L’imagination de Léonie lui fait à passer une nuit agitée, ses yeux sont cernés, son teint est pâle. Elle pense encore aux propos de Clothilde qui lui avait suggéré de se faire prendre par son fils. Elle se dit au fond d’elle-même que cette femme est folle. Mais cela la perturbe tellement qu’elle ne peut s’enlever de la tête cette idée immorale. Plus elle y pense, plus elle est perturbée.
Enfin son fils se lève, il porte juste un pantalon de pyjama, il entre dans la cuisine, enlace sa maman qui s’affaire à l’évier. Il lui donne plein de bisous sur la nuque et le cou. Il lui dit en la serrant très fort :
-Bonjours maman, bien dormit ?
Léonie répond :
-Bof ça peut aller !
Il demande en fronçant les sourcils :
-Mais qu’est qui se passe maman chérie, tu as un problème ?
Il lâche son étreinte, sa maman se retourne, les deux sont face à face, elle le serre très fort dans ses bras, les bouches sont si près que leurs lèvres se frôlent. Léonie décide de tout lui raconter, qu’elle a couché avec son amie et c’est fait prendre par le domestique, que Clotilde a des vues sur lui, et qu’elle lui a même demandé de faire l’amour avec lui, son propre fils. Il se braque et dit en souriant :
-Depuis le temps que j’ai envie de baiser une vieille, c’est l’occasion d’accepter !
Ah la vieille te demande de coucher avec moi, tu en penses quoi toi maman ?
Léonie baisse les yeux et répond :
-Mais c’est impensable de faire une chose pareille, je suis ta maman !
Il lui donne un gros bisou appuyer sur les lèvres et dit en lui caressant une hanche :
-Mais tu es désirable, maman. J’attends samedi avec impatience, j’espère que d’ici là, tu auras changé d’avis !
Léonie secoue la tête négativement. Enfin le jour arrive de se rendre au manoir. Léonie et son fils sont reçus par un domestique qui comme la fois précédente les emmène au salon. Clothilde arrive enfin, les présentations sont rapides, elle embrasse le jeune homme, le regarde sous tous les angles, elle dit en souriant :
-Mais, il est beaucoup plus beau que croyait, un vrai mâle !
Les trois prennent place autour de la table basse, le traditionnel thé est remplacé par toutes sortes d’alcool. La conversation s’engage, les verres se vident, Firmin les remplit aussitôt. Clothilde ne cesse de dévisager le jeune homme, la conversation vire rapidement sur le sexe. Les paroles que prononce Clothilde ne laissent planer aucun doute sur ce qu’elle cherche. Elle regarde droit dans les yeux le jeune gaillard et dit :
– Léonie, ton fils doit être un bon coup, pourquoi ne pas en profiter !
Elle se lève, passe derrière Léonie et lui ouvre largement le corsage, en un tour de mains, elle fait jaillir les seins du soutien-gorge. Léonie se cabre et tente de se lever, mais son amie la maintient fermement, elle dit en souriant :
-Regarde les beaux nichons que ta maman a, viens les caresser, je sais que tu en crèves d’envie, aller viens !
Léonie reste tétanisée, lorsque son fils sans hésitation pose ses mains sur sa poitrine. Elle serre les dents en détournant la tête. Les mains pressent doucement les lobs magnifiques garnis de gros mamelons. Les yeux de sa maman se remplissent de larmes. Clothilde arrête le coquin et le renvoie s’assoir. Elle retrousse la jupe de son amie et sans aucun remord, lui arrache la culotte. Léonie ne fait aucun mouvements de protestations tellement elle est tétanisée. Clothilde lui ouvre les jambes, regarde le mâle et dit :
-Regarde cette chatte, elle ne tente pas, regarde bien, je vais la faire mouiller !
Les doigts de la vieille glissent sur la fente de son amie qui ne proteste toujours pas, elle écarte les grandes lèvres et lentement enfonce son majeur dans le puits d’amour. Léonie ferme les yeux en poussant un petit gémissement. L’experte Clothilde fouille la gaine en ne quittant pas des yeux le jeune homme. Elle joint un second visiteur au premier et ramone de plus en plus vite la chatte, qui laisse échapper son jus. Clothilde dit en riant :
-Tu vois, elle mouille ta salope de maman, viens lui bouffer la chatte !
