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Brigitte s’exhibe la nuit sur une aire d’autoroute

Brigitte s’exhibe la nuit sur une aire d’autoroute
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Petit week-end sympathique

Philippe nous avait dit :

— J’aurais besoin d’un coup de main pour décharger le camion et aussi pour installer dans notre nouvelle maison… Au chargement, pas de problème, j’ai tous les bras qu’il faut, mais à l’arrivée, ce n’est pas la même chose.

Ce qui nous fait nous trouver, en cette fin d’après-midi, circulant en direction de l’autoroute.

Un petit retour en arrière s’impose. Mis à part l’incontournable jean tee-shirt, Brigitte avait sous-entendu :

— On ne va quand même pas passer des heures d’autoroute en jean… Je me changerai en arrivant…

Pour ma part, l’idée m’était sympathique, pour ne pas dire tout simplement que j’y pensais et y avais pensé très sérieusement. Petit sac où se côtoyaient short, tee-shirt, sandwichs et soda, et nous voilà parés pour, dans une tenue décontractée, prendre la route tranquillement. Short ample (sans slip, pour le plaisir) et chemisette pour ma part. Brigitte, quant à elle, s’était mise en minimum « pour soulager les amortisseurs de la voiture », comme elle l’exprimait avec une moquerie plus que coquine : baskets, petite jupe portefeuille chamarrée bleue et chemisier bleu. Déjà, habillée comme cela, c’était un appel à tous les voyeurs du monde. Le soutien-gorge et la culotte étaient restés dans la commode – en pensant, bien sûr, à soulager les amortisseurs.

La superbe de l’autoroute en semaine, c’est qu’il n’y a pas trop de monde, mais aussi que les mille-pattes circulent. Le véritable regret de ce week-end, c’est l’oubli de l’appareil photo… GRRR !

Bref, nous voici franchissant le péage. Évidemment, tant pour Brigitte que pour moi et que pour nos « amis » les routiers, ma main caresse les cuisses de Brigitte, sans oublier de remonter le tissu sur cette vision féerique. Le dossier du siège légèrement incliné, les jambes nonchalamment ouvertes, Brigitte se laisse bercer par le ronronnement du moteur. Chaque dépassement de mille-pattes se fait tranquillement, pour le plaisir – du moins je l’espère – des avantages en nature de ce métier difficile.

Première aire de repos… Zut… Une station-service ! Mais, déjà la deuxième nous implore une petite visite… De courtoisie. Le chemisier défait par-dessus la petite jupe style mini-mini, sans oublier un déboutonnage décent du chemisier – du moins pour une exhibe doublée d’un voyeur accompagnateur –, Brigitte sort de la voiture pour se diriger vers la zone toilettes.

Décidément, ce n’est pas un jour avec. Le parking est désert… Quoique… Je suis bien là, moi ! Alors, avec la pensée accompagnatrice de mes congénères voyeurs, JE MATE ! Je mate ces jambes offertes, cette petite jupe très prometteuse et cette allumeuse qui ondule du cul en digne représentante de la gent féminine. Pour le plaisir, Brigitte se penche, fait semblant de rajuster un lacet, histoire de m’exhiber son petit cul et sa belle chatte dénudée.

Évidemment, pour ne pas qu’elle se perde, je l’accompagne aux toilettes sans oublier, galant, de lui tenir la porte… Bien ouverte ! Au retour des toilettes, les yeux pétillants d’un regard coquin, Brigitte comble le désert de cette aire de repos par un effeuillage total de son chemisier, et y associe, en tirant sur le nœud de sa micro toute petite mini-mini, le ridicule morceau de tissu qui lui tenait lieu de jupe. Voici ma Brigitte entièrement à poil qui chaloupe vers la voiture et s’exhibe à mes seuls yeux, mais qui en valent au moins quatre. GRRR… Quand je pense que j’ai oublié l’appareil photo !

Ce petit arrêt l’ayant quelque peu allumée, Brigitte s’étend sur le siège, très chatte et chaude. Le chemisier et la mini retrouvent leur usage premier, mais sans devenir puritain pour autant, loin de là. Ce qu’il y a de bien sûr l’autoroute, c’est que les aires de repos sont fréquentes, donc, quinze kilomètres plus loin, petite pause, non pas pipi, mais érotique. En bons citoyens, très occupés par la sécurité routière, nous faisons des arrêts fréquents… Ah ! Ce que Bison Futé est futé !

