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Comment j’ai été transformée en épouse libertine Chapitre 26

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Marie-Claude libertine 26 les musiciens

À l’été 2013 Marie-Claude et moi Xavier avons tardivement décidé de partir sur la côte atlantique pour les vacances. Le choix de location était limité. Nous avons loué, un peu cher pour deux mais c’était cela ou rien, la seule villa avec garage sur un terrain de 900 m2 en bord de mer qui restait à l’agence pour le mois de vacances.

 C’est une grande villa à deux cents mètres de la plage à quelques kilomètres de La Rochelle En arrivant nous découvrons la villa. Sitôt entrés, nous faisons le tour : Au rez-de-chaussée il y a une cuisine équipée, une salle à manger salon, les WC et une buanderie avec une douche. À l’étage il y a trois chambres : une grande de chaque côté du couloir équipé d’un lit en 160 cm plus un lit en 90 cm. La salle d’eau avec douche baignoire deux lavabos et des WC est commune à la chambre de droite et celle du fond. La grande chambre de gauche dispose seulement d’une douche et d’un lavabo. La troisième au fond est plus petite avec trois lits en 90.

Marie-Claude préfère la grande salle d’eau nous posons donc nos valises dans la chambre de droite près des escaliers. Ma tendre épouse défait les valises et range les vêtements dans la commode et l’armoire pendant que je vais au village faire quelques courses alimentaires.

À mon retour elle a enfilé une jupe courte rouge sur un string blanc et un top blanc en dentelle sur sa poitrine nue.

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Comme il est midi nous décidons d’aller manger en bord de mer. Nous trouvons un petit restaurant dont la carte nous semble sympa. Nous entrons sommes accueillis par une serveuse très aimable et de plus fort agréable pour les yeux. Derrière un paravent il y a une tablée qui semble un peu bruyante donc nous demandons à être à l’autre bout de la pièce. Une fois installés la commande effectuée nous patientons en buvant notre apéritif.

 Nous commençons à envisager notre après-midi. Le repas se déroule gentiment les mets sont délicieux. Nous finissons notre dessert et commandons deux cafés.

Un homme sort de derrière le paravent pour aller vers les toilettes, il me semble reconnaître le frère d’un ami breton.

Je pose la question à Marie-Claude :

« Il ressemble à Charles le frère de René celui qui est chef d’orchestre que nous avons rencontré à l’anniversaire de René ».

Elle me répond : « mais non le frère de René est barbu avec des cheveux longs. »

 Le sujet étant clos je règle l’addition et nous nous levons pour partir. C’est alors que l’homme revenant des toilettes s’approche et nous interpelle :

« Vous ne me reconnaissez pas ? »

 Nous l’observons de plus près et effectivement c’est bien Charles je lui dis : « nous avions un doute mais où sont tes cheveux et ta barbe ?

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« J’ai tout coupé pour l’été ! Vous êtes en vacances ? »

« Oui nous avons loué une villa près d’ici pour le mois. Et toi ? »

« Je suis avec mon orchestre en formation réduite nous jouons au village de 19 à 20 h un apéritif musical et ce soir bal à partir 22 h. Demain nous serons dans un village à 25 km au sud pour un autre bal. Venez ! Je vous présente mes musiciens »

Nous passons derrière le paravent il nous présente les cinq musiciens : Carlo percussionniste, Rémi clavier, Lucie guitariste, Franck bassiste, Armand cuivre et Virginie notre chanteuse (Charles lui joue du clavier et de la guitare en plus de la direction de l’orchestre).

 Il nous offre un café cela nous permet de discuter avec la joyeuse troupe. Les hommes sont plus intéressés par Marie-Claude que par ce que raconte Charles.

Charles « Viendrez-vous, nous voir ce soir ? »

Marie-Claude « Pourquoi pas nous, on arrive seulement n’avons rien prévu de particulier. Mais où êtes-vous installés ? »

Lui « Sur un terrain à la sortie du village. La commune a monté une scène couverte un parquet avec des tables autour et possibilité de manger et boire. Avec le beau temps cela devrait être agréable et attirer du monde. »

 Elle « Et pour dormir ce soir vous êtes à quel hôtel ? »

 « L’été les hôtels c’est difficile, nous dormons sur le terrain sous tentes pour les garçons et dans le bus pour les filles ».

