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Fétiche - BDSM Histoire de Sexe Histoires Taboues 2025 : Vos Fantasmes les plus Secrets Inceste

Cloé en manque se donne à son fils Chapitre 1

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Charles, 66 ans, est un homme qui a réussit, il possède une entreprise qui marche très bien. Mais elle lui prend beaucoup de temps, très souvent, il part à l’étranger.
Très travailleur, il y consacre tellement d’heure, qu’il en oublie sa famille, et ses devoirs conjugaux.
Marié à Cloé, la pauvre, passe ses journées et de ses nuits le plus souvent seule. le couple a un enfant, Franc, 23 ans qui prépare un master en économie. L’université, n’étant pas loin, de chez lui, il rentre chaque jour pour manger et dormir. Ses soirées, il les passe dans sa chambre à étudier.

Cloé, délaissée, s’occupe de la maison et des repas. Heureusement, elle a une amie Maryse et elles se voient de temps en temps. C’est samedi, elles prennent le café ensemble se racontent leurs petites misères. Souvent, elles parlent de sexe. Maryse lui parle de ses nuits torrides. Cloé, elle, se plaint d’être délaissée.

Mais comme toutes femmes, elle à besoin, d’affection voir des rapports sexuels. Elle avoue à son amie, que régulièrement elle se masturbe, en imaginant des amants fougueux. Maryse en souriant lui dit :

-Je ne te comprends pas, tu as tout ce qu’il te faut à la maison et tu te branles ?

Cloé sursaute, et en fronçant le sourcils demande :

-Tout à la maison, je ne comprends pas ce que tu dis ?

En haussant les épaules, Maryse ajoute :

-Et Franc, il sert à quoi alors, je suis certaine qui doit avoir une bonne queue le coquin !

Cloé reste sans voix aux propos de son amie. Puis elle réagit :

-Mais tu es folle c’est mon fils, tu blagues ?

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Maryse réplique :

-Oh ne fais pas ta chochotte, fils ou pas, une bite c’est une c’est bite !

Cloé est abasourdit, elle regarde son amie et dit :

-Tu me fais marcher, tu ne penses pas à ce que tu dis ?

Maryse en haussant les épaules répond :

-Oh fais ce que tu veux, moi ça ferait longtemps que je serais dans son lit, et crois moi pas pour dormir !

Cloé, ne peut s’empêcher de dire :

-Mais tu es une grosse salope, tu coucherais avec ton propre fils, mais c’est honteux !

Maryse répond :

-le cul c’est le cul, tu me connais je suis gourmande, et je ne fais pas de détails lorsque c’est le sexe, et si tu veux, je te prépare le terrain, je chauffe Franc comme un brasero. et je te l’offre sur un plateau !

Cloé secoue la tête, en haussant les épaules. les deux femmes parlent un bon moment, puis, elles se séparent. Cloé reste songeuse, elle s’enfonce dans le canapé, et imagine des scènes immorales des plus torrides. Ses sens se mettent à bouillonner. Elle passe plusieurs fois la main sur son bas-ventre en soupirant fortement.
Qu’est qui se passe dans sa tête à ce moment la, sa vulve suinte et humidifie sa culotte.
Sans savoir vraiment ce qu’elle fait, Cloé retrousse sa jupe, ouvre les jambes, et à travers le fin tissu humide, se caresse doucement la fente. D’une main, elle écarte sa culotte et de l’autre cherche fébrilement son clito.

En tremblant elle le saisit et commence à le travailler, comme elle le fait dans son lit lorsque son corps lui demande. Elle l’agite, en serrant les dents, sa respiration s’accélère. Elle augmente la vitesse de masturbation, qui devient violente, elle grimace. La coquine, martyrise son clito avec rage. De son imagination fertile, né une scène incestueuse. En fermant les yeux, elle s’imagine que son fils la rudoie sauvagement en lui défonçant la vulve, à grand coups de reins. Elle geint, pousse des râles, en se masturbant férocement. Soudain, un raclement de gorge la fait sursauter. Elle ouvre les yeux et trouve devant elle son Fils franc, qui la regarde se donner un certain plaisir.

Elle avait complétement oubliée que le samedi, il n’y a pas cours à l’université. Elle rougit fortement, elle est tellement surprise, qu’elle en oublie de rabattre sa jupe. Elle tente de se justifier, elle tremble comme une feuille, des larmes remplissent ses yeux, elle dit en béguant :

-Franc, Franc; je te demande de me comprendre, ton papa, ne fait plus l’amour depuis longtemps et je n’ai que ce seul recours pour assouvir mes pulsions !

