Le lendemain matin, Brigitte se lève pendant que son fils dort encore… elle prépare du café très fort, des tartines beurrées, puis revient dans la chambre et pose le plateau sur le lit.
Son fils, elle le réveille d’un long baiser sur la bouche et comme elle veut que Damien la considère désormais comme une maîtresse et non plus comme une mère, elle ne s’est pas rhabillée.
C’est une femme nue que Damien a devant lui. II admire les seins puissants qu’il a tant de caresses au cours de la nuit sans les voir… II Admire aussi la toison noire de sa mère et se souvient de l’instant où il a collé sa joue en tendant sa langue vers le sexe en fièvre.
Quant a Brigitte, elle contemple amoureusement son fils et naturellement ses yeux s’arrêtent sur sa queue qui commence déjà a se redresser.
Ils mangent… Puis Brigitte reprend le plateau qu’elle va déposer sur un petit meuble… Damien n’a pas bougé et, comme sa mère ne paraît pas disposée à venir le rejoindre, il s’étonne :
— Pourquoi ne viens-tu pas ?
— Tu risques d’être en retard au Iycée… Nous recommencerons ce soir…
Damien ne l’entend pas ainsi… II Se lève d’un bond, rejoins sa mère et plein de détermination, la pousse vers le lit. Ils sont nus tous les deux et Brigitte sent contre son corps le membre de son fils tendu et dressé..
Difficile de résister à une telle sollicitation… Elle s’allonge donc et ouvre ses cuisses.. Cette fois, c’est sans son secours que Damien la pénètre… II n’a plus besoin de conseil et lime farouchement, jusqu’à ce que les yeux de sa mère se révulsent.
En même temps, il sent sur sa queue des contractions qui lui annoncent que sa maman jouit… Il s’arrête, la laissant tout a sa volupté, se contentant de rester plante en elle bien raide et enfonce profondément.
II Prend goût à ce nouveau jeu et, une seconde fois, il procure à sa mère une douce jouissance, toujours sans y participer, sachant s’arrêter juste avant l’éjaculation.
À peine calmé, il reprend sa possession, mais cette fois, c’est lui qui décharge le premier… A longs jets qui remplissent le vagin de sa mère…
Prise de court, la jeune femme réussit tout de même à repartir une troisième fois et c’est complètement mort qu’elle murmure lorsque Damien se retire d’elle :
— Fais vise, maintenant… Sans cela, tu seras en retard.
Damien se dépêche… Le voile prêt est à partir.. II est déjà a la porte lorsque sa mère lui lance :
— Dis a ton camarade Michel que j’aimerais bien faire la connaissance de sa mère…, et que si elle peut venir me voir demain mercredi, je l’attendrai a quinze heures… Ou bien j’irai chez elle… Ce sera comme elle voudra.
— Je ferai ta commission.
Brigitte reste longtemps toute nue à rêvasser sur son lit. Sa chair est enfin comblée… Tout son amour de la vie lui est revenu et elle sait que désormais tous ses désirs seront rassasiés.
C’est de justesse que Damien arrive au Iycée… II se glisse le dernier dans la classe et, de loin, il adresse à Michel un signe qui veut dire : << tout va bien… C’est formidable ! >>
Puis, il s’agit de travailler. Naturellement, Damien est plutôt distrait et il attend avec impatience le moment ou il pourra retrouver Michel à la récréation.
Elle finit par arriver à cette recréation et il rejoint immédiatement son ami.
— Raconte, dit Michel… Comment cela est-il passé ?
— Magnifiquement… Tu sais que je n’ai pas l’habitude des femmes, mais j’ai pourtant l’impression que maman est une baiseuse formidable.
— Comme la mienne, sourit Michel… Nous avons de la chance.
Damien commence a raconter sa nuit et donne force détails sur les formes de sa mère et sur ses coins intimes.