Marie-Claude me regarde

« Xavier ! On peut leur proposer nos chambres vides qu’en penses-tu ? »

Moi « Charles si vous veniez voir si cela vous tente pour dormir, nous avons plus de place qu’il nous en faut. Je ne sais pas si cela suffira mais on trouvera le moyen de s’arranger ».

Nous voilà partis vers la maison suivie du bus qui était garé derrière le restaurant. Tout le monde descend, avec Charles nous montons à l’étage je lui montre les deux chambres de libre soit 6 couchages. Il propose le grand lit pour les deux filles et demande si on peut passer le petit lit de 90 avec les trois autres dans la petite chambre pour les quatre gars.

 Lui dormira dans le bus.

Nous appelons la petite bande pour leur proposer la solution tous sont enthousiastes en un tour de main les gars ont déplacés le lit de 90. Les filles sont très contentes d’avoir un vrai lit plus une douche. Tous déposent les affaires dont ils n’ont pas besoin ce soir. Charles fait un essai pour entrer le bus sur le terrain ça passe. Il est 15 h quand ils partent pour préparer leur matériel pour ce soir.

Marie-Claude et moi partons pour faire quelques provisions solides et liquides supplémentaires pour nos invités. Nous mettons tout cela au frais y compris quelques bouteilles de champagne. Ma poupée se douche et enfile une minirobe blanche, col en V et fines bretelles sur un string blanc. Moi un pantalon de toile beige et chemisette blanche.

Un peu avant 19 h nous allons à l’apéritif musical. Nous y retrouvons Charles qui nous invite à la table de l’orchestre et des organisateurs qui eux sont encore au travail. Il nous offre une première tournée avant le début des festivités. Marie-Claude et moi profitons de cette petite première partie très agréable pour esquisser quelques pas de danse le parquet n’étant pas trop encombré.

Nous sommes prêts à partir pour dîner lorsqu’un homme nous arrête

« Je suis le maire du village. Voulez-vous partager le repas avec les organisateurs et l’orchestre pour vous remercier le chef m’a dit que vous les logiez gratuitement ce soir ».

« C’est très aimable mais »

« Il n’y a pas de mais tout est prêt »

Le repas est plutôt simple mais copieux et arrosé pour nous et les organisateurs car les musiciens boivent peu mais tous s’assurent que nous ne manquions de rien.

22 h le bal commence le maire invite Marie-Claude à danser pour ouvrir le bal, au cours de la soirée elle est très sollicitée pour danser quand elle se pose c’est pour boire un peu. Je réussis quand même à partager quelques danses dont plusieurs slows avec ma chérie je constate qu’elle a un peu bu car elle se montre très câline et coquine proposant même de faire coucher Charles sur le lit de 90 dans notre chambre.

Vers 1 h 30 les danseurs se font plus rares, Charles quitte la scène pour inviter Marie-Claude à danser une salsa puis un zouk très collé serré. Marie-Claude revient me dit :

 « C’est OK pour cette nuit je n’ai pas eu à insister pour qu’il accepte ».

Le bal se termine vers 2 h. Avec Marie-Claude nous rentrons et préparons un encas pour les artistes. Le temps de ramasser les matériels ils arrivent trois quarts d’heure plus tard. Tout le monde se restaure je sers un peu de champagne dans les flûtes achetées cet après-midi pour quelques €. Les filles montent se coucher suivi des musiciens. Charles trinque une dernière fois avant de se lever pour aller contrôler son bus.

Il récupère ses affaires nous montons tous les trois dans la chambre. Nous lui laissons la priorité pour la salle d’eau. Il ressort en caleçon je le regarde il est plutôt bien bâti. Marie-Claude prend sa douche elle revient nue sous son petit kimono en voile noir ras la moule. Il dévoile presque toute son anatomie, elle est très excitante.

