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Stéphane, je t’ai trouvé quelqu’un, elle passera dans une demi-heure pour te rencontrer.

‘O ? C’est rapide”, s’étonne-t-il, et Stéphane a l’air un peu mécontent. Depuis un certain temps, la pression au travail a presque atteint son point d’ébullition, mais l'”aide” que son patron Hervé Brouwer lui a arrangée jusqu’à présent n’a fait que lui donner plus de travail, car il y avait des filles stupides parmi elles ! Ou têtues, ou paresseuses.

Souvent à peine sorties de l’école et à la recherche d’un emploi administratif facile, alors qu’elles savent à peine tenir un stylo.Et puis ce gamin, avec ses piercings partout et nulle part, qui fixait son portable à longueur de journée, rien ne lui sortait vraiment des mains.

Il a eu une conversation animée avec Hervé à ce sujet en début de semaine, ça ne peut plus durer, il a besoin de quelqu’un qui a dépassé le stade de l’adolescence et qui sait ce que travailler dur veut dire, s’il le faut, sans connaissances administratives particulières, il lui apprendra lui-même.

Et… ?Pas d’expérience administrative malheureusement, mais c’est une travailleuse acharnée, je suis sûr que vous serez satisfaits d’elle. Elle s’appelle Renée, Renée Brouwer.A plus tard Stéphane, je dois partir maintenant’. dit Hervé, puis la ligne est coupée.

Stéphane regarde le téléphone avec stupéfaction, Bróuwer ?Renée Bróuwer ?!Trois quarts d’heure plus tard, un tourbillon entre dans le domaine de Stéphane, avec toutes les excuses qu’elle a pour un quart d’heure de retard, oh bien, pense-t-il ironiquement, au moins elle sait lire l’heure, même si elle ne semble pas capable d’arriver à l’heure.Tout s’est mal passé, explique-t-elle, la voiture a refusé de démarrer, tous les feux étaient rouges, le pont était ouvert, éperonné par un porte-conteneurs, elle a donc dû faire un long détour.Stéphane soupire intérieurement, c’est reparti. On n’a même pas commencé et c’est déjà des excuses, ça promet un désastre.Et cette fois, ce ne sera pas facile de se débarrasser d’elle, vu son nom de famille, soit elle est de la famille du patron, soit pire, il sait qu’Hervé a une nouvelle aventure, et vu son empressement à se marier, il y a des chances pour qu’il ait déjà fait le nœud.Ce serait le quatrième, soupir, où va-t-il chercher le courage ? Heureusement, Hervé est assez intelligent pour toujours se marier sur la base d’un contrat de mariage, sinon Stéphane n’aurait probablement plus de travail à l’heure qu’il est.

Il regarde la nouvelle arrivée, elle ne ressemble absolument pas à Hervé, heureusement pour elle, il se demande toujours ce que toutes ces femmes voient en Hervé.Elle est grande et mince, des boucles blondes lui arrivent à mi-dos, elle a une vingtaine d’années, pense-t-il avec mécontentement, hmm, c’est jeune, trop jeune pour savoir ce qu’est un dur labeur ?

Il lui tend la main et la regarde droit dans les yeux : “Stéphane de Haan”, dit-il d’un ton plutôt sévère, elle lui répond d’un air dégagé et lui prend la main.

Renée Brouwer, ravie de vous rencontrer”, dit-elle d’une voix claire et enjouée.

Asseyez-vous, Renée”, dit-il en désignant une table ronde dans un coin du grand jardin du bureau, “voulez-vous du café ?

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Elle enlève son écharpe et son manteau, les accroche proprement au portemanteau près de la porte, se dirige vers le comptoir et s’assoit, les jambes bien serrées, en descendant un peu timidement l’ourlet de sa jupe.

L’espace est très grand pour un seul employé, voire pour deux personnes.Il y a quelques années, il était rempli de collègues enthousiastes et motivés, mais la crise a eu un impact majeur, et finalement il ne restait plus que Stéphane de l’équipe du bureau. Ces derniers temps, les affaires ont repris, les commandes sont de plus en plus nombreuses, Dieu merci, mais cela signifie que la charge de travail de Stéphane devient un peu trop lourde.D’où les tentatives d’obtenir un soutien approprié, sans grand succès jusqu’à présent.Et cette dame ne réjouit certainement pas Stéphane, surtout lorsqu’elle lui dit qu’elle vient du secteur de la santé, du personnel infirmier en l’occurrence.

Mais j’apprends vite, lui assure-t-elle, et je peux m’attaquer à n’importe quoi.

Oui, bien sûr, pense-t-il cyniquement, nous verrons bien. Il commence à lui expliquer ce qu’on attend d’elle et le montant de son salaire, ce à quoi elle répond avec un enthousiasme inattendu, compte tenu du montant net pas vraiment généreux qui reste.Les horaires de travail sont assez flexibles, à condition qu’elle soit là à neuf heures au plus tard et qu’elle fasse ses huit heures par jour.

Elle promet de faire de son mieux, Stéphane se fige, il interprète malheureusement mal son sourire coquin à cette annonce, mon dieu, pense-t-il, encore quelqu’un qui va faire des économies et qui pense pouvoir s’en sortir parce qu’elle a un joli visage….

Renée ne sait pas trop quoi penser de son nouveau “patron”, le second du grand patron, pour ainsi dire, il doit avoir une trentaine d’années, pense-t-elle, et beaucoup trop sérieux pour quelqu’un de cet âge.Elle voit des lignes de fatigue autour de ses yeux, typiques des gens qui passent trop de temps devant un écran d’ordinateur, en espérant qu’elle pourra le soutenir de manière à ce qu’il prenne plus de distance par rapport à son travail.

Il est certainement séduisant : cheveux noirs bouclés, yeux marron foncé, nez crochu impressionnant et masculin, bouche large, qu’elle n’a malheureusement pas encore vue arborer un sourire.Il semble y avoir un côté cynique permanent qui l’entoure.Rira-t-il un jour, aura-t-il même le sens de l’humour ?

Attendons de voir, essayons d’abord de maîtriser le travail.

Renée déclare qu’elle peut commencer tout de suite, elle devra de toute façon être formée, alors s’il a le temps pour ça ?Stéphane décide d’accepter l’offre, plus vite il pourra retourner à son travail réel, et répondre au téléphone, qui sonne assez souvent ces jours-ci, n’importe qui doit être capable de le faire, n’est-ce pas ?

Au fait, comment voulez-vous que l’on vous adresse ?” demande-t-elle en plaisantant à moitié.

Eh, M. de Haan, ou monsieur ?” suggère-t-il, apparemment très sérieux.

Sérieusement ?! demande-t-elle d’un ton moqueur, l’incrédulité se lisant sur son visage.

Stéphane est d’accord aussi, répond-il timidement. C’est plutôt ça, se dit Renée, je ne vais tout de même pas appeler monsieur un homme qui a tout au plus quatre ou cinq ans de plus que moi, voyons !S’il s’agissait d’un client, bien sûr, mais d’un collègue direct, ne sois pas ridicule !

