Bonjour à tous,
Je m’appelle Noémie j’ai trente-cinq ans et je suis ici pour vous relater toutes mes frasques sexuelles que j’ai vécues et que mon mari m’impose de livrer pour son plus grand plaisir. Plus âgé de treize c’est un véritable obsédé et il aime m’utiliser ou me prêter à des vieux pervers. Ma spécialité ? Tailler des pipes. Mon péché mignon ? Les bonnes odeurs de bites sales !
Aujourd’hui je vais vous raconte une histoire qui m’est arrivée sur les bancs de la fac.
Noémie la renifleuse de queue à la FAC
Partie 1
BRANLETTE ODORANTE SUR LES BANCS DE LA FAC
Je venais de fêter ma majorité. Mes cheveux bouclés blondis par le soleil me tombaient sur les épaules. Je portais une jupe en denim au-dessus de mes genoux et un petit top qui moulait mon 90B bien galbé avec un décolleté qui attirait le regard de beaucoup d’hommes. Avec mon visage nacré et mes yeux couleur océan, j’avais des airs de fille sage. En réalité, j’étais une véritable salope. Depuis mes quatorze ans, je suçais des queues et me faisais baiser par des garçons, la plupart du temps, bien plus vieux que moi. Pour mon plus grand plaisir, une bite d’une trentaine d’années m’avait pris mon pucelage. Parfois j’allais même jusqu’à coucher avec des amis de mon père.
À la FAC j’avais quelques habitués. Je m’arrangeais toujours pour choisir des beaux gosses en couple pour éviter qu’il me fasse mauvaise réputation.
Un jour j’étais assise à côté de Stéphane, le beau mec du campus. Un grand brun ténébreux au regard noir et profond. Lui aussi me prenait pour une jeune fille prude et studieuse. Je l’étais en effet, mais avec ma langue de salope aussi. Il me parlait rarement, m’adressant un vague bonjour dans les couloirs.
Le prof en bas de l’amphi parlait mais j’écoutais à moitié. Parfois le beau jeune homme me regardait en souriant. Personne ne se trouvait assis à côté de nous. Les étudiants se répartissaient à deux rangées de la nôtre. Nous avions toute la place, mais nous étions proches l’un de l’autre sans l’avoir cherché.
Prise dans mes pensées, je sentis comme une légère odeur. Je me concentrai et je décelai un léger fumet. Je dévisageai mon voisin un instant et je reconnus les senteurs caractéristiques du sexe. Il me sourit de ses belles dents. Les effluves que je décelais commençaient à titiller mon clito. Je lui envoyai un sourire vicieux qui alerta son attention. Plus le temps passait et plus cette senteur m’émoustillait. Sans vraiment me maitriser, je m’approchai de lui lentement. Les senteurs augmentaient au fur et à mesure. Il s’étonna de me voir si près et m’interrogea du regard. Je posai alors ma main sur sa cuisse. Je la sentis ferme et musclée. Je devinai d’où venait cette odeur. La petite renifleuse de bite que j’étais la reconnaissait à des kilomètres et instantanément ma chatte se mettait à mouiller.
L’étudiant ne sursauta pas et se contenta de me regarder en souriant. Je massai sa jambe puis glissa à l’intérieur. Je le caressai un peu en plantant mes yeux dans les siens. D’un coup je remontai au milieu. Cette fois il ne s’y attendait pas. Avec le tranchant de ma main je sentis une légère bosse. J’appuya plus fort, pressa, glissa jusqu’a ce que je sente un peu durcir pour plaquer ma main entière sur un bon paquet.
– Ummm. Ça à l’air de te plaire on dirait.
— Plutôt oui ;
— Si tu veux que je continue, tu vas répondre en toute franchise à une question ?
Il hocha la tête en signe d’incompréhension, mais confirma.
— Depuis que tu es arrivé, je sens une odeur.
— Ah oui ?
— Oui une odeur de bite pour tout te dire.
Il émit un rire discret, mais je le fixais d’un air sérieux qu’il le fit rougir.
— Alors ? C’est bien ta queue qui pue jusqu’ici ?
Maintenant gêné, il commença à rougir. Il ne s’était pas lavé le matin et il savait que sa queue sentait l’urine, la sueur et le reste de sperme de sa branlette de la veille.
— Réponds, ne t’inquiète pas., déclarais-je d’un ton mielleux
— Euh oui c’est possible.
— Ummm. Je vais vérifier.
J’appuyai sur son paquet et provoqua un soupir de ma proie. Je desserrai la boucle de la ceinture puis discrètement de mes deux mains je déboutonnai le pantalon. Je passai mes doigts à plat sur le dessus du boxer. J’epusai la forme de son gland, de sa hampe. Je passa mes doigts sur ses boules énormes.
— Ummm, tu commences à bien durcir.
— Tu m’excites, sa…
— Oui tu peux. J’aime les insultes et les mots crus.
— Tu m’excites salope !
— Moi ce qui m’excite c’est les bites dures et les odeurs.
Je portai mes doigts sous mon nez.
— Ummm, ça pue. Même à travers le caleçon. Tu ne la laves pas ?
— Si, mais je me suis juté dessus hier…
— Miam…un délice…mais tu ne dois pas la laver souvent quand même pour qu’elle sente si fort. Tant mieux j’adore les bites sales et puantes c’est mon pêché mignon.