J’ai le temps de voir le regard gourmand de Charles se poser sur Marie-Claude avant d’aller à mon tour me doucher.

En sortant de la salle d’eau je vois, de dos, ma femme à genoux au bord du lit de Charles qui, allongé les yeux fermés, se fait pomper le dard. Sa main caresse les cheveux de la suceuse qui se retourne vers moi. Son kimono est largement ouvert. Elle me sourit en se décalant pour me permettre d’apercevoir le braquemart qu’elle tient en main.

« Quand je l’ai embrassé pour lui souhaiter bonne nuit il bandait je ne pouvais pas le laisser comme cela. »

 Voyant la tournure des choses je vais chercher dans la commode notre trousse soirée libertine (contenant préservatifs gel lubrifiant et rouleau essuie-tout) et je la pose sur la petite table près du grand lit.

Marie-Claude invite Charles à venir sur le grand lit. Une fois la migration terminée elle l’embrasse à pleine bouche avant de descendre pour continuer sa fellation.

Le musicien apprécie la caresse il commence à gémir. Il attrape le visage de ma femme l’attire vers ses lèvres l’embrasse « ne sois pas pressée je ne veux pas jouir trop vite ». Il glisse sa main entre les jambes de la coquine, le compas des cuisses s’ouvre et laisse l’accès à une chatte tout humide de désir. Les doigts du garçon pénètrent un à un l’intimité offerte et commencent à la baiser poussant plus avant à chaque pénétration.

Il se penche sur le triangle pour venir lécher le fruit juteux que ses doigts continuent de travailler. Il taquine le clito de la langue et le dégage de son capuchon pour l’aspirer, le mordiller pendant que ses doigts accélèrent leurs mouvements.

J’embrasse Marie-Claude qui, sous les caresses de notre compagnon de chambre, est traversée par son premier orgasme de la nuit.

Charles toujours en érection enfile la capote que je lui donne et vient se placer entre les jambes de la coquine et plante d’une seule poussée la totalité de son braquemart dans le ventre de mon épouse. Elle a un sursaut lorsqu’il bute au fond de son vagin.

Il commence un va-et-vient lent mais viril pendant près de dix minutes il besogne ma bien aimée qui se pâme sous les coups de boutoir de son amant du jour. Un nouvel orgasme la foudroie en même temps son baiseur jouit à son tour. Il tombe sur le côté retire le préservatif et la pose, dans le cendrier. Il embrasse Marie-Claude et lui caresse les seins.

Elle se tourne vers moi m’enlace avec amour et m’attire sur elle je la pénètre à mon tour. Elle se sent bien. Elle m’embrasse à pleine bouche, trop excité je me vide rapidement en elle avant qu’elle n’ait joui. Marie-Claude se lève Charles et moi la regarde elle est belle dans sa nudité elle disparaît dans la salle d’eau faire une petite toilette.

Elle réapparaît le sourire aux lèvres plusieurs minutes plus tard. Elle ferme doucement la porte et nous raconte :

« Je me lave la chatte dans la douche lorsque Rémi (le clavier) fait son entrée pour aller aux WC les yeux grands ouverts il bafouille s’excuse et va pour ressortir. Je lui dis le mal est fait vas-y.

Il se place devant la cuvette sort sa queue à demi molle et urine. À la fin il fait quelques va-et-vient pour faire tomber les dernières gouttes en me guettant du coin de l’œil. Il a bien vu que j’ai la main sur ma chatte et que je l’observe. Sa queue s’est mise à gonfler et il est plutôt bien monté.

Il m’a souri s’est approché me regardant dans les yeux si cela te dit que je te baise je suis prêt. Je lui ai rendu le sourire, peut-être plus tard pour l’instant je suis attendu par deux hommes. Il est reparti se coucher sans fermer la porte de sa chambre. »

Elle se couche entre Charles et moi. Nous reprenons nos caresses elle branle Charles pendant que je lui suce l’abricot après quelques minutes de ce traitement elle commence à gémir de plus en plus fort malgré le morceau qu’elle a dans la bouche. Elle demande à notre visiteur de la baiser en levrette.

