Bonjour,
On est les premiers membres à participer à la nouvelle rubrique du blog et on est très contents de partager une confession intime avec vous. Merci à Lucie et à Franck pour le site qui est un rayon de soleil chaque jour pour nous. On lit les histoires et on regarde toutes ces jolies photos publiées chaque jour, ça fait du bien surtout que c’est gratuit, chose rare de nos jours.
Je m’appelle Yvette, j’ai 60 ans et mon mari Henri en a 58. Lucie a été surprise par nos âges, mais oui il n’y a pas d’âge pour faire des cochonneries. Mon anecdote est récente. Je ne vais pas vous raconter une chose qui s’est passée il y a 30 ans, ça s’est passé la semaine dernière.
Henri et moi sommes un couple libertin depuis que l’on a découvert ça dans le milieu des années 90. Nous avons été en club, en soirée privée, on a même fait les nôtres à la maison. Nous avons essayé beaucoup de pratiques comme le candaulisme qui ne s’appelait pas comme ça à l’époque. Ça ne s’appelait pas du tout d’ailleurs, il n’y avait pas de nom ! Puis on a fait du cote à cote, du mélangisme et de l’échangisme. Tout ça pour vous dire que nous sommes un couple qu’on pourrait qualifier de coquin et de chaud.
La semaine dernière, samedi pour être précise, un homme passe faire la maintenance de la pompe à chaleur. C’est un beau jeune homme d’une trentaine d’années. Henri voit que je suis sous le charme et vient me dire à l’oreille que si ça me démange, je peux y aller ! Je pense sur le moment qu’il est stupide, mais le fait qu’il m’ait dit ça a excité ma libido. Je suis donc allée enfiler une tenue plus confortable on va dire et je suis allée faire du gringue au jeune homme. J’ai bien vu qu’il avait remarqué mon petit jeu, mais il est était droit dans ses baskets et ne semblait pas intéressé. C’est là que la légendaire délicatesse de mon Henri a refait surface.
- Et pour ma femme, vous pouvez lui faire une petite révision ? Il me semble qu’elle surchauffe un peu depuis que vous êtes là.
Pendant qu’il dit ça, Henri baisse mon haut et libère mes gros seins. Il soulève ma jupe et me caresse le pubis qui est tout lisse. LE technicien ne sait plus où se mettre ni quoi dire. Il bafouille des trucs incompréhensibles. Henri sent que le poisson est ferré et il lui met au paquet pour voir qu’il bande.
- AH, ben voilà ! bon je vous laisse avec ma femme, mon émission va commencer.
Et il est parti dans la chambre regarder son émission de sport. J’étais gênée tout comme le gars. J’ai pris les devants et je me suis approché de lui pour l’embrasser et lui toucher le sexe. J’ai libéré sa verge et je l’ai sentie toute dure ça m’a fait du bien !!!!!! De partout !!!! Il a mis ses mains sur mes seins et je sentais qu’il avait envie de jouer avec. Je l’ai assis sur le fauteuil et je lui suis grimpé dessus. Je frottais ma chatte sur sa queue pendant que je plaquais ma poitrine sur sa bouche. Il me l’a sucée comme un nouveau-né !!! Ça devait lui manquer 2 gros nichons bien lourds ! À force de me frotter, son sexe est entré en moi. Quel délice ! C’est moi qui bougeais parce que lui se retenait, il ne voulait que sucer mes seins. Je sentais son sexe palpiter en moi. Sous l’effet de l’excitation, il m’a soulevé d’un coup et a joui sur mes hanches. Il s’est excusé 200 fois avant de remballer son sexe et de partir en oubliant ses affaires.
C’est Henri qui lui a descendu au fourgon. Il ne lui a pas parlé et il est parti à vive allure. Voyant que j’étais frustrée, Henri m’a baisée sur le fauteuil avec le sperme du technicien encore sur moi. Ça l’a rendu tout dur comme jamais mon Henri ! Lui a fait les choses bien et m’a ensemencée comme il dit depuis 35 ans.
Je ne suis pas allée prendre de douche parce que je sais qu’il aime bien revenir quelques minutes après pour nettoyer ce qu’il a souillé. J’adore ça aussi sans parler du côté pratique de la chose.
Le positif là-dedans est la société ne nous a pas encore facturé l’intervention.
Voilà pour nous. On invite les autres membres hummm, pardon 😉 à venir raconter leurs histoires. Tout le monde en a !
Merci à Franck et Lucie pour leur travail et leur gentillesse.
Yvette et Henri Cote d’Armor.
Merci pour cette confession d’un passage de votre vie, très excitant, bien bandant vu mon âge (70) j’ai adoré.
En tant que mari soumis et cocu volontaire, ma femme et moi, on a adoré ton récit !
Gros bisous et meilleurs souhaits !
Super !