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Brigitte se retrouve sans culotte et ca l’excite

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Brigitte sans culotte

Ce match de volley m’a tuée, mais une fois n’est pas coutume, nous avons gagné…

Je suis pressée d’ôter ce short trop moulant qui me sert et ce maillot trempé de sueur. Malgré la fatigue, le moral est plutôt bon dans les vestiaires, les filles sont surexcitées d’avoir gagné et l’ambiance dans les douches est survoltée, on se taquine, se pince, se pousse…

Après la douche, cela n’est pas mieux. J’ai l’impression de jouer dans une équipe de cadettes. On m’a piqué ma serviette et mes sous-vêtements ! C’est vrai que c’est le genre de blague que je fais souvent et qui m’amuse mais là, merde, ça tombe sur moi…

Après m’avoir laissé chercher ma serviette, nue au milieu de toutes pendant un bon moment, elles me la rendent finalement.

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Enfin sèche, je ne peux toutefois pas m’habiller sans mes dessous !

« Allez les filles, ne soyez pas vaches, en plus je suis en jupe ! »

Que n’avais-je pas dit là ! J’aurais mieux fait de rien leur dire et elles me les auraient rendus rapidement mais évidemment la farce est trop tentante…

« Rendez-moi au moins mon soutif, sinon tout le monde va s’en rendre compte à la réception ! »

Me voici donc vingt minutes plus tard les fesses à l’air sous ma jupe en plein milieu de tout ce monde venu célébrer notre victoire au siège du club. Les filles ne me font que des sourires coquins et elles s’arrangent à chaque fois qu’elles passent près de moi pour se frotter contre mes fesses ou faire mine de lever ce qui sert de dernier rempart à mon intimité. Surtout Catherine qui prend un malin plaisir à me pincer les fesses pour me faire sursauter.

Je sais qu’elles n’exagéreront pas mais j’ai quand même peur que quelqu’un ne le découvre et je dois bien avouer que cela commence à m’émoustiller. Heureusement qu’elles m’ont rendu mon soutien-gorge, sinon mes tétons passeraient à travers les mailles de mon pull…

Bien entendu, elles se passent le mot et cela à l’air de bien les amuser… Ah les garces… Je ne craquerais pas !

Les coupes de champagne se suivent et le siège s’est peu à peu vidé et les dirigeants décident de nous payer le resto. Ben voyons, il ne manquait plus que cela. L’alcool aidant, j’accepte en me prenant cela comme un jeu. De toute façon, ces garces coquines ne m’auraient pas laissée rentrer.

« Il faut que je passe aux toilettes avant de partir. »

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Catherine me rattrape et me glisse à l’oreille :

« N’en profite pas pour remettre une culotte, sinon tu nous le paieras ! »

Comment me le feraient-elles payer ? De toute façon, la question ne se pose pas, je n’en ai pas d’autre…

Me voici donc aux toilettes et je comprends que c’est assez drôle finalement de n’avoir qu’à lever la jupe pour uriner. Je vide ma vessie, il était plus que temps, avec tout ce champagne, et cela me fait un bien fou.

« Zut ! » Ce n’est vraiment pas ma soirée, plus de papier, et mes petits poils intimes qui sont encore tout mouillés. Je baisse donc ma jupe et sors dans cet état, gênée, mais intéressée par l’effet de l’air frais qui passe entre mes cuisses sur mon intimité encore humide.

Juste à la sortie des toilettes, Catherine et Isabelle me tombent dessus.

« On est chargées de vérifier que tu nous as obéi et que tu es encore le cul à l’air. »

Et sans plus attendre, Catherine me glisse une main entre les jambes, remonte ma jupe et pose ses doigts sur mon pubis.

« Mais ma parole, quelle petite cochonne ! Elle ne s’essuie même pas après ! »

Ses paroles me paralysent, je ne cherche même pas à me justifier et je subis cette main qui étale maintenant le reste d’urine sur mes poils.

Heureusement que personne ne peut voir cette main qui ne me laisse pourtant pas indifférente. Quelle honte, je sens mon clitoris gonfler sous les doigts d’une femme et je dois avouer que cela est plutôt m’excitant.

Bon, ça suffit maintenant, je me sors tant bien que mal de leur étreinte et remets de l’ordre dans ma tenue. Catherine me fixe et se lèche goulûment les doigts pour récupérer le moindre effluve de mon pipi. C’est dégoûtant et j’en rougis à un point qu’elles éclatent de rire toutes les deux.