L’aire suivante n’est pas une île déserte. Un mille-pattes et une seule voiture, mais quelle voiture… Un petit monsieur tout seul et son chien. Je me gare à quelques places de lui, descends et vais ouvrir la portière à Brigitte – galant, certes, mais surtout voyeur. J’ai droit à une vue superbe sur deux cuisses qui s’ouvrent grand pour sortir, m’exhibant une chatte magnifique et surtout fière de l’intérêt qu’elle me procure. Une poitrine à peine dissimulée par l’échancrure d’un chemisier qui, visiblement, est un fervent militant de l’attentat à la pudeur. En un mot : bandante ! Évidemment, elle a droit à un regard très marqué, se voulant discret, de ce complice involontaire.

— Tu te fais mater, ma chérie ! Et pas que par moi…

Les yeux brillants de Brigitte semblent vouloir dire : « Je veux que oui… Quand même ! » Quelques pas, histoire de se dégourdir les jambes – enfin, je devrais plutôt dire pour se dégourdir la chatte – et l’air de rien, nous nous dirigeons dans la direction de cet homme et son chien. Évidemment, arrive ce que je souhaite : le caniche se dirige sur nous et nous renifle pour, instinctivement, venir sentir entre les cuisses de Brigitte. Il a senti la femelle en chaleur.

— Titi ! Viens ici tout de suite ! Excusez-le, m’sieur-dame… Titi ! Ça suffit ! Viens là !

Certes, il parle à son chien, mais c’est Brigitte qu’il regarde… Qu’il regarde… Qu’il mate, surtout ! Son chien est à la fois son complice mais aussi le nôtre. Loin de se débarrasser de Titi, nous faisons en sorte de le garder près de nous, et d’engager un semblant de conversation. Le petit monsieur est maintenant à deux mètres de nous et ne sait plus trop où regarder, un peu gêné certes, mais extrêmement intéressé par cette apparition. L’air de rien, Brigitte s’accroupit pour caresser l’animal et offre à ce complice une vue plongeante sur ce gouffre gigantesque où trône une poitrine chaude et accueillante – le panoramique de cette magnifique paire de cuisses n’en est pas moins aussi sympathique.

Bien sûr, nous papotons tous de ce chien, avec des banalités de Bidoche, mais nous sommes tous les trois très occupés. Le petit monsieur et moi à mater le plus avidement, le plus goulûment ces deux nichons qui ballottent, s’exhibent, montrent leurs pointes tendues, jouent à cache-cache avec le chemisier qui, lui, s’évertue à vouloir les faire jaillir coûte que coûte vers ces deux voyeurs qui ne demandent que ça. Sans oublier ces deux cuisses glabres bien blanches qui s’entrouvrent, se ferment et jouent aussi à nous faire deviner une chatte que l’on espère mater.

Brigitte, elle, prend un infini plaisir à changer de position, se penche un peu plus, un peu moins, tente de montrer plus un sein que l’autre, en espérant pouvoir exhiber les deux en même temps comme si de rien n’était, comme une ingénue… ingé oui, mais… Nue ! Elle n’oublie pas que ses cuisses nous passionnent aussi, ses cuisses mais aussi sa chatte et son cul, alors elle les bascule à droite, à gauche, les écarte doucement, les referme pour les rouvrir. Elle joue à Tu as vu ma chatte ? avec une aisance fabuleuse. Le temps, tout en continuant, semble s’être arrêté pour notre plaisir à tous. Faut quand même penser à Philippe, alors :

— Bon… Ce n’est pas tout… Y a encore de la route à faire !

Le charme semble être rompu, surtout dans le regard de notre complice. Brigitte se redresse, me fait un clin d’œil et fait deux pas en direction de la voiture. Nous sommes comme deux spectateurs aux premières loges à la fin de la pièce. Brigitte, majestueuse, nous fait le bouquet final. Nous tournant le dos, elle se penche pour une dernière caresse au chien, les jambes bien droites, légèrement écartées, pour nous exploser, de dessous sa mini-mini, avec violence, sa chatte nue, chaude et luisante, en pleine face, puis se redresse, se tourne vers l’homme avec, dans les yeux, cette étincelle que je lui adore :

— Au revoir et bonne route…

Et se dirige vers notre voiture. GRRR ! Cet appareil photo… !