Franc en bon prince Franc lui répond en faisant un petit sourire :

-Mais maman chérie, tu es majeure et libre de tes actes, je n’ai aucun droit de te juger !

Il s’assoit à côté d’elle et regarde les cuisses dénudées et la culotte écartée, il observe avec attention, le clito extrêmement gonflé. Sa maman réagit enfin, elle serre les cuisses brusquement, et rabat sa jupe. Ses yeux croisent ceux de son fils, elle ravale sa salive, elle est tellement honteuse, qu’elle n’arrive pas à mettre un mot devant l’autre, sans bafouiller. Franc lui relève le menton avec deux doigts et en lui donne un baiser très appuyé sur les lèvres, il dit :

-Maman chérie, je suis désolé, d’avoir interrompu ton action, mais si tu le souhaites, tu peux continuer, je me ferais discret !

Surprise, elle le regarde en faisant de grands yeux. Il se permet de poser sa main sur sa cuisse et à la caresser doucement. Cloé frissonne, elle n’ose pas repousser la main de son fils, qui très lentement se glisse sous sa jupe. Elle devient fébrile, et se raidit. En avançant sous la jupe, la main la repousse sur le haut des cuisses. La maman se cabre légèrement, elle s’accroche au canapé. la culotte encore écartée, laisse voir le clito encore gonflé. Franc ne quitte pas des yeux la vulve cernée d’une fine toison humide. Ses yeux brillent, sa main et si près du pubis, que du bout des doigts, il peut toucher les grandes lèvres. Délicatement, il fait monter et descendre ses doigts sur les grandes lèvres, qui se mettent à réagir, elle frémissent à chaque passage sur elles.

Cloé reste sans voix, Franc l’entend déglutir. Ses doigts s’insèrent entre les fines lèvres et voyagent dans le sillon en faisant soupirer sa maman. Cloé trop excitée, ne se rend pas compte de ce qui se passe. Elle pousse un gémissement qu’elle tente d’étouffer en plaçant son poignet devant sa bouche, lorsque les doigts agiles de son fils lui saisissent le clito.

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Avec habileté, le fils branle le clito de sa maman en la faisant geindre. Elle rejette sa tête en arrière ferme les yeux, et ouvre largement les cuisses. Elle agite doucement son bassin, en geignant. Franc lui murmure :

-Ne te retiens pas maman, jouit, jouit, tu en as besoin, prends ton plaisir !

Il accélère le branlage, Cloé grimace, elle se cabre et explose de jouissance en poussant un long râle. Les doigts de son fils sont trempés de cyprine, il retire sa main et offre aux lèvres charnues de sa maman, ses doigts. Sans se poser de questions, Cloé suce un à un les doigts de son fils, qui luisent de cyprine. Sa bouche glisse délicatement sur chaque doigts, et les suce, les douces aspirations qu’elle fait dessus font saliver le fils dévoué. Sa verge dans son pantalon prend du volume. Cloé, maintenant, regarde son fils d’un autre œil, lui la dévore des yeux. Sa verge devient douloureuse, emprisonnée dans son carcan de tissu.

Il se place face à elle et s’agenouille, il passe ses mains sous la jupe et agrippe la culotte. Il la fait descendre lentement le long des jambes de sa maman. Elle semble sur une autre planète. Puis faiblement elle dit :

-Franc mon chéri, nous on avons fait déjà trop, il faut cesser, c’est immorale, j’ai honte de moi !

En la regardant dans les yeux, sans cesser de faire descendre la culotte, il dit tendrement :

-Maman, je sais que tu as besoin de sexe, je t’entends la nuit gémir, souvent j’ai eu envie de te rejoindre, mais j’en n’es jamais eu le courage. Je me masturbais en écoutant tes gémissements, j’avoue que mes jaculations étaient monstrueuses. Regarde je bande pour toi maman chérie !

Il montre la bosse qui déforme son pantalon. Cloé fixe intensément la déformation du pantalon, en l’entend déglutir. Avec habileté, la culotte se retrouve sur le sol. Cloé serre les cuisses, elle semble avoir peur, son corps, se met à avoir des tremblements incontrôlables. Avec douceur, Franc lui retrousse la jupe sur le haut des cuisses. Il regarde la fente qui humidifie lentement la fine toison. Il se redresse et déboucle sa ceinture, il baisse son pantalon, et son slip. Sa verge se détend comme une ressort, et oscille sur son bas-ventre avant de se stabiliser. Le bougre est bien monté. La maman sursaute, regarde le manche de chair, en écarquillant les yeux.

Franc avec une pointe d’humour dit :

-Tu lui plais maman regarde comme elle c’est dressée !

