Marie-Claude libertine 34 Voyage 2e étape 1/2
Rappel : été 2014 Marie-Claude mon épouse et moi Xavier après une période difficile nous avons retrouvé une vie sereine et avons décidé d’un petit voyage pour reprendre notre libertinage. Lors de la première étape j’ai offert Marie-Claude les yeux bandés à Denis un premier contact qui s’est montré à la hauteur de nos attentes. Marie-Claude a joué le jeu et pris beaucoup de plaisir en ignorant tout de son baiseur.
En ce mercredi d’août nous partons vers 9 h de Clermont-Ferrand pour Lyon. Peu après notre départ Marie-Claude me demande si l’homme auquel elle s’est offerte était celui qu’elle avait vu au restaurant. Pour toute réponse j’arrête la voiture à la première aire de repos et lui montre les photos sur l’ordinateur. Elle découvre ainsi que son amant inconnu elle ne l’a vu ni avant ni après mais elle me confie que la situation l’a beaucoup excitée pendant mais aussi après quand elle se demandait à chaque homme rencontré si ce pouvait être celui qui lui avait donné du plaisir.
Nous reprenons la route, ma coquine me dit
« Je mouille encore rien que de penser à la situation d’hier. »
Nous arrivons à Lyon vers 11 heures nous flânons un peu avant d’aller déjeuner à l’incontournable Brasserie Georges. Avant de quitter la brasserie, pendant que Marie-Claude est partie se refaire une beauté, j’appelle Paul mon deuxième contact pour confirmer notre rendez-vous à l’hôtel. Ensuite nous nous rendons à la Pardieu dans un hôtel 4 étoiles arrivées à 14 heures nous posons nos bagages. Comme il fait chaud nous prenons une douche Marie-Claude enfile une robe légère fleurie sur fond jaune et fermée par six boutons, dessous un ensemble soutien-gorge et string en voile ivoire le tout complété par des chaussures de toile à talon avec semelles compensées, moi un pantalon de toile beige et une chemisette blanche.
Nous descendons prendre un rafraîchissement au bar vers 14 heures 30. Lorsque l’ascenseur s’arrête je dis : J’ai oublié (volontairement) mon portefeuille et mon téléphone dans notre chambre. Je remonte dans la chambre les chercher laissant ainsi Marie-Claude seule conformément au scénario défini avec Paul. Pour faire durer mon absence je prépare et prends mon appareil photo et descends par l’escalier.
Au retour en sortant de l’escalier je me dirige vers le bar. Je vois Marie-Claude installée à une table du salon en compagnie de mon contact un chef d’entreprise avec une particule, d’allure distinguée cheveux poivre et sel vêtus d’un costume gris il semble grand je reste un instant à les observer.
L’homme lui parle elle lui sourit. Il a approché son fauteuil de celui de ma femme, il pose sa main sur le genou découvert, ses doigts glissent en caresse sur sa cuisse. Son autre main s’empare de celle de Marie-Claude il la porte à sa bouche et y dépose un baiser. Il se penche vers elle sa bouche se pose sur la joue au bord des lèvres. Il lui dit quelque chose à l’oreille elle éclate de rire.
Marie-Claude m’aperçoit, elle se tourne franchement vers lui et l’embrasse sur la bouche histoire de me montrer que ce dragueur lui plaît. Le coquin en profite pour l’enlacer et prolonger ce baiser en passant sa main dans les cheveux derrière la nuque pour maintenir le contact viril et passionné de leurs lèvres.
Lorsque le baiser est rompu elle me fait discrètement signe de venir. Je les rejoins en passant près du bar et arrive près d’eux légèrement derrière le dragueur supposé.
Marie-Claude se redresse en me regardant
« Chéri, je te présente Paul, Paul je te présente Xavier mon mari »
L’homme feint la surprise se lève il déploie un bon mètre quatre-vingt me salue. Marie-Claude le coupe avant qu’il prononce un mot
« Paul m’expliquait qu’il était ici pour huit jours mais depuis quatre jours il se sent seul et il aimerait passer un moment avec moi pour me faire bien des choses ».
Faisant celui qui est gêné il tente
« Excusez-moi je ne savais pas que »
Marie-Claude le coupe à nouveau
« Ça, il s’en fiche, ce qui compte c’est ce que tu vas me faire n’est-ce pas Xavier l ».
Je le regarde « Effectivement si vous vous sentez capable de la faire grimper aux rideaux devant moi je suis d’accord mais je vous préviens elle a de l’appétit. »
Paul toujours debout avec assurance
« Dans ce cas si vous l’acceptez je suis prêt à relever le défi je peux vous recevoir dans ma chambre j’ai du champagne au frais et tout ce qu’il faut pour prendre du plaisir en sécurité ».