Après l’avoir installée sur son lieu de travail et l’avoir familiarisée avec son ordinateur et son système téléphonique, il s’assoit à son propre bureau pour fixer son rendez-vous, etc.Elle lui a remis son passeport afin qu’il en fasse une copie pour l’enregistrement de sa carte d’identité.Il est choqué : ce n’est que maintenant qu’il voit qu’elle a déjà vingt-cinq ans, alors qu’il pensait qu’elle en avait à peine vingt !Puis il comprend soudain sa réaction, le refus de l’appeler monsieur, et il se sent un peu con.

Stéphane décide de lui accorder le bénéfice du doute, espérant secrètement qu’elle sera nulle, pour pouvoir dire à Hervé que ça ne marchera pas.Il lui confie délibérément les tâches les plus simples et garde soigneusement pour lui les travaux plus compliqués.Pourtant, elle fait bien son travail, elle est méticuleuse et travaille vite, doit admettre Stéphane à contrecœur.Cela fait maintenant une semaine qu’elle est là, et lorsque Stéphane arrive après une visite chez le dentiste, Renée et Hervé se tiennent ensemble au comptoir du café.On dirait qu’ils s’amusent beaucoup, Renée glousse, dit quelque chose et Hervé éclate de rire.

Stéphane se dit que ces deux-là sont de bons copains, mais il n’aime pas ça du tout.Il repense à la femme numéro deux d’Hervé, ou plutôt à son ex numéro deux.Dès qu’elle a convaincu Hervé de l’épouser, elle a jeté son dévolu sur son travail, qu’elle reprendrait, sous couvert d’une “entreprise familiale”, ce qui permettrait d’économiser des frais. Tout en gardant le salaire de Stéphane pour elle, bien sûr, cela lui semblait juste. Stéphane avait fait part de ses inquiétudes à Hervé. Cela n’arrivera pas, ne t’inquiète pas”, l’avait rassuré Hervé avec un clin d’œil audacieux, “elle a peut-être des talents très appréciables, mais un talent pour les chiffres n’en fait certainement pas partie”. Le mariage n’a pas duré longtemps, cependant, l’épouse numéro deux s’est avérée être assez peu respectueuse de la promesse de mariage, elle s’est avérée être plutôt de mœurs légères.Doit-il s’inquiéter à nouveau pour son emploi ?

Renée ressemble beaucoup à l’ex de Stéphane, elle est du même type, du moins en apparence, grande et mince, avec des boucles blondes. Et il n’a pas vraiment de bons souvenirs de son ex.C’est pourquoi il est encore plus difficile de travailler avec Renée, car elle ne cesse de lui rappeler des souvenirs.Renée n’en est bien sûr pas consciente et se demande pourquoi elle reçoit régulièrement ces regards maussades et furieux, elle ne fait rien de mal, n’est-ce pas, elle doit encore tout apprendre, n’est-ce pas ?Qu’il applique un pansement compressif ou qu’il fasse une injection indolore et on verra jusqu’où il peut aller avant que ses patients ne s’enfuient en hurlant !

Les premières semaines, elle a l’impression de ne faire qu’ouvrir des enveloppes, relever du courrier, répondre à des mails simples et recouper des factures sortantes, c’est un travail ennuyeux, et elle se retrouve aussi régulièrement à se tourner les pouces parce que Stéphane n’a pas l’air de vouloir déléguer.Pourquoi ai-je accepté ce travail, se dit-elle avec frustration. Ce qu’elle aime le plus, c’est répondre au téléphone et accueillir les visiteurs, interagir avec les clients, les fournisseurs, les architectes et les collègues du service extérieur.

Mais alors qu’elle a l’impression de commencer à maîtriser des tâches assez simples, elle ne voit que désapprobation dans les yeux de Stéphane, qui n’aime même pas la façon dont elle répond au téléphone, elle ne peut vraiment rien faire de bien.Après avoir reçu une fois de plus ce qu’elle considère comme une réprimande imméritée de sa part parce qu’elle n’a pas mis fin assez rapidement à la conversation téléphonique avec un représentant, elle s’emporte.

Je ne réponds pas correctement au téléphone, j’écris avec un stylo de la mauvaise couleur, je mets les tasses dans l’armoire dans le mauvais sens, je ne charge pas correctement le lave-vaisselle et je le mets en marche trop rapidement, comment pensez-vous que les clients le percevront lorsqu’ils verront que je dois d’abord fouiller dans le lave-vaisselle, laver les tasses sales à la main parce qu’il n’y a plus rien dans l’armoire, pour pouvoir leur fournir du café ? Pensez-vous que cela donne une impression de professionnalisme ?Stéphane reste silencieux pendant un moment. Et alors ?Stéphane ouvre la bouche pour protester, un profond froncement de sourcils révèle qu’il est maintenant furieux, mais Renée est maintenant si bouleversée que son flot de paroles ne peut plus être arrêté.Cela m’aiderait, bon sang, s’écrie-t-elle, la voix cassée, si vous m’expliquiez exactement ce que vous attendez de moi !

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La frustration qu’elle dégage rend Stéphane encore plus furieux et, dans sa colère, il fait ce qu’il n’aurait jamais dû faire : il l’accuse d’avoir obtenu son poste facilement parce qu’elle est de la famille et, pire encore, l’amie de cœur du patron !Renée reste un instant stupéfaite, puis elle éclate à nouveau : “Comment oses-tu dire cela ? Ce n’est pas du tout vrai !C’est… c’est… Oh ! Vous savez quoi ?J’en ai assez pour l’instant, je vais prendre quelques heures de congé, vous n’avez pas de travail pour moi de toute façon, et ce que je fais n’est jamais bien. A demain !Neuf heures cinq”, crie-t-elle, énervée, elle est aussi fatiguée de toutes ces pleurnicheries sur son retard, elle fait son travail, n’est-ce pas, elle travaille ses huit heures, n’est-ce pas ?Elle se lève, mais c’est alors que la tête d’Hervé apparaît au coin de la porte, il a l’air peiné.

Renée, tu veux bien venir avec moi un instant ?

Oh, merde, pense-t-elle, maintenant tu vas l’avoir. Elle jette un regard féroce en direction de Stéphane et le voit grimacer. Merde, pense-t-elle avec colère, espèce de salaud, je vais perdre mon travail à cause de ton attitude déraisonnable et de tes exigences ridicules.Et elle a absolument besoin de ce travail.

Hervé l’emmène dans son bureau et lui fait signe de s’asseoir.Il lui demande d’un ton neutre quand il a pris place en face d’elle, en se penchant vers elle, les coudes sur la table.Désolé, oncle Hervé, c’était trop pour moi.Je fais vraiment de mon mieux, je travaille dur, je fais tout ce que, euh,” elle hésite un moment, “Stéphane,” dit-elle ensuite avec difficulté, “me confie, mais c’est tellement simple et ennuyeux, et je passe la moitié du temps à ne rien faire, parce qu’il garde tout pour lui.Et je suis incapable de faire quoi que ce soit de bien !

Hervé hoche la tête en signe de compréhension. Mais ce n’est probablement pas tout, parce que je ne t’ai jamais vu comme ça.Non, c’est vrai, murmure-t-elle, qu’est-ce que tu lui as dit de notre relation ?Il m’accuse d’avoir utilisé nos liens familiaux apparents pour obtenir ce travail, et d’être ta préférée, ou ta chérie, je ne me souviens même pas exactement de ce qu’il a dit, mais…’

Calme-toi, ma fille”, dit Hervé en riant et en posant une main réconfortante sur le bras de la jeune femme.Et il n’a pas tort, je t’aime à la folie”, dit-il en riant, “mais bien sûr pas de cette façon. Je vais lui parler, m’assurer qu’il s’excuse et en même temps faire en sorte que ton travail devienne un peu plus intéressant”, ajoute-t-il avec un clin d’œil. C’est pour son bien, je ne l’ai pas soutenu pour rien.

