Cloé la petite allumeuse Chapitre 2

Cloé raconte à son mari ce qui c’est passé, avec son père et son frère. Justin est tout ouïe, il se pince les lèvres et dit :

-Je t’avais averti, tu joues avec le feu tu te brules forcement. Mais tu te rencontre comptes que tu les as sucé, tu comptes aller encore plus loin, jusqu’à coucher avec ?

Cloé répond :

-C’est très tentant, ils ont de belles queues, pourquoi pas !

Justin en poussant un gros soupir réplique :

– Tu m’avais dit que tu était une chaude du cul, et qui tu étais prête à faire n’importe quoi pour de la bite. J’y croyais pas de trop, mais là tu le confirmes !

En souriant, Cloé répond simplement :

-Eh oui, je suis une chaudasse du cul, j’ai des projets aussi pour ta maman !

Justin en serrant les poings dit :

-Ma maman aussi, mais tu es folle, tu es une obsédée sexuel, et moi dans tout ça ?

Cloé, qui a toujours de quoi répondre :

-lorsque je suis excitée, tu en profites pleinement je crois. Tu dis que je suis plus harde, alors tu profiteras de la situation comme à chaque fois. Viens baise-moi, rien que d’en parler je mouille ?

Justin la défonce comme un forcené, inconsciemment, cette situation l’excite aussi. les deux amants s’accrochent l’un à l’autre et se livrent comme des bêtes en ruts. la bite puissante de Justin voyage dans le ventre de sa femme en la faisant geindre de plaisir, ses coups de reins sont violents. Il grogne comme une fauve sur sa proie, en lui pilonnant les entrailles. Cloé est comblée, elle dit entre deux souffles :

-Oui mon chéri, fais mal à ta salope de femme, tape fort, oui, oui, oh putain ça vient !

Une jouissance terrible la fait cabrer, elle retombe lourdement sur le lit en haletant :

-Oh putain que c’est bon mon chéri, je t’aime !

Justin déverse dans ce corps insatiable sa semence. Il l’embrasse fougueusement, il ne peut qu’être que consentant aux débordements de sa femme.
Cloé chaque jour est aussi provocante. Régine remarque que sa belle fille, se promène de plus en plus souvent en petite tenue. Cela fait déjà pas mal de temps que Cloé est levée, elle est toujours en nuisette. Elle s’amuse à faire la navette, entre le salon et la salle de bain. Le tissu transparent de la nuisette très courte, cache mal les parties intimes de la provocatrice. la vulve à peine voilée, laisse voir ses fines lèvres garnies d’une fine toison soyeuse. On peut remarquer, qu’à chacun de ses pas, les lèvres vaginales, se frottent l’une contre l’autre.

Ses mamelons épais appuient fortement sur le tissu comme pour le percer. Belle-maman se penche sur elle et lui dit en lui donnant un baiser sur le front :

-Ma chérie habille-toi, les hommes de la maison te dévorent des yeux, tu leur fais déformer leurs pantalons, habille-toi s’il te plait !

Effectivement Paul et Antoine bandent terriblement, et cela fait saliver Cloé qui répond à Régine :

-Oh mais ils sont bien montés les coquins, beau-papa doit bien vous défoncer avec son pilon, et vous aussi je vous excite dans cette tenue, avouez, cela fait un moment que vous m’espionnez, et je vous entends déglutir bruyamment ?

la belle mère sursaute et répond un peu gênée répond :

-Mais Cloé tu divagues, pourquoi ces propos grotesques et outrageants ?

Cloé enfonce le clou, en souriant, elle lui murmure, en oubliant le vous :

-Je suis certaine que ta culotte est trempée, et que tu aimerais que je broute ta chatte de salope !

Cloé devient plus audacieuse, elle l’enlace, frotte son bassin contre le sien en disant :

-Tu aimes ça hein salope, mais je peux faire mieux avec toi, je devine que tu es une chaudasse !

