Marie-Claude libertine 31 : Mon adultère 3/4
Dans les récits précédents je raconte comment par mon travail j’ai rencontré Jean propriétaire d’un domaine viticole. Cet homme m’a troublé je me suis laissée emporter par un sentiment bizarre. Contrairement à mon habitude je n’ai rien raconté à Xavier mon mari. J’ai vu Jean plusieurs fois et nous avons échangé des caresses buccales et nous avons eu des rapports protégés il prétend m’aimer. Invitée par Jean à une expo d’art chez lui je me suis donnée à lui mais sans protection alors que son épouse et mon mari étaient à quelques mètres. Au moment du départ il m’a discrètement donné rendez-vous pour le mardi
J’ai hâte d’être au mardi bien décidée à faire une vraie mise au point avec Jean, je ne veux pas détruire mon mariage et cette complicité avec mon époux depuis trente années.
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Le mardi matin Xavier part au travail je suis encore en nuisette je file prendre ma douche. Je suis en train de me sécher la sonnette retentit j’enfile mon peignoir de bain et vais à la porte. Qui peut bien sonner à cette heure matinale. Je regarde par le judas et découvre le visage de Jean.
J’ouvre en râlant :
« Je ne t’attendais pas aussi tôt ! Tu aurais pu tomber sur mon mari ! Bon entre »
Il m’embrasse
« Bonjour ma chérie ! Je sais, ton mec je l’ai vu partir à sept heures et quart par précaution j’ai attendu un bon quart d’heure avant de venir sonner. J’étais impatient de te retrouver »
« Tu es fou ! Je ne suis même pas prête, assieds-toi dans le salon je vais m’habiller »
Il attrape ma manche m’enlace et prend mes lèvres je réponds à son baiser ma main passe derrière sa nuque je le retiens. Je ne maîtrise plus rien je sais que je suis à lui.
Il tire sur la ceinture de mon peignoir qui s’ouvre il pose ses mains sur ma peau jusque dans mon dos pour me serrer contre lui :
« Reste comme cela, tu n’as pas besoin de vêtement pour ce que nous avons à faire ».
Il m’entraîne dans le couloir la porte de la chambre est ouverte il me pousse pour y entrer.
Je crie « non ! Pas là, pas notre chambre ! »
Je le conduis vers la chambre d’amis. Je n’ai pas le temps de replier le couvre-lit que Jean m’allonge sur le lit. Mon peignoir étant ouvert il se jette sur ma chatte pour la lécher la sucer il n’en faut pas plus pour que j’oublie mes résolutions. Je me tends pour mieux m’offrir à la caresse, une main s’active dans ma fente sa bouche aspire mordille mon bouton. Je sens le plaisir monter je le guide
« Oui suce-moi bien, tes doigts plus vite ouiii je viens »
Je me contracte mon buste se relève avant de retomber
« Tu vois qu’il n’est pas trop tôt, Tu avais vraiment envie ! J’aime te donner du plaisir je t’aime Marie-Claude »
Il m’embrasse
« Moi aussi je t’aime mais j’aime aussi mon mari, c’est un problème pour moi ».
« Oublie-le, un instant tu es avec moi. Profitons de ce moment sans nous prendre la tête »
Il est allongé habillé à côté de moi je caresse son visage mes doigts suivent ses lèvres son nez son front ma main se pose sur sa joue je plonge dans ses yeux clairs
« Jean déshabille, toi,, je veux sentir ton corps contre le mien »
Il se lève, se met nu. Je regarde son membre dressé, ma main se tend pour le saisir. J’attire mon amant au bord du lit et prends son sexe en bouche.
Je le suce longuement avec gourmandise il grossit encore dans ma bouche, ma main caresse ses couilles, mon doigt suit le sillon fessier pour venir caresser sa petite pastille brune. Je le sens se raidir
« Tu n’aimes pas ? »
« Si mais je suis si excité que je vais jouir et j’aimerais bien jouir en toi ».
« Laisse-moi faire, tu vas jouir dans ma bouche et je redonnerai vie à ta queue pour que tu me fasses l’amour et que tu jouisses au fond de mon ventre ».
Je reprends ma fellation en lui caressant les fesses lorsque je le sens frémir proche de l’orgasme j’absorbe sa bite en gorge profonde et lui plante mon doigt dans l’anus. Le résultat est immédiat le fond de ma gorge est frappé par plusieurs giclées de sperme. Je me délecte de sa semence.
Il s’écoule sur le lit en m’entraînant contre lui il me couvre de baiser.
« Ta bouche est merveilleuse j’apprécie les efforts que tu fais pour me donner du plaisir. »
« Ce ne sont pas des efforts c’est un plaisir partagé j’aime vraiment prodiguer la caresse buccale ».
