Clothilde, notable d’âge mûr, pour donner plus de piment à sa vie, vient de s’engager dans une association, que dirige Léonie, une bénévole d’une cinquantaine d’années. Les deux sympathisent rapidement, aux files des réunions, les deux femmes s’apprécient de plus en plus. Pendant les expositions et les ventes d’objets, que l’association organise au profit des plus défavorisés, les deux femmes ne se quittent plus. Les jours passent, les femmes ne perdent pas le contact, elles se téléphonent souvent.
Un jour, Clothilde décide de présenter Léonie à son mari, Charles, baron de son état, c’est un homme distingué qui approche les soixante-quinze ans. Elle invite Léonie pour prendre le thé à dix-sept heures le lendemain. Léonie arrive dans le parc qui entoure le petit manoir, elle est émerveillée par l’architecture de la maison et l’agencement du parc. Un domestique vient lui ouvrir la porte et l’emmène au salon. Il l’installe confortablement dans un profond fauteuil. Léonie attend un petit moment avant que, Clotilde, ne fasse son apparition. Elle est accompagnée par son mari Charles. Clothilde dit en souriant :
-Charles, je te présente Léonie, elle préside l’association dont elle a bien voulu que j’en fasse fais partie, d’ailleurs, je t’en ai deja parlé !
Charles lui baise la main en signe de bien venue. Les trois s’installent autour de la table basse et sous les ordres de Clothilde, un valet apporte le thé avec des petits fours. La discutions est intéressante, les trois se sourient, souvent. L’heure tourne, les verres de brandy s’additionnent. Léonie veut prendre congé, mais Clothilde lui propose de faire une visite des lieux. Les deux femmes, bras dessus dessous, visite les nombreuses pièces du manoir.
Elles arrivent dans une grande chambre, Clothilde invite à Léonie de s’assoir sur le lit, les deux papotent longuement. Clothilde, grisée par le brandy, se lance sur le chemin sexuel, se n’est qu’éclats de rire et délire. Léonie, euphorique, a les yeux qui luisent lorsque Clothilde entre dans les détails, les révélations salaces émoustillent Léonie. Elle avoue que son mari l’a quitté pour une jeunette et que pour compenser se manque de mari, elle se voue cœur et âme à son fils de vingt trois ans, à son travail et à l’association. Clothilde est un peu surprise par ce que vient de lui révéler Léonie, elle lui prend la main et l’embrasse plusieurs fois. Clothilde caresse de son autre main le visage de Léonie et lui dit tendrement :
-Mais comment est possible qu’on puisse se séparer d’une femme aussi douce et belle comme toi !
Les doigts fins de La femme d’âge mûr glissent doucement sur les lèvres de Léonie, les deux femmes se regardent longuement, Doucement Clothilde enfonce les premières phalanges de ses doigts dans la bouche de Léonie. Surprise, elle se raidit, son cœur se met à battre très fort dans sa poitrine. Leurs yeux ne se quittent pas, ceux de Léonie s’embrument. Clothilde lui lâche la main et la pose sur sa cuisse. Très lentement, elle la passe sous la jupe, elle lui dit avec tendresse :
-Tu sais, Léonie, je suis bi et toi, tu m’affoles depuis le jour où nous nous sommes rencontrées !
Léonie reste sans voix un moment, Clothilde fait faire un petit va-et-vient à ses doigts, la coquine les enfonce un peu plus loin dans la bouche de Léonie qui se demande ce qui se passe. Sans s’en rendre compte, elle les suce. Clothilde lui sourit et retire ses doigts de la bouche, elle les passe de nombreuses fois sur les lèvres de Léonie, qui se met à trembler. La main s’avance dangereusement sous la jupe. Léonie se cabre légèrement. Clothilde effleure avec sa bouche, les lèvres bien dessinées de Léonie. Elles se mettent frissonner doucement. La bouche se plaque sur les lèvres fébriles, la langue humide glisse sur les lèvres entrouvertes de Léonie qui pousse un très long soupir. La langue, agile, s’enfonce dans la cavité buccale et se noue à celle de Léonie. Léonie à l’impression de fondre tellement le baiser et langoureux. Léonie défaille, sa respiration devient rapide. Clothilde l’enlace, les deux femmes se laissent tomber sur le lit.