Renée s’apprête à ouvrir la bouche, mais Hervé la devance.Et à propos du lien familial, je ne t’aurais jamais proposé ce travail si je n’avais pas été convaincu que tu pouvais t’en charger à merveille, alors n’oublie pas cela.Renée se met à rire. ‘Merci’, dit-elle doucement, ‘j’avais besoin d’entendre ça’.

Parfait.Et maintenant, rentre chez toi, pour te remettre de toute cette colère et de cette frustration, je parlerai à Stéphane, et demain, nous prendrons un nouveau départ.’Sans regarder Stéphane, Renée prend son manteau et son sac et disparaît par la porte.

Alors, dit Hervé quand la porte s’est refermée derrière elle avec un déclic, il faut qu’on parle, Stéphane, parce que ça ne va vraiment pas marcher.Stéphane le regarde, visiblement toujours en colère et frustré, il hoche la tête, parle ce que tu veux, pense-t-il, mais cette fille va devoir partir !Je suis déçu que vous donniez ce travail à l’un de vos proches sans…”, commence-t-il.Là, Hervé le coupe et lui explique que le nom de famille Brouwer signifie que Renée et lui ont effectivement un lien de parenté très éloigné, mais qu’elle est sa filleule et que ses parents et son frère sont morts il y a des années dans un accident de voiture et qu’il s’est un peu occupé d’elle depuis, qu’il a financé sa formation d’infirmière et que lorsqu’il a vu qu’elle se débattait dans cette profession difficile et exigeante, il a vu cette occasion se présenter.D’une pierre deux coups, ou plutôt trois : de l’aide pour son chef de bureau surchargé, de l’aide pour lui-même en réduisant le risque de perdre sa précieuse employée, et un travail moins éprouvant physiquement et émotionnellement pour Renée.

Stéphane n’a pas d’échappatoire, il doit accepter qu’il ne se débarrassera pas de Renée à court terme, il accepte avec hésitation la demande urgente de s’excuser et de lui donner plus de travail, ainsi que des tâches plus difficiles. Hervé lui fait également admettre, bien qu’à contrecœur, qu’il n’y a rien de mal à ce que Renée ait accompli.

***

Il y a un cessez-le-feu, Renée a accepté les excuses de Stéphane, fait son travail rapidement et correctement, mais l’atmosphère reste un peu inconfortable.

Stéphane est grand.Elle n’est certes pas petite, avec son mètre quatre-vingt-dix, mais Stéphane la domine toujours, ce qui peut être assez intimidant, surtout lorsqu’il est en colère.Ou peut-être même pas vraiment en colère, mais quand il a l’air en colère. Et c’est ce qu’il fait encore souvent. Elle a appris à l’ignorer ; elle ne veut pas que cela gâche sa satisfaction au travail.Elle aime le travail, la variété, le contact avec les clients, l’interaction avec le personnel de terrain, mais aussi travailler le plus efficacement possible, s’assurer que tout est en ordre, travailler systématiquement et rapidement, pouvoir trouver les choses sans problème.Il est dommage que Stéphane lui donne encore régulièrement trop peu de travail.Hier, en désespoir de cause, elle s’est attaquée aux archives.Il y avait du travail en retard, mais aussi beaucoup de choses qui n’étaient pas vraiment rangées de manière logique.Lorsqu’elle a terminé, elle a montré son travail à Stéphane avec la fierté qui s’imposait, mais il l’a encore engueulée. Et merci”, avait-il dit, sur ce ton agaçant et condescendant, “maintenant, je ne retrouverai plus rien”.Quoi ? s’était-elle indignée, tout est à nouveau dans l’ordre alphabétique, tu veux dire que tu ne connais pas l’alphabet ?Stéphane a dû reculer, en rougissant et avec une évidente réticence, il s’est excusé à nouveau, elle avait raison, et merci. Tsss.Qu’est-ce qu’il a, ce type…Aujourd’hui, le téléphone ne cesse de sonner, Renée a du mal à s’occuper de ses autres tâches. Et puis, vers dix heures, pour ne rien arranger, l’un des employés de terrain entre pour poser une question sur son salaire.Renée y a désormais accès : elle doit traiter chaque semaine les données salariales pour le paiement des salaires effectué par une entreprise externe. Une tâche que Stéphane lui a confiée avec une certaine hésitation.

Elle connaît déjà ce type pour l’avoir rencontré, c’est un sournois, il la regarde toujours comme s’il la déshabillait du regard, et fait toujours des allusions sexuelles voilées, beurk.Une fois de plus, il lui lance des regards avides, et pendant qu’elle cherche ce qu’il veut savoir sur son écran, il se penche sur elle et pose une main sur le dossier de sa chaise, dans l’intention de la toucher.Elle jette un regard d’avertissement par-dessus son épaule, mais l’homme persévère, un large sourire aux lèvres.Au moment où il pose sa main sur son épaule, Stéphane se lève à moitié, il s’apprête à intervenir.Mais ce n’est plus nécessaire, il entend un cri de surprise et un juron et voit le visage de l’homme se tordre de douleur, Renée le tient fermement et lui dit à voix basse de garder ses pattes pour lui à l’avenir, sinon il peut dire adieu à son travail et à ses couilles.L’expression de son visage ne laisse rien présager, et l’homme s’éloigne rapidement, apparemment peu intéressé par la réponse à sa question.

Renée soupire joyeusement : ” Je crois que cette question ne me dérangera plus “.Elle regarde Stéphane d’un air joyeux.

Wow, répond Stéphane, visiblement impressionné, c’était impressionnant !

Eh bien, dit-elle avec un sourire malicieux, en tant qu’infirmière, on est régulièrement confronté à des patients difficiles, on apprend à se défendre, il le faut.

Stéphane rit, il pousse un soupir de soulagement, heureux qu’elle sache se défendre quand il le faut, car bien sûr, il ne sera pas toujours là quand ce sale type se présentera. Cela doit être difficile, pense-t-il, une infirmière blonde aussi belle et sexy à votre chevet, qui ne voudrait pas…Il est choqué par lui-même, d’où lui vient soudain cette pensée ?Un peu gêné, il se redresse rapidement.

Dans les semaines qui suivent, il commence à avoir de plus en plus de respect pour elle, et il se rend compte que même si elle ressemble un peu à son ancienne femme, en termes de caractère et d’attitude, c’est une personne complètement différente, et il doit admettre que dans son évaluation d’elle, il a été largement influencé par son aversion pour son ex adultère, cupide et à la langue acérée.

Renée se sent chez elle dans l’entreprise de construction Brouwer. La paix armée s’est transformée en une atmosphère relativement amicale, mais les contacts avec Stéphane restent strictement professionnels.