Arrivées dehors, seul reste l’entraîneur qui nous a attendus. Catherine monte devant et je m’installe derrière avec Isabelle. Sur la route du resto, je ne pense qu’à ce qui vient de se passer et les filles le remarquent. Catherine, dont j’imagine le sourire malicieux, essaie de me caresser la jambe en passant le bras derrière son siège. Si Pierre (c’est l’entraîneur) le voyait, je périrais de honte sur-le-champ. Je passe le reste du chemin à empêcher Catherine de passer sa main entre mes genoux et Isabelle de relever ma jupe. J’ai les cuisses en feu à cause de leurs ongles et des pincements qu’elles m’ont infligés et je suis encore forcée d’admettre que si je suis si rouge, ce n’est pas que j’ai chaud mais parce que mon clitoris n’a pas dégonflé depuis maintenant une bonne demi-heure.

Derniers arrivés au resto, il reste pour Pierre une place au milieu et je me retrouve en bout de table avec Isabelle à ma droite et Catherine face à moi.

L’apéritif et le vin coulent à flots pendant le repas et je suis un peu ivre. L’épisode de tout à l’heure reste finalement un souvenir assez excitant, et l’alcool aidant, j’y repense en souriant.

La lueur de lubricité n’a pourtant pas disparu dans les yeux de ma Catherine et je sens son pied de poser subtilement entre les miens. Fais du hasard ou fais exprès ? Je bouge les pieds mais le sien me suit et elle commence à me caresser le mollet de ses orteils. Je lui jette un coup d’œil, honteuse, et droit dans les yeux elle de dit :

« Chut » en passant lentement son index devant ses lèvres.

Je ne saurais dire pourquoi mais cette attitude plutôt provocatrice n’a eu que deux effets : j’ai rougi, passive, et mon sexe s’est remis à palpiter.

Ses deux pieds se font maintenant plus insistants au niveau de mes genoux et malgré la gêne, je commence à sentir mes lèvres intimes se mouiller. Affalée sur sa chaise, personne ne peut en fait de douter de ce qu’elle fait réellement. Elle s’étire après avoir bien mangé…

Au lieu de s’étirer les jambes, elle a les deux pieds maintenant posés sur ma chaise, entre mes cuisses échauffées qui se sont écartées sans résistance. Je n’ose plus bouger et je sens que je dois être rouge comme une tomate.

Il faut que je boive pour essayer de me rafraîchir. Je porte mon verre à ma bouche alors que quelqu’un me demande :

« Ça ne va pas Brigitte, tu as trop chaud ? »

J’allais répondre que tout allait bien quand cette petite garce a posé son pied sans avertissement sur mon sexe.

J’ai avalé de travers et j’ai dû recracher le vin dans mon verre.

« No… Non, t… tout va bien… J’ai un p… peu chaud c’est t… Tout ! »

Isabelle qui avait tout compris me regarda et pouffa de rire alors que le visage qui se trouvait à l’extrémité des orteils qui jouaient maintenant avec mon sexe me fixait, sournoisement angélique.

Alors que d’un pied elle tente d’écarter mes cuisses le plus possible, l’autre va-et-vient lentement sur la longueur de mes grandes lèvres. Son pouce appuie doucement sur mon clitoris, agréablement douloureux. Imperceptiblement, je bouge le bassin afin que ses orteils calment les flammes qui me brûlent le ventre. Ces caresses inhabituelles me font en fait un bien fou et Isabelle me fait remarquer que cela se voit nettement aux pointes de mes seins, tendues sous la laine, qui montent et descendent au rythme saccadé de ma respiration.

Mon entrecuisse est trempé, comme ses orteils j’imagine. Son pouce se fraye lentement mais sûrement un passage vers mon intérieur. J’oublie un instant que c’est une femme et aussi une de mes amies qui me fait cet effet et j’ai envie de la sentir au fond de moi. Quand j’approche mon bassin, elle recule le pied. Cette garce me nargue.

Elle fait de longs allers-retours le long de mon sexe avant de me pénétrer de son orteil et je raffole de cette caresse.

« Approche ton cul du bord de la chaise » me glisse coquinement Isabelle qui n’a pas l’air surprise des gestes de Catherine. Ma jupe se relève encore plus sous la nappe alors que je glisse mes fesses vers l’avant à la rencontre du pied bienfaiteur.

Je sens soudainement son second pouce pousser entre mes fesses à la rencontre de mon anus. Le contact de son orteil sur les parois humides de mon petit trou me fait tressaillir. Personne n’a jamais touché à cette partie de mon corps.

