Marie-Claude libertine 39 retours à Lyon prise au piège 1/2
Petit rappel : Au cours de l’été 2014 mon épouse Marie-Claude et moi Xavier avons passés quelques jours de vacances itinérantes avec plusieurs aventures libertines Du 04 au 08 octobre 2014 nous avons cinq jours de congés Marie-Claude souhaite que je reprenne contact avec Jean-Philippe et Jacques que nous avions rencontrés à Lyon en août dernier. J’envoie un SMS à Jacques : nous serons à Lyon les 06 et 07octobre veux-tu nous rencontrer. Par retour il répond : OK je vais tenir la promesse faite à Marie-Claude. Je vous confirme les éléments dès que possible.
Nous partons de bordeaux le dimanche 05 octobre vers huit heures et après la pause repas à Clermont Ferrand sommes à Lyon vers 16h30. Nous nous reposons avant de sortir dîner puis nous allons au ciné voir [la ligue des gentlemen extraordinaires avec Sean Connery], à la sortie la température est un peu fraîche nous sommes donc rentrés direct à l’hôtel. J’envoie un SMS à Jacques : arrivés à Lyon pour 2 jours.
Le lundi matin je me réveille vers six heures je caresse le corps de celle qui partage ma vie depuis trente ans. Lentement elle se réveille, s’étire je la regarde et la trouve toujours aussi belle, un cunnilingus qui brise le silence de la chambre et une fellation toute aussi efficace, la journée débute sous de bons auspices. (Nous sommes encore loin de nous douter de ce qui nous attend).
Habillés décontractés nous descendons prendre notre petit-déjeuner car même si selon le dicton

« On peut vivre d’amour et d’eau fraîche »
Notre estomac réclame. Le soleil est déjà bien présent le petit-déjeuner est rapidement avalé. En remontant dans notre chambre je reçois un SMS de Jacques :
Prêts à vous faire ramoner. RDV ce matin entre 11h00 et 11h30 maxi à l’adresse qui suit xxxxxxxxxx.
J’informe Marie-Claude de notre RDV avec Jacques et Jean-Philippe en fin de matinée. La toilette complète faite Marie-Claude se maquille, elle enfile une robe portefeuille blanche uniquement fermée par une ceinture bleu marine sur un ensemble string soutien-gorge de voile blanc et des chaussures talon bleu marine, pour moi ce sera pantalon de toile gris avec une chemisette bleu ciel. Nous avons près de deux heures pour nous balader et regarder les vitrines du quartier Marie-Claude couvre ses épaules d’un châle bleu marine moi j’enfile ma veste noire, nous partons vers 9h00. À dix heures quinze Marie-Claude me demande de passer à l’hôtel de l’attendre au bar. Pendant que je lis la presse elle monte en chambre. Dix minutes plus tard elle revient son maquillage est allégé, ses sous-vêtements ont disparus je lui en fais la remarque.
« Vu ce qui m’attend je n’ai envie ni de finir barbouillée de rouge à lèvres avec des traces de rimmel sur le visage et comme cela ma lingerie ne finira pas dans tes poches».
Nous prenons un taxi pour rejoindre Jacques. Marie-Claude tout émoustillée voit Jacques attendre à l’angle de la rue elle me sourit il est 11h00. Il s’approche, je règle le taxi, Jacques embrasse Marie-Claude sur la bouche et me serre la main.
Jacques : « Bonjour les amis heureux de vous voir je constate que Marie-Claude est en beauté».
Il glisse la main par l’ouverture de la robe pour la caresser. Il sourit en constatant l’absence de sous-vêtement.
Jacques : « Rejoignons Jean-Philippe il nous attend au bar ».

Nous arrivons devant une double porte avec sur la moitié haute des vitres en verre dépoli avec motif puis au-dessus des vasistas, à côté une petite vitrine avec le même motif. Une enseigne lumineuse défraîchie indique : BAR. Sur la porte est scotchée une affichette rédigée à la main: [fermeture exceptionnelle ce lundi de 12h00 à 17h00].
Jacques ouvre la porte, une musique afro résonne. Nous entrons dans le bar, au milieu une large allée sur la droite un long comptoir, sur la gauche des petites alvéoles (équipées de banquettes et de tables basses) séparées par des claustras. Une dizaine de clients, en majorité black, consomment au comptoir. Sous les regards appuyés de ces clients Jacques tient Marie-Claude par la taille et nous conduit vers le box du fond de la salle.