Les bouches se joignent les mains caressent, pour la énième fois je sens son corps nu contre le mien, ce moment dans les bras l’un de l’autre n’est que volupté. Nos deux corps serrés semblent n’en former qu’un.
Le buste au-dessus de moi Jean me perce de son regard bleu. Il me dit des mots doux, des mots tendres qui me caressent l’oreille nous sommes comme deux ados avec leurs premiers émois. Je sens sa verge durcir contre ma cuisse. Je le bascule sur le dos et enjambe son bassin pour m’empaler sur son énorme verge dressée vers le plafond. Je descends lentement sur ce mât je veux profiter pleinement de cette pénétration sentir mes chairs s’écarter devant ce pénis triomphant. Je sens le gland buter contre mon utérus malgré la gêne je continue de descendre jusqu’au contact avec son pubis.
Remplie par cette bite hors du commun je commence à agiter mon bassin à la recherche du plaisir. Je sens à la moindre contraction de sa bite une onde se déplacer dans mon ventre je me penche sur sa poitrine pour quérir un baiser.
Jean me capture de ses bras et prend possession de ma bouche. Comme je suis décollée de son pubis il donne des coups de reins pour me pénétrer entièrement. Il me possède virilement, pendant de longues minutes son sexe va et viens au creux de mes reins son phallus fouille ma grotte intime.
Je suis emportée par un violent orgasme rapidement suivi d’un second lorsqu’il se répand au fond de mon temple d’amour. Je sens sa liqueur couler en moi. Je voudrais que cela ne s’arrête pas. Je reste sans bouger sur mon amant je sens sa verge se rétracter et sortir de mon intimité. Le jus de notre plaisir s’échappe et coule sur ses couilles et son pubis.
Nous nous embrassons et restons un moment ainsi unis aucun de nous, ne veux mettre fin à ce moment de plénitude. Après quelques minutes j’invite mon amant à m’accompagner sous la douche.
Nous nous savonnons réciproquement, l’eau chaude coule sur nos deux corps soudés, la buée envahie la salle de bains. Nos corps rincés se séparent Jean ferme le robinet je m’agenouille pour sucer la verge qui vient de m’honorer. Le membre retrouve de sa superbe.
Sans même nous essuyer nous retournons sur le ring pour un nouveau round. Je me positionne à quatre pattes sur le lit
« Chéri prend moi en levrette ma petite chatte n’est pas rassasiée »
Il se place derrière moi avec beaucoup de délicatesse il promène son sexe entre mes lèvres encore humide de désir et lentement il envahit ma fente en me caressant le dos les seins il met en œuvre sa baguette magique il me faut peu de temps pour grimper aux rideaux une nouvelle fois.
Je m’allonge sur le dos il me couvre de baisers des pieds en remontant vers mon triangle puis mes seins pour finir sur ma bouche lorsque j’ouvre les yeux il est en position ventrale de pompe il me sourit.
« Ça va tu ne regrettes pas ma venue »
Une nouvelle fois même si je n’en suis pas sûre je ne peux que répondre.
« Non je ne regrette pas. Profite encore de cette matinée je veux te faire un cadeau pour le plaisir que tu me donnes.
« Qu’est-ce que c’est ? Je n’ai pas besoin de cadeau tu me suffis »
« Justement ! Il y a une partie de moi que je ne t’ai pas encore donnée c’est mon cul ».
« Je n’osai pas le demander avec ma grosse bite je ne veux pas abîmer un cul aussi joli ».
« Ne t’inquiète pas je ne suis pas vierge de ce côté-là non plus et j’aime me faire sodomiser ».
Il me met en position sa bouche se pose sur ma pastille sa langue entre et sort de mon petit trou il salive abondamment avant de glisser un puis deux doigts pour m’assouplir la rondelle il les fait aller et venir et ajoute un troisième compagnon aux deux premiers.
Il crache une nouvelle fois sur mon anneau et présente son gland devant ma porte dérobée. Je sens mon anus s’ouvrir, le gland passe le premier obstacle son priape progresse dans mon fondement je respire profondément pour m’aider à me décontracter.
« Je te fais mal mon amour ? Tu veux que j’arrête »
« Non tout va bien tu peux continuer j’aime te sentir en moi »
« Ma queue est tellement serrée que je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps »
Il continue à progresser jusqu’à ce que son pubis heurte mes fesses. Le sexe de mon amant commence son va-et-vient. Il me sodomise en me caressant le clito je gémis je lui demande
« Oh ouiii c’est bon de te sentir ! Prends-moi à fond ! Va plus fort, encore ne t’arrête pas ! »
Il accélère la cadence, ses pénétrations sont plus amples plus fortes j’approche du but mon corps est prêt je préviens
« Viens je vais jouir ouiiiencore inonde moi l’intestin haaaaaaaaaa Jean oui c’est bon »
« Je viens moi aussi ouiii je décharge dans ton cul ! hooo quel pied ! »
Je sens les spasmes de sa queue qui se vide en moi, nous tombons sur le côté. Il reste figé en moi son sexe ne débande pas. Il se remet en mouvement quelques instants puis retire de mon cul sa bite souillée.