— Tu ne peux pas savoir, mon vieux, comme c’est beau cette magnifique fourrure
blonde qui orne son ventre… Et c’est garni jusque dans les fesses. Pour entrer, on est obligé de les écarter avec les mains… Et toi, cette nuit, est-ce que tu as fait ?
— Oh ! Moi, j’étais tellement excité à l’idée qu’à la même heure, tu baisais ta mère que j’ai voulu enculer la mienne. Malheureusement, j’ai eu beau enduire mon gland de vaseline et en mettre aussi dans l’anus, je n’ai pas pu y entrer… Je suis trop gros et elle est trop étroite… Pour l’enculer, maman,
il faudrait une queue comme la tienne…, mais d’après ce que tu me racontes, je suis à peu près sûr que j’y arriverais avec la tienne.
— A ce propos… Maman demande si ta mère ne voudrait pas lui rendre visite mercredi a trois heures…
— Je le lui demanderai a déjeuner et je te donnerai sa réponse cet après-midi.
— Si ta mère ne veut pas se déranger, maman ira chez elle.
On sonne la fin de la récréation. Ils se séparent et regagnent leurs places… La matinée se tire trop lente pour les deux jeunes gens qui ont visiblement la tête et surtout les pensées ailleurs.
Enfin midi arrive et ils se quittent sur une poignée de main.
C’est sans s’attarder qu’ils rentrent tous les deux a la maison… Brigitte accueille son fils comme une femme accueille son amant chéri et tout de suite elle lui demande :
— As-tu parlé à Michel ?
— Oui… II Me donnera la réponse de sa mère cet après-midi.
— Parfait… Viens à table et raconte-moi.
En s’asseyant, Brigitte fait la moue et jette à son fils d’un ton de vague reproche :
— Je parie que tu as raconté notre nuit a Michel ?
— Oui… Et il m’a dit qu’hier soir, en pensant à nous, il était tellement excité, qu’il a voulu mettre sa grosse pine dans le derrière de sa maman…
— Et alors ?
— Malgré tous ses efforts et de la vaseline, il n’a pas pu y arriver…
I1 a un petit sourire ironique avant d’ajouter :
— Mais d’après ce que je lui ai dit de toi, il est certain qu’il pourrait y arriver si tu lui permettais d’essayer.
— Et bien, c’est ça… Offre-moi a tes copains, maintenant.
— Pas a mes copains… Uniquement a Michel.
— Tu ne serais pas jaloux si un autre faisait l’amour avec moi.
— Pas si c’était Michel en tout cas… C’est un peu grâce à lui qu’hier je suis devenu un homme… Naturellement, je n’accepterai qu’il te fasse l’amour que si tu me permets d’en faire autant avec sa mère… Elle est si jolie et si douce.
— Tu la connais ?
— Je l’ai vue une ou deux fois… Je la trouve très jolie.
— Et ton Michel… Lui désire seulement m’enculer ?
— Oh ! non… II Te fera tout et je le regarderai faire.
— Déjà voyeur ?… Dans ce qu’il me fera, est-ce que tu aimerais mieux regarder ?
— Je voudrais que tu le suces… Et que tu le sortes juste quand il jouira… Que tu le sortes une seconde… Uniquement pour que je puisse voir son sperme t’entrer dans la bouche…
Plutôt vicieux, Damien… Chez lui, c’est un déchaînement, mais ce n’est pas pour déplaire à Brigitte.
— Très bien, dit-elle… Je tâcherai d’arranger cela avec sa mère si elle vient me voir.
— Pourquoi refuserait-elle ?
— Peut-être aura-t-elle honte ?
— Michel la décidera puisqu’il a envie de toi.
Michel au même instant est du reste en train de faire le siège de sa mère :
— Madame Durand voudrait savoir si tu peux aller la voir demain après-midi chez elle ou si tu préfères qu’elle vienne te rendre visite… Ton jour sera le sien.
— Demain, dit Suzy, je n’ai rien a faire… Dis à Damien que je serai chez sa mère à trois heures… I1 t’a dit que tout s’était bien passé pour lui ?
