Cloé, 30 ans mariée depuis peu avec Justin 33 ans, sont contraint de loger chez les parents de Justin, en attente de la construction d’une maison. Justin à un frère Antoine de 25 ans, avec lequel, il s’entend parfaitement bien. le papa Paul 63 ans et la maman Régine 62 ans. Sont heureux d’accueillir le couple de jeune marié. Cela fait déjà plusieurs mois qu’ils attentent, les travaux avancent bien.
Cloé se sent parfaitement à l’aise ses chez beaux parents, peut-être un peu trop. Souvent elle descend de sa chambre en petite tenue, pour se rendre à la salle de bain. Antoine la dévore des yeux, Paul lui ravale sa salive en rougissant. Il faut dire que Cloé est une belle femme, bien proportionnée, un fessier d’enfer, bien rebondit. Ses petits seins semblent bien ferme, son soutien gorge transparent laisse voir des mamelons larges et bien épais. Ses longues jambes aux galbes parfait, ne laissent pas indiffèrent les mâles de ma maison.
Cloé voit l’émoi qu’elle cause sur son beau père et son beau-frère, cela la trouble, mais l’excite en même temps. La coquine se sait désirer, elle décide d’en faire un jeu, et d’en profiter. Elle sort de la salle de bain en peignoir, et se dirige vers le salon ou son assis Paul et Antoine. Paul lit son journal, Antoine joue avec sa tablette. Vicieusement, Cloé se place en face d’eux, et pose son pied sur la petite table, et commence à se tripoter les doigts de pieds.
Paul baise son journal, il écarquille les yeux ce qu’il voit le fait saliver affreusement. La position qu’a Cloé, avec son pied posé sur la table, fait que les pans de son peignoir s’ouvrent et laissent voir sa vulve. Paul déglutie, sans quitter des yeux la fente garnit d’une fine toison. Il serre les dents, son corps se met en ébullition. Une érection commence à déformer son pantalon.
Antoine reste sans voix, il épie par dessus son écran l’entrejambes de sa belle-sœur. Son engin prend du volume dans son pantalon, il serre les cuisses pour atténuer la tension qui monte de plus en plus.

De temps en temps Cloé jette un regard discret sur les bas-ventres, elle sourit intérieurement. Enfin elle retire son pied de la table, Paul pour cacher son émotion, pose sur la bosse son journal. Antoine lui Croise rapidement les jambes. Cloé fait celle qui n’a rien vu, elle leur fait sourire, et sort de la pièce.
Paul pour faire retomber la tension, serre les dents et se presse fortement sa verge au travers de son pantalon. Antoine en regardant son papa, secoue la tête en serrant les dents. Cette première tentative d’allumer son beau père, et son beau-frère a porté ses fruits. Cela ne semble pas déplaire à Cloé, qui compte mettre les bouchées doubles. Le soir dans sa chambre, elle en parle à son mari, qui lui dit :
-Attention ma chérie, jouer avec le feu on peut se brûler. Mais si cela t’amuse je ne peux rien ajouter d’autre !
Cloé en souriant dit :
-je vais les faire bander comme des poneys, et peut-être les faire décharger dans leurs pantalons !
Justin dit en souriant :
-Mais tu es diabolique ma chérie, il y a en toi un monstre qui sommeil !
Il se plaque contre elle, passe sa main sous sa nuisette et la glisse jusqu’à l’entrejambes. Il sursaute et dit :
-Oh mais ma salope tu mouilles, cela t’excite d’allumer mon père et mon frère, avoue salope ?

En souriant Cloé répond :
-Oh oui terriblement même !
D’une main, Justin sort de son pyjama sa verge qui est dure comme du bois.
Ses doigts glissent sur la fente humide de sa femme, lui taquinent le clito pour le faire doubler de volume. Rapidement, Cloé se met à geindre. Elle saisit brusquement la verge de Justin qui est déjà opérationnelle, et l’agite férocement, les deux se masturbent mutuellement.
Cloé se cabre un jouissance la fait hurler, Justin tendu comme un arc, prend place entre les cuisses de sa femme et l’embroche comme un soudard. Il la démonte avec hargne, comme jamais il ne l’a fait, c’est comme si il se vengeait de quelque chose.
A chaque coup de pilon Cloé pousse un gémissement, elle s’accroche à lui et s’agite comme une forcenée en donnant des coups de reins terribles. Justin est étonné par l’ardeur que met sa femme, à chaque coup de bassin qu’elle donne, elle grogne comme une bête sur sa proie. Elle s’accroche tellement fort à lui, qu’il porte les marques de griffures sur le dos. Tout en grimaçant, Justin accélère. Le va-et-vient terrible, amène Cloé l’orgasme, elle geint comme une bête blessée. Enfin Justin lui remplit le ventre de semence.