Lui : «C’est notre place habituelle»
Dans l’alvéole Jean-Philippe nous attend il est en compagnie de trois hommes noirs.
Jacques « : je ne vous présente pas Jean-Philippe, voici Demba et Sadio Sénégalais, lui, c’est Koffi ivoirien. Les gars je vous présente nos amis Marie-Claude et Xavier. »
Nous saluons les quatre hommes qui se sont levés pour nous accueillir. Nous prenons place sur la banquette face à eux : moi contre le mur, puis Marie-Claude avec à sa droite Jacques puis Jean-Philippe. Le patron arrive avec les boissons (une bouteille de whisky, jus d’orange et coca). Jean-Philippe sert le 1er whisky avec coca pour Marie-Claude Jacques Koffi et Jean-Philippe, avec jus d’orange pour moi et jus d’orange seulement pour Demba et Sadio.
Sadio nous regarde « vous êtes amis depuis longtemps avec Jean-Philippe et Jacques ? »
Embarrassé, je ne sais pas trop quoi dire sur notre rencontre.
« Cela fait à peine deux mois. »
Jacques : «Avec Jean-Philippe nous avons rencontré Marie-Claude et Xavier un soir d’août nous avons passé une soirée super sympa je les, ais invités aujourd’hui sûrs que Marie-Claude apprécierait de vous connaître.
N’est-ce pas Marie-Claude». (Plein de sous-entendus)
Marie-Claude : « bien sûr, pourquoi pas ».
Les discussions vont bon train au fur et à mesure que les verres se vident. Marie-Claude et moi faisons l’objet de beaucoup de questions de la part des Africains si nous éludons une question Jacques se charge de prendre la parole revenant souvent sur des thèmes sexuels et les qualités de Marie-Claude en ce domaine.
Les trois Africains ne quittent pas Marie-Claude du regard. Ils ne peuvent ignorer qu’elle est seins nus tant les pans de sa robe se sont ouverts sous les caresses appuyées de Jacques mais ont-ils remarqué entre les cuisses largement découvertes l’absence de sous-vêtement ?
Marie-Claude à la fois gênée et très excitée par ces regards, s’agite sur la banquette. Elle aussi observe avec gourmandise la déformation des pantalons des trois hommes. Tout le monde est de plus en plus excité par les discussions et l’alcool.
Marie-Claude me dit à l’oreille
« Je mouille comme une salope je suis sûre que Jacques leur a raconté notre soirée à la façon dont ils me regardent ils ne pensent qu’à me baiser ça sent le piège organisé par Jacques».
Moi « c’est ce qu’a voulu dire Jacques l’autre jour : remettre ça pour te donner encore plus de plaisir. Ça te fait peur ? »
Elle « Oui et non, je dirais plutôt que ça m’excite et me fait peur à la fois. Je ne sais pas j’en ai envie j’ai souvent rêvé de baiser avec des noirs mais je ne sais pas si cinq hommes dont trois blacks c’est raisonnable ? »
Le temps passe, les verres se succèdent, Demba sert par-dessus la table et comme pour se tenir sa main se pose haut sur la cuisse de Marie-Claude le regard plonge entre les seins à demi découverts de ma tendre. Je remarque qu’à chaque fois la dose d’alcool qui nous est versée est plus généreuse.
Au quatrième verre Marie-Claude et moi commençons à ressentir les effets de l’alcool. Les boissons absorbées depuis près d’une heure donnent à Marie-Claude l’envie d’aller se soulager, elle demande à Jacques où sont les toilettes. Il lui indique la porte à côté du bar. Elle se lève passe devant Jacques qui lui caresse les fesses en relevant sa robe exposant à tout le petit cul de Marie-Claude. Ses copains ont pu se rincer l’œil. Les discutions se poursuivent alors que Demba a disparu.
Un peu plus tard j’aperçois Demba qui parle à Ousman le patron.
Marie-Claude revient à la table se penche vers moi et discrètement me raconte :
« Chose rare les toilettes propre et parfumé sont spacieuses avec des urinoirs, un lavabo avec un miroir et un seul WC. Je m’y engouffre c’est assez grand et mais le verrou est cassé. Je m’installe après avoir essuyé l’assise.
