Brigitte et son fils Damien 1
Gentilles mamans 1
Maman !… Maman !
Oui, mon chéri.
Un bouton de mon blue-jean vient de me rester dans la main.
Damien sort de sa chambre, déconfit, en tenant le bouton s sa main…
Sa mère quitte immédiatement sa cuisine.
Attends une seconde… Je prends ma trousse et je te le couds immédiatement.
Damien est un fort gaillard de dix sept ans.
Vite, dit-il à sa mère. Je ne voudrais pas arriver en retard en classe, car aujourd’hui, c’est notre dernière composition.
Brigitte arrive avec sa trousse. Une belle blonde de trente huit ans. Mariée à vingt ans à Philippe
le couple a deux enfants, un garçon Damien et une fille Julie 15 ans.
Tous les quatre, ils s’adorent et ne vivent que l’un pour l’autre… Brigitte s’est agenouillée et, preste, elle défait tous les boutons de la culotte et, l’aiguille enfilée, s’apprête à recoudre le bouton.
Soudain, un trouble étrange l’envahit, car le plat de sa main gauche, qui se trouve dans le Blue-jean, fait tout un va-et-vient à chaque aiguillée de fil tiré et, elle commence à sentir sur le dos de sa main le sexe de son fils qui commence à gonfler.
Furtivement, elle regarde Damien par en dessous et elle le voit aussi troublé qu’elle et gêné en même temps. Il ne reste que deux ou trois aiguillées à tirer, mais brusquement, c’est le déchaînement, le membre de son fils se dresse raide dans son slip et Brigitte ne peut rien ignorer de ce sexe dressé puisqu’elle a ouvert tout grand le pantalon.
Un peu hypocritement, elle demande : — Qu’as-tu, mon chéri ?
Rien, maman… Depuis quelque temps ça m’arrive souvent de me tendre ainsi et ça me gêne beaucoup.
Très souvent ?
Presque tous les soirs.
Dans ton lit ?
Oui.
Et que fais-tu ?
Rien… Je la sors de mon pyjama et je la prends dans ma main en serrant bien
fort et puis… et puis… je m’endors.
Brigitte sourit de tant d’ingénuité, qu’elle soit feinte ou réelle.
— Il me semble qu’elle est bien dure… Tu veux bien que je la regarde ?
Sans attendre la réponse de son fils, Brigitte a dégagé du slip la queue raidie et elle n’en revient pas de sa grosseur et de sa grandeur.
Brigitte, ne se lasse pas de regarder cette verge triomphante et, comme sa main ne l’a pas lâchée,
elle serre un peu et doucement, car elle n’ose pas faire sur son fils les gestes qui, elle en est sûre, déclencheraient en quelques secondes la sortie du sperme.
Ce sperme dont elle rêve si souvent, imaginant qu’il lui inonde le vagin ou la gorge… Cela dépend du partenaire qu’elle imagine.
Oh ! Maman… jamais elle n’a été aussi dure… et elle continue de grossir…
Pourquoi ?
Écoute, répond Brigitte… pars à l’école, car j’ai peur que tu arrives en retard… Ce soir, je t’expliquerai tout cela… Tu es assez grand maintenant pour que je t’en parle… Va, mon chéri, et travaille bien.
Doucement, elle remet dans le slip la verge raidie, non sans la serrer un peu, mais sans oser déposer un baiser sur sa tête. Elle est certaine que si sa bouche la touche, elle ne la lâchera plus.
Elle reboutonne elle-même le Blue-jean et après s’être relevée, elle embrasse son fils sur le front avant de l’accompagner jusqu’à la porte.
Lorsqu’il est parti, elle revient, pensive, au salon et s’assoit dans un fauteuil pour réfléchir.
Que faut-il faire ? Elle rêve d’avoir un amant. Sa féminité le réclame, mais elle ne veut personne qui puisse faire souffrir Damien… Alors ?… Peut-elle envisager de se servir de lui ?
Elle sait qu’il l’adore et — que quoi qu’ils fassent ensemble, personne ne le saura jamais… Faire l’amour avec Damien… Elle serait comblée, car avec le sexe qu’il lui a montré tout à l’heure, il deviendra vite un amant exceptionnel.
Par un enchaînement d’idées, elle en vient à penser à son mariage… Courtisée à seize ans par un garçon timide, elle a accepté de partager sa vie après un an de fiançailles…
Un an durant lequel son fiancé ne s’est jamais permis un geste déplacé… Juste quelques baisers sur la bouche… Très tenue dans une famille où l’on ne badinait pas, elle pensait que le mariage lui apporterait la liberté… et l’amour.