— Oui… I1 a trouvé que c’était << magnifique >>, puis il m’a raconté toute sa nuit.
— Et toi, la nôtre, j’imagine ?
— Naturellement… Je lui ai dit que je n’étais pas arrivé à t’enculer, mais que si sa mère a lui acceptait, j’y arriverais sûrement avec elle…
— Michel !
— II paraît qu’elle a une chatte formidable… Du poil jusqu’au nombril et entre les fesses… Tu ne crois pas que ça doit être excitant ?
— Oh, si !
— Même pour une femme ?
— Oui.. Ça doit être bon de plonger son visage dans une fourrure aussi abondante.
Le soir en rentrant du Iycee, Damien a tout de suite annoncé à sa mère :
— La maman de Michel est d’accord… Elle viendra te voir demain a trois heures…
Une bonne nouvelle qui a réjoui Brigitte et, lorsque le dîner a été terminé, elle a dit à son fils :
— Allons-nous coucher tout de suite… je voudrais expérimenter quelque chose avec toi, mais aussi que nous dormions longtemps, car j’ai l’impression que demain nous allons devoir pas mal nous fatiguer…
— Tu crois que tout se passera bien ?
— Bien sûr… Tu diras à Michel de rentrer avec toi a six heures… Sous prétexte de venir chercher sa maman… Je les garderai à dîner et le soir, nous organiserons une petite orgie a quatre, s’ils sont d’accord…
— Ils le seront.
— Quant a vous deux… Je parle de Michel et de toi… Vous aurez toute la journée de jeudi pour vous reposer.
Tout en parlant, ils sont montés au premier étage et ils sont entrés dans la salle de bains… En un tour de main, ils se sont mi-nus et Damien admire une fois de plus les seins de sa mère.
II les caresses… En prennent les bouts dans sa bouche et il a le plaisir de les sentir durcir sous ses lèvres… En même temps, il glisse sa main droite dans la superbe fourrure qui l’attire et cherche immédiatement le clitoris… Mais Brigitte l’arrête.
— Pas si vite.
Elle s’installe sur le bidet, les jambes bien écartées, dégageant sa chatte superbe. Elle fait couler l’eau chaude.
— Tiens, dit-elle… prends le savon et lave-moi.
En même temps, elle écarte encore plus les cuisses. Alléché, Damien trempe ses mains dans l’eau chaude, les remplit de savon et se met en devoir de savonner le sexe de sa mère… II est tout étonné de sentir s’ouvrir sous ses doigts l’intimité maternelle.
Sa main glisse et Brigitte est toute secouée de frissons. Damien sent, au passage, se durcir sous ses doigts le gros clitoris qui, sous son action, commence à bander comme une simple bite.
II en fait le tour doucement, ce qui a pour effet de le faire saillir encore plus. II Le prend entre deux doigts et le branle comme il le ferait avec sa queue, puis sa main glisse et son médius bien raide entre dans le vagin.
Ainsi dilaté par l’eau chaude et le savon, il paraît immense et Damien s’amuse a y glisser un doigt, puis deux, provoquant chez Brigitte un commencement d’extase.
Elle se retient, car elle ne veut pas jouir ainsi, puis Damien quitte son vagin pour poursuivre sa friction jusqu’a l’anus auquel il n’a pas encore goûté.
Il S’amuse à le titiller, puis il y entre un doigt qu’il fait aller et venir… Sous le plaisir, Brigitte s’est contractée :
— Continue, chéri… Si tu savais comme c’est bon.
Devant elle, la queue de son fils se tient dressée, elle la prend en main et se met a l’agiter avec des gestes de folle, puis soudain, elle se renverse contre le mur.
Ce mouvement l’a séparée du doigt de Damien et celui-ci redresse et admire la face en pâmoison de sa mère dont la bouche s’ouvre comme pour chercher de l’air.