J’entends la porte extérieure, quelqu’un entre juste quand je me libère enfin. Le bruit de ma miction résonne dans le local. Je sursaute quand derrière la porte une voix grave avec l’accent dit : hé bien Marie-Claude c’était une grosse envie. La porte s’ouvre le mètre quatre-vingt de Demba apparaît dans l’embrasure de la porte, il entre referme la porte et s’adosse à celle-ci.
Je lui réponds « c’est Marie-Claude et je ne t’ai pas invité à entrer, que veux-tu ? »
Il me dit : Marie-Claude j’ai envie te baiser et le regard gourmand que tu as posé sur nous me dit que toi aussi tu as envie de voir et toucher ce que j’ai dans mon pantalon pour te baiser.»
Joignant le geste à la parole il dénoue sa ceinture baisse son pantalon pour exhiber une queue énorme avec un gland conique. Le sexe n’est pas encore bandé, je ne peux m’empêcher de tendre la main et le toucher du bout des doigts il s’approche. Son membre entre mes mains grossit encore je ne peux qu’embrasser et suçoter le braquemart en attrapant ses couilles avant de dire:
« Je sais je suis curieuse et j’aime ce que je vois mais pour me baiser il te faut voir Xavier il aime me voir baiser mais nous devons avoir son accord.».
Pendant ce bref instant sa main se pose sur ma chatte son pouce me taquine le clito et ses doigts visitent ma moule déjà toute baveuse.
Je me relève essuie ma chatte et, la pousse pour sortir. Il s’écarte me laisse passer et m’accompagne d’une main au cul. Je me lave les mains au lavabo. Dans le miroir j’aperçois derrière moi son visage sombre, son sourire dévoile ses dents. Il relève ma robe et frotte sa tige contre mes fesses nues, je ne me dérobe pas et tends plutôt mon cul pour bien sentir la massue désormais durcie du cochon. Le coquin en profite pour poser sa main sur ma chatte humide. J’écarte légèrement les cuisses pour m’offrir à la caresse et sens sa queue se glisser entre mes cuisses. Je me redresse baisse ma robe et sors des toilettes, lui remballe son sexe et me suit»
Quand Demba revient à la table Jean-Philippe demande
« Il y a un problème ? »
Demba répond « non au contraire ».
Il me regarde et me fait signe d’approcher, je me déplace pour aller près de lui.
Il me chuchote « Xavier ! Ta femme veut bien goûter de mon zob si tu donnes ton accord. Tu as sans doute remarqué qu’elle en a très envie, moi et mes potes aussi. Si tu aimes la voir se faire baiser ça va te plaire crois-moi ! ».
Cela a le mérite d’être clair. Je regarde Marie-Claude : ses yeux brillant, son sourire et le signe de tête me disent oui.
Je réponds « si elle en a envie, pour moi c’est OK, mais avec capote et c’est elle qui décide».
En me serrant la main Demba me retient et enjambe la table pour prendre ma place à côté de Marie-Claude
Demba : « Merci mec, tu permets que je me mette à côté de ta femme ».
Je prends place en face j’observe ma femme qui m’adresse un sourire en posant sa main sur le haut de la cuisse du Sénégalais. Demba, fort de mon accord, prend la main de Marie-Claude la guide dans son pantalon sur son sexe bandé.
Koffi et Sadio, chacun la main sur leur pantalon, se massent le sexe.
Ils défient leur ami :
« Tu crois qu’elle peut ouvrir sa robe et te sucer devant nous»
Demba me regarde, lève Marie-Claude docile puis défait la ceinture et lui retire sa robe. Ensuite une main derrière la nuque de ma moitié il l’accompagne sur sa queue sortie du pantalon. La bouche grande ouverte de mon épouse a du mal à l’accueillir. Le gland disparaît enfin dans la bouche qui entame une fellation.
Sadio « Xavier ! Regarde comment ta femme suce la bite de Demba elle a l’air d’aimer ça la salope! »
En voyant les hostilités lancées Jacques fait signe à Ousman le patron malien qui lance
« Je ferme »
La clientèle avait déjà diminué, le patron fait sortir les quelques clients restants. Le bar se vide. En sortant un grand black de près de deux mètres qui a vu la scène, dit :
« Ousman si tu as besoin de renfort t’appelle Ahmadou»
Le patron sourit « OK, OK »
Il baisse le rideau métallique de la façade et verrouille la porte il est à peine 12h00.