Léonie, honteuse, détourne les yeux, elle ne veut pas croiser le regard de son fils
Les yeux du fiston s’écarquillent, il s’approche de sa maman et sous la conduite de Clothilde, il s’agenouille face à sa maman, regarde la chatte dégoulinante et plaque sa bouche sur le fruit trop mûr. La maman se cabre en soufflant fortement, la bouche avide de son fils lui dévore la perle avec une intensité phénoménale. Léonie serre les dents et grogne en agitant son bas-ventre. Elle veut repousser son fils, qui s’acharne sur sa chatte. Les forces ou la volonté lui manquent. Clotilde regarde le spectacle en encourageant le jeune amant :
-Oui, bouffe bien ta maman, elle va jouir, vas-y fait la couiner comme une truie ta salope de maman, oh putain que cela m’excite !
Clothilde retire ses vêtements et invite Firmin à lui bouffer le cul. Elle se met à quatre pattes et cambre les reins. Le serviteur modèle écarte les fesses de sa maitresse et plaque sa bouche sur la rondelle qui frétille sous les coups de langue ravageurs. Firmin connait très bien cet endroit, souvent sa maitresse use de ses services. Clothilde grogne en agitant sa croupe, la vieille jouit très rapidement en criant :
-Encule-moi Firmin, encule-moi !
Le bougre plante sa queue au plus profond des entrailles de Clothilde et la besogne au rythme que Clothilde lui demande. La queue voyage aisément dans le cul de la femme âgée qui geint de plaisir à chacun des assauts du serviteur zélé. Léonie gémit de plus en plus fort, sa chatte est en feu. Elle pousse un long râle en jouissant sous la bouche de son fils. Elle reprend conscience et dit toute outrée :
-Mon Dieu, je suis une catin, je me donne à mon fils comme une chienne, je suis une salope, j’ai honte de moi !
Le fiston baisse son pantalon et son slip, sa queue se dresse d’un coup, l’engin planté sur son bas-ventre oscille. Il la saisit et la branle quelques secondes. Il dit en regardant sa maman honteuse :
-Elle est pour toi maman, regarde comme elle bande !
Léonie regarde l’engin, ses yeux sont embrumés, elle marmonne des mots inaudibles. Elle se cambre lorsqu’elle sent contre sa vulve en furie la queue généreuse de son fils. Il s’accroche à ses hanches et l’enfonce sans donner d’à-coups. Pendant toute la pénétration, sa maman lance un long râle rauque. Elle l’enserre en passant ses jambes autour de la taille de son jeune amant, elle dit en serrant les dents :
-Oui mon chéri, baise bien maman, oh que c’est bon !
La queue vigoureuse du fils, coulisse dans l’antre brulant de la maman. Les gémissements bruyants de Léonie se mêlent à ceux de Clothilde que Firmin ne ménage pas. Les deux femmes s’agitent en râlant comme des bêtes en ruts. Clothilde pousse un cri inhumain, Firmin vient de la faire jouir atrocement fort. Sa jouissance et si intense qu’elle s’écoule sur le sol. Léonie est la proie de son fils chéri, elle se donne à lui sans retenues, ses coups de reins accompagnent ceux de son fils. Les deux amants jouissent presque en même temps. Léonie défaille, elle en cesse de répéter :
-Mon chéri, mon chéri, c’est merveilleux, aime encore maman !
La chevauchée reprend de plus belle, les coups de bélier sont terribles, la queue gorgée de sang entre et ressort de la chatte gourmande de coquine Léonie, qui, sevrée depuis la fuite de son mari, reprend gout à la vie. Elle se donne à fond sur le pieu qui lui éclate la chatte. La maman, amante, se tend comme un arc et jouit puissamment. Clothilde reprend peu à peu ses esprits et dit en regardant Léonie pâmer sous les coups de bite de son fils :
-Encule-la gamin, elle doit apprendre à jouir du cul ta salope de maman !
Le jeune mâle regarde sa maman et lui dit :
-Je peux te prendre par le cul maman ?
La maman essoufflée par d’ardeur croissante de son fils répond :
-Je ne l’ai jamais fait par là, mais fais de moi ce que tu veux, je suis ta pute maintenant mon chéri !
à suivre
Valériane
Histoire incestueuse très excitante… à suivre…
aujourd’hui !
Bonjour, j’adore vos histoires interraciales ! Suis en quête d’une “plume”. Si intéressée, n’hésitez pas à me contacter.
Bises.
Bonjour,
Je suis à l’écoute, dites-en plus