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Comment j’ai été transformée en épouse libertine Chapitre 23

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Marie-Claude libertine 23 De fil en aiguille 1/2

Petit rappel : Marie-Claude mon épouse (1 m 65 Yeux rond marron cheveux châtain clair Belle poitrine 95C) et moi Xavier 1 m 77 châtain vert 82 kg sommes mariés depuis 26 ans en 1994. Elle est hypersexuelle et moi candauliste.

Fin octobre 2011 Cela fait cinq mois que sommes installés en Aquitaine.

Pour s’occuper un peu Marie-Claude s’est inscrite il y a deux mois à des ateliers couture il y a près de 20 femmes pour un homme. Cet homme c’est Benoît à 29 ans 1m80 musclé lorsque Marie-Claude le rencontre aux ateliers surprise par la voix de fausset du grand gaillard costaud elle a failli éclater de rire de plus il a l’air très maniéré. Après trois semaines elle apprend par d’autres femmes à la langue agile que le jeune homme serait soit puceau soit homo car elles ne l’ont jamais vu en compagnie d’une fille. Même aux ateliers couture il ne semble pas s’intéresser aux femmes présentes et pourtant il y a quelques jeunettes sacrément mignonnes.

Ce midi-là Marie-Claude et moi allons au restaurant à Bordeaux près de la célèbre rue saint Catherine. Elle est vêtue d’une robe rouge fermée devant par 6 boutons un col en V profond. Le vêtement très ajusté met son corps en valeur sa poitrine toujours ferme lui permet de se passer de soutien-gorge. Un léger manteau trois quarts noirs et des escarpins noirs complètent sa tenue. En entrant dans le restaurant elle me donne un coup de coude et me chuchote

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« C’est Benoît à la table à gauche, vient je te présente mais tient toi ! »

(De peur que je rigole de sa voix) Nous approchons de la petite table où le jeune homme s’apprête à déjeuner, il est seul.

« Bonjour Benoît je te présente mon mari Xavier, (en me regardant) Benoît participe aux ateliers couture ».

 « Bonjour Benoît enchanté de vous connaître »

« Heureux de vous rencontrer monsieur vous accepterez peut-être de m’accompagner je suis seul et je n’ai pas encore commandé ».

 Il fait signe au serveur

« Eh bien pourquoi pas cela nous permettra de faire connaissance n’est-ce pas ma chérie »

Le serveur arrive à notre hauteur Benoît lui demande s’il peut changer et avoir une table de quatre. Nous émigrons donc de l’autre côté de la pièce vers une table au milieu d’une longue banquette qui habille le mur de la pièce. Nous prenons place Marie-Claude et moi coté intérieur sur des chaises (nous avons horreur d’être assis sur une banquette trop moelleuse pour manger) Benoît face à nous sur la banquette au milieu de la table pour mieux échanger avec nous deux. Le serveur retire le couvert en excédent et nous donne la carte.

Une fois notre choix fait Benoît propose de nous offrir l’apéritif nous acceptons. Il engage la conversation

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« C’est un peu ma cantine j’y déjeune régulièrement comme j’habite assez loin je rentre rarement le midi. »

Marie-Claude « dois-je en déduire que l’on y mange bien. »

Je regarde Benoît c’est effectivement un bel homme dont la voix ne correspond pas au physique plutôt musclé. Je l’observe place face à nous le regard passant de Marie-Claude à moi

« Tu vas voir je pense que tu demanderas à ton mari pour revenir dîner ici en tête à tête sans importun ».

 Moi « Non vous ne l’êtes pas nous sommes ravis de vous tenir compagnie et de mieux vous connaître car Marie-Claude dit que vous êtes un grand timide le qualificatif grand me paraît excessif sauf pour la taille ».

« Je ne suis pas vraiment timide mais au milieu des pipelettes je préfère rester discret pour éviter tout problème. »

Marie-Claude « tu sais quand même qu’il y a quelques ragots sur toi ».

« Évidemment ! Je suis PD selon certaines, puceau pour d’autre mais je m’en fous car quand j’ai commencé il y a presque deux ans je me suis fait draguer c’était infernal alors je me suis créé un personnage depuis je suis tranquille ».