Le piège se referme tout était prévu. En un tour de main Ousman aidé de Sadio et Koffi tirent deux assises de banquettes ainsi qu’une table dans l’allée. Il pose sur la table basse un bocal plein de préservatifs en majorité de grande taille et un rouleau de papier essuie-tout. Dans l’alvéole Marie-Claude déshabillée est prise en main par Jacques et Demba qui la poussent vers l’allée. Finalement les cinq amis et Ousman se mettent nus. Je me mets nu pour être à l’unisson. En voyant les six hommes en tenue d’Adam autour de Marie-Claude je regrette d’avoir oublié mon appareil photo à l’hôtel pour fixer ce qui se prépare.
Tout comme Marie-Claude j’observe ces hommes. Demba et Ousman ont les sexes les plus impressionnants outre la longueur très au-dessus de la moyenne près de 23 cm, l’épaisseur est incroyable au moins cinq cm, si le sexe du premier est de taille régulière le gland est pointu et ne déborde presque pas de la tige, le sexe du second ressemble à un champignon le gland large et légèrement arrondi dépasse de la tige de plus d’un cm. Koffi et Sadio sont aussi gâtés mais dans une moindre mesure vers les 20 cm le premier épais de 4,5 cm le second près de 5 cm, aussi face à eux les sexes de Jacques et Jean-Philippe environ 18×4 et 17×4,5 semblent petits. Le mien ridicule. J’approche un tabouret de bar pour m’asseoir afin de mieux assister au spectacle, Marie-Claude est vite recouverte de mains. Elle se retrouve penchée sur la bite d’Ousman qui lui déforme la bouche bien que seul le gland soit entré. Elle s’accroche avec les mains aux bites de Sadio et Koffi alors que Demba, passé derrière mon épouse, se couvre le braquemart. Il prend possession de la chatte luisante de mouille malgré les dimensions imposantes de son organe, son gland repousse sans mal les parois du vagin pour s’y loger, en même temps l’homme gratifie les fesses blanches de bonnes claques.
À chaque coup de reins le mandrin de Demba disparaît un peu plus à l’intérieur de la chatte, son pubis vient claquer sur les fesses rosies par les claques. Demba pénètre au plus profond cette chatte accueillante. Jacques et Jean-Philippe se branlent, de l’autre main ils caressent le corps de ma femme qui s’offre totalement aux caresses, ses seins sont malaxés ses tétons pincés ou sucés Jacques encouragent ses amis :
« Allez les mecs montrez à notre amie que les blacks savent se servir de leurs grosses bites. Je vous l’ai dit on va la baiser comme son mari ne peut le faire avec sa petite bite».
Il ajoute en me regardant :
«Ça te plaît cocu, profite du spectacle tu vas voir comment de vrais mâles vont baiser ta salope. Avec mes potes on va la défoncer toute l’après-midi et si elle en veut encore on appellera du renfort.»
De mon côté, excité par ces paroles, je me surprends à penser appelle tout de suite du renfort, mais six queues pour elle cela doit suffire à venir à bout de son plaisir. Devant le spectacle de ma moitié, au milieu de ces hommes en rut, avec une grosse queue noire dans la chatte et une autre dans la bouche je me caresse doucement en prenant garde à ne pas jouir trop vite.
Marie-Claude excitée depuis qu’elle s’est préparée pour retrouver Jacques et Jean-Philippe n’imaginait pas que cela finirait en gang-bang. Dès notre arrivée au bar la présence de ces blacks n’a fait qu’exacerber son excitation. Devant cette farandole de sexes qui se baladent devant ses yeux et qui vont la baiser elle ne tarde pas à jouir bruyamment une première fois sous les caresses des mâles et les coups queue de Demba. Elle abandonne la grosse bite d’Ousman pour crier
« Oui je viens ! Encore je viens ouiiiiii ! »
Demba continue de pilonner la chatte de Marie-Claude et quelques minutes plus tard elle jouit une seconde fois lorsqu’elle sent les secousses du braquemart de Demba qui éjacule au fond de son ventre et qu’en même temps l’énorme bâton couleur réglisse d’Ousman lui inonde la bouche et le visage.
Elle avale : « hummm c’est bon ! Vous m’en avez mis une bonne dose »
Ce que confirme le préservatif rempli de semence qui pendouille au sexe de Demba.
Jean-Philippe des doigts récupère le sperme d’Ousman sur le visage de Marie-Claude, qui a déjà avalé celui qu’elle avait en bouche, il lui relève la tête en arrière et met ses doigts dans la bouche de la gourmande.
Jean-Philippe : « avale le jus de black tu ne dois rien gâcher »
Ce qu’elle fait bien volontiers.
