Brigitte a un problème de robe ! (2ème partie)
Il recommence très légèrement à onduler d’avant en arrière, son sexe retrouve vite sa rigueur.
« Il est parti. »
« Tu es prête, Brigitte, je vais t’enculer maintenant. »
« Oui prend moi et vas-y profond. »
« Tu es une vraie cochonne, tiens j’ai une idée. »
Il abaisse mon corps, accroupie au niveau du coffre et m’avance au maximum dans le coffre.
Je sens une forme toute ronde entrer dans mon sexe, je ne fais pas attention en pensant à son gland.
Je sens que ses trois plus gros doigts visitent rapidement mon anus, il l’écarte de ses doigts puissants et commence à me sodomiser.
« Attends.
« Qu’est-ce qu’il y a ? Tu m’encules ? »
« Oui tu n’aimes pas ? »
« Si, j’adore, mais attends je comprends pas j’ai quoi dans la chatte ? »
Il ne me laisse pas me retourner et me dit juste.
« Ce n’est rien c’est juste la boule de remorquage. »
Il, me tient pas la taille pour faciliter sa sodomie. Il s’enfonce dans mon petit trou, ne pouvant plus bouger, je crie de plaisir, plus il avance plus je gémis, n’en pouvant plus et pour éviter de trop nous faire repérer je me remets a sucer le concombre.
Il me plie les jambes, son sexe trouve un bon angle et gagne encore de la profondeur, ce qui provoque aussi que la boule de remorquage s’enfonce encore plus en moi.
« Loïc, Aaaaa oui vas-y, mon Dieu c’est bon, encore transperce-moi le cul.
Il accélère ses coups à coups encore et encore il va vite et fort, me bourrine l’anus.
Je le chambre encore.
“Tu es sure que tu m’encules, je ne sens rien.”
Il redouble de puissance dans ces coups de reins, toute la voiture bouge. Je suis secouée comme pas possible, mes seins balancent fort, ma robe déchirée encore sur moi, ne me cache plus du tout.
“Ouiiiiii, comme ça c’est bon, vas-y baise moi le cul.”
“Tu veux que je jouisse dedans ?”
“Tu jouiiiiiiiiiiiiiiiis ou tu veux pour l’instant défonce moi !”
À ce moment-là je perds le contrôle, et gémis très fort, un concombre enfoncé dans ma bouche, ce gémissement se change en orgasme, je jouis de bonheur.
C’est appuyé, sur les montants de mon coffre, que je jouis comme rarement je l’ai fait dans cet orgasme bucco-rectal vaginal.
Tout le temps de mon orgasme qui dure bien une minute, il me mitraille l’anus de sa bite infatigable, il tient le rythme et arrive même à accélérer encore quelques fois. Je sens la dernière contracture, il va venir.
Je me libère de son engin, je pivote avec la boule de remorquage qui reste en moi, je m’abaisse encore dessus pour l’exciter une dernière fois.
Et face à lui, reçois tous les bons jets de sperme puissants en plein visage, sur la langue et mes seins.
Après avoir joui sur moi, il ne bouge plus et me laisse rincer cette bite souillée de sperme et de cyprine. Je me régale de ce mélange et avale devant lui en tirant la langue.
Je me lèche les seins pour le nettoyer, racle les quelques restes de sperme sur mon corps avec mes doigts et me délecte en suçant mes doigts langoureusement, telle une actrice de film x.
“Loïc ?”
“Oui, Brigitte ?”
“Tu as aimé ?”
“Trop, en public en pleine journée sur un parking c’est l’extase, je recharge et te remets un coup.”
“Comment je fais pour ma robe, tu l’as déchirée et j’ai que ça sur moi ?”
“Je ne sais pas, par contre tu m’excuses, mais je dois partir.”
“Quoi ? Tu te fous de ma gueule, tu viens, tu me baises, tu déchires ma robe et je dois ne rien dire.”
“Aller arrête, gamine, tu vas faire quoi ? Tu as vu mon physique, tu vas t’interposer ?”
“Connard, casse-toi je suis sympa, je me donne à toi, tu m’encules, tu me baises, tu me jouis à la gueule et là tu vas te casser en me laissant seule à poil, sur ce parking sans aucune aide.”
“C’est la vie, ma petite salope adorée, bonne journée.”
Et ce connard est parti, me laissant seule avec une robe déchirée, qui ne ferme pas.
En fait c’est comme si j’avais un peignoir, mais avec des bretelles, sans ceinture, donc même si j’essaie de la mettre on voit tout que faire ?
Il est 11 h 40, après avoir cogité, nue, dans ma voiture, il faut que je trouve une solution à mon problème pour ne pas me faire remarquer.
Déjà j’ai faim, je remets ma robe qui couvre quand même le profil de mon corps et passe au Quick Drive.
Je fais ma commande.
“Bonjour, vous désirez commander ?”
“Bonjour, je vais prendre la nouveauté en poulet, s’il vous plait en format XL, avec un Pepsi Max.
“Merci de vous avancer jusqu’à la prochaine cabine.
Bref. J’ai avancé, juste sentit un long moment le regard fixe de la serveuse sur ma poitrine à l’air, qui s’est contenté d’un
‘En vous remerciant madame, passez une bonne journée’
Je l’ai salué et je suis partie me garer dans un coin du parking pour savourer mon repas.
