouche d’Aurore gobe le gland, elle l’enserre avec ses lèvres pulpeuses et le suce en prenant de l’assurance. les succions font un bruit étrange sur le gland, qui ne cesse de suinter. Jacques est sur un nuage, jamais il n’aurait imaginé que sa fille un jour, puisse lui sucer la bite. Il se dit intérieurement que la jeunette suce aussi bien que sa maman. Il enfonce ses doigts dans la chevelure de sa fille et la triture, en soufflant comme un taureau qui va charger.

Julia serre les cuisses, sa chatte lâche son jus, il coule le long de ses cuisses en lui humidifiant fortement la culotte. Elle respire par saccade, son souffle est bruyant. Jacques gémit de plus en plus fort, il s’accroche aux cheveux de sa fille en geignant comme une bête.
Julia sait que son mari va exploser, elle serre les poings en ne quittant pas des yeux le manche hyper veiné de son mari, que sa fille déguste comme une affamée. Sa bouche tète avidement le gland volumineux, en faisant gémir le papa qui pâme de bonheur. Soudain, un gémissement plus fort que les autres, fait cabrer Jacques. Une violente jouissance lui fait grincer des dents. Surprise par la violente décharge, Aurore repousse brusquement son papa, un filet de sperme s’échappe à la commissure de ses lèvres, elle grimace en faisant une moue affreuse. Sa maman lui crie, plusieurs fois :

-Avale, ma chérie, avale, c’est si bon !

Les yeux d’Aurore sont plein de larmes. En déglutissant bruyamment, elle avale la décharge visqueuse jusqu’à la dernière goutte. Elle s’essuie d’un revers de la main les lèvres, en regardant la verge lâcher quelques gouttes sur le sol. Les yeux de la maman s’illuminent, elle saisit le manche englué et l’enfourne dans sa bouche, elle presse fortement la hampe pour en extraire la sève qui s’y cache encore. Elle suce et tète comme une vorace. La coquine veut elle aussi sa récompense. Son mari grogne comme un animal en rut, il appuie sur la tête de sa femme en gémissant fortement. La bouche vorace s’active sur le gland. Il est vrai que Julia est une très bonne fellatrice, elle le prouve en faisant geindre son mari de plaisir.

Aurore est émerveillée devant la savoir faire de sa maman, elle salive abondamment en ne quittant pas du regarde le couple en action. Un grognement de fauve sort de la bouche de son papa, qui déverse sa semence dans la bouche gourmande de sa maman. Julia avale la crème onctueuse, puis se remet à sucer la verge, pour bien la vider de son jus suave.

Elle ouvre la bouche pour montrer à sa fille qu’elle a tout avalée. la verge de jacques est secouée de soubresauts incontrôlables, la coquine en veut encore. Il regarde sa fille tendrement, ses yeux luisent de désir. Julia sait ce que veut son mari, elle s’approche de sa fille et en la regardant longuement dit :

-Regarde comme ton papa te désire, profite de son expérience, c’est un amant merveilleux. Laisse toi aller ma chérie, ne pense qu’à ton plaisir !

Aurore après ce qu’elle vient de faire, ne peut plus reculer, bien qu’elle hésite, la tentation est trop forte. Sa maman l’aide à se dévêtir entièrement, pour qu’elle se livre entièrement mon à son papa d’amour. Jacques regarde le corps de sa fille, ses yeux jettent des éclairs. Les petits seins en forme d’œufs sur le plat sont très tentant, quant à la vulve aux lèvres fines et bien dessinées, ne demande qu’a être investit. La coquine mouille terriblement, sa maman très attentionnée, lui dit avec amour :

-Maman va bien te préparer ma chérie, il faut que tu t’ouvres comme une fleur, pour que la verge puissante de ton papa, puisse te faire jouir au maximum, allonge-toi sur la petite table ma chérie, maman va bien te préparer !

Aurore pas très rassurée, obtempère. Elle s’allonge puis ouvre largement les cuisses. Sa maman s’agenouille à côté, et commence à lui caresser la poitrine avec douceur, rapidement les bouts larges et épais prennent du volume en durcissant. Les doigts habiles de Julia roule les mamelons, les étire, les presse pour bien les stimuler. Ils sont devenus très, très épais. Mais dès que la maman pose sa bouche sur un mamelon, Aurore pousse un long gémissement. Elle se cabre en geignant comme une bête malade, son souffle est court, sa respiration rapide. La maman maltraite en alternance les mamelons qui ne cessent de gonfler. Aurore râle de bonheur, son papa bande comme un poney, il ne rate pas une image, qu’envoient les deux amantes incestueuses. La bouche descend sur le torse, la langue agile glisse sur la peau satinée de la jeunette, en état de fébrilité avancé.

Julia fouille un instant le nombril, le corps de sa fille se met à trembler férocement. la bouche avide glisse lentement sur le ventre, pour atteindre son objectif. Les lèvres brulantes passent de nombreuses fois sur la fente suintante, la langue s’insère dans le sillon que forme les grandes lèvres, et monte jusqu’à la boule magique qui est déjà gonflée de désir. Habilement Julia aspire le clito, le suçote un long moment Aurore croit mourir de plaisir, elle ne retient pas ses gémissements.

La chatte très sollicitée, laisse échapper un filet de cyprine, que la maman gourmande avale sans retenue. Jacques est émerveillé, par l’attitude des deux amantes. Il n’aurait jamais imaginer, voir sa femme dévorer la chatte à sa fille, il ignorait cet instinct lesbien de sa femme, et cela le met dans un état d’excitation extrême. Il saisit sa verge et la caresse en grimaçant, tellement elle est douloureuse. un cri strident le fait sursauter, sa fille vient de jouir atrocement, en se cabrant. Un flot de jus remplit la bouche de la maman amante, qui s’empresse de tout avaler.

A suivre

Linsee