Elle se met en position il passe derrière elle et l’enfile et la besogne. Je me place devant pour offrir ma queue à la bouche de ma légitime. Un instant plus tard nous entendons une porte grincer légèrement. En tournant la tête j’aperçois Rémi qui profite du spectacle en branlant une queue de belle taille. J’oriente la tête de ma suceuse pour qu’elle constate l’effet qu’elle fait au voyeur.

Elle lui dit

« Tu as bien dit que tu étais prêt à me baiser ? Ferme les portes et rejoins-nous »

Il ferme les deux portes et s’approche du lit. Marie-Claude tend la main pour se saisir du membre bandé elle l’attire vers sa bouche qui papillonne de ma petite bite au chibre de Rémi.

Charles pilonne toujours l’antre de la cochonne qui cette fois jouit bruyamment. Charles se retire ôte son préservatif et vient se faire sucer. Rémi prend la place dans le berlingot baveux il commence à piner mon aventureuse femme. Je m’installe dans le fauteuil et les regarde

Rémi « Tu aimes la bite grosse cochonne tu le sens le braquemart à Rémi salope je t’ai entendu miauler avant que j’aille aux WC. Quand je t’ai vu nue dans la douche j’ai eu envie de te baiser et à ta réaction devant ma bite bandée j’ai compris que tu n’attendais que cela petite garce. »

 Elle, « Tu me remplis la chatte avec ta grosse bite alors défonce moi montre que tu sais t’en servir. »

Pendant que Rémi dans la moule actionne son marteau à boule Charles se fait souffler dans la tige par la gourmande. Je suis très excité de voir mon épouse, ainsi possédée, gémir de plaisir. Je me branle devant le spectacle.

Le chef d’orchestre est le premier à jouir dans la bouche de Marie-Claude elle ouvre la bouche et tire la langue pleine du sperme de Charles je m’approche pour lui arrose la luette. Ma semence vient se mélanger à celle du musicien. La goulue avale notre liqueur.

Repue, elle se concentre sur l’action du mâle qui la besogne elle l’encourage à la troncher plus fort. Le queutard s’active de plus belle en la traitant de cochonne, de chienne, de salope il lui promet de la défoncer par tous les trous. Marie-Claude, excitée par ces paroles, est emportée par un nouvel orgasme elle pousse un long cri de plaisir et s’écroule sur le lit.

Charles qui a retrouvé sa vigueur attire la jouisseuse sur lui. Elle s’empale sur le chibre tendu et ondule des hanches à la recherche du plaisir son clito frotte sur le pubis de son partenaire. Rémi qui n’a toujours pas joui vient présenter son braquemart face à l’œillet de ma douce. Je lui donne un peu de gel. Marie-Claude se penche sur le torse de son amant afin de faciliter l’accès à son petit trou. Rémi après avoir lubrifié le boudeur et sa bite, pose le gland sur la pastille sombre et pousse doucement. Le membre gonflé pénètre inexorablement le conduit anal pour y disparaître totalement. Les deux musiciens se mettent en mouvement.

Marie-Claude entièrement remplie se sent devenir chienne en chaleur elle réclame

« Baisez-moi plus fort je suis une salope, une pute prête à me faire baiser par tout l’orchestre devant mon homme. Traitez-moi comme une chienne insultez-moi cela m’excite et lui aussi. Défoncez-moi ! »

Les deux hommes baisent mon épouse de plus en plus virilement. Si Charles a du mal à s’exprimer oralement Rémi s’en donne à cœur joie « prend ça traînée tu veux te faire défoncer tu vas être servie catin je peux appeler du renfort s’il le faut. L’homme devient brutal dans ses coups de queues. Tu aimes te faire insulter roulure, trou à bite, pompe à foutre je te défonce le cul.