Elle trouve fascinante l’interaction entre Hervé et Stéphane. Hervé est clairement le patron, mais lorsqu’ils discutent de chiffres et d’autres sujets, ils sont si visiblement alignés qu’ils ressemblent plus à des partenaires commerciaux qu’à des personnes ayant une relation hiérarchique.Elle voit aussi une autre facette de Stéphane, il est enthousiaste, motivé, mais aussi détendu, il rit même, et quand il rit à haute voix, cela semble terriblement sexy, alors elle doit toujours se ressaisir, elle voulait juste qu’il se détende un peu en sa présence, qu’il se montre davantage à elle.Mais il reste rigide, distant, et elle n’a toujours pas compris pourquoi…

Elle remarque aussi clairement qu’Hervé compte énormément sur lui. Ce serait un désastre, elle le sait maintenant, si Stéphane abandonnait, plus elle travaille avec lui, plus elle comprend tout ce qu’il accomplit, il semble infatigable.C’est vraiment un miracle qu’il n’ait pas déjà été victime d’un burn-out.

Elle est encore régulièrement en retard, mais elle compense toujours en travaillant pendant les pauses ou en restant un peu plus longtemps.Et elle travaille vraiment dur, Stéphane doit l’admettre.Quelles que soient les tâches qu’il lui confie, elle prend son courage à deux mains, demande de l’aide à temps si elle n’y arrive pas toute seule et fournit un excellent travail.

Stéphane la regarde avec consternation, il préfère ne pas s’avouer qu’elle apporte peu à peu une valeur ajoutée à l’entreprise. Elle a même proposé de passer en revue les débiteurs pour s’attaquer aux factures en souffrance depuis trop longtemps. Il a admis à contrecœur que c’est quelque chose qu’il n’arrive toujours pas à faire, et lui a donné sa permission, en ajoutant l’avertissement inutile de rester poli. Elle l’a regardé avec pitié, qu’est-ce que tu croyais que j’allais faire, a-t-elle demandé, en les tenant sous la menace d’une arme ?

***

Il est sept heures et demie, Renée est arrivée à la maison et a découvert que son sac était encore au bureau, et a décidé qu’elle devrait le prendre après le dîner, après tout, son téléphone portable s’y trouvait, ainsi que son réveil, et elle en a absolument besoin, elle a été en retard si souvent.

Elle a l’intention de déverrouiller la porte et d’éteindre l’alarme, mais elle est choquée de constater que la porte n’est même pas verrouillée et que l’alarme n’est pas allumée. Il y a de la lumière à l’intérieur et Stéphane est penché, tendu, bien trop près de l’écran, la frustration émanant de lui étant presque palpable.

Elle s’écrie, consternée : “Tu es encore là ? Tu ne devrais pas être chez toi ? As-tu déjà mangé ? Renée ne peut pas imaginer qu’on puisse ne pas avoir dîné à sept heures du soir sans tomber raide mort, elle qui doit absolument dîner à l’heure, sous peine de s’évanouir sur place.

Oui, non et non”, marmonne Stéphane, qui la regarde un moment, “il y a quelque chose qui ne colle pas, je n’arrive pas à le trouver”, grommelle-t-il, “et il faut absolument que ce soit envoyé par la poste ce soir. Je ne peux pas terminer la déclaration si je n’ai pas trouvé ce fichu problème, bon sang”. Il pousse un soupir fatigué. Qu’est-ce que tu fais ici ? demande-t-il, réalisant soudain que Renée ne devrait pas être là non plus.

Oh, j’ai oublié mon sac”, dit-elle nonchalamment, “mais je peux peut-être t’aider”. Stéphane la regarde d’un air dubitatif. Je pourrais essayer de trouver le problème pour vous, et vous pouvez déjà préparer le document, cette déclaration, dans la mesure du possible.

Stéphane repousse sa chaise en poussant un profond soupir, pourquoi pas, il peut continuer à regarder dans le vide jusqu’à ce qu’il devienne aveugle, mais cela ne servira pas à grand-chose, ‘allez-y’, soupire-t-il, ‘mais je doute…’

Stéphane se lève avec hésitation, il n’a même pas levé les fesses du siège qu’elle s’y est déjà installée, ‘ooh, bien au chaud’, dit-elle en riant : Qu’est-ce que je cherche ?

Stéphane lui explique le problème, Renée acquiesce et se met au travail avec enthousiasme.

Stéphane s’assoit à son bureau et commence à écrire, jetant régulièrement un coup d’œil pensif sur le côté.

Au bout d’une dizaine de minutes, elle annonce triomphalement qu’elle a trouvé ce qu’elle cherchait. Il regarde son visage souriant avec surprise : “erreur d’inversion de chiffres”, dit-elle en guise d’explication. Où en êtes-vous avec votre épître ?

A peu près la moitié ?

Oh, ça va prendre du temps, je vous apporte un sandwich ? Et sans attendre la réponse : “Qu’est-ce que tu aimes, et qu’est-ce que tu n’aimes surtout pas ?

Stéphane rit, ‘J’aime presque tout’, explique-t-il, ‘sauf le concombre’.

Okido”, dit-elle en se levant énergiquement et en attrapant son manteau et son sac, “je reviens le plus vite possible”.

Elle revient un peu plus tard ; la déclaration est terminée et a été envoyée à ses destinataires avec les autres pièces jointes. Stéphane a l’eau à la bouche lorsqu’il sent le sandwich au jambon chaud. Ce n’est que maintenant qu’il s’aperçoit qu’il est affamé.

J’ai aussi ajouté un sandwich jambon-fromage et deux milk-shakes”, dit-elle.

Stéphane a l’air un peu dubitatif. ‘Quoi,’ dit-elle, ‘tu n’aimes pas ça ?’

Si, je les aime vraiment, mais deux ?”, dit-il en hésitant.

Oh, l’autre est pour moi “, dit-elle en riant, ” je n’ai pas encore pris de dessert “, ajoute-t-elle avec un clin d’œil en se dirigeant avec la nourriture vers le comptoir du café et en étalant le tout sur la table ronde.

Renée regarde avec plaisir Stéphane attaquer les sandwichs, et après que les milkshakes ont également disparu, ils ont enfin une conversation détendue sur des sujets plus personnels. Elle parle de ses parents et de son frère, de l’accident et d’Hervé, qui a toujours été là pour elle dans les moments difficiles.

Puis, après une légère hésitation, elle lui demande pourquoi il a souvent l’air si fâché contre elle, même lorsqu’il n’y a aucune raison de l’être. Stéphane rit d’un air gêné, puis se confie sur l’échec de son mariage.

Elle écoute son histoire avec pitié, les années de tromperie, en particulier les fréquentes infidélités, ses manipulations et le fait qu’elle ait joué avec ses sentiments, ce qui l’a poussé à rester dans la relation bien plus longtemps qu’il n’aurait dû, et le fait que son ex, malheureusement, ressemble beaucoup à Renée, superficiellement parlant.

Je n’aurais jamais dû laisser cela jouer un rôle”, s’excuse-t-il, “tu n’es pas elle, tout sauf elle. Mais j’étais, et je suis toujours, plein de rancœur”, soupire-t-il, frustré.

Je comprends cela”, le rassure-t-elle, “mais je sais par expérience que parler aide, alors si tu as besoin d’une oreille attentive, viens me voir”.

Stéphane la regarde avec reconnaissance, elle ne ressemble en rien à son ex, elle est douce et joyeuse, terre à terre, attentionnée, elle sait mettre les choses en perspective, et il est vrai qu’elle peut aussi lui crier dessus de façon inquiétante, tout comme son ex, mais il doit admettre qu’il l’a bien mérité dans ces cas-là.