Tout ce qui m’entoure s’efface et je ne suis plus que deux trous trempés qui se font pénétrer par les orteils de ma copine de volley…

Je coule littéralement comme une fontaine et la chaleur devient insupportable. Il faut que ça cesse sinon je vais craquer et jouir comme une folle au milieu de tous ces gens.

« Tu ferais mieux d’aller prendre l’air ! » Me lance Pierre.

« On jurerait que tu as de la fièvre »

Bien sûr que j’ai la fièvre, mais il est loin de se douter de l’endroit qui chauffe…

« Excusez-moi, Mais oui je vais dehors prendre l’air »

Je me libère du pied de Catherine, ajuste ma jupe sous la table, me lève rapidement et file vers l’extérieur. Les jardins de la pizzeria sont calmes et l’air frais qui passe entre mes cuisses me ramène peu à peu à la réalité.

J’entends des pas et des rires qui me suivent. Isabelle et Catherine m’ont suivie pour voir si tout allait bien…

J’essaie de les engueuler.

« Vous êtes folles de m’avoir fait ça. Je ne suis pas gouine, moi »

« Ho ! Lala !  » Me répond Isabelle en me prenant par taille.

« Ce n’est pas moi ! Et puis avoue que tu t’es laissé faire et que ça t’a plutôt fait du bien, petite cochonne »…

Catherine est passée derrière moi et sans me demander mon avis m’empoigne les seins. Mes jambes flageolent et je n’ai pas la force de la repousser. Peut-être n’en ai-je même pas envie…

Elle passe les mains sous mon pull et me caresse franchement les seins par-dessus le seul rempart qu’elles ont bien daigné me rendre. Mes tétons me font mal, mais je n’y pense plus aussitôt qu’Isabelle passe sa main entre mes cuisses.

« Hé ben dit donc, dans quel état tu nous l’as mise ! » Lance-t-elle à Catherine.

« Tu ne n’avais pas cru quand je t’ai montré l’état de mes orteils ? »

Une de ses mains quitte mon sein et vient sous ma jupe caresser mes fesses dénudées, rafraîchies par l’air extérieur. Je cherche son regard et elle me fait un clin d’œil aguicheur.

« Laisse-nous faire ! »

Isabelle s’accroupit entre mes jambes et me souffle doucement sur l’intérieur des cuisses. Sa tête disparaît sous ma jupe et je sens ses baisers se poser un peu partout sur mon pubis. Les doigts de Catherine se font de plus en plus inquisiteurs et son index cherche mon petit trou.

La langue de Isabelle vient se poser sur mon clitoris, dur comme une petite bille, au moment où un doigt prend possession de mes reins. Je me sens couler de plaisir et je m’abandonne au bon vouloir de ces deux garces.

Moi qui n’ai jamais eu ce genre de rapport je suis surprise de sentir ce doigt entré si facilement dans mes fesses. Je sens qu’un second tente de l’y rejoindre et cela m’inquiète un peu. J’ai peur d’avoir mal.

Isabelle colle sa bouche à moi et me lèche avidement l’entrée du vagin. Sa langue fouille de plus en plus loin en moi pendant que Catherine agite savamment ses deux doigts maintenant postés dans mon rectum. Je ne sais laquelle des deux me fait le plus de bien. Mes fesses cherchent à engloutir les deux intrus et mon vagin se contracte sous les assauts de cette langue. Isabelle se penche encore un peu et arrive à me caresser le clitoris avec le bout de son nez. C’est la goutte d’eau…

Le moindre geste de mes deux violeuses se répercute sur mes muqueuses comme un coup de fouet. La main qui triturait encore mon téton vient me cacher la bouche pour ne pas que je hurle ma jouissance. Ces salopes continuent de malmener mon intimité. La langue de Isabelle trace de longues entailles rapides sur la totalité de mon sexe et les doigts de Catherine dans mon fondement forcent la contraction de mes sphincters.

Je ne contrôle plus rien sous mon nombril et je sens tous mes muscles lâcher sous l’effet d’un ultime élan de jouissance.

Catherine et Isabelle me retiennent le temps que je reprenne mes esprits. Par-dessus mon épaule, ces petites gouines se roulent une pelle. À quelques centimètres seulement de ma bouche, elles se partagent le fruit de ma jouissance qui brille encore sur le nez de Isabelle.

C’est sûrement la vue de ce petit nez luisant de ma mouille qui m’a fait dire :

« Vous passez prendre le café chez moi ? »

« OK, et si tu es sage, tu pourras récupérer ta culotte. » Me dit Isabelle en me la montrant, sous sa robe…

BRIGITTE

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