Elle le repousse, saisit brusquement sa verge et la suce avec acharnement comme une affamée. Elle reçoit une seconde giclée, qu’elle s’empresse d’avaler. Justin reste un long moment sans dire un mot. Puis en faisant un large sourire lui dit :
-Là mon amour je ne te reconnais plus, je crois qu’à exciter mon père et mon frère te rend plus ardente, pour ne pas dire plus salope, d’ailleurs, ce n’est que plus bénéfique pour nos ébats, tu t’es donnée comme une hystérique, j’aime que tu sois salope !
Pour toute réponse, Cloé l’embrasse fougueusement. C’est vrai qu’avoir chauffer son beau-père et son beau-frère cela a produit sur elle, une excitation incontrôlable. le lendemain c’est samedi, Paul et Justin partent de bonne heure à la pèche. Cloé faignasse un moment dans son lit avant de se rendre à la salle de bain. Après sa douche, elle sort de la salle d’eau enroulée dans une serviette éponge nouée au-dessus de ses seins et qui lui arrive à mi-cuisses. Elle voit son beau-frère dans la salle à manger. Il est plongé dans le journal.
Cloé entre dans la pièce, le salut, et tire une chaise près du living. Elle monte dessus et tend ses bras sur la haut du meuble, comme pour chercher quelques chose. La coquine pousse le vice à se mettre sur la pointe des pieds. la position fait que la serviette découvre une partie de ses lobes fessiers. Antoine défaille, il se penche discrètement, et voit nettement l’œillet brun. Sa verge immédiatement se met à durcir. Il salive abondamment. Cloé vicieusement s’agite sur sa chaise, en prenant le risque de chuter La serviette remonte encore sur ses fesses.
Le sang d’Antoine ne fait qu’un tour. Sans se rendre compte des conséquences, il se lève, saisit sa belle-sœur par les hanches et plaque sa bouche sur les fesses qu’il embrasse goulument. Sa langue glisse dans le large sillon pour atteindre l’œillet ridé. Cloé s’agrippe au living pour ne pas chuter. la mangue agile passe de nombreuses fois sur l’anus qui comme par enchantement se met à frétiller. Cloé grogne elle se cambre inconsciemment pour offrir à la langue de son beau-frère son fruit. Soudain, elle réagit, et se débat pour faire lâcher prise à Antoine. Elle saute en bas de la chaise, Antoine lui évite la chute en la rattrapant in extrémiste, la serviette tombe sur le sol.
Antoine à dans ses bras le corps nu de Cloé. La provocatrice, sent contre son bas ventre la grosse bosse qui déforme le pantalon d’Antoine. Le bougre se met à bafouiller :
-Je te demande pardon, te voir perchée sur la chaise tes fesses presque nues, j’ai disjoncté. je te demande encore pardon. Cloé sans dire un mot se recule et ne quitte pas des yeux la bosse monstrueuse. Elle se pince les lèvres et dit comme pour s’excuser :
-C’est un peu de ma faute, oublions ça !
Elle n’a pas le temps de ramasser sa serviette, qu’Antoine l’enlace, et la serre très fort dans ses bras. Cloé ne se débat pas, elle sent sur sa joue son souffle chaude et sa verge qui appuie fortement contre son bas-ventre. Antoine qui bande comme un cerf, Cloé ne peut l’ignorer. En soupirant elle agite doucement son bassin. la verge emprisonnée dans son carcan de tissu devient douloureuse. Habilement Antoine l’extirpe de son pantalon. Un long moment Cloé regarde l’engin dressé comme un mat de cocagne sur le bas-ventre de son beau-frère. Elle profite de ce moment pour ramasser sa serviette et s’éclipser. Elle entre dans sa chambre se jette sur le lit, elle regarde le plafond elle semble rêveuse.
Lentement, elle dirige sa main vers son temple. Elle le caresse document en poussant de nombreux soupirs. Sa vulve laisse échapper son jus, sa boule de chair commence à prendre du volume. C’est en pensant à la verge de son beau-frère que la coquine se masturbe jusqu’à l’explosion. Elle descend de sa chambre bien longtemps après. Elle est vêtue d’une jupe courte, et d’un t-shirt moulant, elle omet de mettre une culotte. Elle aide Régine à faire le ménage et à préparer le repas. Souvent, elle croise le regard d’Antoine qui ne cesse de la dévorer des yeux. Enfin les pécheurs entrent, fièrement, ils exhibent leurs captures. Se lavent les mains et passent à table.
la pèche est très commentée, les rires fusent, les blagues s’enchainent. Paul malencontreusement fait tomber sa fourchette sur le sol, il se baisse, ce qu’il voit sous la table lui fait écarquiller les yeux. Cloé à les jambes légèrement ouvertes, la coquine ne porte pas de culotte. Il voit la fine toison garnir la vulve, en mettant en évidence les grandes lèvres, bien dessinées.