Cloé passe sa main sous la jupe de sa belle-mère, qui ne réagit pas, et la plaque contre sa chatte. Elle sourit en disant :

-Tu vois j’avais raison ta culotte est trempée, tu mouilles bien, tu dois être vachement bonne !

Cloé presse plusieurs fois la chatte de Régine qui grimace en marmonnant :

-Tu es un monstre Cloé, laisse-moi je t’en prie !

Cloé sûre d’elle réplique :

– Avant que je te lâche, dis que je te fais envie, aller dis-le, n’es pas honte !

En baissant la tête Régine dit faiblement :

-Je t’ai vu, sucer Paul et Antoine, depuis tu me hantes, je passe des nuits agitées, voilà tu sais tout !

Cloé sursaute et recule, elle regarde sa belle-mère longuement et dit avec des trémolos dans la voix :

-Je me doutais bien que tu étais une salope, lorsque les hommes seront au boulot, nous en reparlerons, à partir d’aujourd’hui, je ne veux plus que tu portes de sous vêtements, je veux pouvoir te palper à tout moment !

Cloé au travers de la jupe presse la vulve de Régine qui pousse un petit gémissement, à chaque pression. Elle dit en souriant :

-Tu aimes ce que je te fais !

En baissant honteusement la tête Régine répond :

-Oui, oui, j’aime ça !

Cloé se redresse et dit :

-Je vais faire de toi une bonne salope, je vais te faire défoncer par Paul et Antoine en même temps !

La belle-maman sursaute et répond en stressant :

-Non, non pas Antoine, bien que je sois disposée à faire tous ce que tu veux, je t’en prie pas Antoine, non pas mon fils !

Cloé dit avec un air autoritaire :

-Oh oui je veux voir la bite d’Antoine dans ton ventre, comme je sais que les deux hommes veulent me baiser, ils feront ce que je leur demanderai !

Cloé en déposant un gros baiser sur les lèvres de sa belle-mère dit :

-Sois prête pour cette après midi ma chérie, nous allons nous éclater !

Une fois les hommes au travail. Cloé regarde sa belle-mère, elle s’approche d’elle et lui relève la jupe brusquement, elle dit en souriant :

-C’est bien Régine, tu n’as pas de culotte, maintenant à poil !

Avec des geste maladroits, belle maman s’effeuille, elle apparait nue devant sa belle fille qui jubile en voyant sa proie. Elle aussi se dénude. Elle enlace Régine, et frotte son bassin contre le sien. Les chattes en contactes, glissent l’une sur l’autre, en s’humidifiant. Régine honteuse ferme les yeux, et s’accroche aux hanches de Cloé, qui continue d’agiter son bassin. Régine parvient à dire :

-Mon Dieu, Cloé, tu me rends folle, je suis en feu !

Cloé la bascule sur le canapé, lui happe à tour de rôle les mamelons et les suce à en faire gémir de plaisir belle-maman :

-Cloé, Cloé, tu es un monstre !

La coquine s’acharne sur les mamelons, qui deviennent douloureux sous les puissantes succions. Régine geint comme une bête malade, souffle comme un bœuf. La bouche avide de sa belle-fille glisse sur son corps, embrasse chaque parcelle de peau avant de s’attarder sur le nombril, que la langue fouille longuement. La bouche reprend sa progression, quelques coups de langue sur le haut de la vulve, font cabrer Régine qui pousse un gémissement plus fort que les autres. Cloé hume fortement les effluves odorantes, que rejette la vulve en ébullition.
Mais lorsque la bouche affamée se pose sur sa chatte trempée, Régine pousse un long râle, elle appuie sur la tête de sa belle-fille en geignant.

La langue habile s’enfonce dans le puits qui ne peut retenir son jus. Elle le fouille profondément, en faisant gémir Régine. Une première jouissance la fait hurler, Cloé vorace, lui aspire le clito qui est déjà hyper gonflé. Elle le suce et le tète férocement. belle-maman croit mourir de plaisir, ses gémissements et les basculements répétés de son bassin, prouvent que Régine prend un pied d’enfer. Une seconde jouissance la fait hurler. C’est si violent que sa chatte expulse un jet de cyprine dans la bouche de la suceuse. Cloé, visage trempée dit :

-Tu es une sacrée salope, tu m’as arrosée, tu mérites une punition, présente-moi ton cul aller, plus vite que ça !

