Marie-Claude la libertine 2
Marie-Claude libertine 2 – (j’organise une rencontre)
Avant tout je veux rassurer les lecteurs dans les années quatre-vingt-dix. Nos partenaires sont des collègues suivis médicalement et de confiance. C’est après 1990 et notamment l’apparition du SIDA que vous verrez apparaître le préservatif dans nos aventures sauf avec des partenaires de confiance. De fait pendant près de 30 ans de pratique aucune MST. Ces aventures étant réelles j’essaie de coller au plus près de nos souvenirs.
Mon épouse 22 ans à l’époque coquette a démontré lors de soirées qu’avec l’alcool elle se désinhibe et se dévergonde. Après la naissance de Muriel nous déménageons dans le centre de la ville pour une maison plus grande avec l’étage aménagé pour Muriel et pour les enfants à naître, et une grande suite parentale fonctionnelle notamment pour nos soirées libertines à l’autre extrémité de la maison.
En janvier 1996 je retrouve Boris un copain avec qui j’ai entretenu une relation homo lors de notre formation technique lui actif moi passif. Nous évoquons notre relation, nos nouvelles vies et les aventures de mon couple. Je l’invite à venir chez moi pour dévergonder un peu plus mon épouse. Il me promet de passer le jeudi soir suivant.
En rentrant du colloque je préviens mon épouse qu’un camarade vient dîner le jeudi sans donner plus de détail.
Le jeudi Muriel couché de bonne heure la porte de l’étage est verrouillée. Marie-Claude se prépare un léger pull blanc en maille fine moule parfaitement sa poitrine nue, une minijupe noire dévoile largement ses jambes.
À 20 heures l’invité arrive avec des fleurs je fais les présentations Marie-Claude embrasse Boris et le remercie puis vais dans la cuisine mettre le bouquet dans un vase. Mon pote me fait un clin d’œil et lève son pouce en signe d’appréciation.
Après un repas classique bien arrosé notre visiteur propose de nous montrer des diapositives pour évoquer sa vie depuis notre formation. Nous nous installons sur la banquette avec ma belle entre nous. Boris fait défiler les diapos et explique les images parmi lesquelles, (en pensant à ce qui pouvait se passer), il a glissé des diapos de lui avec son épouse Annie nue certaines dans des positions très hots. Alors que les photos défilent Boris se rapproche de mon épouse et tente une discrète caresse sur la cuisse.
Il commence à avoir une érection. Rapidement Marie-Claude s’en aperçoit et ne reste pas insensible au gonflement de la braguette de cet homme qu’elle connaît depuis trois heures à peine. Elle commente les photos de manière coquine en le regardant dans les yeux et pose sa main sur la cuisse de l’homme tout en parlant de sa famille. Il lui dit « je ne peux pas avoir d’enfant à cause de mes spermatozoïdes mais la mécanique fonctionne plutôt bien. » L’audacieuse pousse sa main sur la bosse qui déforme le tissu du pantalon et tâte franchement le sexe bandé pour en évaluer les dimensions « effectivement la mécanique semble marcher ». Cette invitation déclenche chez le copain la fin de la retenue. Il se tourne vers l’aguicheuse l’embrasse sur la bouche.
Il glisse sa main sous la minijupe la relève et découvre les cuisses gainées de bas tenus par un porte-jarretelles noir ainsi qu’une minuscule culotte en voile rouge « c’est mignon tout ça ». (Sourire de la coquette) Aidé par l’entreprenante coquine, il défait sa ceinture et ouvre son pantalon. Il passe son bras derrière la tête de Marie-Claude pour lui glisser la langue plus profondément dans la bouche et glisse l’autre main vers le ventre de la belle. La main s’aventure entre la peau et la fine culotte puis descend jusqu’à la fourche des cuisses qui s’écartent. Il lui empoigne la chatte tout entière il glisse son doigt dans la fente qui commence à s’humidifie. Elle répond avec ardeur au baiser et pose sa main sur la nuque de cet homme qui lui fouille la bouche de sa langue.
La dévergondée avide de découverte se saisit de la bite gonflée et la libère du pantalon.
Mon aventureuse épouse qui a libéré le sexe de Boris brise le baiser pour admirer la queue bandée d’environ 5x18cm. « Xavier elle est bien plus grosse que la tienne j’en ai envie je suis fécondable mais comme il est stérile je peux ? » Je les invite à passer dans la chambre ce qu’ils font sans délais. Les vêtements vite retirés jonchent le sol. Je me pose sur la chaise à côté du lit pour regarder ma femme se donner à mon copain Marie-Claude pousse Boris sur le lit et prends sa verge en bouche. Le bandeur s’allonge attrape les jambes de la vorace pour l’amener en position tête bêche il lui broute le minou en écartant bien les lèvres ce qui lui permet d’avoir la vue sur le trou d’amour luisant de cyprine. Je peux voir sa langue lécher le calice et taquiner le bouton. Très sensible du clito elle ne tarde pas à jouir.
Il attire ensuite la gourmande sur lui : « Vient petite gourmande empale toi sur ma queue ». Le pieu prend possession du fourreau lubrifié par la mouille de la cochonne.
Elle : « Quel engin tu me remplis la chatte. Oui c’est bon Boris, bourre-moi bien au fond ». Il la fait tourner sur le pivot de la joie et peut ainsi voir les fesses se lever et sa bite plonger dans le con brûlant.