Marie-Claude est maintenant prise de tremblements

« ouiiiiii….encore j’aime…. Plus fort ahahaaaaaa insulte moi encore ohohohouiiii je viens »

Charles « ohhh salope t’est trop bonne »

 Je jouis Rémi «oui la pute ton cul est diabolique je largue tout »

 Les trois basculent sur le côté vidé par cet orgasme commun. De mon côté j’ai apprécié le spectacle en me branlant et me suis soulagé sur un morceau d’essuie-tout. Je propose une pause champagne les trois sont d’accord.

Je descends en caleçon à la cuisine chercher le champagne et les flûtes. Je prépare un plateau déballe le dernier lot de flûtes, je fouille pour trouver un récipient finalement un pot décoratif en terre émaillé fera office de seau à champagne j’y glisse la bouteille avec des glaçons et un peu d’eau et je remonte à l’étage avec le plateau chargé.

En arrivant sur le palier je tombe sur Lucie dans un ensemble shorty et caraco de satin blanc qui avec un petit sourire me dit.

« Je descendais boire un verre mais je vois que nous sommes nombreux à avoir soif. Il y a une flûte pour moi ? »

Un peu surpris, je bafouille

« Attends-je vais-t’en apporter deux pour Virginie et toi »

« Virginie n’en veut pas elle dort mais moi je trinquerai bien avec vous dans votre chambre surtout qu’il y a déjà Charles et Rémi j’ai reconnu leurs voix. Ce sont les cris de Marie-Claude qui m’ont réveillée et je voudrais bien moi aussi participer.»

 « Bon OK tu sais ce qui t’attend si tu entres dans la chambre »

« Ce ne sera pas ma première partouze avec les musiciens »

En entrant dans la chambre nous découvrons Marie-Claude couverte de mains et de bouches en effet Franck et Armand a rejoint Charles et Rémi. Tous les quatre sont autour de Marie-Claude.

Elle embrasse Franck ses mains branlent Charles et Rémi qui lui caressent les seins pendant qu’Armand lui dévore la moule.

Lucie « bande d’égoïste et moi »

 Elle se met nue s’approche du lit pousse Armand et pose sa bouche sur la chatte de mon épouse.

Rémi me regarde

« Marie-Claude voulait encore baiser comme nous n’avons pas récupéré je lui ai proposé d’aller chercher les autres elle m’a dit chiche j’y suis allé seul Carlo n’a pas voulu écourter sa nuit c’est un homme sérieux»

Je pose le plateau sur la commode, et reprends ma place de spectateur dans le fauteuil.

Il y a du mouvement sur le lit Armand est allongé Marie-Claude lui tourne le dos empalé sur sa bite elle suce Franck et Rémi. Lucie bouffe la moule de ma salope de femme et Charles baise sa guitariste. Tout ce petit monde s’agite les gémissements montent de partout.

Lucie a du mal à sucer Marie-Claude sans cesse en mouvement surtout que les coups de boutoir de Charles sont violents. Franck pousse la guitariste afin de lutiner l’abricot de ma moitié.

Lucie m’appelle

« Xavier vient que je m’occupe de ta bite »

 Je lui présente ma petite queue à sucer. Sa bouche est chaude, sa langue agile tourne autour de mon gland puis ses lèvres progressent sur ma tige qui disparaît sans difficulté dans cette bouche accueillante. Elle commence sa succion diabolique je suis obligé de la modérer un peu tant sa pipe est efficace. Les gémissements deviennent plus soutenus et se transforment en onomatopées pour Marie-Claude en langage fleuri pour Rémi.

Marie-Claude et Armand sont les premiers à jouir suivi de votre serviteur qui, devant le spectacle et le savoir-faire de Lucie, ne peut se retenir plus longtemps. Lucie m’empêche de me retirer je me vide au fond de sa gorge. Elle déglutit et à son tour est cueillie par un orgasme lorsque Charles se vide au creux de ses reins.