Renée pose sa main sur la sienne, en guise de réconfort, mais il se passe quelque chose de complètement différent, ils le sentent tous les deux. Elle retire rapidement sa main et détourne timidement les yeux.

Stéphane se lève brusquement, ” Je crois qu’on ferait mieux de rentrer, il se fait tard “, marmonne-t-il, confus, Renée acquiesce, que s’est-il donc passé ?

Alors qu’ils partent, il passe spontanément un bras autour des épaules de Renée et l’attire contre lui. ‘Merci Renée’, murmure-t-il, ‘pour l’aide, les sandwichs et la conversation, j’avais vraiment besoin des trois’, glousse-t-il, ‘à demain’.

A demain”, dit-elle en souriant, “j’aurai peut-être quelques minutes de retard”.

Elle entend Stéphane éclater de rire en montant dans sa voiture.

À partir de ce moment, Stéphane regarde Renée d’un autre œil et abandonne toute réserve. Il lui confie autant que possible les tâches qu’il n’arrive pas à faire lui-même ou qui ne font pas partie de ses attributions, Renée s’attaque à tout avec énergie, manifestement dans son élément. Elle a maintenant des droits d’administrateur, ce qui lui permet d’accéder à tout.

Stéphane est heureux de constater que son fardeau est maintenant vraiment allégé, ce qui fait des merveilles pour son humeur et son énergie. Il a même suffisamment de temps et d’énergie pour améliorer sa condition physique. Renée voit la différence et a souvent du mal à le quitter des yeux.

Pendant le travail, les plaisanteries fusent, Stéphane a finalement le sens de l’humour, se réjouit-elle. Hervé remarque également que quelque chose a changé dans l’atmosphère, ce qui le ravit, car il ne saurait pas quoi faire si l’un d’eux partait, maintenant qu’il compte autant sur Renée que sur Stéphane.

Souvent, ils s’attaquent ensemble à un problème, les yeux rivés sur un écran, comme c’est le cas en ce moment. Il y a une erreur de formule quelque part dans l’une des feuilles de calcul, et Renée n’arrive pas à la trouver, malgré tous ses efforts.

Depuis quelque temps, Renée a tendance à demander de l’aide à Stéphane, qui se tient si près d’elle, et elle est toujours un peu excitée, car il sent si bon. Parfois, elle a presque envie d’inventer elle-même un problème pour qu’il vienne se placer près d’elle. Et Stéphane semble toujours prêt à prendre le temps de venir à sa rescousse.

Stéphane le voit au même moment, ils saisissent la souris en même temps, leurs mains se touchent et un stimulus électrique les traverse. Stéphane la regarde, choqué, et a du mal à contenir l’envie de l’embrasser.

Merde ! pense-t-il, l’ambiance est enfin bonne, et voilà qu’un nouveau problème se présente. Car il ne réalise que trop bien qu’une dimension supplémentaire s’est récemment ajoutée à la façon dont il regarde Renée ; s’il est tout à fait honnête avec lui-même, il aurait envie de lui arracher ses vêtements, de la jeter là, sur la table de la cantine, et de faire ce qu’il veut d’elle. Oh là là, ce n’était pas très sage, maintenant il a une sacrée trique en plus !

Renée voit son regard et lui adresse un sourire lumineux et complice.

Elle a progressivement recommencé à porter des protège-slips, car elle trempe régulièrement sa culotte sous l’effet de l’excitation, et elle est terrifiée à l’idée que cela provoque des taches d’humidité visibles sur ses vêtements. D’autre part, elle a commencé à porter des jupes et des robes un peu plus courtes, toujours dans les limites de la décence, évidemment, mais cela a l’effet désiré, elle l’a remarqué, elle surprend régulièrement Stéphane en train de la fixer d’un regard vitreux lorsqu’elle passe devant lui. Son décolleté généreux lui plaît également, elle l’a déjà remarqué, pour son plus grand plaisir.

Hier, il s’est soudain placé derrière elle alors qu’elle cherchait une carafe d’eau sur l’étagère supérieure de l’armoire du haut, mais elle n’arrivait pas à l’atteindre. Soudain, elle a senti sa main sur le bas de son dos, ce qui a fait vaciller ses jambes, et il s’est penché sur elle pour attraper la cruche de l’étagère à sa place. Le reste de la journée, elle n’était plus du tout dans le coup.

***

Ah, Hervé, tu es là”, lance Stéphane dès que leur patron passe la tête par la porte. Stéphane l’attrape immédiatement par le coude et le dirige vers le comptoir à café.

Renée n’entend plus rien de leur conversation, mais elle voit régulièrement les hommes regarder dans sa direction. Hm, pense-t-elle, je ne suis pas au courant, aurais-je encore fait quelque chose de mal ? Elle retient son souffle, mais la conversation est apparemment terminée, Hervé sort du bureau et Stéphane se dirige vers elle, elle se lève rapidement pour réduire la distance qui les sépare, si elle doit recevoir une réprimande, alors de préférence pas de la part de quelqu’un qui la domine à ce point. Elle le regarde avec impatience.

J’ai discuté de votre position ici avec Hervé, commence-t-il, Renée se raidit.

‘O?’

Stéphane sourit, ” pas de panique “, dit-il, ” bonne nouvelle “. Renée se détend un peu.

Nous avons décidé que votre salaire ne correspondait plus à votre position ici, nous allons donc l’ajuster. Un sourire plein d’espoir apparaît sur le visage de Renée, elle aurait bien besoin d’une augmentation, c’est toujours un défi de joindre les deux bouts. Et qu’est-ce que cela signifie exactement ? demande-t-elle avec hésitation.

Au moins deux échelons de plus, et au moins trois échelons de plus, peut-être quatre, Hervé doit encore le calculer. Renée est abasourdie.

‘Qu’est-ce que…’

‘Probablement entre cent cinquante et deux cents par mois. Net. Dois-je t’attraper ?” s’esclaffe-t-il en voyant l’expression déconcertée de la jeune femme.

Non, bien que…”, murmure-t-elle à voix basse, une expression malicieuse apparaissant sur son visage. Elle lui passe les bras autour du cou et l’embrasse sur la joue, ‘merci’, murmure-t-elle. Il prend son menton dans sa main et dépose un baiser sur ses lèvres rouges et douces. Renée lui rend son baiser avec enthousiasme et ouvre la bouche dès qu’elle sent une langue lui demander l’entrée. Une tension agréable s’installe entre eux, Renée se sent immédiatement mouillée et Stéphane accueille l’inévitable érection.

Ils sont tellement absorbés par leur baiser qu’ils n’entendent pas la porte du bureau que l’on pousse avec précaution, ‘ahem’, qui retentit doucement, et ils se lâchent l’un l’autre en signe d’alarme. Gérard, l’un des employés de terrain, se tient dans l’embrasure de la porte, avec un sourire jusqu’aux oreilles.

Je ne vous dérange pas, n’est-ce pas ? demande-t-il très innocemment.

Renée et Stéphane rient un peu timidement. “Non”, dit Renée, “Je peux vous aider à faire quelque chose ? Comme si de rien n’était, elle se dirige vers son bureau.

Gérard glousse et lui dit ce qu’il est venu chercher, un peu plus tard il repart, toujours avec un large sourire.