Brigitte et Philippe se marièrent et elle fut comblée, le couple se libéra sur le plan sexuel, un pacte fut établi autorisant l’un comme l’autre à prendre un amant à une condition que chacun et chacune se raconte les aventures vécus dans la journée ou dans la semaine.
Tout allait bien, Brigitte tomba enceinte… et quelques mois plus tard elle accoucha de Damien.
Quand Philippe à eut une promotion dans l’entreprise en passant commercial il était ammené à s’absenter pendant des jours voir pendant des semaines pour son travail.
Pendant ces absences, elle a appris à se caresser toute seule les soirs de grande solitude et elle a appris de cette façon à bien jouir, mais c’est tout de même incomplet…
Elle décida alors de temps en temps de prendre un amant, surtout quand Philippe partait pour une semaine.
A chaque fois que Philippe rentrait c’était la joie des retrouvailles et une journée entière à faire l’amour, c’est ainsi que Brigitte retomba enceinte et neuf mois plus tard elle accoucha de sa fille Julie.
Les années passèrent et voici quinze ans plus tard, une perspective s’offre à elle, faire de Damien son amant. Cette idée trottait dans sa tête depuis ce matin après le départ de Damien et de Julie au lycée, et après s’être masturber.
Faire l’amour avec son fils, en l’ayant en soi, elle croirait le porter à nouveau et quand elle le sucerait, ce serait sa propre chair qu’elle aurait dans la bouche…
Faut-il ou ne faut-il pas ?
Au souvenir de toutes ces choses, Brigitte est un peu excitée… Surtout par ce quelle vient de tenir dans sa main.
Machinalement, une de ses mains s’est glissée sous sa jupe et remonte lentement le long de sa cuisse. Cette main elle arrive au-dessus du bas et s’attarde à caresser la peau satinée….
Puis, par dessus sa culotte, elle passe ses deux mains, cette fois entre ses cuisses et sent son sexe brûlant.. N’y tenant plus elle fait glisser son culotte et relève très haut sa mini jupe.
Devant la grande glace de sa chambre, elle s’installe commodément afin d’apercevoir le plus possible de son intimité… Elle s’admire, renversée légèrement sur son fauteuil et scrute son beau triangle noir aux poils très épais qui cachent complètement sa fente.
Ouvrant ses cuisses un peu plus, de ses deux mains, elle écarte ses poils et voit alors l’entrée un peu rougeâtre son vagin.
Elle est toute mouillée, car pendant qu’elle tenait dans sa main la queue raidie de son fils, elle a failli jouir… Elle voit également ses petites lèvres qui pendent légèrement. Elle ne trouve pas que c’est très beau, mais estime que c’est assez excitant.
Tirant tout à fait ses poils, elle découvre alors son clitoris qu’elle trouve de belle taille… Plus gros qu’un petit pois. Brigitte est en amour aussi clitoridienne que vaginale.
C’est ce qui donne à son bouton cette magnifique ampleur… On dirait une petite bite… Depuis ces longues années, elle s’est tellement masturbée, que ce clitoris se met en érection comme une véritable verge d’homme chaque fois qu’elle a envie de jouir.
Et en ce moment, c’est le cas… De sa main gauche, elle tient ses poils écartés et de sa. main droite, après avoir mouillé son médius à sa fente, elle se, met à titiller son clitoris, tournant son doigt en rond sur sa tête puis redescendant jusqu’à sa vulve pour le mouiller davantage…
Sa main s’énerve et brusquement elle introduit son doigt le plus loin possible dans son vagin en lui faisant faire un mouvement de va-et-vient comme le ferait le membre d’un homme…. mais c’est au clitoris qu’elle revient toujours. Il est tellement gros,.. Il bande si. bien… Elle peut le prendre entre son pouce et son médius et le branler comme on branle un mâle.
A se regarder, elle s’excite et voit son con palpiter. Sa vulve s’ouvre et se referme comme une bouche qui respire… La jouissance arrive et son doigt branle de plus en plus vite son clitoris.
Enfin, elle se tend une dernière fois, puis retombe sur son fauteuil en jouissant… Elle a retiré sa main de son sexe, mais continue à le regarder
dans la glace.
Il devient tout luisant du foutre qui s’en échappe… et, avant d’avoir le dernier spasme, elle reprend encore une fois son clitoris et se redonne la joie de le branler à nouveau.
Puis elle reste là, inerte sur son fauteuil, les cuisses ouvertes, admirant entre ses paupières à moitié fermées sa jolie féminité, ses cuisses splendides, sa chatte superbe et elle se raidit une dernière fois pendant qu’elle se pose une fois de plus la. question qui la tracasse depuis le départ de son fils :
Faut-il ou ne faut-il pas ?
A suivre
Brigitte
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