Je mange mon burger et j’avoue que je me suis fait une petite folie, j’ai trempé mes tétons dans la sauce frite et j’ai laissé comme ça.
Tout en mangeant, je continuais à chercher une solution pour ma robe.
Il est 13 h 30 qu’en j’ai finis mon repas, et après avoir bien réfléchis je me dis que je n’ai qu’à aller à Kiabi juste à côté pour en acheter une.
Le problème est comment aller jusqu’au magasin sans s’exhiber devant tout le monde.
Je noue le côté le plus décolleté à l’autre et la mets en cape, elle me recouvre intégralement, sauf sur les côtés où l’on peut apercevoir ma nudité.
Dans cette tenue de fortune, je rentre dans le magasin que déjà pas mal de regards se focalisent sur moi.
Je les ignore et vais vers la boutique Kiabi.
Je passe les portiques, pas d’agent de sécurité j’ai du bol, je me hâte et choisis une robe bleue qui m’arrive aux genoux.
Elle est à bretelles, mais me convient bien.
Je me dirige vers les cabines. Fière de ma bonne idée, je suis en cabine, je n’ai plus qu’à enfiler cette robe, payer et partir.
Je l’essaie, me regarde dans le miroir, tourne sur moi-même et me décide.
Quand je pense à ce que va dire mon mari quand je vais rentrer avec une robe différente que celle que je portais lorsque je suis parti. Il ne va rien dire parce que j’ai baisé, cette aventure bien entendu je lui raconterai comme à chaque fois, mais il va sse demander ce que j’ai fait avec la robe.
Je récupère mon sac, mes affaires et avec la robe sur moi me dirige vers la caisse.
En passant je croise une poubelle et y jette mon ancienne robe en morceau.
Trois clients avant moi je patiente, je regarde mes mails sur mon smartphone, je prépare ma carte du magasin, ma carte bleue.
Tout est nickel.
‘Bonjour vos articles svp.’
‘C’est la robe que j’ai sur moi.’
‘Enlevez là et donner la moi, je dois la scanner.’
‘Je ne peux pas l’enlever j’ai rien en dessous.’
‘Pardon madame, il me faut la robe pour la passer en caisse, allez-y scanner là, mais je ne peux pas l’enlever.
Des personnes arrivent derrière moi un couple avec une adolescente, elle doit avoir 16 ans.
Cette caissière, mégère, ne pensent qu’à son chiffre et snob totalement ses clients.
‘Bon cette robe vous la voulez ou pas ?’
Me dit-elle en haussant le ton.
‘Oui, mais scannez là je la paie et je m’en vais, je ne peux pas l’ enlever je suis nue dessous.’
‘Arrêtez vos conneries.’
‘Bon vous me prenez pour une conne ?’
Elle fait signe à l’agent de sécurité.
‘Madame ne veut pas me donner la robe pour que je la scanne.’
L’agent de sécurité :
‘Madame arrêter votre comédie et enlevé cette robe, la caissière la scanne vous payez et vous partez.’
‘OK, moi je veux bien, mais je vous préviens il va y avoir des plaintes, je vous le dis je suis nue en dessous.’
‘MADAME’, me lance-t-il.
‘OK, c’est bon, je vais l’enlever.
Avant de l’enlever, je me retourne et regarde la dizaine de personnes qui attend et dit :
‘Je suis désolé, mais Monsieur insiste, vous êtes tous témoin, et en passant mes bras par les bretelles, ma robe tombe au sol, et ma nudité totale apparaît devant tous les clients en caisse et du magasin.
Je me penche pour ramasser ma robe au sol, offrant à tous les mecs présents une vue implacable sur mes orifices.
La jeune de 16 ans :
‘Euh vous, la caissière vous pouvez pas vous grouillez ?’
En me prêtant rapidement sa veste pour me dissimuler un minimum.
Je suis bien restée intégralement nue, sous cette veste qui n’est pas à moi, au moins trois minutes cela est scandaleux.
L’agent de sécurité honteux s’éloigne un peu, quand le père de la jeune l’interpelle.
‘Hé, vous là-bas, appelez moi le directeur, je veux lui parlez de votre manque de professionnalisme, et du manque de discernement.’
Je suis pompier et ce sont des choses qui ne se font pas, où est la dignité de la personne là.
Pendant ce temps l’autre greluche à biper ma robe et annonce imperturbable 34,99 € svp en mastiquant bruyamment un chewing-gum.
Le père excédé s’isole avec l’agent de sécurité.
De mon côté, j’ai acheté ma robe, je l’ai enfilée, j’ai rendu à la jeune sa veste en la remerciant, et j’ai rejoint mon véhicule et je suis rentré chez moi sans aucun souci et les laisses débattre de leurs préjugés en laissant cet acte d’exhibition imposée sur la conscience de l’agent de sécurité et de cette caissière.
Sur ma route je repense à cette exhibition et en rigole, car au fond de moi j’en fais un plat.
Mais quand j’y pense, combien de fois me suis-je exhibée totalement nue et totalement gratuitement devant d’autres personnes ?
Comme d’habitude en rentrant à la maison, mon mari désirait que je lui raconte le déroulé de ma journée avant qu’il me raconte la sienne.
Je m’attends un de ces jours qu’il exigera que je refasse la même chose au même endroit sans toutefois me déchirer la robe.
Fin !
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