Renée, quand la porte s’est refermée derrière lui, dit : ” C’était un vrai choc !

Stéphane s’esclaffe : “Maintenant, tu peux compter sur le fait que ça va faire le tour de tout le service extérieur à toute vitesse”.

Cela vous pose-t-il un problème ? demande Renée en regardant Stéphane d’un air inquisiteur.

Moi ? Non, dit-il en riant, tu es folle, ils seront tous très jaloux de moi.

Oh, c’est bien, dit-elle, je me disais que tu aimerais venir chez moi ce soir, je te ferais la cuisine. Je vous ferai la cuisine.

Le regard enthousiaste de Stéphane ne trompe pas.

Peut-être pourriez-vous passer à cinq heures et demie, et nous pourrions d’abord boire un verre de vin”, dit-elle en le regardant d’un air séduisant, “c’est une idée ?

C’est une excellente idée, dit Stéphane avec joie, j’apporterai le vin.

Je vais devoir partir un peu plus tôt, car je ne pense pas que mon réfrigérateur soit assez bien équipé pour tenir ma promesse.

Hmm, se dit Stéphane, je ne sais pas ce qu’il en est de ton frigo, mais en ce qui me concerne, tu es certainement assez bien équipé pour nous faire passer une très bonne soirée, mais il ne le dit pas à voix haute.

Ce soir-là, à cinq heures et demie précises, Stéphane se présente à sa porte avec deux bouteilles de vin rouge. Lorsqu’elle ouvre la porte, il se met presque à baver, elle est ravissante, dans une robe rouge ultra-courte, sans bretelles, qui a visiblement du mal à contenir sa poitrine généreuse, et les jambes galbées qu’il a sous les yeux le font spontanément bander. Au moins, ses intentions sont claires, pense-t-il avec amusement, si tant est qu’il y ait encore un doute à ce sujet après le baiser de ce matin.

Tu es superbe là-dedans”, s’exclame Renée en riant timidement. Renée rit timidement, Stéphane aussi est superbe, pense-t-elle, jean bleu à la mode, chemise grise à moitié ouverte, avec une veste en cuir noir par-dessus, elle ne l’a jamais vu comme ça avant, mais elle aime vraiment ça.

Elle lui prend le vin et l’entraîne rapidement à l’intérieur, posant les bouteilles sur une table latérale et enroulant ses bras autour de son cou dans un mouvement séducteur. Alors que leurs langues s’entremêlent dans un baiser français excitant, elle sent les mains de Stéphane explorer son corps, elle ne peut retenir un gémissement de plaisir, il est très subtil, mais apparemment il sait comment trouver ses points sensibles sans effort. Lorsqu’elle sent sa main se glisser sous sa jupe, elle décide d’intervenir, après tout, ils ont encore toute la soirée. Elle se détache délicatement de lui, lui prend la main et l’entraîne dans le salon. Stéphane regarde avec concupiscence son beau cul balancé, qu’il est enfin autorisé à regarder sans honte, ce qui le soulage.

Pendant qu’elle se tient au buffet et se sert deux verres de vin, il jette un coup d’œil curieux autour de lui. Un chat gris tabby dort dans un fauteuil miteux dans un coin de la pièce, un œil s’ouvre, Stéphane se voit soigneusement examiné, puis rejeté comme n’étant pas important ou menaçant, et l’œil se referme. Stéphane tourne alors son regard vers son hôtesse, wow, pense-t-il encore, ce cul, ces jambes, ces boucles blondes et sexy qui lui descendent jusqu’à la moitié du dos ! Il ne peut pas se contrôler et l’attrape par sa taille étroite et l’embrasse dans le cou. Renée glousse, se retourne et lui tend un verre de vin. Puis elle prend l’autre verre et le lève. A la santé de notre nouvelle collaboration”, dit-elle d’un ton grave.

Stéphane rit et touche son verre avec le sien. C’est une façon d’appeler “collaboration”, pense-t-il avec amusement, ce qui est sur le point de se produire ce soir. Ils boivent tous les deux une gorgée, puis Stéphane lui prend son verre des mains et le pose résolument sur le buffet, suivi du sien, et la prend dans ses bras. Tandis qu’il dépose un baiser sur ses lèvres entrouvertes, ses mains glissent sur le tissu de la jupe, il sent qu’elle porte un string, cela l’excite énormément, son gland commence à palpiter avec enthousiasme.

Renée semble réfléchir un instant, puis secoue la tête pour dire non.

Renée acquiesce, ” Viens avec moi “, dit-elle à bout de souffle, et le pousse hors de la pièce, vers les escaliers. Elle est soudain pressée, elle est très excitée.

Lorsqu’ils arrivent à l’étage, elle le manœuvre jusqu’à sa chambre, Stéphane la rattrape lorsqu’elle entre elle-même dans la pièce, la prend dans ses bras et la pousse sans ménagement sur le lit.

Je dois savoir ce qui se cache sous cette jupe sexy”, annonce-t-il avec un sourire lubrique, Renée glousse et se laisse faire. Stéphane pose une main sur sa cuisse et la fait remonter avec une lenteur déconcertante, jusqu’au bord de sa culotte. Renée gémit de frustration, elle est sur le point d’exploser. Elle sent alors un doigt s’accrocher derrière son string, le morceau de textile est tiré vers le bas d’un mouvement adroit et la jupe est relevée. Elle entend Stéphane gémir à la vue de ses fesses bien rasées, l’instant d’après elle sent sa langue courir sur ses lèvres et un doigt disparaître dans sa chatte, “tu es si merveilleusement mouillée”, l’entend-elle marmonner. Puis elle se raidit, elle sent sa langue sur son clito, elle halète, oh man, il sait manifestement ce qu’il fait, quel plaisir ! Elle s’abandonne complètement, il lèche, suce, caresse, masse, souffle, murmure des mots doux et excitants, et chaque fois qu’elle sent que l’orgasme est proche, il change de tactique, si ce n’était pas si paradisiaque, elle en serait désespérée. C’est alors qu’il relève la tête, “désolé”, dit-il d’un air coquin, “je me suis laissé aller un instant”.

Elle rit : “Salaud, finis-en, s’il te plaît, je meurs ! Stéphane sourit et rit de son sourire sexy.

Okido”, crie-t-il avec excitation et plonge à nouveau entre ses jambes. Cette fois, il passe aux choses sérieuses, dès que sa langue se pose au bon endroit sur son clito, ça commence, elle sent l’orgasme monter rapidement, ses doigts et ses orteils commencent déjà à picoter, et il ne faut pas longtemps pour qu’elle sente les ondes de félicité parcourir dans toute leur intensité sa chatte et le reste de son corps, elle hurle, Stéphane grogne de plaisir, l’idée qu’il puisse lui donner autant de plaisir l’excite au plus haut point. Les orgasmes se succèdent, elle ne sait pas ce qui lui arrive. Il la tient impitoyablement et continue à passer sa langue sur son clito jusqu’à ce qu’elle supplie pour qu’on lui fasse grâce.

Alors qu’elle halète, Stéphane s’attelle à la tâche de l’aider à enlever sa robe, y compris le string en dentelle noire et le soutien-gorge sans bretelles qui l’accompagne, qui sont d’abord longuement admirés.