Le jour commence à se lever, j’ouvre la bouteille de champagne tous viennent boire en commentant la gourmandise des deux filles. Rémi et Franck font remarquer qu’eux ont résisté et sont toujours en forme. Marie-Claude vient se lover dans mes bras, m’embrasse et m’avoue qu’elle prend son pied. Elle me demande si tout va bien si je passe une bonne nuit. Je fais signe à Lucie de s’approcher lorsqu’elle est près de moi mon bras droit s’enroule autour de ses hanches je l’embrasse regarde mon épouse et répond

« Cela va très bien. Te voir avec trois mecs pendant que cette jeune femme me suçait c’était génial d’autant plus que Lucie fume très bien et qu’elle avale. »

 Je regarde Lucie

« Merci pour cette pipe complète »

Lucie « j’en avais envie, te faire participer n’est que justice, et si ta queue est de taille modeste cela m’a permis de l’avaler entièrement sans haut-le-cœur, de plus ton sperme est très agréable en bouche ».

Marie-Claude approche son visage de Lucie et l’embrasse

« Merci de ta gentillesse et du plaisir donné à Xavier j’ai moi aussi beaucoup aimé ta bouche sur ma chatte. »

 Elle l’entraîne sur le lit.

Les deux femmes sont tête bêche et se dévorent le clito, les doigts de l’une pénètrent les orifices de l’autre. Lucie semble adepte des plaisirs saphiques. Les deux femmes se donnent du plaisir et jouissent sous les yeux des cinq mâles qui se paluchent devant ce tableau magnifique.

Les filles se redressent et s’embrassent elles sont félicitées par les hommes qui les invitent à goûter à nouveau au plaisir de la bite.

Rémi et Charles s’allongent, leurs jambes se croisent leurs corps se rapprochent de façon que leurs bites, pointées vers le ciel, se touchent. Ils invitent Marie-Claude à venir s’asseoir sur les deux pieux dressés.

Marie-Claude enjambe les deux corps, s’accroupit au-dessus des mâts érigés pour sa première double vaginale. Lentement elle descend. Son sexe vient s’appuyer sur les deux glands. N’étant pas à l’aise elle fait glisser ses pieds en arrière pour se retrouver à genoux.

Elle reprend sa progression elle tient les deux bites l’une contre l’autre, les deux glands écartent les chairs pour se frayer un chemin.

Marie-Claude grimace. Sa chatte, pourtant lubrifiée de sa cyprine, a du mal à absorber ces imposants visiteurs. Par petit mouvement de haut en bas son bassin descend jusqu’à se poser sur le pubis des deux hommes. Elle temporise le temps de s’habituer à cette introduction complète puis ondule doucement du bassin. Elle se baise elle-même sur ces deux bites. Elle pousse de petits cris de plaisir.

Rémi « regardez cette salope se fait prendre la chatte par deux bites. Franck! Il lui manque en manque une dans le cul »

Franck enjambe ses deux copains se met derrière Marie-Claude appui sur son dos pour la faire pencher en avant. Il présente son braquemart face à l’entrée des artistes sur laquelle il pose un peu de lubrifiant et lentement il perfore l’œillet qui se déride pour laisser passer la queue la plus grosse de la soirée. Marie-Claude souffle, elle respire fortement pour se décontracter au maximum

 «Tu es trop gros avec ce que j’ai dans la chatte, tu vas me déchirer. »

Franck «T’inquiète tout va rentrer et trouver sa place. On va te défoncer, tu vas crier et jouir tu en redemanderas ».

 Il continue de progresser dans le boyau étroit. Son gourdin écarte les tissus au fur et à mesure de son avancée. Lorsqu’il est bien au fond « Voilà le grand chauve est au fond de la mine on peut piocher les copains». Il commence à ramoner le conduit chaque coup de braquemart provoque le déplacement de Marie-Claude sur les deux autres queues sans que les mecs aient à bouger. L’onde de choc de chaque coup de piston stimule les deux bites serrées dans la chatte. Ma tendre salope ne se maîtrise plus, sa tête se balance dans tous les sens, sa bouche ouverte semble chercher de l’air elle crie.

« Oui non, encore casse-moi le cul défoncez-moi la chatte faites-moi jouir »

Voir mon épouse se déchaîner ainsi, prise comme une chienne par trois grosses bites, provoque en moi un orgasme. Sans même me toucher mon sperme se répand sur ma cuisse.