Les yeux de Brigitte se sont fermés sur son bonheur et sa poitrine se soulève tumultueusement. Sous le désir, ses seins se sont durcis, Damien les contemple avec ravissement.
Ses sens a lui sont exacerbés… Sous son ventre, sa queue qu’il prend à pleine main est plus raide qu’elle ne l’a jamais été… Comme Brigitte a toujours les yeux fermés, il approche sa bite de la bouche qui est restée entrouverte.
A ce contact, Brigitte, sans ouvrir les yeux a compris le désir de son fils… Elle ouvre sa bouche toute grande pour que Damien puisse l’envahir, puis elle le suce avec délice… Pas longtemps, car à quelques soubresauts de la verge elle sent que Damien va jouir et elle l’abandonne :
— Pardonne-moi de ne pas te recevoir dans ma bouche, mais j’ai une autre idée… Je n’aurais jamais cru qu’on pouvait jouir des deux côtes à la fois… Par la vulve et par l’anus et pourtant, c’est ce qui m’est arrivé lorsque ton doigt m’a enculé…
— Tu as aimé ?
— Follement, mais maintenant, viens vite… Nous allons essayer avec ta queue, car demain, si tout marche bien avec Mme Millot, Michel voudra tâter de mon derrière comme il te l’a dit, mais je ne veux pas qu’il soit le premier. C’est toi qui vas m’étrenner de ce côté-là.
Immédiatement, elle entraîne Damien vers le grand lit et ils montent tous les deux.
— D’abord, un petit coup de langue pour que tu bandes ferme…, ça doit être nécessaire pour entrer de ce côté là.
Elle se met en position pour pouvoir le sucer le mieux possible… Un coup dans la bouche, puis la langue des couilles au gland… Elle tâte même en passant son anus, mais s’aperçoit vite que c’est dangereux, car sous la caresse, Damien a bien failli lâcher tout son sperme.
Heureusement, Brigitte s’en est aperçue à temps et elle s’est arrêtée.
— Nous allons pouvoir essayer maintenant… D’abord sans vaseline…, puis, si ça ne va pas, nous en mettrons.
Tout excitée, elle se met à genoux en baissant la fête, exhibant ainsi sa nudité dans toute sa splendeur… Damien est sidéré par tant de beauté… Les globes ronds des fesses, vent merveilleux. Au milieu se détache, entoure de poils, le petit trou plisse qu’il va devoir emplir de son membre.
— Mets d’abord ta queue dans mon vagin… Comme je suis toute mouillée, elle le sera aussi et tu auras plus de facilite pour m’enculer.
Ainsi fait-il. II Prend sa mère en levrette et la lime doucement, jusqu’à ce qu’il sente sa queue bien à point. Alors, il la retire et la présente a la porte étroite. Brigitte a ramené ses mains derrière elle pour saisir ses fesses et mieux s’ouvrir.
— Va doucement, chéri.
Damien se pointe… Au contact du cul, la tête de sa queue s’est encore durcie… Un effort… Le gland pénètre à demi.
— Doucement…
Encore un effort… Tout le gland s’est logé, mais instinctivement, il devine qu’il doit laisser à sa mère le temps de s’habituer…
— Pousse…
II a l’impression que la coulisse s’est refermée et que son gland va être écrasé… II n’ose plus bouger et croit même que le reste de sa queue ne pourra pas entrer…
— Pousse, mon chéri.. Ça entre… Au début, c’était douloureux, mais ça se calme déjà… Maintenant, tu peux y aller plus fort.
Enhardi, il donne un coup de boutoir… Quelle surprise. La tête du nœud qui paraissait si serré et qui lui faisait mal s’est enrobée d’une sorte de sirop qui l’enveloppe et lui prodigue un bien être magnifique.