Doucement il la caresse en prenant soin, à chaque mouvement de décalotter le gland. Il la branle lentement, sans cesser de regarder sa maman, qui ne cesse de ravaler sa salive. Il dit avec une voix douce :

-Fais comme moi maman, branle-toi aussi, ne soit pas coincée vas-y, vas-y, fais toi plaisir !

Cloé le regarde, elle semble crispée, elle dit avec une voix chevrotante :

-Mais mon chérie, tu es fou, je suis ta maman, tu ne peux me demander une chose pareille, c’est encensé !

Il répond en faisant un grand sourire :

-Je viens de te masturber, et tu as joui, je te demande maintenant de le faire, regarde, moi je n’ai pas honte, vas-y, vas-y maman lâche toi !

Après un moment d’hésitation, surtout très excitée, et sans chercher à comprendre, elle descend lentement sa main sur son bas-ventre. Elle ouvre timidement les cuisses, sa vulve est ruisselante. Elle ne quitte pas des yeux le membre que son fils agite lentement. Avec des gestes maladroits, elle commence à faire glisser sa main sur les grandes lèvres vaginales un instant avant d’insérer ses doigts dans le sillon. Ils accrochent le clito et le triture avec de plus en plus de férocité. En bafouillant elle dit :

-Oh toi tu m’en faire faire des choses Franc, je dois être une salope pour céder à tes désirs !

Il répond en souriant :

-Non tu n’es pas une salope maman mais je te promets que tu vas le devenir !

En sursautant, la maman dit :

-Je te hais Franc, tu es un monstre !

Il ajoute en souriant toujours :

-Ne discute pas tant, branle -toi, vas-y ma salope !

En serrant les dents, Cloé, agite sa boule magique qui n’a pas dégonflée, elle marmonne :

-Oh mon Dieu je suis une catin, mon chéri, regarde ta salope de maman se branler, mon Dieu comme c’est bon !

Franc et sa maman se masturbent face à face, les deux grimaces, geignent faiblement sans cesser de se regarder. les branlages deviennent virulents, les grimaces sont hideuses, les gémissements bruyants. Une violente brulure, traverse le ventre de Cloé en la faisant hurler Cloé, elle se cambre comme un pont en jouissant monstrueusement. Franc explose à son tour, il envoie en grognant, sur le ventre et la jupe de sa maman, plusieurs giclées de spermes.

Machinalement, elle à un geste que toutes les femmes ont, elle étale avec sa main en faisant de petits cercles, le liquide visqueux sur son ventre, en poussant de longs soupirs. les yeux se croisent, ils pétillent. Cloé dit faiblement :

-J’ai honte de moi mon chéri !

Il lui relève le menton avec deux doigts, et donne un baiser très appuyé sur ses lèvres pulpeuses. Sa maman, frémit et dit en baissant les yeux :

-Mon dieu, mais qu’est que nous faisant Franc c’est monstrueux, oh comme j’ai honte de moi !

Il répond avec un sourire provocateur :

-C’est immorale mais tu as aimé, comme papa te néglige, et comme tu es en manque de sexe, tu voudrais au fond de toi, que nous allons plus loin avoue, es le courage de dire !

En se pinçant les lèvres, Cloé marmonne :

-Tu es un monstre Franc !

Le coquin insiste :

-Avoue maman, dis-le, laisse parler tes sens. Demande-moi de faire de toi mon amante !

Cloé se cabre, et en haussant la voix répond :

-Tu es fou Franc, comment peux imaginer que je veux être ton amante, tu divagues !

Il lui prend la main, la fait lever du canapé, l’enlace et la serre très fort entre ses bras puissants. Il écrase ses lèvres avec les siennes, et enfonce sa langue dans bouche entrouverte de sa maman, qui à un court instant de résistance. les langues finissent par se chercher, se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s’accoupler. les soupirs sont bruyants, les respirations s’accélèrent. Le baiser dure un long moment, Cloé semble se lâcher, elle dévore la bouche de son fils avec passion. Elle le repousse et dit :

-Oui, oui, je veux être à toi, prends-moi mon chéri, fais-moi mal, fais de moi ta chose, ta salope !

En souriant, est très sûr de lui, le fils avec arrogance réplique :

-Oui maman chérie, je vais faire de toi une jouisseuse hors paire, mais avant, salope suce-moi, et je te conseil d’avaler !