Il la travaille longuement et la met à nouveau face à lui. Il lime la fente de la petite. Elle lui demande : « mets tes mains sur mes hanches et appuie. » Elle profite ainsi de la position pour frotter son clito sur le pubis du chaud lapin. Elle l’encourage « oui encore ! Je redémarre… » et se mets à jouir une seconde fois. En se figeant, tous muscles tendus elle pousse un « oui… Je viens oh » de satisfaction, ouvre les vannes de son plaisir et s’écroule sur le torse de son partenaire. C’est en sentant couler la jouissance féminine sur ses couilles que le baiseur pousse un grognement, se contracte et lâche plusieurs jets de sperme au fond du vagin.
La coquine sent les contractions de la verge et le sperme inonder sa grotte intime.
La vicieuse embrasse son amant, et avec un air mutin contracte son ventre pour éjecter la queue dégonflée.
Cela me permet ainsi de voir le mélange blanchâtre de cyprine sperme sortir de la boîte à plaisir couler le long des lèvres pour tomber sur le ventre du baiseur.
Ils viennent de m’offrir un beau spectacle je n’ai pu m’empêcher de me branler et jouir en même temps qu’eux Le fouteur et la cochonne se sépare pour s’essuyer puis reviennent dans les bras l’un de l’autre recommence à s’embrasser.
Boris me regarde et dit à Marie-Claude : « regarde ton mari s’est fait plaisir tout seul. »
Elle : « ça va ? Chéri, tu as aimé la Boris ce tu n’es pas trop frustré ? »
Moi : « je vous ai trouvé magnifique, te voir jouir est un bonheur et je ne suis pas frustré puisque ce que j’aime c’est de te voir baiser et prendre du plaisir de plus avec un de mes potes. »
En souriant la coquine déterminée et déchaînée s’empare du membre ramolli et le branle avec un regard coquin en voyant la bite se redresser sa langue glisse sur ses lèvres et elle se penche pour prendre en bouche le gland violacé.
Boris excité par tant d’audace sent que la friande est portée sur la chose et qu’elle a encore envie de grimper au poireau. Son zob revigoré il dit en me regardant :
« Xavier ta miss est chaude comme la braise je vais m’en occuper et toi tu devras attendre ».
Puis : « Marie-Claude petite salope je vais te ramoner le berlingot comme jamais tu auras la chatte en feu demain ».
Il retourne ma bergère la positionne pour la prendre en levrette. Il se place derrière elle et d’un seul coup de reins enfonce son braquemart dans la boite à plaisir encore toute humide et commence le va-et-vient.
La garce surprise « ah sauvage ! Tringle-moi encore, plus fort. Chéri, je le sens encore grossir en moi ! J’ai encore envie de jouir Le queutard se met à pilonner la dépravée qui se sent remplie et défoncée par le mandrin. Il burine longuement gazelle qui jouit deux fois très rapprochées et ne cesse de couiner quand il plante son braquemart bien au fond du bénitier et explose « je sens la sauce qui monte je lâche la purée petite chienne, tu as ta dose maintenant ? ».
La petite salope sent avec plaisir la chaude liqueur lui inonder le ventre. « Merci pour ce don heureusement que tu es stérile avec cette dose. Merci j’ai bien joui c’est trop bon ! Maintenant je suis crevée j’ai besoin de repos et ma chatte aussi. » Ils passent tous les deux dans la salle de bains prendre une douche au bout de quelques minutes Boris appelle : « Xavier tu peux venir ? » Surpris je vais dans la salle d’eau et les trouve tous les deux sous la douche les corps pleins de savon mais les bouches jointes, la main de Marie-Claude branle la queue qui a repris du volume. Ils se rincent et sortent de la douche ma moitié se met à genoux et commence à sucer la tige bandée.
Lui : « elle n’arrête pas la gourmande Xavier viens l’aider je suis sûr que tu en meurs d’envie. »
Ma bien-aimée me regarde : « joins-toi à moi j’aimerais te voir sucer la bite qui m’a fait jouir » Je m’agenouille et ma bouche rejointe celle de ma moitié nos langes se mélanges en tournant autour du gland. À tour de rôle nous avalons la tige entière. Il prévient « je vais jouir et lâcher ce qui me reste ah… Ah ».
Marie-Claude pose sa main derrière ma tête et me pousse pour que j’avale le membre entier. Ainsi tenu, je sens le sperme jaillir au fond de ma gorge et je ne peux que tout avaler. Lorsque je recule mon épouse m’embrasse à pleine bouche, avec la langue elle cherche le goût du sperme de notre compagnon de jeu.
La nuit est avancée et il est temps pour Boris vidé de rentrer chez lui avec la promesse de nous revoir. Je le raccompagne le remercie et lui suggère pour la fois suivante d’amener Marie-Claude à me faire sodomiser. Il répond : « C’est OK ta femme est super j’ai adoré je vais trouver des idées ».
Lorsque je reviens ma chérie me saute au cou « j’ai adoré ton pote est très sympa et endurant. Vous saviez ce qui allait se passer » Moi « Non mais j’espérais que cela arrive et tu as dépassé mes espérances » Nous sommes allés nous coucher elle m’a taillé une pipe nous nous sommes endormis.
Au réveil elle m’a avoué j’ai le berlingot qui a surchauffé. Cela peut se comprendre je suis bien moins équipé et moins endurant que mon copain.
Boris est devenu notre amant à tous les deux, oui il me baise aussi de temps en temps. Nous continuons à le voir régulièrement jusqu’à notre départ de la région en 1998.
À suivre !
Véronique
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