Elle « et tu n’as pas peur que j’en parle aux filles »

Lui « non car j’ai remarqué que tu posais des questions par curiosité mais que tu n’émettais jamais d’avis sur les autres que tu étais toujours bienveillante et sympa avec tout le monde sauf quand on te cherche. »

Elle, « c’est gentil ce que tu dis, donc je n’étais pas toute transparente »

Lui « toi non ! Tes chemisiers ou tes robes le sont parfois »

 Il me regarde je souris

Elle, « c’est un reproche ».

Là je suis plié de rire

« Non bien au contraire cela te va à ravir tu es magnifique on te prendrait pour la fille de certaines qui ont ton âge dans les ateliers ».

 – « Tu ne connais même pas mon âge. »

« Si, 40 ans tu vois il n’y a pas que toi qui se renseignes »

Moi goguenard « mais c’est fini cette scène de ménage »

Me regardant et voyant mon air amusé

« J’espère que je n’ai pas dépassé les bornes »

« Non vous gagnez en sympathie vous avez de l’humour et de la repartie cela me plaît que faites-vous dans la vie ».

« Je travaille avec un couple d’ami qui dirige une troupe de théâtre je me charge des costumes et des décors avec eux je vous vois venir : pourquoi aller aux ateliers couture puisque c’est mon métier ? Parce que j’ai accès à certaines machines que je n’ai pas et j’y pioche des idées ou astuces de ces dames comme Marie-Claude qui ont de l’expérience. »

Le déjeuner se déroule Marie-Claude bois les paroles de Benoît qui se montre vraiment de moins en moins timide. Nous arrivons au dessert il est 13 h 30 quand je reçois un coup de fil il y a un problème à mon boulot je dois intervenir de toute urgence.

« Vous mangerez mon dessert, Marie-Claude tu règles la note et tu m’appelles quand tu veux rentrer je viens te chercher ou je t’envoie une voiture ».

Lui me regardant « je peux déposer Marie-Claude chez vous si cela vous arrange »

« Merci de l’offre je ne veux pas abuser, chérie tu fais pour le mieux tu me tiens au courant (en lui faisant un clin d’œil qui vaut autorisation) ! Au revoir Benoît à une prochaine fois plus au calme »

 Je rejoins mon boulot passe près de deux heures et demie à gérer ce problème de production avec les différents intervenants. Vers 16 h le problème étant réglé je décide de rentrer à la maison Marie-Claude ne m’ayant pas appelé, Benoît a dû la déposer.

En arrivant dans ma rue devant mon portail d’entrée il y a un coupé Audi TT Quatro. Je pense qu’ils viennent de rentrer je me gare derrière. Je regagne tranquillement mon domicile j’entre par le garage qui est ouvert (nous utilisons rarement la porte principale pour éviter d’emmener les gravillons de l’allée dans la maison madame n’aime pas).

Dans le couloir j’entends la musique : A Whiter Shade of Pale (Procol Harum).

Arrivé à la porte du salon je les découvre enlacés s’embrassant à pleine bouche nus. Elle a dans la main une belle queue (qui contrairement à la voix est bien en accord avec le gabarit du gars). Lui caresse les seins de Marie-Claude dont les tétons sont bandés. Des préservatifs sont sur la table dont un usagé dans le cendrier entre le seau à champagne et les flûtes. Comme ils ne me voient pas je reste un instant à les regarder.

’ Night in white satin’ des The Moody Blues est à présent le fond sonore.

Moi « Je vois que cela fait un moment que vous êtes rentré, ou bien vous n’avez pas perdu de temps ? »

Les deux sursautent, Marie-Claude tout sourire

« Chéri, tu as eu mon message ».

 Lui ne sait pas trop quelle attitude adopter.

Moi « non ! Je n’ai pas fait attention comme j’étais en salle de réunion avec mon tél sur silencieux ».