Jacques prend la relève dans la grotte intime et lui aussi gifle sèchement le cul rougi de Marie-Claude en la traitant de salope tandis que Sadio se fait sucer à son tour. Jean-Philippe place sa queue dans la main libre pour se faire branler. Sadio après quelques minutes se vide dans la bouche de Marie-Claude qui ne perd rien du breuvage. Quand il se retire Sadio bande encore mais il laisse la place à Koffi qui baise la bouche de ma moitié. Il est tellement excité par cette pipe que, lorsqu’elle jouit en même temps que Jacques, il éjacule entre les lèvres de la cochonne.
Cela fait plus d’une ½ heure que le spectacle a commencée je me régale de voir Marie-Claude déchaînée elle en est à son troisième orgasme et c’est au tour de Sadio de la baiser il la besogne longuement en la traitant de tous les noms,
« Salope vide couille pompe à foutre chienne etc.… »
Avant de se vider dans sa chatte pendant que Jean-Philippe se vide à son tour dans la bouche de ma femme.
Il est 13h10 chacun des mâles a éjaculé au moins une fois, trois ont remplis leurs préservatifs dans sa chatte, quatre l’ont abreuvé de leur semence. Marie-Claude, le visage maculé de traces de sperme, les fesses rougies par les claques reçues, réclame encore…
« Allez baiser, moi, tous je veux vos bites »
Ousman de nouveau en forme met Marie-Claude à quatre pattes sur la table basse et la prend en levrette. Il lui défonce la cramouille tout en lui perforant le cul avec deux doigts.
« Tu es une belle salope, t’aimes te faire troncher par de la grosse bite sale chienne ».
Elle « oui je suis une chienne qui aime se faire démonter par des grosses queues profitez-en ».
Lui « elle est bonne la grosse trique qui te bourre la chatte hein ! Tu le sens bien, mon gourdin, petite pute »
« Ho Oui ! Je sens ton champignon bien dur m’élargir le vagin et buter sur mon utérus tu me remplis le ventre baise moi plus fort ouiii je viens haaaar ouiiiii».
Son orgasme n’arrête pas le Malien qui continue de la troncher.
Ousman sent son plaisir monter, il se retire et présente son gland sur le petit œillet et pousse.
Marie-Claude crie : « aïe ! Aïe! Arrête, tu es trop gros pour m’enculer »
Elle se dégage.
Ousman retire son capuchon, se branle et éjacule sur la raie des fesses. Son sperme coule sur le petit œillet. Jacques en profite pour venir planter d’un coup son dard dans le petit trou ainsi lubrifié. La cochonne n’a pas eu le temps de réagir qu’elle est enculée à fond. Jacques lui ramone le conduit elle l’encourage :
« Oh oui Jacques ramone, moi, le cul c’est bon »
Sadio propose : « si on prenait cette salope en double.
Jacques soulève Marie-Claude et, sans sortir du cul accueillant, s’installe sur la banquette derrière lui, ainsi Sadio se place face à Marie-Claude. Il la prend sous les creux poplités pour lui relever les jambes et d’un coup de reins s’introduit dans la moule baveuse.
Ma femme n’est qu’un pantin entre les deux mâles qui s’activent en elle, sa tête balance de gauche à droite elle gémit, les encourage.
« Bourrez-moi bien mes salops c’est bon faites-moi jouir encore »
Autour les autres se branlent devant le spectacle. Demba grimpe sur la banquette se branle au bord de la bouche entrouverte, parfois il pousse son gland dans la cavité buccale. Les six hommes finissent par se vider qui dans son cul, qui dans sa chatte, qui dans sa bouche, sur ses seins ou son visage.
Voir mon épouse ainsi offerte, défoncée, couverte de sperme et jouir autant m’a fortement excité je me joins à eux et me vide sur son ventre. Ousman lui donne le rouleau d’essuie-tout pour un nettoyage rapide.
Tout en buvant un coup pour récupérer les participants discutent qui sera le prochain à baiser ma vicieuse ? Le patron demande à Demba de l’aider ils reviennent avec une table haute qui était sur le côté du bar.
Ousman « si Marie-Claude est d’accord pour un tour de manège je propose qu’elle se couche sur la table nous autour. Nous la baisons chacun notre tour dans la chatte, le cul ou la bouche en essayant de la faire jouir encore.»