Il se lève et va se laver avant de revenir la queue toujours bandée il s’allonge près de moi me caresse m’embrasse je lui rends ses caresses je le branle doucement. Il se dresse sur son coude me regarde
« J’ai encore envie de te faire l’amour »
Je l’attire sur moi mes cuisses s’ouvrent pour accueillir mon adorateur. Le phallus trouve seul sa place au fond de ma chatte. À coups de reins il me pistonne. Nos regards se parlent, je me donne et il me prend, le coït dure pour mon plus grand bonheur. Il me susurre des mots d’amour entre deux baisers. Il lit dans mes yeux que je vais de nouveau jouir
« Laisse-toi aller je te suis »
Je me lâche frappée par un nouvel orgasme je crie je hurle mon plaisir quand il libère sa semence dans mon vagin. Il bascule à côté de moi tout en m’embrassant nos mains se serrent nous sommes bien je suis bien, après une dizaine de minutes il se tourne vers moi
« Marie-Claude je t’aime, je suis fou de toi, je n’en peux plus, je pense à toi tout le temps. Voudrais-tu me faire un enfant ? »
« Holà ! Calme-toi ! Moi aussi je t’aime et pense à toi souvent. J’aime mon mari je ne veux vous faire souffrir ni l’un ni l’autre et je ne ferai pas d’enfant sans l’accord de Xavier. Tu me fais peur Jean ça va trop vite »
« Parle à Xavier dit lui qu’on s’aime s’il t’aime il te comprendra ».
« S’il te plaît Jean n’insiste pas, ne précipite pas les choses je parlerai à Xavier le moment venu, tu es d’accord sinon on arrête là. »
« Excuse-moi de te mettre la pression mais je tiens à toi »
« Alors soit patient il faut être sûr de nos sentiments avant d’envisager quoi que ce soit. Je pense qu’il serait bon de faire une pause pour voir où nous en sommes ».
« Non je t’en prie voyons-nous vendredi s’il te plaît »
« Vendredi matin mais pas toute la matinée j’ai du travail »
J’ai cédé une nouvelle fois ce mec me rend folle je suis partagée entre la peur et l’envie. Je me demande pourquoi je n’arrive pas à me contrôler ?
Il est déjà presque midi Jean se rhabille m’embrasse et part en me disant
« Je t’aime à vendredi »
Après cette matinée de stupre et de volupté Je n’arrive pas à travailler je tourne je vire Je passe l’après-midi à repasser dans ma tête les évènements j’essaie de comprendre pourquoi et comment je me suis laissée prendre dans cet engrenage les interrogations se succèdent. À seize heures je n’en peux plus je monte dans le salon et me sers un grand verre de whisky espérant que cela m’aide à réfléchir. Sans résultat je m’allonge sur le canapé.
Je somnole quand Xavier rentre du travail. Il vient pour m’embrasser et aperçoit le verre et la bouteille de whisky.
« Bonsoir chérie ! Tu ne m’attends plus pour l’apéro »
« Bonsoir, tu te sers »
« Oh toi tu as bu ! Ça ne va pas tu veux en parler »
« Non pas ce soir samedi si cela ne va pas mieux »
« C’est le travail »
« N’insiste pas je t’en parle samedi »
Voyant que je ne bouge pas Xavier va préparer le repas. Nous dînons il fait seul la conversation débarrasse la table lance le lave-vaisselle
« Chérie va te coucher ça ira mieux demain »
Je dis bonne nuit et je vais me coucher. Je n’arrive pas à dormir. Lorsque Xavier vient se coucher je ne dors toujours pas.
Je lui tourne le dos et viens me blottir contre lui. Sa main caresse mes cheveux sur lesquels il dépose un baiser puis son bras m’enlace. Enfin je trouve le sommeil.
La journée du mercredi je décide d’aller à l’atelier comme les lundis et jeudis. Cela se passe relativement bien mon esprit est occupé par le travail et les copines. Le jeudi soir l’anxiété du rendez-vous du vendredi me reprend. Xavier depuis mardi est attentionné et tendre il ne pose pas de question. Il me rassure quand il me prend dans ses bras.
