Jacques (célibataire élégant cultive et courtois) vient souvent prendre quelques verres. Devenu notre ami nous lui faisons confiance pendant nos absences, il récupère nos clés de maison, s’occupe du chien et assure une présence. À notre demande il fait comme chez lui.
Mai 2002, peu avant notre départ pour le Pacifique, nous vendons nos voitures. Jacques nous prête sa berline pour laisser Muriel quelques jours dans la famille. Nous rentrons de notre voyage vers 19 heures avec un jour d’avance.
Il est installé devant la télé dans un fauteuil en short torse nu avec un verre à la main et Rocky le chien à ses pieds.
Lui : « Salut vous avez fait vite, cela s’est bien passé ».
Échange de bises Moi : « très bien Muriel est casée jusqu’au départ. Merci, la voiture cela nous a dépannés. J’ai fait le plein. Ça va »
Lui : « il ne fallait pas. J’ai fait un footing avec Rocky il m’a fait suer. Je sors de la douche.
Vous trinquez avec moi ?
Nous en cœur : “Oui ! Si tu n’as rien de prévu ? Tu restes dîner” il nous sert et nous trinquons.
Pendant que l’on refait le monde Marie-Claude part se doucher et se changer. À son retour elle est vêtue d’une minirobe légère blanche boutonnée sur le devant. Le vêtement ajusté souligne la ferme poitrine et laisse deviner les formes de ma légitime.
Moi : “tu es magnifique chérie”
Lui : “c’est vrai beauté tout te met en valeur”
Elle va dans la cuisine préparer le repas.
Elle crie “Jacques remet ma tournée j’arrive”
Pendant qu’il sert. Je la rejoins dans la cuisine et passe ma main sous la robe. Surprise pour moi pas de culotte.
Elle : “je fais comme Jacques, j’ai vu il est nu dans son short. Lui ne sait pas que je suis nue”.
Nous retournons au salon finir l’apéro et passons à table. Un dîner léger et une bouteille et demi de rosé plus tard nous repassons au salon pour le café je chuchote à Marie-Claude qui file en cuisine “tu t’exhibes un peu pour le remercier”
Elle ne dit rien.
À son retour elle sert le café et s’installe sur le tabouret de cuir face au fauteuil de Jacques. Pendant que nous énumérons les formalités pour notre départ je vois ses cuisses s’ouvrir quand elle repose sa tasse elle reste ouverte ainsi.
Notre convive attentif ne peut ignorer la fourche dévoilée.
Elle se lève pour débarrasser.
Je dis “laisse ! Je m’en occupe”. Je ramène tout dans la cuisine d’où j’observe l’évolution de la situation.
Marie-Claude retourne s’asseoir mais sur l’accoudoir du fauteuil de Jacques et se colle à lui. Dans la conversation elle prend la main de notre ami et l’air de rien la pose sur son genou. La main effleure la peau du genou vers la cuisse. Le regard du bellâtre est captivé par la poitrine provocante qui le nargue.
Jacques murmure : “tu sens bon ma caille, ta peau est douce.”
Elle : “c’est normal je sors de la douche”
Marie-Claude remarque que la vie se réveille dans le short. L’aventureuse de façon à entrer en contact avec l’objet de sa curiosité se déplace sur les genoux de notre copain excité. Lui attentionné s’enquiert du confort de la belle et avec son bras gauche la serre contre lui. Le galant la complimente pour sa tenue, sa main droite progresse timidement sous la robe. Marie-Claude se montre docile il s’enhardit glisse sa main entre les cuisses qui s’écartent pour laisser l’accès à ses trésors. Elle se penche pour l’embrasser.
Lui : “Xavier va nous voir”
Elle : “pas de problème il est d’accord”
Ils se bécotent, elle glisse sa main dans le short saisi et branle le membre raidi.
Jacques avec ses doigts visite le calice humide il se montre délicat et doux. Ils embrassent mon épouse sur la bouche Marie-Claude qui se lève, le prend par la main, se dirige vers le couloir et dit :
“Xavier tu viens nous passons dans la chambre”
Lorsque j’arrive ils sont nus allongés sur le lit. Jacques embrasse le visage de ma belle et lui caresse la poitrine avec tendresse. La coquine branle doucement la queue durcie plutôt petite bien plus grosse que la mienne.
Une fois nu, je me joins au duo et je me charge de brouter le minou et je plonge deux doigts dans l’antre d’amour trempé de ma tendre. Elle est à point je m’écarte et j’invite Jacques à la prendre en premier. La bouche soudée à celle de mon épouse il bascule entre les jambes ouvertes et la trique pénètre lentement l’abricot.
Lui : “ta chatte est chaude tu es trempée”
Elle : “avec ce que vous me faites je suis super excitée”
Avec douceur il caresse et baise son accueillante amie.
“Profite nous allons te donner du plaisir.
Marie-Claude le fait mettre sur le dos elle s’empale sur le sexe tendu, il lui attrape les seins à pleine main.
Les amants engagent une danse langoureuse. Les corps et les bouches se collent les langues se mélangent. Après dix minutes de cette danse chaleureuse les deux corps se raidissent elle se redresse. Ils jouissent tous les deux de concert et gémissent avec retenue comme s’ils avaient peur de briser cet instant.
Marie-Claude retombe sur le torse de son amant et l’embrasse tendrement. Ils restent emboîtés jusqu’à ce que le sexe débandé sorte de lui-même de son refuge. Le sperme s’écoule de la moule et tombe sur le pubis de l’amateur.
Marie-Claude se tourne vers moi j’approche ma tige de sa bouche elle me suce pendant que le galant lui lutine la poitrine.ma main caresse le clito et l’entrée rose enduite de sperme. Pour ne pas jouir J’interromps la gourmande ‘arête je vais partir. Je la couvre de baisers en descendant vers son entrejambe.
Jacques s’empare de la bouche libérée et y glisse son membre pour qu’il reprenne de la vigueur.
Je guide ma petite queue vers la fente de ma libertine et la pénètre. Je la besogne une petite minute avant de gicler au fond de la chaude crevasse. Désolé je ne suis pas très endurant Marie-Claude continue de sucer avec gourmandise le phallus de notre ami.
Sentant la jouissance monter il sort de la bouche accueillante et entame un cinq contre un pour diriger l’essence amoureuse sur les seins gonflés de ma poupée. Il éjacule abondamment nous étalons la liqueur sur la poitrine. Je descends sucer la belle chatte, rapidement Marie-Claude se met à jouir tout en ayant la langue de Jacques qui lui fouille la bouche. Nous sombrons dans le sommeil tous les trois.
Jacques est parti discrètement pour son boulot de très bonne heure. Au réveil j’embrasse mon épouse et la remercie de la soirée.
Bientôt le pacifique !
Véronique
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