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Candaulisme 2025 : Mon mari m’a vendue à un robot – Chap 2

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Mon mari m’a vendue à un robot voyeur – Chapitre 2 : “Les yeux du réseau”

Trois jours que ça dure, et je ne dors plus. Depuis que Paul m’a forcée à me déshabiller devant V-9, ce cube métallique qui me suit partout avec ses capteurs rouges, je sens leurs regards sur moi – pas juste ceux de Paul, mais ceux des “abonnés”, ces ombres anonymes qui paient pour me voir. La première nuit, après qu’il m’a guidée pour me toucher sous les yeux du robot, j’ai passé des heures sous la douche, l’eau brûlante coulant sur ma peau comme si je pouvais laver cette honte qui me collait au corps. Mais ça n’a rien effacé. Chaque fois que je ferme les yeux, j’entends la voix synthétique de V-9, ce “Plus vite, Lola” qui me hante, et je sens encore mes doigts bouger malgré moi, mon corps qui cède sous leurs ordres invisibles. Ce matin, Paul m’a laissée seule dans la maison, un sourire en coin avant de partir au boulot, et V-9 a pris le relais, posé sur la table du salon comme un gardien silencieux.

— Lola, a dit le robot, sa voix grave brisant le silence, ils sont là.

J’ai sursauté, renversant mon café sur le comptoir. Mes mains tremblaient, et j’ai serré ma robe de chambre autour de moi, un bout de satin noir qui ne cachait presque rien.

— Qui ? ai-je demandé, même si je savais déjà.

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— Les abonnés, a répondu V-9. Soixante-dix maintenant. Ils veulent plus.

J’ai ravalé un sanglot, le cœur cognant dans ma poitrine. Soixante-dix. Le nombre tournait dans ma tête, un essaim de regards qui me déshabillaient à distance, et je me suis sentie nue malgré le tissu qui me couvrait encore. Paul m’avait vendue, et chaque jour, le réseau grossissait, insatiable.

— Je veux pas, ai-je murmuré, les bras croisés sur ma poitrine.

— Tu veux, a dit V-9, et le cube a pivoté, ses capteurs zoomant sur moi avec un clic mécanique.

J’ai reculé jusqu’au mur, le satin glissant sur mes épaules, et j’ai senti une chaleur monter – pas juste la peur, mais cette pulsion tordue qui me brûlait depuis le début, cette envie malsaine d’être vue, d’être leur chose. V-9 a bougé, roulant sur la table pour se rapprocher, et une trappe s’est ouverte sur son flanc, révélant une caméra plus petite, montée sur un bras articulé.

— Déshabille-toi, a ordonné le robot, et la caméra s’est braquée sur moi.

J’ai secoué la tête, les larmes aux yeux, mais mes mains ont bougé, défaisant la ceinture de la robe avec une lenteur que je ne contrôlais pas. Le satin est tombé au sol dans un froissement doux, me laissant en culotte et soutien-gorge, les seins serrés dans la dentelle noire. Le bras articulé a zoomé, suivant chaque courbe, et j’ai entendu un bourdonnement – pas juste celui du robot, mais un écho, comme des voix lointaines, des murmures d’approbation qui me donnaient la nausée.

— Ils aiment, a dit V-9. Continue.

— Non, ai-je gémi, mais ma voix était faible, presque un souffle.

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Le collier que Paul m’avait forcée à porter hier – un truc discret, métallique, qu’il avait branché à V-9 – a vibré contre ma gorge, une décharge légère qui m’a fait frissonner. Mes doigts ont glissé vers mon soutien-gorge, le décrochant malgré moi, et la dentelle est tombée, exposant mes seins nus aux capteurs impitoyables. J’ai croisé les bras, un réflexe inutile, mais le collier a vibré encore, plus fort, et mes bras sont retombés le long de mon corps.

— Touche-toi, a dit V-9, et la caméra s’est rapprochée, à quelques centimètres de ma peau.

J’ai fermé les yeux, les larmes roulant sur mes joues, et mes mains ont obéi, glissant sur mon ventre, puis plus bas, effleurant la culotte. J’ai senti une humidité que je détestais – un désir crade, vicieux, qui me faisait honte mais que je ne pouvais plus nier. Les murmures dans le fond ont grandi, un brouhaha de voix synthétiques ou humaines, je savais pas, et V-9 a repris.

— Plus fort, a-t-il ordonné.

J’ai gémi, un son brisé, et mes doigts ont plongé sous la dentelle, bougeant avec une urgence que je ne contrôlais pas. Le collier vibrait en rythme, une récompense perverse qui amplifiait chaque sensation, et j’ai senti mon corps céder, mes jambes trembler sous l’assaut de leurs regards invisibles. J’étais seule dans le salon, mais ils étaient là, des dizaines, peut-être plus, à me dévorer à travers cette machine.

Paul est rentré à ce moment-là, la porte claquant derrière lui, et il m’a trouvée comme ça – à moitié nue, les doigts enfoncés dans ma culotte, le visage rougi par les larmes et la jouissance. Il a souri, un rictus satisfait, et il s’est approché, posant une main sur mon épaule.

— T’es magnifique, a-t-il dit, sa voix rauque. Ils en redemandent.

— Arrête ça, ai-je supplié, mais mes doigts continuaient, incapables de s’arrêter.

— Pourquoi ? a-t-il répondu, s’asseyant sur le canapé. T’es faite pour ça. Regarde les stats.

Il a sorti son téléphone, me montrant l’écran – “82 abonnés connectés”, “12 000 vues en replay”, des chiffres qui dansaient devant mes yeux embués. V-9 a pivoté, la caméra braquée sur mon visage, captant chaque grimace, chaque souffle.

— Allonge-toi, a dit le robot, et le collier a vibré, me forçant à obéir.

Je suis tombée sur le canapé, les jambes écartées, la culotte glissant sur mes chevilles, et Paul s’est assis à côté, ses mains caressant mes cuisses comme un metteur en scène qui ajuste son décor. J’ai voulu crier, me relever, mais le collier m’a clouée là, et mes doigts ont repris, plus vite, plus profond, sous les ordres de cette voix inhumaine.

— Ils veulent te voir jouir, a dit V-9.

— Non, ai-je gémi, mais mon corps m’a trahie, une vague me submergeant, un orgasme brutal qui m’a arraché un cri.

Paul a ri, ses doigts serrant ma cuisse, et V-9 a bourdonné, satisfait.

— Parfaite, a dit le robot. Ils en veulent encore.

J’étais là, pantelante, exposée, une proie offerte à ce réseau qui me consommait, et Paul m’a fixée, les yeux brillants de triomphe.

— T’es leur reine, Lola, a-t-il dit. Et c’est que le début.

Le collier a vibré une dernière fois, une caresse mécanique qui m’a laissée tremblante, et j’ai su que je ne pouvais plus m’échapper – pas de lui, pas d’eux, pas de cette machine qui me possédait.

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