Le vendredi matin je suis levée la première quand Xavier se lève j’ai fini de déjeuner je l’accueille en me jetant dans ses bras pour l’embrasser. Je le serre fort il me sourit
« Je t’ai manqué »
Je réponds à son sourire.
Nous nous douchons ensemble je le suce sous la douche j’aime il me gratifie d’une belle éjaculation je viens l’embrasser.
« Tu penseras à moi au boulot »
Si je pense à ça je vais avoir du mal à me concentrer. Il saute dans sa voiture et part.
Une heure après son départ Jean arrive, il me prend la bouche sur le palier avant que la porte soit fermée.
« Hé tu veux me faire une réputation de salope. »
« Excuse-moi bonjour mon amour tu me manquais tellement. Tu as eu le temps de t’habiller ce matin ? »
« En effet j’étais prête en même temps que Xavier »
Je porte un pull épais rouge et blanc sur une jupe courte rouge. Il me prend dans ses bras.
« Tu es toujours magnifique »
Il me donne un baiser intense je ne réponds pas de suite à l’appel de sa langue mais la pression de son corps contre le mien a raison de ma volonté.
Il m’entraîne dans la chambre d’amis. Je le laisse me dévêtir ses baisers me donnent des frissons mes tétons pointent ma chatte s’humidifie. Il m’allonge sur le lit enlève ses vêtements il n’a que son pull et son pantalon. Il me rejoint sur la couche et me couvre de baiser et de caresses il bande je lui demande de me prendre tout de suite.
Sa verge me pénètre il me besogne pendant près de quinze minutes je suis emportée par deux orgasmes successifs avant qu’il se répande en moi.
Il me couvre le visage de baisers sur les yeux la bouche le menton, les joues, le front. Il me dit des mots doux
« Je t’aime tu occupes mon esprit je suis prêt à tout pour toi pour que notre amour puisse s’épanouir j’ai envie de t’aimer encore te faire l’amour encore toute la journée ».
Je ne réponds pas mais je sens sa queue grossir contre ma jambe il soulève ma jambe pour accéder à mon abricot son membre se glisse dans ma fente humide me pénètre. Il s’active dans ma grotte en me branlant le clito. Ce maudit bouton est comme un starter je redémarre vers un troisième orgasme de la matinée qui m’emporte en quelques minutes.
Pendant que je récupère il se met sur le dos et m’attire pour que je m’empale sur son braquemart dressé. Je chevauche mon étalon je me baise sur sa bite. Sa bite me fait un bien fou je sens Jean s’agiter sous moi il donne des coups de reins de plus en plus violent mon sexe réagit encore je jouis mon amant continu de me prendre je sens sa queue gonfler en moi et éjaculer.
Je suis écroulée sur son torse sa main me caresse le dos j’embrasse sa poitrine et remonte vers sa bouche. Nous échangeons un baiser.
Il me sourit « je suis bien avec toi je t’aime j’aime ton corps. Et toi comment te sens-tu ? »
« Je suis bien à cet instant j’aime quand tu me fais l’amour »
Il m’embrasse encore
« As-tu réfléchi à ma demande en as-tu parlé à ton mari ? »
« Non pas encore je ne me sens pas prête »
« Marie-Claude chérie j’aimerais passer plus de temps avec toi »
Je me tends d’un coup comme si je sortais d’un rêve, je suis obnubilée par l’inconfort de ma situation.
« Comme tu y vas, tu sais que je ne peux pas, je suis mariée ! Écoute il est déjà plus de midi il faut que tu partes on en reparlera plus tard ».
Nous passons dans la salle d’eau pour une toilette rapide puis je le raccompagne. Arrivé à la porte Jean m’embrasse fougueusement
« Marie-Claude je t’aime ! Veux-tu faire partie de ma vie ? »
« Je fais déjà partie de ta vie »
« Non je veux dire veux-tu partager ma vie. Parle à Xavier donne-moi ta réponse mardi »
« Je ne sais pas je ne peux pas te répondre, à mardi »
Je le pousse vers la sortie. J’ouvre la porte il m’embrasse et part. Sitôt la porte fermée je suis décidée il faut que je parle à mon homme et pour être sûre de ne pas reculer j’appelle Xavier sur son portable.
« Mon amour ce soir quand tu rentres je dois te parler »
« Tu veux que je rentre maintenant »
« Non mon chéri pas maintenant mais ce soir je dois le faire »
« OK ma puce ne t’inquiète pas je ne rentrerai pas tard j’aurai le temps de t’écouter. Bise chérie »
Je n’ai pas faim j’appréhende ce soir, quelle va être la réaction de Xavier. Je me sens sale vis-à-vis de lui, je comprendrai s’il le prend mal je suis en faute.
L’après-midi va être longue…………. À suivre
Véronique
j’adore ses seins !