Je furetai sous l’étoffe et sentis sa peau lisse, chaude et moite. Je serrai sa queue bandée. Je n’en faisais pas le tour. J’avais chaud a la chatte en découvrant le monstre que j’allais pourvoir renifler et plus encore.
— Elle a l’air grosse dis donc.
— Oui j’ai pas à me plaindre.
— Je crois que je vais me régaler avec ton engin.
J’entourai le gland de mes ongles manucuré. Il commençait à mouiller du bout et je pensai au sperme qu’il avait dû laisser sur sa bite après une bonne branlette. Je cajolai sa tige, pressait bien mes doits sous son gland, je m’imprégnais efficacement de ses fragrances avant de ressortir ma main. Un léger fumet s’échappa de dessous la table quand j’écartai le pantalon. Je mouillais de plus en plus.
— Wouaou, elle sent vraiment fort…
Je me délectais de sa bonne odeur les doigts caressant mes narines de perverse.
— Ce n’est pas commun. Tu es une sacrée cochonne.
— Oh oui une grosse cochonne même ! Rien ne m’excite plus qu’une bonne queue qui sent fort et elle est à l’air bien grosse. Tu me fais mouiller.
Je ponctuai ses mots par une forte pression sur le membre gorgé de sang à l’en faire frémir sur sa place.
— Caresse ma chatte !
Il glissa ses mains en s’assurant que personne ne nous regardait. Il sentit la chaleur entre mes cuisses et l’humidité qui y régnaient.
— En effet tu es trempée chienne. Et toi tu pues de la chatte ?
— Umm cochon tu aimes ?
— Je sais pas…
— Vas-y vérifie alors.
— Ummm. Ah oui tu pus salope. Oui ça m’excite. Tu sens comme tu me fais bander espèce de chienne ?
J’appuyai un peu plus fort et constata que sa grosse queue durcissait sous la pression de mes doigts et de l’odeur de ma chatte sale. J’entamai une douce branlette sous son pantalon.
— Ummm.
— Tu aimes que jte branle ?
— J’adore.
— Mets des doigts dans ma chagatte.
Il rentra son majeur dans mon trou inondé pendant que je le branlais. Je tirai bien la peau en bas pour el faire frémir.
— Tu es douée petite salope
— Merci.. Je vais te faire cracher, tu veux ?
— Oh oui
— Sors là.
Il leva ses fesses pour tirer son jean et j’en profitai pour amener ma main sous ma bouche et y laisser couler un jet de salive avant de retourner sous le pupitre. Je caressais sa bite doucement, puis de plus en plus vite. Je mouillais de le voit se crisper sur sa place en fermant les yeux. Je tordais sa queue, la décalottait, remouillait mes doigts pour bien les glisser sur son chibre tendu Il se mordit les lèvres tellement il était prêt-à-exploser sous mes caresses obscènes.
— Elle est bien dure ta bite. J’adore. Tu va gicler ton jus hein…
— Oh oui, tu es une sacrée bonne branleuse
— J’adore branler une bonne bite, mais tu verras je suis aussi une très bonne suceuse. Imagine quand je vais avaler ta grosse queue…
— Tu vas lui faire quoi ?
— Je vais te la bouffer, la prendre au fond de ma gorge, la faire jouir dans ma bouche de putain…
J’affichai un air vicieux et accéléra le mouvement tout en serrant son barreau. Je le secouai de plus en plus vite. Je sentais la sueur perlée sous mes bras. Sa respiration s’accéléra et ma chatte n’en finissait plus de couler. J’osai me pencher pour flatter ses grosses couilles tout en agitant la peau sur son gland épais.
— Umm des bonnes couilles pleines.
— Ça vient, prévint-il en serrant les dents.
— Vas-y donne ton sperme, allez vas-y donne cochon.
J’accélérai mon geste alors qu’il plaça sa main devant sa bouche, se contracta et dans un gémissement étouffé je sentis un liquide chaud et épais couler entre mes doigts. Ça n’en finissait plus, il semblait crémeux et coulait en abondance. La cyprine, elle, s’échappait de mon string pour laisser une trace sur mon banc. Je continuai à aller et venir doucement sur son membre qui se ramollissait avant de porter mes doigts à mes lèvres pour gouter son exquise semence.
— Ummm un délice. La prochaine fois je boirai directement à la source.
— Avec plaisir
— Ce soir après les cours, aux toilettes du 5em. J’ai l’habitude.
Le beau brun sourit et s’exclama tout doucement
— C’est donc vrai. Il y avait une rumeur sur une pute qui taillait des pipes là-haut.
Je pris peur de me savoir démasqué, mais personne ne connaissait la véritable identité de la petite suceuse de bite qui ouvrait en cachette dans les toilettes de la FAC.
Je n’avais pas lâché sa bite devenue molle et passais mes doigts bien partout pour répandre son jus des boules jusqu’à la hampe.
— Tu ne la laves pas, laisses le sperme comme ça. T’égouttes plus la queue après les toilettes. Je m’occuperai de bien te la nettoyer ce soir.
Noémie
FANTASTIQUE et BRAVO….. J’adore les GLANDS aux odeurs TRES VIOLENTES aussi. Que ce soit des Hommes ou le GLAND de mon Amant depuis 12 ans, un somptueux ETALON ….. Un VRAI cheval que je ne nettoie jamais et qui dont le PENIS et GLAND géants sentent à 15 Mètres.
Bravo pour ton gout, Horseslover !