Régine prend la pose elle se met à quatre pattes sur le sol et se cambre pour offrir à sa belle-fille son large fessier. Cloé le caresse un moment avant de le frapper vigoureusement. A chaque coup, Régine sursaute, elle grimace, plus la fessée et violente plus elle agite sa croupe. Rapidement ses fesses se marquent, ils deviennent rouge. Cloé tape encore plus fort. Soudain belle-maman pousse un gémissement en se cambrant davantage. Cloé cesse de frapper et passe sa main entre les cuisses de a soumise, elle dit :

-Oh putain tu as joui Régine, tu aimes la fessée ?

Avec honte Régine répond :

-Oui j’aime ça, mais Paul l’ignore, tu es le diable en personne Cloé, je t’adore !

Cloé s’agenouille derrière sa belle-mère, lui écarte fortement les fesses avec ses mains et plaque sa bouche sur l’anneau ridé. Elle le suce, le lèche, jusqu’à ce qu’elle arrive à enfoncer sa langue dans le conduit étroit. Régine pousse un gémissement terrible, elle se cabre en disant :

-Ouah Cloé, tu me tue, mon Dieu je suis une chienne, oui, oui, continue ma chérie, c’est trop bon, jamais on ne m’a fait une chose pareille, c’est monstrueux, oui, oui !

Cloé lui bouffe le cul comme une affamée, le résultat ne tarde pas à se faire connaitre. Régine pousse un cri inhumain, c’est sa première jouissance anale. elle se laisse tomber sur le sol en haletant. Soudain des applaudissements résonnent. C’est Justin qui avait oublié quelque chose, donc il est revenu. Cloé reste impassible, Régine rougit comme une pivoine, et tente de cacher ses parties intimes avec ses mains. Justin dit :

– Oh les salopes, Cloé, jamais ne n’aurais cru que tu mettrais à exécution tes projets, tu es vraiment une grosse salope !

En souriant Cloé réplique :

-Tu sais mon chéri, question cul pour moi, il n’y a pas de règles tu tombes bien, j’avais prévue qu’Antoine baiserait sa maman, mais comme tu es là, tu peux la prendre !

Justin se raidit et répond :

-Tu veux que je baise ma maman , mais tu es folle allier ma chérie, c’est impensable une chose pareille !

Cloé réagit :

-Ne dis pas le contraire tu bandes comme un poney, et elle, elle est aussi chaudasse que moi, ne te prive pas de ce plaisir mon chéri !

Justin baisse la tête, il sait que sa femme voit juste, son pantalon porte une énorme bosse sur son bas-ventre. Cloé ajoute :

-Et toi Régine tu veux la bite de ton fils dans le ventre, surtout, ne mens pas !

Régine après ce qu’elle vient de subir, elle est prête à tout pour connaitre d’autres jouissances, elle semble revivre. Elle marmonne :

– Cloé tu m’as dévergondée en peut de temps. Je pense, que c’est une chose à tenter !

Justin n’en croit pas ses oreilles, mais sa bite est si douloureuse, qu’il faut la faire cracher. Il regarde le corps nu de sa maman. Il est vrai qu’à 62 ans elle est encore très désirable. Lentement, il retire son pantalon, baisse son slip, sa verge se détend comme un ressort et se met à osciller sur son bas-ventre avant de se stabiliser. La maman regard le mandrin de bonne taille gorgé de sang, elle est impressionnée par mes grosses veines apparentes qui strient le membre épais.

Enfin, Justin et nu, Cloé lui saisit la verge, la décalotte et la suce comme une malade en geignant de plaisir. Régine voit la bouche vorace s’activer sur le gland violacé de son fils, elle ravale sa salive sans quitter des yeux le duo.

Linsee