Marie-Claude se lève à son tour
« Nous te suivons »
Nous voilà tous les trois dans l’ascenseur. Il appuie sur le bouton de l’étage au-dessus du nôtre, lors de la montée tout en promenant sa main sur les fesses de ma belle.
Lui, « ce n’est pas courant de trouver un mari qui offre sa dame pour que l’on s’occupe d’elle ».
Elle « je suppose que tu as l’habitude de draguer des femmes seules »
Lui « Il est vrai que parfois les femmes en déplacement pour leur travail, se sentent seules à l’hôtel après une journée dure journée. Certaines se laissent facilement tenter par une petite aventure j’en profite. »
L’ascenseur s’arrête nous suivons Paul dans sa chambre il est un peu plus de 15 h. La chambre bien rangée est spacieuse avec un sofa 2 places un fauteuil près d’une petite table ronde un petit frigo et un lit King size. Le cavaleur est organisé sur une des tables de chevet une boîte de préservatifs et un flacon de gel lubrifiant.
Je prends place dans le fauteuil Marie-Claude sur le sofa. Paul sort une bouteille de champagne du frigo trois verres et sert le champagne en prenant place sur le sofa à droite de Marie-Claude. Nous trinquons aux plaisirs de la vie et devisons de choses et d’autres. Marie-Claude commence à caresser la cuisse de notre hôte qui à son tour enlace ma femme pour l’embrasser sur la bouche. La coquine répond avec ardeur à la bouche entreprenante.
Je les regarde, la main de Marie-Claude est venue se poser sur la braguette déformée, ses doigts enserrent le sexe bandé qui doit se sentir à l’étroit derrière le tissu gris. Lui n’est pas en reste sa large main à empaumer le sein gauche quelques instants avant de descendre sur la cuisse en ouvrant un à un les boutons de la robe.
Maintenant offerte à la vue de l’homme Marie-Claude n’offre aucune résistance et ouvre le compas de ses jambes laissant ainsi l’accès à son intimité. La main de Paul descend sur son ventre ses doigts glissent sous l’élastique du string et continuent la progression vers une chatte déjà toute trempée comme le confirme la petite auréole sur le fond du fin rempart ivoire. L’autre main dégrafe le soutien-gorge pour libérer la poitrine.
Marie-Claude entreprend de libérer le sexe emprisonné, après avoir défait la ceinture du pantalon elle baisse la fermeture éclair et plonge la main dans le caleçon bleu pour saisir à pleine main l’objet de son désir. Elle entame un léger mouvement de va-et-vient sur la bite bandée.
Paul a désormais pris possession du sexe féminin ses doigts ont trouvés le chemin de la grotte intime et très lubrifiée de mon épouse qui écarte totalement les cuisses pour faciliter la pénétration des doigts inquisiteurs. Le floc produit par la main de l’homme suffit à démontrer dans quel état d’excitation est ma cochonne.
Leurs bouches se séparent enfin Marie-Claude se redresse retire les entraves que sont ses vêtements, Paul fait de même. Je peux comme Marie-Claude voir enfin le sexe de belle taille promis à mon épouse. D’une belle longueur la verge se dresse au milieu d’une pilosité maîtrisée. Elle affiche fièrement ses dix-huit centimètres. La tige parcourue de belles veines saillantes offre une belle épaisseur de près de 4,5 cm et se termine par un gland violacé bien décalotté qui ne manque pas d’attirer la bouche de ma coquine. Nus tous les deux ils s’approchent du lit.
Bien évidemment ma gourmande épouse s’agenouille et ne peut s’empêcher de prendre en bouche le vit tendu elle suce le gland cramoisi puis sa langue court sur les veines gonflées de la tige pour descendre gober les deux orphelines légèrement poilues. En remontant sa langue taquine le frein du pénis avant que sa bouche n’absorbe le membre bandé.
Depuis le baiser j’ai déjà pris de nombreuses photos des bouches unies, des mains baladeuses, des corps nus, maintenant de la bouche remplie et déformée par le sexe épais.
Paul apprécie la caresse, ses mains se sont posées sur la tête de la suceuse. L’une d’elles s’est saisie d’une poignée de cheveux et imprime la cadence qui lui convient pendant quelques petites minutes. L’homme relève la coquine « vous sucez divinement bien mais votre plaisir d’abord » et l’entraîne sur le lit.
Le vouvoiement à la fois classieux et suranné est très excitant
Il s’allonge sur le flanc ses mains parcourent sur le corps de ma femme offerte. Les bras, les seins, les hanches, les cuisses, le visage, aucune parcelle du corps féminin n’échappe aux caresses. La bouche du mâle se pose sur la chatte trempée, sa langue suit chaque sillon pour venir enfin sucer le bouton bandé de l’impatiente.