Paul ravale sa salive, il observe encore un instant encore la vulve. A chaque mouvement que fait Cloé, les grandes lèvres se frottent l’une contre l’autre, en s’humidifiant. Paul se redresse, regarde discrètement sa belle-fille qui ne se rend compte de rien. Le bougre bande fortement. Il regarde son fils Antoine, qui comprend qu’il se passe quelque chose. Il se penche sous la table et comme son papa admire le fruit juteux de sa belle-sœur. Cloé épie les deux voyeurs, qui souvent regarde sous la table, la salope, ouvre largement les cuisses, pour mettre en ébullition les voyeurs.
Le repas se termine, les queues de Paul et d’Antoine sont durent dans leurs pantalons. Après la vaisselle, Cloé, prend la main de son mari et l’entraine dans la chambre, elle le bascule sur le lit, sort de son pantalon sa bite, l’agite vigoureusement pour la faire devenir dure comme du béton. Sans ôter ses vêtements elle enjambe son mari, retrousse sa jupe et s’empale brutalement sur sa queue.
Elle s’agite comme une malade en grognant, Justin la saisit par les hanches et l’accompagne dans ses mouvements d’ascenseur. Cloé explose rapidement, mais la coquine en veut davantage, elle reprend avec plus de fougue sa chevauchée. Elle geint, grogne, comme une bête blessée. Une seconde jouissance la fait cabrer. Justin enfin lui remplit le ventre de son sperme épais. Cloé reste empalée sur son compagnon elle est plaquée sur son torse et halète fortement.
Justin lui relève le menton avec deux doigts, et lui dit :
-Toi ma salope chaude comme tu l’es, tu as encore chauffée Mon père et Antoine !
Cloé répond :
-Oh oui mon chéri, j’ai vu leurs pantalon déformés, ils bandaient comme des cerfs, c’était merveilleux, mon dieu, comme j’ai mouillé !
Justin en secouant négativement la tête, dit :
-Un jour tu vas avoir des bricoles à force de les chauffer !
Cloé hausse les épaules, et quitte sa monture. Elle se rend au salon ou le reste de la famille prend le café. les yeux des males se braquent sur elle, elle les toise d’un air narquois, avec un sourire provocant. Justin fait une sieste, Régine sort s’occuper de son parterre de fleurs. Cloé est seule avec les deux hommes, elle se serre une tasse de café et reprend place dans un fauteuil. Soudain, sans la quitter du regard, Paul sort de son pantalon sa verge, et la branle énergiquement. Cloé écarquille les yeux, elle ne quitte pas des yeux le manche épais que son beau-père agite. Elle déglutie bruyamment, elle sursaute lorsqu’Antoine lui aussi, exhibe son engin. Les deux hommes se masturbent en fixant du regard l’allumeuse.
Elle se cabre lorsque Paul envoie dans les airs une puissante giclée de sperme, qui lui retombe sur les doigts et le pantalon. lentement sans la quitter des yeux, il étend sur son pantalon la crème blanchâtre. Antoine se lève et approche de Cloé, il présente à ses lèvres charnues, son membre gonflé. Après un moment d’hésitation, Cloé le saisit, le décalotte et observe le gland marbré un bon moment.
Elle se décide, donne quelques coups de langue bien ajustées sur le gland. La coquine sait se servir de sa langue Antoine frissonne, il serre les dents, en poussant de petits gémissements. lorsque sa belle sœur lui gobe le gland il se cabre, en disant :
-Oh oui vas-y, vas-y suce, suce !
La bouche magique fait geindre Antoine comme une bête. Paul s’approche à son tour. Il est si près du visage de sa belle-fille, qu’elle cesse de sucer Antoine pour gober le gland visqueux. En alternant, elle suce les glands. Les deux hommes sont aux nirvana, elle geignent à chacun son tour. le premier à lui remplir la bouche, c’est Antoine. Goulument, Cloé avale sa semence et aspire la bite de beau-papa, qu’elle suce comme une affamée. Cloé est vite récompensée. Une puissante giclée lui remplit la gorge. Avec délectation, elle avale la crème onctueuse que Paul lui offre généreusement. Soudain Cloé se lève, s’essuie d’un revers de la main les lèvres et disparait.
Les deux hommes restent comme deux ronds de flan, en la voyant partir.
Paul dit en serrant les poings :
-Un jour je me la baise, cette salope !
Antoine réplique :
Eh moi donc, je la défoncerai jusqu’à ce qu’elle demande grâce !
Linsee
Ajouter un commentaire