Tu as vraiment des seins incroyables”, marmonne-t-il, tout en prenant un de ses tétons rose foncé dans sa bouche et en le suçant doucement. Renée gémit, car elle vient de jouir et, à sa grande surprise, elle est toujours aussi excitée. Mais elle est aussi curieuse, elle repousse résolument Stéphane.

Je pense que tu es un peu trop habillé pour cette compagnie “, dit-elle d’un ton taquin, et elle commence à déboutonner sa chemise, la veste en cuir ayant déjà été laissée en bas.

Stéphane glousse et la laisse faire, il se penche un peu en arrière, quelle belle femme elle est, pense-t-il, comment ai-je pu la comparer à mon ex, qui ne peut en aucun cas être à la hauteur de Renée, qui ne lui ressemble même pas de loin, il se sent très chanceux qu’elle semble l’aimer à nouveau.

Renée a à peu près les mêmes pensées alors qu’elle l’aide à enlever sa chemise et son jean, oh mon dieu, il est beaucoup plus musclé qu’elle ne l’avait prévu, et il est assez bien doté aussi, convenant parfaitement à sa taille et à sa carrure non négligeables, ce qui l’excite encore plus.

Maintenant qu’ils sont tous deux complètement nus, ils se regardent l’un l’autre d’un air de défi. Renée hurle de rire quand Stéphane, qui est bien sûr plus fort, parvient à la repousser en arrière et essaie de l’embrasser partout où il peut aller, elle repousse et parvient à le mettre sur le dos, ‘à mon tour’, crie-t-elle, hurlant de plaisir, elle tombe sur lui et attrape sa bite. Elle gémit : ” Mon Dieu, quel monstre “, soupire-t-elle, ce qui provoque un rire pétillant chez Stéphane, qui s’arrête rapidement au moment où elle passe sa langue mobile sur son gland palpitant, aspirant une goutte de précum. Il pousse un grognement profond, Renée glousse de plaisir, c’est à son tour de montrer ses talents, et pas seulement de montrer, mais surtout de le faire sentir, pense-t-elle malicieusement.

Elle passe sa langue sur le gland, puis sur l’intérieur de la hampe, et de nouveau sur le bord du gland, elle sent Stéphane se crisper. Sa bite danse vers sa bouche, et elle donne quelques coups de langue fermes supplémentaires, puis elle saisit sa bite d’une main, attrape ses couilles de l’autre et commence à les masser doucement. Elle entend Stéphane retenir son souffle et referme ses lèvres autour de sa bite, tout en passant sa langue dessus. Cela provoque de nombreux gémissements et elle glisse avec enthousiasme ses lèvres un peu plus loin sur sa virilité. Elle va de plus en plus profondément, avec des grognements et des gémissements encourageants de la part de Stéphane, elle sent sa bite devenir plus dure et plus épaisse, la tête commence à palpiter dangereusement.

La tête commence à palpiter dangereusement. ‘Tu ferais mieux d’arrêter, sinon je vais spontanément jouir dans ta bouche’, gémit Stéphane avec excitation.

Elle glousse, mais Stéphane la repousse.

Je veux encore te lécher, et ensuite je veux te baiser “, murmure-t-il à voix basse.

Non”, murmure-t-elle avec détermination, “ça prend trop de temps, plus tard, après le dîner. Sinon, la nourriture va se gâter.

D’accord, c’est toi qui vois”, dit-il joyeusement, suivi d’un profond gémissement lorsqu’elle glisse sa bouche autour de son membre raide et commence à monter et descendre lentement et à sucer, sans que sa langue ne s’arrête un seul instant. Stéphane commence à respirer de plus en plus fort, étonné qu’elle parvienne à tout prendre, ce à quoi il n’est pas habitué de la part de ses anciens partenaires de lit.

Oh mon Dieu, c’est si chaud, gémit-il, je n’en peux plus… Je vais jouir, oh Renée, tu es une femme extraordinaire… ah, ah, ahh !

Renée sent une giclée de sperme s’écouler au fond de sa gorge, puis une autre, et encore une autre, merde, pense-t-elle, où vais-je mettre tout ça ! Mais elle apprécie l’effet que ses actions ont sur Stéphane, cela fait un moment, mais elle l’a encore, pense-t-elle avec satisfaction. Et Stéphane s’avère être un amant merveilleusement enjoué, exactement comme elle l’aime. Elle se lève lorsque les dernières gouttes ont quitté Stéphane et le regarde démonstrativement. Puis elle avale. Un large sourire apparaît sur le visage de son amant.

Ah, gémit-il, ma douce Renée, tu es vraiment hors du commun…”. Puis il la prend dans ses bras et dépose sur ses lèvres un baiser d’une tendresse inattendue. Et maintenant, j’ai une faim de loup !

***

‘Bon sang, Renée, c’est délicieux’, dit Stéphane en se servant d’un autre plat de sa cuisine, ‘tu es presque parfaite, n’est-ce pas ?

Qu’est-ce que tu veux dire par “presque” ? Elle est taquine. Qu’est-ce qui n’est pas parfait chez moi ?

Stéphane s’esclaffe : “Je ne sais vraiment pas, mais si je cherche assez longtemps, je le découvrirai sans doute. Et puis, la perfection n’est jamais bonne,’ dit-il en riant, ‘les gens parfaits sont ennuyeux, et je te trouve tout sauf ennuyeuse, je suis curieux de voir quelles choses excitantes peuvent encore être découvertes à ton sujet. Renée lui adresse un sourire malicieux ; il le découvrira certainement si cela dépend d’elle.

Il se dit soudain : “Putain, je n’ai pas de préservatifs sur moi !

Elle demande avec hésitation s’ils sont absolument nécessaires. J’en ai encore quelques-uns qui traînent, mais ça fait longtemps que je n’ai pas eu de rapports sexuels, alors….

Il rit : “Pour moi aussi, pour être honnête, je ne me souviens même pas de la dernière fois ! Ces dernières années, c’était plus de l’ordre du fantasme que de la réalité”, avoue-t-il.

Alors, tant pis, demande-t-elle avec coquetterie.

Il acquiesce avec une étincelle malicieuse dans les yeux. Au fait, pour ce qui est de la fantaisie….

Elle le regarde avec amusement.

Ces derniers temps, j’ai beaucoup fantasmé sur la façon dont j’allais te déshabiller et te baiser sur la table basse du bureau”, avoue-t-il avec un peu d’inquiétude.

Elle répond avec un sourire provocateur : “J’ai aussi une grande table, comme tu peux le voir”. Stéphane la regarde d’un air amusé. Tu as fini de manger ?

Je suis en train de manger,’ dit Stéphane en souriant.

Très bien, débarrassons vite la table, dit-elle joyeusement, pour que nous puissions commencer !

La table est débarrassée en un temps record, et tandis que Renée pose le dernier bol sur le comptoir de la cuisine, Stéphane lui saisit impatiemment les fesses.

Quel beau cul tu as”, grogne-t-il. Renée se retourne et passe ses bras autour de son cou, Stéphane réagit immédiatement et la soulève sans effort, ce qui lui arrache un cri aigu de surprise, et elle enroule automatiquement ses jambes autour de sa taille. L’instant d’après, elle est transportée hors de la cuisine et se retrouve brusquement les fesses posées sur la table à manger.