Marie-Claude de ses mains appuie sur la tête de l’homme pour maintenir le contact sur son clito de peur de voir la caresse s’interrompre. Elle encourage son bienfaiteur à continuer, son corps se cambre pour s’offrir encore davantage. Les gémissements de plus en plus prononcés deviennent des cris annonciateurs du plaisir qui gagne ma moitié.
« Encore plus vite je viens ouiiiii ! Mets-moi tes doigts dans ma chatte OOOOOH »
Soudain dès que les doigts s’agitent dans l’antre humide la cochonne se tend, tous ses muscles se tétanisent elle crie que dis-je elle hurle sa jouissance en libérant la liqueur de son plaisir
« ouiii je jouis ! C’est booon ! »
Puis ses muscles se relâchent. La belle vidée de la tension par son orgasme est toute ramollie sur la couche inondée de son plaisir.
Paul regarde avec les yeux brillants de satisfaction ma femme dans la plénitude de la jouissance tout en lui caressant le ventre.
« Marie-Claude vous êtes magnifique dans le plaisir, vous sucer jusqu’à l’orgasme est un bonheur je n’ai plus qu’une envie vous faire l’amour pour vous donner autant de plaisir avec mon sexe.
Marie-Claude réclame à boire, nous en profitons de cette pause pour faire de même. Sitôt le champagne avalé ma femme se met à l’ouvrage pour donner à son tour du plaisir à l’amant qui suite à cette pause a la queue à demi bandée. Elle commence par une petite pipe pour améliorer la bandaison ce qui ne tarde pas.
Paul la positionne à quatre pattes pour la prendre en levrette. La bite couverte se présente devant la chatte plus humide que jamais. D’un seul coup de rein il projette son ventre vers l’avant le braquemart disparaît entièrement dans l’antre de la belle. Il reste ainsi un léger instant sans bouger profitant de la douceur chaude de la caverne.
“Votre chatte est très confortable Marie-Claude qu’il est bon d’en prendre possession”
Elle “je te sens bien, ta queue me remplit, maintenant baise-moi, baise la salope que je suis !”
L’homme commence son va-et-vient doucement ses coups de reins sont amples et saccadés, comme un métronome il semble maîtriser la saillie de façon à la faire durer le plus longtemps possible. Effectivement la main posée sur le dos de Marie-Claude il lime de longues minutes ma femme qui doucement commence à gémir, il ne change que très peu sa cadence de pénétration jouant des hanches pour occuper la totalité du vagin de la dévergondée.
Marie-Claude qui sent son plaisir monter demande
“Vas-y plus fort plus vite pour que je jouisse baise moi comme une chienne n’hésite pas j’aime les rapports virils”
(En effet selon son humeur ma petite salope aime les rapports virils avec insultes et mêmes un peu de brutalité, son plaisir en est souvent amplifié.)
Paul toujours à l’écoute de sa partenaire l’a saisi alors par les hanches, ses coups de bites se font plus rapides, plus violents puis pour la première fois il abandonne le vouvoiement.
“Je te bourre bien poupée, tu aimes te faire baiser ? Alors je vais bien te baiser”
L’homme a du mal à s’exprimer crûment certainement son éducation bourgeoise.
Marie-Claude le provoque
“Qu’attends-tu ? Traite-moi comme une chienne, défonce la grosse salope que je suis”.
Ainsi provoqué le galant se transforme en soudard son mandrin défonce de plus en plus virilement mon épouse.
“Espèce de pute je te défonce ton garage à bites c’est ce que tu veux, traînée ? Tu aimes te faire démonter par mon gros zob”
“Oui, guerrier défonce moi bien la cramouille, j’aime me faire mettre par des grosses bites comme la tienne ! Tu m’excites ! Je suis ta chienne ! Une salope qui ne demande qu’à être baisée et jouir. Va y encore je viens ouiii !”
Paul se déchaîne ses coups de bite sont encore plus rapides plus violents et plus sonores. Ses mains attirent de plus en plus sèchement ma femme sur son braquemart le claquement des fesses sur son pubis résonnent dans la chambre. Il y a près de 20 minutes qu’il la baise !
“Roulure tu vas me faire cracher salope mais avant je vais te faire grimper aux rideaux”.
Le queutard a raison Marie-Claude est emporté par un nouvel orgasme d’une intensité supérieure au premier elle ne peut que le crier sa jouissance. Paul quitte la chatte retire son préservatif et se libère sur le cul de mon épouse en quatre puissantes giclées.
Le sperme épais coule vers la raie culière. Ayant posé mon Pentax je jouis moi aussi et j’éjacule également sur le cul de ma cochonne, le coquin étale les semences sur le postérieur de l’aventureuse femelle.
Une nouvelle coupe de champagne alimente la pause récupération. Paul reprend le vouvoiement
“Marie-Claude vous êtes une vraie jouisseuse ! Vous faire l’amour est très stimulant. Il est très agréable de constater que vous aimez cela et démarrez au quart de tour votre gourmandise pour le sexe fait plaisir à voir.