Il pousse, pousse encore. Brigitte gémit, mais c’est de plaisir et Damien arrive a
faire toucher son ventre aux fesses maternelles. Ses couilles battent dessus et il commence son va-et-vient… D’abord doucement… C’est délicieux…
Au fur et à mesure qu’il entre et qu’il sort, sa queue est merveilleusement enrobée, plus serrée, et il constate que c’est meilleur que dans le vagin, car tout le long de sa verge est comprimée, comme si une bouche très profonde la lui serrait dans toute sa longueur.
Sa mère s’agite de plus en plus. II Sent que la jouissance approche et il va de plus en plus vise.
— C’est fou ce que c’est bon… Pousse ! … Pousse ! … À grands coups ! …
Brigitte crie :
— Ne jouis pas tout seul ! … Attends-moi ! … Je te préviendrai ! … Retiens-toi !
Elle glisse la main sur sa chatte, cherche son clitoris et commence à le branler… II est gros… Plus gros que d’habitude, presque la taille d’un flageolet. . . Elle le frotte avec ardeur.
— Damien ! … Damien ! … Attention ! … Je sens que ça vient ! … Ta queue est bonne ! … Comme c’est bon d’être enculée ! … Par toi !
Elle ne sait plus ce qu’elle dit ni ce qu’elle fait :
— Va, mon chéri ! … Va ! … Traverse-moi ! … Je suis ta femme ! … J’aime ta queue !…
Damien donne de grands coups de boutoir et, brusquement, il éjacule dans l’intimité profonde de sa mère, un flot impressionnant de sperme…
Tous les deux sont chavirés de jouissance. Aucun ne bouge. Damien reste rivé a ce cul superbe et Brigitte, heureuse plus qu’il n’est possible de l’être, pleure de
joie sur son oreiller…
Ils restent ainsi très longtemps, puis Brigitte murmure :
— Retire-toi, maintenant… Doucement… Tout doucement.
Damien, comme à regret, quitte ce réceptacle qu’il vient de combler… Ses couilles sont vides, mais par l’effet de l’excitation, sa queue est restée bien raide.
Dès que la verge a quitté son anus, Brigitte s’est affalée sur le dos et, cette fois, elle offre à son fils la vision troublante de son corps magnifique.
Ses seins sont deux merveilles de forme et de douceur et son ventre plat, satiné se termine par cette voluptueuse fourrure dont Michel rêve déjà avant de l’avoir vue… Michel et sa mère.
Maintenant, Damien admire les jambes fuselées et parfaites, les pieds ou les ongles vernis sont autant de diamants jetés au pied de ce sexe qui personnifient par sa mère.
II admire, mais il est beau lui aussi, a genoux devant sa maman avec son torse poli, telle la statue d’un sculpteur grec. Son ventre plat et lisse, son poil châtain et sa belle queue bien dressée, qui semble lancer un appel.
Un appel auquel Brigitte ne résiste pas… Elle attire Damien sur elle et le fait asseoir sur sa poitrine. II sent sous ses fesses la douceur des seins.
— Tu veux te regarder jouir dans ma bouche ?
— Oh, oui !
Alors, préviens-moi juste avant de tout lâcher.
Dévotieusement, elle prend son membre entre les lèvres et commence à le sucer… Damien la regarde… II distingue les moindres détails… Les lèvres arrondies, la langue qui pointe…
II n’en faut pas plus pour que la volupté lui chauffe brutalement les reins.
— Maman ! … Je vais partir ! … Maintenant !
Elle le repousse et ouvre sa bouche toute grande devant le gland… Le sperme jaillit… Damien le voit éclabousser le palais, puis retomber sur la langue pendant qu’une nouvelle giclée se répand dans les joues…
En gémissant, il ferme les yeux pendant que sa mère le reprend dans sa bouche pour le finir d’une succion lente et amoureuse… Lorsque plus rien ne sort de sa queue, elle lui rend sa liberté.
— Allonge-toi maintenant, mon petit.
II s’étends à côté d’elle, passes son bras sous sa tête et fermes les yeux pendant qu’un sein…, la pointe d’un sein vient taquiner le coin de sa bouche…
Fin
Brigitte
Ajouter un commentaire