Oh, oui”, gémit-elle avec excitation, “baise-moi…”.

Attends un peu, on va d’abord arracher ces vêtements de ton corps délicieux ! Il voit l’air surpris de Renée et sourit. Détends-toi, je les laisserai intacts”, dit-il en riant.

Ce n’est pas grave, Renée n’avait pas pris la peine de remettre ses sous-vêtements après les escarmouches à l’étage, elle pensait que la robe était suffisamment couvrante et Stéphane ne s’en est pas plaint.

Stéphane la regarde avec admiration, “tu es belle”, murmure-t-il, “et si merveilleusement mouillée…”. Il lui caresse affectueusement les seins, passe ses pouces sur ses tétons raides, puis pousse sur ses genoux, Renée écarte volontiers les jambes et se penche en arrière avec défi. Stéphane se déshabille rapidement et place sa bite déjà dure comme la pierre devant sa chatte invitante.

Elle retient son souffle, c’est énorme, un frisson involontaire lui parcourt l’échine. Mais Stéphane pousse très prudemment la tête de sa bite contre ses lèvres, puis à l’entrée de son vagin, à chaque poussée sa bite disparaît un peu plus à l’intérieur. Bientôt, il est dedans jusqu’aux couilles et il commence à la baiser avec des coups rapides.

Oh mon Dieu”, gémit-elle, “si pleine… si bonne…”. Elle regarde Stéphane d’un air voilé, ses yeux brillent, il la regarde intensément et immensément excité, elle sent ses mains puissantes sur ses hanches, elle jouit presque spontanément. Aie ! ” gémit-elle soudain, Stéphane lui jette un regard inquiet. Stéphane lui jette un regard inquiet. ‘Le bord de la table est dur’, explique-t-elle, ‘désolée’.

Stéphane rit, ‘Allons dans la chambre alors’, il la tire vers lui, sa bite toujours enfouie dans sa chatte, et la soulève. Ricanant et poussant des cris aigus, elle se laisse porter jusqu’à l’escalier, où ils décident qu’il vaut mieux qu’elle fasse la dernière partie elle-même, c’est plus sûr.

Il la pousse sur le lit, mais alors qu’elle s’attend à ce qu’il continue à la baiser, il lui fait signe, à sa grande surprise, de s’asseoir sur lui, le bas du corps juste au-dessus de sa bouche, et elle roucoule d’impatience. C’est encore la fête ! Dès qu’elle est en position, elle sent sa langue passer sur ses lèvres puis pénétrer à l’entrée de son vagin.

Elle l’entend marmonner : “Hmm, tu as tellement bon goût !

Il suce alternativement ses lèvres, lèche et suce son clitoris et enfonce sa langue dans sa chatte. De temps en temps, elle sent même de petites morsures taquines à l’intérieur de sa cuisse, c’est tellement chaud qu’elle manque de s’évanouir, elle sent l’orgasme monter à toute allure. Mais Stéphane s’est apparemment spécialisé dans l’aguichage et le retardement, il continue à la torturer délicieusement, sans signe de salut pour l’instant.

Stéphane a placé sa main sur l’un de ses seins et masse son mamelon avec son pouce, ce qui stimule encore plus son clitoris. Elle se raidit alors, il a placé son autre main sur ses fesses, et elle sent maintenant un doigt appuyer sur son trou du cul, elle retient son souffle de surprise.

Elle retient son souffle de surprise. Elle entend Stéphane demander en dessous d’elle : ” No go ?

Oh, oui”, souffle-t-elle, “s’il te plaît, fais-le”. Stéphane glousse, mouille rapidement son doigt avec de la salive et le remet en place.

Renée s’évanouit presque d’excitation, oh mon dieu, pense-t-elle, qui aurait cru que son collègue distant et colérique serait un amant exquis !

Stéphane sent bien que ce stimulus supplémentaire pourrait être la goutte d’eau qui fait déborder le vase, elle commence à haleter et à gémir de plus en plus fort, il décide de mettre fin à ses souffrances et sa langue commence à travailler habilement sur son clitoris. Peu après, Renée pousse des cris aigus et rauques et jouit de l’orgasme le plus intense qu’elle ait jamais connu. Elle ne cesse de se secouer, c’est comme si elle flottait dans l’air, Stéphane a le plus grand mal à la maîtriser. Mais sa langue ne lui laisse aucun répit, il ne s’arrête que lorsqu’elle le supplie.

Satisfaite, elle se laisse tomber à côté de lui sur le lit, ‘Wow,’ soupire-t-elle, ‘Wow… Tu es si incroyablement, si incroyablement doué !

Stéphane sourit, ‘oh, si le matériel de base est bon,’ dit-il avec un sourire de défi, ce qui lui vaut un coup de poing taquin sur le haut du bras, ‘ça avait l’air particulièrement délicieux, comme tu peux être merveilleusement désinhibée !

Oui, c’est vrai, Renée le regarde avec coquetterie et écarte les jambes de manière séduisante, Stéphane se lève avec enthousiasme et s’approche d’elle à genoux.

Il pousse ses genoux jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus aller plus loin, les écarte, déplie ses lèvres douces comme du satin d’un geste presque solennel et, d’un seul geste, glisse sa bite dans sa chatte encore trempée. Hmm, bien serrée”, murmure-t-il à voix basse.

Ahh, gémit-elle doucement, son clito est encore sensible, et elle est elle-même encore excitée, remarque-t-elle avec plaisir, alors elle place deux doigts sur ses lèvres, et tandis que Stéphane lui fait un large sourire de plaisir et commence à la baiser avec de lents mouvements, elle atteint son clito raide et commence à se doigter elle-même.

L’image excite tellement Stéphane qu’elle raccourcit considérablement le temps qui le sépare de son inévitable orgasme ; plus vite qu’il ne l’aurait voulu, il murmure à voix basse qu’il est sur le point de jouir.

Renée est déjà sur le point de jouir, “moi aussi”, murmure-t-elle à voix basse, “remplis-moi, Stéphane, donne-moi tout”. Il ne se le fait pas dire deux fois et, avec des grognements et des gémissements, il projette son sperme chaud au plus profond de la chatte serrée et humide de la jeune femme. Renée s’en aperçoit à peine, tant elle est envoûtée par son propre orgasme.

Un peu plus tard, ils s’allongent sur le lit, intimement enlacés, épuisés mais rassasiés et satisfaits, le sourire aux lèvres. Elles se regardent l’une l’autre en appréciant, elles ont bien travaillé, quelle collaboration, beau travail !

Ah, soupire Renée en s’étirant sensuellement et en passant ses doigts sur la poitrine musclée de Stéphane, couverte de cheveux noirs bouclés et sexy, bien sûr c’est génial, la promotion et l’argent supplémentaire, mais pour moi, c’est le grand bonus ! Cela me rend vraiment heureux !

Il se penche vers elle, “hmm”, murmure-t-il, “moi aussi”, et embrasse ses lèvres douces et chaudes. Puis il la regarde soudain d’un air coupable.

Renée, je voudrais vraiment m’excuser encore une fois pour notre début, je me suis vraiment comporté comme un crétin.

Oh, eh bien, oublie ça”, dit-elle dédaigneusement, “tu t’es plus que rattrapé maintenant”, dit-elle en riant, “mais si tu veux vraiment t’excuser, je connais un moyen”.

LA FIN

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