Dans la nuit qui tombe, j’entends Brigitte, radieuse sur son siège :

— J’ai été assez cochonne pour toi ? Tu en veux encore, je suppose ? Demande-t-elle, d’un ton qui exprime très clairement : « Tu as largement intérêt à dire OUI ! »

J’ai une petite idée sur la question (merci, Internet). J’ai trouvé un endroit, juste avant d’arriver, où les voyeurs viennent se divertir. Petite aire de stationnement, discrète de la route, avec lampadaire et toilettes.

— Fais semblant de dormir… Mais n’en perd pas une miette : j’ai une surprise !

Effectivement, c’est petit et à l’abri de la route. Je stationne sous le lampadaire, en prenant bien soin qu’il éclaire au mieux ma fée d’érotisme et de sensualité, et j’attends. L’attente est très courte. Déjà j’aperçois une ombre discrète, puis une deuxième, rejointe par une troisième. Peu à peu, les ombres se rapprochent de la voiture, s’enhardissent doucement pour, finalement, être pratiquement collées à la portière de Brigitte. Je leur fais signe de se taire, qu’il est hors de question de toucher ou plus : ils peuvent mater, se branler, mais c’est tout, et surtout de ne pas trahir leur présence, sinon je m’en vais. Nous avons affaire à des véritables voyeurs, ils ont l’air respectueux. Je me penche sur Brigitte délicatement, comme si elle dormait vraiment.

— Tu as trois admirateurs… Tu vas te faire mater, régale-toi !

Puis, avec d’infinies précautions, je commence à lui déboutonner son chemisier, bouton après bouton, pour en écarter les pans avec la plus grande indécence, sur des seins que je vois tendus, offerts et qui réclament crûment ce viol visuel. Nos trois mateurs, la bite tendue, se branlent avec gourmandise.

— Tu les fais bander, ma cochonne… Tu as vu comment ils te matent les nichons ! Maintenant, on va leur mettre ta chatte à la bouche, ils vont se vider leurs couilles rien que pour toi, je murmure doucement au creux de son oreille.

Par le petit entrebâillement de la vitre, on entend leur respiration, presque leur main sur leur queue violacée et durcie. Mes mains descendent sur la petite jupe, défont le nœud et tirent doucement, doucement, pour finalement soulever un pan, faire apparaître une cuisse indécente et la dénuder complètement. L’autre pan de la micromini se soulève, glisse tout doucement, dévoilant petit à petit une petite toison tondue et taillée, une chatte qu’ils espèrent chaude et humide. Un complice jouit, le visage rouge, les yeux exorbités.

— Tu es trop bandante, tu vois…

Je vois que le compliment va droit au cœur de Brigitte, sa respiration devenant rauque. Il est notoire qu’elle fait d’énormes efforts pour ne pas bouger. L’autre cuisse s’expose, comme à la parade, cette femme leur fait admirer son intimité, violentée par ces regards lubriques. Le rythme de leurs mains accélère, leur souffle se fait plus profond. Quelques mots en sourdine transparaissent :

— … Salope… Chatte… Putain…

Un récital de compliments d’érotisme, l’ode sensuelle et quasiment bestiale à ma fée. Doucement, je leur montre mon index gauche, le dirige sur cette moule offerte, et le fais pénétrer dans ce trou de convoitise. Un « OOOOOH… » contenu ponctue une éjaculation annoncée. Je sors mon index, le dirige sur la bouche de Brigitte et le lui enfonce entre les lèvres. Ce qui fait se contracter le troisième.

— Regarde… Il va te vider ses couilles pour toi…

Le sperme gicle sur la vitre dans un soubresaut expiatoire. Quelques secondes de calme après cette tempête, et notre complice passent un mouchoir sur ces traces blanchâtres dégoulinantes, pour faire disparaître ce viol consenti, puis disparaissent à son tour dans la nuit. C’est génial, quand on tombe sur des VRAIS voyeurs respectueux, ça ne peut que permettre de continuer, sinon c’est terminé pour très longtemps, ce serait trop dommage pour tout le monde. Des phares s’allument et quittent ce repaire du vice, nous sommes seuls. Brigitte bondit sur moi :

— Maintenant, tu as largement intérêt à me sauter ! J’en peux plus, moi !

Debout contre la voiture, à poil et surexcitée, Brigitte donne libre cours à toute cette envie contenue, à tout ce stupre, voire à toute cette bestialité sexuelle que nous adorons.

— Pas trop fatigués du trajet ? Parce que l’autoroute, c’est quand même bien monotone !

— Penses-tu, Philippe ! Une promenade de santé… Lui répond Brigitte, les yeux fatigués mais radieux.

Brigitte

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