Brigitte fait le bilan des trente-cinq années d’activités sexuelles !
Il m’est venu dernièrement une idée de faire mon bilan sur mes activités sexuelles depuis mon adolescence jusqu’à nos jours ; ce que j’aime, ce que je n’aime pas ; ce que je pratique, et ce que je ne pratique pas.
Tout d’abord une petite présentation :
Je me prénomme Brigitte j’ai cinquante et un ans, femme au foyer, je suis mariée à Philippe cinquante-quatre ans, nous avons deux enfants, un garçon Damien vingt-six ans, militaire de carrière, une fille Julie vingt-quatre ans ouvrière textile, nous avons accueilli une fille issue de la Dass Manon vingt-huit ans.
Nous habitons dans une grande propriété ou se trouve deux maisons accolées, la première maison c’est nous qui habitons, et dans la seconde maison habite, la belle-mère à mon fils Marie Claude quarante trois ans et sa fiancée Muriel vingt-deux ans.
Voilà pour la présentation.

Adepte du sans-culotte
Suite à un problème d’allergie dû au latex provoqué par l’élastique de la culotte et aussi du soutien-gorge, après plusieurs consultations chez un dermatologue qui m’a prescrit des pommades qui n’avaient peu ou pas d’effet, j’ai décidé de ne plus porter de culotte provisoirement au moins jusqu’à la guérison. Cependant l’abandon de la culotte est devenu définitif, me sentant plus à l’aise et appréciant la sensation que me provoquait de sentir l’air frais caresser mes lèvres intimes.
Je n’ai remis que pour certaines occasions comme des visites chez un médecin.
Depuis lors mes culottes et strings ont été rangés dans un tiroir avec interdiction d’y toucher,
mes filles, la belle fille et sa maman sont devenues elles aussi des adeptes du sans-culotte.
Étant très féminine, rare sont les fois où je porte un pantalon, je suis très robe ou jupe. Au fil du temps mes jupes ou robes sont devenues de plus en plus courtes, la plus longue m’arrive au genou et la plus courte au raz des fesses. Même actuellement à mon âge il m’arrive fréquemment d’en porter ce qui me vaut des fois des critiques du genre :
« Regarder là, porter une mini ce n’est plus de son âge » critiques émanant des commères du village.
Alors pour les faire critiquer encore plus j’emmène ma fille qui elle portera ce jour une jupe aux genoux et moi la minijupe raz des fesses.
Nos ultimes sous-vêtements se limitent au porte-jarretelles et à des bas, ou des bas autofixants.
Le naturisme
En étant gamins, mes parents m’emmenaient pendant leurs vacances dans des centres naturistes.

Ce qui m’a amené à pratiquer cette nouvelle vie dès que je le pouvais à la maison de me mettre nue. Bien plus tard, lorsque j’ai rencontré Philippe, je l’ai initié au naturisme sauvage que j’allais pratiquer souvent dans un pré.
Deux ans plus tard, j’épousais Philippe et mon mari a eu la chance d’hériter de son grand-père paternel la propriété ou nous vivons actuellement.
Très belle propriété isolée en bordure de foret, nous permettant de pratiquer le naturisme intérieur comme extérieur toute l’année.
À la naissance de mon fils tout comme deux années plus tard celle de ma fille nous n’avons rien changer à notre mode de vie, je prenais mes bains que ce soit avec mon fils ou avec ma fille nue.
Ils nous ont toujours vus nus, et eux aussi se sont mis au naturisme.
Bien entendus, nos rapports conjugaux avaient lieux hors vu des enfants.
C’est ma fille qui nous a surpris accidentellement lors d’une relation sexuelle. (voir rubrique sur l’inceste)
Plus tard lors de l’accueil de Manon, Marie Claude et Muriel, elles se sont progressivement adaptées à notre mode de vie.
Nous pouvons dire que notre propriété est notre centre naturiste privé.