Les yeux de la maman scintillent, elle ne quitte pas du regard l’engin dressé comme un mât, elle tombe à genoux devant son fils, en écarquillant les yeux, elle observe le large gland qui rejette encore quelques gouttelettes de sperme. Elle saisit la hampe épaisse, le regard un moment, et commence à donner quelques coups de langue sur la boule marbrée. Immédiatement Franc se met à geindre. La langue habile de sa maman tourne sur son gland le taquine, avant que la vorace ne le gobe.
Franc pousse un ouah, la bouche de sa maman est phénoménale. Jamais Franc n’aurait imaginé, que sa maman soit une suceuse douée. Cloé s’acharne sur la queue, à la commissure de ses lèvres, s’échappe un filet de salive. A chaque succion qu’elle fait, elle pousse un petit un grognement de gourmande. franc grimace, sa maman lui dévore le gland comme une affamée. Soudain Franc se tend comme un arc qui va lancer sa flèche, et envoie dans la bouche de sa maman un flot de sperme épais.

la décharge est si abondante, que Cloé recrache le gland, se pince les lèvres et regarde son fils, ses yeux son brillants. Elle avale par petite gorgée la totalité de l’offrande. Une fois terminée, elle ouvre la bouche pour montrer à son maitre amant, qu’elle à tout avalée.

Franc la fait relever, la félicite, et l’embrasse fougueusement de longues minutes, les salives s’échangent, les souffles sont bruyants. il bascule sa maman sur la table basse, et lui retrousse la jupe, lui, écarte les jambes. Il regarde la vulve trempée qui ne cesse de rejeter son jus. Il sourit, puis avance sa tête entre les cuisses ouvertes, et hume fortement les effluves odorantes que la chatte rejette.

délicatement, il pose sa bouche sur les grandes lèvres les suçotent un instant, avant d’enfoncer sa langue profondément dans la gaine brûlante. Il la fouille longuement en faisant geindre Cloé, il aspire le nectar, que la vulve sous pression ne peut contenir. La maman gémit à chaque coups de langue ou d’aspiration sur son puits d’amour. Mais lorsqu’il lui gobe le clito elle pousse un long râle de bête blessée. Il suce et tète la boule de chair avec voracités, les succions sont violentes, et prolongées. Cloé défaille, elle se cambre encore plus, pour offrir encore mieux son fuit juteux à la bouche vorace de son fils.

Elle geint, agite son bassin en se cramponnant à la petite table. Ses longs râles rauques encourage son amant, il lui mordille le clito, l’étire avec ses dents un maximum. Cloé n’en peut plus, elle pousse un hurlement terrible, se cambre comme un pont en pleine tempête, en explosant de jouissance. Elle retombe lourdement sur la table en haletant fortement.
Franc se place entre les cuisses de sa maman, et lui enfonce dans le ventre, sa verge jusqu’aux couilles. Il s’accroche à ses hanches et comme poussé par une certaine rage, il la défonce en la faisant couiner comme une bête. Son pieu coulisse dans la gaine gorgée de cyprine, en raclant les parois sensibles. Le gland large et épais appuie à chaque enfoncement, sur le col de l’utérus comme pour le pénétrer.

La maman est dans un état d’excitation tel, qu’elle s’agite comme une hystérique. Elle subit les assauts en geignant comme un animal. Ses yeux sont révulsés, un filet se salive s’échappe à la commissure de ses lèvres. Elle dit entre deux souffles :

-Oui, mon salaud baise ta maman, défonce-la, donne lui tout ce que tu as dans le ventre, oh putain que c’est bon !

Soudain Franc la saisit à bras le corps et l’entraine sur le sol. Elle se retrouve sur lui, et prend la direction des opérations. Elle se contorsionne sur le pal comme une danseuse orientale. Son corps commence à faire des montées et des descentes de plus en plus rapides. Cloé grogne, elle dit entre deux souffles :

-Je viens, je viens, oh mon Dieu comme c’est bon, cela faisait longtemps que je n’avais pas reçue de bite dans le ventre, mon Dieu c’est merveilleux !

A chaque descente de son corps sur la verge puissante, Franc donne un coup de reins violent, pour que sa maman soit empalée totalement sur sa queue. Pour elle c’est un défonce démentielle, elle adore ça. elle grince des dents, et comme prévu, elle explose. Sa jouissance et si féerique, la maman en voit des étoiles. Elle se laisse tombée sur le torse de son fils en geignant doucement. Franc se raidit et remplit se sa semence le ventre maternel. Les deux amants restent soudés un long moment avant de se séparer. Un coup de sonnette les fait redescendre des nuages. Franc s’enfuit dans la salle de bain, Cloé, enfile un peignoir et va ouvrir la porte.

Elle se trouve face à face avec son amie Maryse. elle se sautent dans les bras, s’embrassent. Cloé la fait entrer au salon et l’installe, Cloé toute souriante lui dit :

-je vais te dire ce qui vient de m’arriver !

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