Le galant ne croit pas si bien dire Marie-Claude, a déjà posé les mains sur la verge de son amant pour réveiller le sexe ramolli. Elle se penche sur le morceau de chair afin de s’aider de la bouche. La succion de cette bouche diabolique produit son effet. Le membre gonfle et se redresse en se rigidifiant en quelques secondes. Elle entraîne le coquin sur le lit.
Paul est sur le dos dominé par Marie-Claude qui s’est positionnée pour un soixante-neuf. Les caresses buccales échangées font grimper la tension. J’actionne de nouveau mon appareil photo. Les deux amants sont engagés dans une nouvelle joute.
Marie-Claude se retourne pour chevaucher son étalon, elle s’empale sur le mât dressé qui disparaît dans la grotte intime. Elle ondule du bassin, frotte son clito sur le pubis poilu. La monture commence à ruer et donne des coups de queue désordonnés. Ma petite salope s’active sur le mâle, elle se déchaîne suivi en cadence par l’homme expérimenté. Cette chevauchée dure… Dure de très longues minutes, le couple exprime bruyamment son plaisir Marie-Claude jouit encore une fois. Mais Paul ne faiblit pas il continue avec son gourdin d’aller et venir dans le fourreau humide.
La ligne d’arrivée se dessine enfin, les deux jouissent de concert dans une pluie d’onomatopées. Marie-Claude après s’être cabrée au moment de l’orgasme s’écroule sur son amant. Leurs bouches se joignent pour un baiser intense de remerciement.
Peu à peu le membre de l’homme, quitte le repaire humide, toujours coiffé de son préservatif dont le réservoir est rempli de l’humeur masculine blanchâtre. Les deux amants, profitent pleinement de ces moments langoureux, nullement pressés de rompre le contact de leurs corps.
C’est Paul qui le premier se détache de mon épouse tout en l’embrassant. Il se redresse se débarrasse du préservatif et demande à Marie-Claude de le sucer. La bouche sait redonner une raideur à la bite qui se retrouve de nouveau emballée. Paul se place entre les cuisses pose les jambes de la belle sur ses épaules et la pénètre il la pistonne longuement puis quand elle redémarre il libère les jambes de sa partenaire pour finir en position du missionnaire. Les deux amants baisent à l’unisson et les yeux dans les yeux finissent par jouir ensemble. Après s’être embrassé le couple se sépare.
J’annonce qu’il est l’heure de quitter notre hôte.
Paul regarde Marie-Claude et se tourne vers moi
‘Xavier je vous remercie de m’avoir offert l’opportunité de faire l’amour à votre magnifique épouse. J’ai passé un après-midi magique Marie-Claude est une amante remarquable le plaisir qu’elle prend n’a d’égal que celui qu’elle donne’
Puis se tournant ‘Marie-Claude ! Voulez-vous passer sous la douche’
Moi ‘Marie-Claude se douchera dans notre chambre car nous allons vous laisser nous avons d’autres obligations’.
Paul je vous remercie votre classe et votre savoir-faire (tiens moi aussi je le vouvoie !) a permis ces moments de plaisir.
Paul sert une dernière coupe de champagne, se tourne vers ma femme et l’embrasse
‘Vous n’allez pas partir sans lever nos verres au plaisir et à Marie-Claude qui s’est si généreusement donnée entre mes bras’.
Marie-Claude ‘Paul merci tu m’as bien fait jouir j’ai adoré que tu me baises cet après-midi j’espère que nous aurons l’occasion de nous revoir ! Merci chéri d’avoir organisé cette rencontre et merci pour ton choix’ (finalement il n’y a que Marie-Claude qui tutoie aujourd’hui).
Lui, ‘ce sera avec plaisir car il me reste votre œillet à cueillir avec ma tige’.
Nous discutons en buvant la dernière coupe. Marie-Claude enfile sa robe sur son corps nu, elle récupère ses sous-vêtements me les donne afin que je les mette dans ma poche. Il est un près de dix-sept heures nous prenons congé du second libertin de notre voyage. Marie-Claude et moi, après cet après-midi avec Paul, rejoignons notre chambre. Sitôt arrivés excités par ces deux heures de sexe, nous faisons l’amour et partageons un nouvel orgasme.
J’informe Marie-Claude, à qui je demande de se préparer, que nous avons un rendez-vous à 20 heures 30 et que nous prendrons un dîner léger avant.
Je passe sous la douche puis Marie-Claude me succède pour une toilette complète. Ma chérie enfile un string noir en dentelle et soutien-gorge demi-sein rouge qu’elle recouvre d’un chemisier de dentelle rouge et d’une courte jupe évasée noire. Un léger maquillage et nous sommes prêts pour aller dîner.
À suivre !
Véronique
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