 Je regarde mon portable et je lis : (14 h 2 je rentre avec Benoît nous faisons un petit tour et vers 15 h nous t’attendons à la maison pour …?) je rajoute

 « Je suis désolé, mais de toute façon je ne pouvais pas rentrer plus tôt »

Elle « Nous sommes, ici depuis 15 h 15 avec Benoît nous avons pris un peu d’avance pour faire connaissance et il mérite d’être connu ».

Lui « Marie-Claude m’a assuré que cela ne vous pose aucun problème donc nous avons fait connaissance au sens physique du terme. Elle est redoutablement convaincante et gourmande. »

D’un signe de tête j’acquiesce, je me sers un peu de champagne dans la flûte qui m’attendait. Je m’installe dans un fauteuil face à eux pour assister à leurs ébats qui viennent de reprendre.

Marie-Claude a en bouche le sexe qui a perdu un peu de vigueur depuis mon arrivée. Lui caresse les fesses de la gourmande qui très efficace redonne vie au sexe débandé. Tout en étant à l’ouvrage elle demande un préservatif et couvre le membre tendu. Elle se lève se tourne face à moi pour s’asseoir sur le phallus ses cuisses ouvertes jambes pendantes de chaque côté de celle de son amant. La vue ainsi dégagée me permet de voir le bâton de chair s’enfoncer lentement pour disparaître dans le ventre de mon épouse. Elle se lève un peu pour mieux s’empaler à nouveau.

Face à eux je ne peux résister et sors ma petite queue durcie. Me voici en costume cravate la bite à l’air à regarder mon épouse qui saute sur une queue deux fois plus grosse et longue que la mienne. Je me branle doucement en regardant Marie-Claude qui, tout en sautant sur le pivot de la joie, plonge son regard dans le mien.

Elle se redresse se retourne embrasse son amant, se met à genoux sur le canapé en appui sur le dossier

« Benoît vient me prendre en levrette ! »

Il se place derrière elle la tige à la main il promène son gland sur les lèvres trempées avant de s’enfoncer dans la chatte. Il fait quelques allers-retours dans la grotte humide.

Marie-Claude déçue

« Non pas par-là, encule-moi »

Benoît se retire de la chatte ou il récupère un peu de cyprines du bout des doigts pour la déposer sur l’œillet. Avec le pouce il assouplit le cercle brun pour y introduire deux puis trois doigts qui vont et viennent dans le petit trou. Il replonge sa verge dans la boîte à mouille de ma femme font quelques va-et-vient une fois bien lubrifiés il se retire et plante son chahuteur dans l’entrée du petit savoyard quand il est au fond il commence le ramonage en la tenant par les hanches.

Marie-Claude qui n’attend que cela commence à gémir, elle sent le membre s’agiter dans son rectum elle demande à Benoît de la baiser plus fort. Maintenant j’entends le bas-ventre du mâle claquer sur les fesses de ma femme qui ponctue d’onomatopée les assauts virils de son amant pendant plusieurs minutes avant qu’elle ne crie sa jouissance.

Ces cris de plaisir déclenchent mon éjaculation mais aussi celle de l’enculeur qui se tend le vit dans le fondement de mon épouse. Il fait encore quelques mouvements afin de bien se vider dans l’étui serré il embrasse la dévergondée dans le cou puis se dégage et retire son préservatif.

Marie-Claude se retourne et vient quémander les dernières goûtes de sirop de corps d’homme. Elle suce avec gourmandise le sexe qui vient de lui procurer ce plaisir. Il la redresse l’embrasse sur la bouche en la remerciant.

Marie-Claude vient sucer ma petite queue puis me roule un patin.

« Cela t’a plu mon amour »

« Bien sûr ma chérie tu es toujours très belle quand tu jouis j’adore te voir ainsi »…

Elle se tourne vers Benoît

« Et toi tu as aimé mon salop »

Lui « bien évidemment il faudrait être fou pour ne pas apprécier un tel cul »

Nous reprenons un peu de champagne, discutons un peu puis Marie-Claude conduit Benoît à la salle de bains. Elle revient se blottir dans mes bras

« Dommage que tu n’aies pas pu venir plus tôt tu aurais vu de belles choses, il m’a fait jouir quatre fois avant ton arrivée je te raconterai tout à l’heure…

À suivre !

Véronique

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