L’exhibitionnisme seule
Mes exhibitions ont débuté au moment ou j’ai abandonné ma culotte. Mes jupes raccourcissaient, si ma jupe se troussait je la laissai se trousser, avant cela je n’arrêtais pas de tirer dessus pour la baisser, je serrais moins les cuisses, et je changeais la façon de me baisser pour ramasser quelque chose tombée au sol. Pour le haut c’était pareil avec un chemisier j’oubliais un ou deux boutons, si je portais un t-shirt j’essayais de mettre un avec un décolleté ou un très fin légèrement transparente laissant deviner l’absence de soutien-gorge.
Toutes ces exhibitions d’adolescente sont restées d’actualité et se sont étoffées avec le temps.
Seul mon terrain d’exhibe que je préférais et que je préfère encore, sont les grandes surfaces, où j’aime me pencher sans plier les genoux, dans les rayons en cherchant un article dans le bas. Où de m’accroupir et d’écarter brièvement mes cuisses laissant ma chatte à la vue des personnes présentes dans l’allée, en évitant de le faire en présence d’enfants. Je m’arrange aussi à ce qu’une jarretelle lâche ce qui m’oblige à trousser ma jupe et d’attaché le bas.
Ces exhibitions dans les grandes surfaces ont entrainé quelques critiques et même un acte sexuel à exécuter par un homme voyeur et m’avaient suivi jusqu’à la voiture pour me pénétrer debout et penchée dans le coffre de la voiture.
Sans compter les exhibitions que je qualifie de routine comme descente de voiture, montée d’un escalier
L’exhibitionnisme à deux ou à plusieurs
Le principe est le même comme pour l’exhibition seule, sauf que je pouvais m’exhiber un peu plus longtemps penchée ou accroupie.
En général je faisais l’exhibition avec ma fille Julie, je m’exhibais, elle faisait le guet, au rayon suivant Julie s’exhibait, je faisais le guet.
Ces exhibitions s’accompagnaient souvent par des attouchements, ou des baisers rapides sur la bouche, voire même par un baiser langoureux.
Bien entendu il y a l’exhibitionnisme avec mon mari, ma fille adoptive Manon, ma belle fille Muriel, sa maman Marie Claude et des amies rencontrées lors de ces nombreuses années. Des amies, dont certaines, je les revois régulièrement.
Il y avait aussi l’exhibitionnisme sous forme de bizutage (voire le récit) « Le bizutage de Brigitte femme mature libertine »
Parmi toutes ces exhibitions, celle que je préférais se déroulait à la fête foraine à la maison hantée. Pour cette exhibition que je pratiquais souvent seule, mon mari restant à l’extérieur essayant de capter les commentaires des personnes assistant au spectacle qui leur est offert lorsqu’une femme
passait au premier étage d’un balcon à l’autre par une passerelle qui se mettait à bouger et où lors d’un passage d’une femme en jupe une soufflerie faisant remonté la jupe dévoilant les dessous voir l’intimité des femmes sans culotte comme c’est mon cas. Pour cette exhibition je portais toujours une jupette de tennis qui au passage de la passerelle se plaquait contre mon ventre dévoilant la totalité de mes fesses et de mon sexe.
Mes pratiques sexuelles
La masturbation solitaire :
Je la pratique depuis mes 16 ans, au début elle était limitée à une par semaine, puis après quelques semaines elle est devenue quotidienne. Je n’utilisais que mes doigts, jusqu’au jour où j’ai surpris ma mère se masturber avec un gode, et un ou deux jours après, ma mère étant sortie je suis aller à la recherche dans sa chambre de ce gode. Je l’ai essayé et cela m’a amené à avoir un orgasme violent. C’est à partir de ce jour que j’ai essayé de me masturber avec des objets divers : carotte, banane, concombre. Même le levier de vitesse est utilisé de temps en temps.
Ensuite j’ai essayé de me masturber dans des lieux autres que ma chambre, augmentant l’excitation.
J’avais une robe ample, elle avait deux poches, l’idée me vint alors de percer la poche droite. Je pouvais alors passer ma main et me caresser sans que cela soit trop visible. Que ce soit dans la rue en marchant, dans un centre commercial, en voiture, au cinéma, etc. Je me suis même permis une fois de me caresser à l’église lors d’un mariage d’une amie. Bien entendu je ne vais pas aller jusqu’à l’orgasme dans ces lieux, préférant attendre que je suis dans un endroit isolé ou de retour au domicile.