Léonie ne se reconnait plus, elle rend le baiser avec une fougue qu’elle n’ignorait posséder. La main de Clothilde s’accroche d’entrejambe de Léonie et se pose sur sa culotte. Clothilde est heureuse, elle sent sous ses doigts habiles le tissu humide. Les lèvres se séparent, Clothilde s’agenouille au bord du lit, fasse à son amie, elle lui relève la jupe et s’accroche à la culotte. Lentement, elle l’a fait descendre. Léonie tremble comme une feuille secouée par le vent, automatiquement, elle se contorsionne pour faciliter la descente du fin tissu. Enfin la culotte et jetée sur le plancher. Clothilde lui ouvre lentement le compas que forment les jambes. Elle regarde la toison soyeuse qui recouvre la vulve, avant de la caresser longuement.
La fente suinte de plus en plus sous les attouchements de l’experte Clothilde. Elle saisit entre deux doigts la protubérance que forme le clitoris et l’agite doucement. Léonie entre en transe, son corps frémit terriblement. Clothilde accélère, le ventre de son amie se durcit, elle se cabre en poussant un râle rauque, sa jouissance est terrible, c’est sa première relation lesbienne. La bouche affamée se planque sur son bouton qui a pris des proportions anormales. Son amante lui dévore sans ménagement. Les gémissements de Léonie sont bruyants. Soudain, elle se cambre en grognant, Clothilde vient d
Les cris et les gémissements puissants, ont fait monter Charles, à l’étage. Il surprend les deux femmes en plein ébat. Il dit en souriant :
– Ah comme d’habitude, il faut que Firmin intervienne !
Entre deux lèches de la vulve, Clothilde lui répond :
-Oui, oui, Charles fait venir Firmin, qu’il soit prêt !
Charles disparait. Clothilde s’acharne sur sa proie, elle a retroussée le chemisier de son amie, dégrafée son soutien-gorge et lui dévore avec rage les mamelons larges et épais. La chatte de Léonie est en feu, sa cyprine s’échappe en filet continu. Ses grognements ressemblent à des plaintes de bête blessée.
Ses mamelons se dressent et durcissent sous la bouche vorace de Clothilde. Clothilde se redresse et retire rapidement ses vêtements, elle monte sur le lit, enjambe son amie et lui offre sa chatte. Léonie, s’enhardie, elle lèche et suce une femme pour la première. Cela semble lui plaire, car elle déguste la vulve qui suinte comme un fruit trop mûr. Rapidement, Clothilde jouit en remplissant la boche de son amante avec son jus abondant. Elle gémit en frémissant et dit :
-Bouffe-moi l’anus, vas-y ma chérie, vas-y !
Sans chercher à comprendre, Léonie lèche l’œillet ridé avec ardeur, sa langue s’engage aisément dans l’anus, cet endroit laisse comprendre qu’il est souvent visité. Léonie fouille le conduit avec vigueur, Clothilde geint terriblement, elle se cabre. Cette habituée aux jouissances anales, pousse un long cri et jouit du cul.
Soudain, Firmin le valet entre dans la chambre entièrement nu. Cet homme accoutumé des délires de sa maitresse et déjà opérationnel. Clothilde le regard et lui ordonne de prendre son amie et de la faire jouir le plus fort possible. Maintenant, elle s’adresse à Léonie :
-Comme Charles est un bande mou, c’est Firmin qui fait le boulot, c’est un étalon très résistant, tu vas pouvoir le constater !
À suivre.
Valériane
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