Lucie très excitée tire Armand vers le lit

« Baise-moi ».

 Elle se met près de Marie-Claude et l’embrasse pendant qu’Armand l’enfile

Rémi « Lucie prend de la graine regarde voilà une chaudasse une salope qui aime se faire défoncer la rondelle, cette pute se prend trois bites en même temps et elle réclame. Marie-Claude tu aimes te faire niquer au petit, espèce de traînée ? Dis-le ! »

Marie-Claude «oui je suis une chienne défoncez-moi, ce soir je suis votre pute, une roulure. Je veux de la bite dans tous les trous couvrez-moi de sperme comme une ribaude, Franck encule, moi, plus fort.

La baise est de plus en plus énergique si bien que le chibre de Charles est éjecté de la chatte il s’y prend à deux fois pour retrouver sa place.

Marie-Claude à nouveau remplie se met à crier

« Je jouis oui encore »

 Sa jouissance se prolonge comme si elle ne devait pas s’arrêter. Les garçons l’un après l’autre envoient la purée dans leurs préservatifs. Marie-Claude s’allonge sur le dos près de ses amants pour récupérer.

Lucie jouit à son tour Armand retire son préservatif et vient se finir à la main au-dessus de la bouche de ma femme. Elle tire la langue pour recueillir une partie de la semence qui lui macule le visage.

Rémi, Charles et Franck retirent leurs préservatifs et les vident sur la poitrine et le ventre de ma cochonne. Lucie, tout en embrassant Marie-Claude, tend la main, et étale le sperme des musiciens sur le corps de ma femme du visage à la chatte.

La voir ainsi couverte de foutre a provoqué chez moi une nouvelle ‘bandinite’ que Lucie s’empresse de venir soigner elle m’attire vers le lit et dirige mon sexe vers le visage de mon épouse qui se redresse pour me prendre en bouche et se repaître de ma semence.

Il est plus de six heures le jour est déjà levé chacun fait une rapide toilette et va se coucher, il faut se reposer l’orchestre se produit ce soir.

Marie-Claude me confie qu’elle a la chatte et le cul en feu je m’empresse de lui passer une pommade apaisante avant de nous endormir. Il est presque onze heures lorsque Marie-Claude et moi émergeons. Sans bruit j’enfile un short, Marie-Claude une nuisette et nous descendons à la cuisine.

Virginie et Carlo nous accueillent en nous embrassant avec un sourire entendu

«Le café est prêt nous avons fait comme chez nous. Vous êtes les premiers ! La nuit a été agitée ? Le réveil est difficile ?

Marie-Claude «Vous avez bien fait car effectivement nous avons joué du corps, toute la nuit »

 Virginie « nous avons entendu entre nos phases de sommeil »

Moi « désolé de vous avoir réveillés, vous auriez pu venir nous rejoindre»

Virginie et Carlo « nous sommes mariés et fidèles à nos conjoints. Les autres sont tous libres ce n’est pas la première fois qu’ils partouzent. Comme en plus Charles leur a dit qu’il savait par son frère de que vous étiez libertins nous savions que cela pouvait arriver.»

 Nous prenons un café avant de remonter nous doucher. Au passage nous réveillons le reste de l’orchestre qui descend pour le café.

Lorsque nous redescendons tout le monde discute autour de la table le sujet de discussion est facile à deviner.

Marie-Claude est accueillie par les applaudissements de Charles et ses complices. Elle est embrassée par chacun de ses partenaires de cette nuit y compris Lucie. Tous la félicitent sur sa capacité à jouir et disent que nous avons de la chance de nous entendre et nous compléter aussi bien.

Nous avons ensuite préparé un repas que nous avons partagé amicalement dans la bonne humeur. Ils nous ont remerciés de notre accueil mais ont jugé plus raisonnable de ne pas rester une deuxième nuit.

Vers 14h30 après un au revoir chaleureux le bus de l’orchestre part vers de nouvelles aventures, pour nous les vacances est commencé et dès le premier jour cela a été très chaud.

À suivre !

Véronique

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