La masturbation en groupe :
Il n’est pas rare que je me masturbe en compagnie de mes enfants ou en famille, nous nous réunissons alors dans la même pièce et en visionnant une vidéo porno ou érotique nous nous masturbons soit séparément ou mutuellement.
Mes fréquences :
Les fréquences de mes masturbations sont variables suivant la présence ou non des membres de ma famille.
J’ai battu mon record qui est de 6 masturbations en une journée, ce jour-là j’étais seule.
Sinon la fréquence est d’une à deux séances quotidiennes et un rapport sexuel avec soit mon mari ou, autre.
La fellation et le cunnilingus :
J’aime sucer le sexe d’un homme en particulier celui de mon mari, de mon fils et amant, et avaler le sperme, de même j’aime pratiqué le cunnilingus sur mes filles et autres membres.
Mon mari et moi avons convenu une relation très particulière, que nous nommons « réveil matin »
du lundi au vendredi mon mari se lève à cinq heures pour aller au travail et nous avons convenu que le premier réveiller réveil l’autre. Si je suis réveillée la première je réveil mon mari par une fellation, si c’est le contraire il me réveille par un cunnilingus. Si nous nous réveillons ensemble, le réveil se fera dans la position soixante-neuf.
De même mes filles et les autres membres pratiquent ces deux méthodes entre elles ou sur mon mari et mon fils.
L’inceste :
Cela fait 7 ans que nous pratiquons l’inceste. C’est ma fille qui a provoqué cette relation.
Un jour au lycée elle avait été agresser sexuellement Julie est rentré catastropher en pleur, je l’ai consolée, réconforter en lui faisant des bisous en séchant ses larmes, lorsque sa main se posa sur mes seins et sa bouche à chercher la mienne. La première relation incestueuse a débuté. Son père suivi puis son frère et mon fils et moi pour conclure ses premiers rapports incestueux.
Puis se sont enchainées ces relations incestueuses avec les autres membres de la famille.
Mari, amants et amantes :
Mon mari et moi-même nous avons convenu de ne rien nous cacher, nous nous racontons tous nos rencontres et nos relations.
Nous avons des amants et amantes attitrés et rencontrons régulièrement un couple où nous pratiquons l’échangisme.
Nous avons même échangé nos femmes pendant une semaine entière. Ce qui a entrainé par la même occasion l’échange des mères. Expérience que nous comptons, renouvelée.
Il y a aussi les amants de passage rencontrés lors d’un voyage (par exemple) amant de courte durée, etc.
Autres pratiques :
J’ai été tenté par la zoophilie, mais après un essai d’environ un mois j’ai renoncé. Ce n’ait pas parce que je n’ai pas aimé, mais plutôt par dégout. J’estimais que ce n’est pas hygiénique.
Insolite :
Julie a demandé à visiter les toilettes pour handicapés d’un musée où 23 ans plutôt elle a été conçue. Elle y a apposé une plaquette sur laquelle l’on peut lire :
« Ici a été conçue il y a 23 ans une petite fille nommée Julie »
Elle l’a collée sur la porte d’entrée, je me demande si elle y est encore !
Voilà mon bilan, provisoire, la vie continue, la vie sexuelle également, je vous donne suite pour de nouvelles aventures sur ce site. Par la même occasion je voudrais remercier Lucie et Frank pour leurs gentillesses de m’avoir autorisé la parution de ce bilan !
À bientôt !
Brigitte et sa famille !
Merci à toi et ta famille surtout pour tous ces récits érotiques croustillants ! On en veut encore !!!! Kissoux
Brigitte,
Vous avez fait une belle présentation de votre famille et de votre vie charnelle, je constate que dans vos écrits vous aimez l’amour , le sexe et différentes positions pour éprouver de l’orgasme avec votre mari et d’autres amants, vous avez de la chance, vous devez être une belle jeune femme.