Brigitte a un problème de robe ! (1ère partie)
Ce samedi, je me flâne au centre commercial où j’ai l’habitude de me rendre pour mes courses hebdomadaire, il est 10 h 30.
Habillée en talon, et en robe longue pastel échancrée devant jusqu’au nombril. Je décide d’aller ranger toutes mes courses dans mon coffre.
Je pousse avec difficulté le caddie rempli de courses en tout genre, fruits et légumes, viandes, épicerie, produits frais, boissons, etc. de quoi tenir toute la semaine.
Je parviens à mon véhicule stationné tout au fond du parking dans la dernière rangée, le coffre du côté haie. J’ai l’habitude de me garer à cet endroit peu fréquenté depuis que j’ai eu une aventure avec un inconnu qui m’avait suivi dans tout le centre commercial lors d’une de mes exhibitions et qui m’avait baisé au même endroit.
Je ne prête pas attention aux usagers et remplis mon coffre. Je me penche loin dans le coffre pour d’abord ranger mes packs de bouteille d’eau.
Un premier, puis un deuxième.
CLAC, une main vient me fesser les fesses, je me redresse.
« Ah, Loïc, comment ça va ? »
« Bien et toi Brigitte, que fais-tu ? »
« Comme tu le vois, je range mes courses ».
« Attends, je vais te filer un coup de main ».
Loïc est le mari de ma meilleure amie d’enfance Nathalie, j’ai déjà fait l’amour avec lui dans la voiture garée sur le parking pendant que Nathalie était chez le coiffeur, se hâte de ranger mon coffre.
« Tu es livreur ou quoi ? »
« Tout est nickel, franchement merci. »
Je replace un plastique qui dépasse et m’apprête à fermer le coffre de ma voiture quand Loïc m’attrape la main sur le coffre.
« Tu pourrais me remercier au moins ? »
« Je viens de te dire merci. »
« Tu sais très bien de quoi je parle, »
II m’attrape en me demandant de m’appuyer sur le coffre de la voiture ouverte.
« Tu aimes bien faire cela devant tout le monde toi ! »
Sans me répondre, il attrape les bords de ma robe autour de mes seins et la déchire littéralement.
« Arrête je n’ai que ça sur moi ! »
« Maintenant, elle est plus échancrée c’est devenu un imper en tissu.
Il me retourne vers lui, m’appuie sur l’épaule droite avec une main, afin que je me mette accroupie.
De là, il me sort sa trompe molle et me demande de le sucer.
Je ne me fais pas prier, j’adore les bonnes grosses queues.
Sur ce parking du centre commercial, vers 10 h 45, j’entame une fellation sur Loïc qui au fur et à mesure se dresse en javelot, je lèche ses bourses, je le lèche sur toute la longueur de son sexe, puis de l’autre côté, jusqu’à arriver à l’autre boule, je la prends en bouche la mordille, relâche ma prise retourne à la base du gland et donne de très légers coups de langue sur ce sexe énorme en train de grossir à vue d’œil.
J’ouvre ma bouche en O, et très doucement fais disparaître son gland dans ma bouche, j’avance peu à peu en serrant et desserrant ma prise tel un poisson.
Je suis super délicate, je fais ça très doucement, ce qui a pour effet de l’exciter jusqu’à sa taille maximale.
Ne tenant plus attendre de me baiser, il me prit les cheveux et s’enfonça loin en moi, ressortit d’un coup, pour me la remettre de suite encore un peu plus loin, quand j’ai 20 bons centimètres de sa bite dans ma bouche il maintient ma tête par les cheveux et me baise la bouche à une allure folle.
Il ressort me laisse respirer, 10 secondes, et s’enfonce encore une fois, je sens son sexe toucher mes amygdales et suis impressionné par sa taille quand je me dis que j’ai bien 20 centimètres en bouche et que je ne parviens pas à tout prendre en bouche.
Il me retient la tête et me libère, en même temps qu’un grand filet de bave qu’il attrape et s’étale sur sa bite.
“Je suis chaud, tourne-toi.”
Avec sa force et sa taille de ses mains j’ai l’impression d’être un jouet, il m’appuie sur mon coffre ouvert, me donne ses doigts à lécher, je me régale de ses doigts qu’il m’enfonce pour que je mouille bien ses doigts.
Pendant que je m’occupe d’une de ses mains l’autre en profite pour faufiler un doigt, deux doigts, et bientôt quatre doigts dans ma chatte bien humide par l’excitation de cette gorge profonde.
Je m’appuie sur mes mains, bras tendus dans le coffre, sa main ne quitte plus ma chatte qui s’ouvre de plus en plus sous l’effet de ses doigts qui visitent tous les recoins de mon intérieur.
Son autre main, trempée de bave, sort de ma bouche, déchire un plastique de course au hasard.
Il jette un rapide coup d’oeil et attrape carrément la caisse de fruits et légumes et la rapproche de nous le plus possible.
Je sens que sa main quitte ma chatte, pour la tenir écartée, afin que sa langue puisse me visiter à son tour.
Cette langue, un vrai vibromasseur, à chaque coup de langue, je tremble tellement que la sensation est bonne.
Il tourne sa langue longuement dans mon sexe, en fait tout le tour, s’amuse à laper mon clitoris, m’embrasse le vagin.
Je suis en appui tendu sur mes bras et gémi à chacun de ses coups de langue qui m’inonde de plaisir.
Tellement excitée, j’attrape un concombre dans mon coffre et me mets à le lécher sur tout son long, je le rentre même dans ma bouche, j’imite un deuxième sexe avec le concombre que je suce sensuellement.
Pendant qu’il me goute, une de ses mains fouille et attrape, dans le plastique qu’il vient de craquer, mon tube de dentifrice.
“Tu fais quoi là ?”
Plusieurs véhicules passent à moins d’un mètre de nous sans nous voir.
Sans me répondre il se dresse de son mètre quatre-vingt-dix ouvre le dentifrice, appuie dessus comme un dingue, au-dessus de sa queue, il se recouvre le sexe de dentifrice à la menthe, et avant que je n’aie eu le temps de poser une question s’immisce enfin dans ma chatte encore toute trempée de sa bave et de cyprine suite à son cunnilingus.
La sensation fut bizarre à la première pénétration, tout le dentifrice s’est écrasé contre mes parois vaginales, appuyées toujours sur le coffre ouvert, il me prend le sexe très délicatement en avançant de plus en plus loin.
Il doit à la moitié de son sexe quand il s’enfonce d’un coup et ne bouge plus.
“Aaaaaaaaahahhhhahhah, lançais-je surprise par cette pénétration brutale inattendue.”
“Qu’est-ce qui t’arrive ?”
“Tais-toi un véhicule de sécurité s’est arrêté juste derrière le buisson de l’autre coté.
Il s’appuie à son tour sur le coffre et place son autre main sur ma bouche pour que je ne fasse plus aucun bruit.
Pendant une minute, on ne fait plus aucun geste.
Je sens son sexe se ramollir en moi, comme ci j’avais un ver.
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