Marie-Claude « oh oui les mecs ! J’adore l’idée du manège! Défoncez-moi, éclatez-moi que je jouisse encore ! Mais doucement pour mon cul pas Demba et Ousman».
Les six hommes, sexe bandé et couvert, prennent place autour de la table et c’est Jacques qui lance les hostilités. Il pénètre sans difficulté la chatte luisante de mouille il donne quelques coups de reins « allez les mecs elle est chaude comme la braise sa moule coule d’excitation ».
Et il se retire.
Koffi le remplace il la pilonne avec ardeur
« salope t’aime la bite on va t’en donner »
Après quelques coups de bite il laisse la place au Malien.
La pénétration brutale de l’engin monstrueux d’Ousman provoque la réaction de ma femme
« Aïe hoooo oui qu’elle est grosse que c’est bon ! aah reste Baise-moi encore !»
Réprobation des autres participants
« Tout le monde pareil ».
Ousman à regret quitte la chaude caverne pour être remplacé par Jean-Philippe.
Marie-Claude se sent bien ainsi offerte, elle qui regrette la grosse queue d’Ousman n’en gémit pas moins sous les coups de boutoir de Jean-Philippe qui a choisi le petit trou. C’est au tour de Sadio il embroche violemment ma moitié. Au moment où Koffi éjacule sur son visage Marie-Claude se met à trembler et dans un cri elle est emportée par un nouvel orgasme :
« Je jouiiiiaaaaaahouiiiii encore c’est bon ouiii encore reste continue»
Sadio profite de l’aubaine pour la pilonner un peu plus car les mâles, queue à la main, sont subjugués par le spectacle de la jouissance de ma femme.
Jacques : « ohé Demba on ne s’endort pas c’est ton tour »
Le Sénégalais ne se fait pas prier il présente sa bite énorme et d’un coup de reins pénètre la crevasse déjà bien ouverte.
« Allez ! Ma poulette on va te remplir d’une bonne grosse bite de black petite chienne »
Marie-Claude grimace à peine en sentant l’énorme chibre lui écarter les chairs rapidement elle miaule de bonheur et croise les jambes derrière les reins de Demba pour le garder bien au fond.
« Vas-y défoncer moi fait moi jouir à ton tour.
Certains contestent Ousman intervient
« Tout le monde est passé donc Marie-Claude veut qu’il la baise à fond c’est son choix et on laisse faire, nous la baiserons après ».
Grâce à cette intervention Demba laboure de plus en plus énergiquement la terre promise et ne semble pas vouloir s’arrêter.
« Ça te plaît de te faire tringler par mon gros zob Traînée tu vas crier de plaisir et demander pitié à Demba tellement il te défonce ton garage à bite ».
Caressés par une dizaine de mains les seins malaxés Marie-Claude sont en délire
« Oui caressez-moi ! Demba pine moi bien démonte, moi, avec ta grosse bite, je viens je viens ! Ramone-moi, tronche-moi, vide-toi les couilles ouiii le pied je jouis…OOOOOH que c’est bon »
Elle se tend sous le plaisir ses mains s’accrochent et griffe aux hanches l’Africain qui la possède. Je n’en peux plus je me branle de plus en plus vite j’éjacule une nouvelle fois.
Demba continue de l’enfiler
« haaar chienne t’aime baiser avec les noirs hoooo! Je crache mon jus salope que tu es bonne hautain»
Il effectue encore quelques va-et-vient histoire de bien se vider et l’embrasse sur la bouche.
Il recule retire son préservatif rempli d’une bonne dose de semence blanchâtre il tend les bras
« Ouvre la bouche petite garce »
Marie-Claude ouvre la bouche langue en avant, Demba verse le liquide sur la langue mutine
« Avale le jus de réglisse gourmande »
Mon épouse le regard provocateur rentre la langue ferme la bouche et les yeux plantés dans ceux du queutard elle avale le sperme puis ouvre la bouche pour le prouver.
« J’adore s’il y a d’autres volontaires je suis prête, après un petit verre de coca! »
Il est 14h30 Tout le monde boit un coup avant de reprendre les hostilités. Marie-Claude vient dans mes bras, m’embrasse me caresse la queue :
-« Merci chéri pour cet après-midi je sens que ce soir tous mes trous auront eu leur dose de coups de bites alors n’hésite pas à prendre ton tour à moins que tu préfères te faire enculé toi aussi ».
Je ne réponds pas mais lui souris, elle se positionne à quatre pattes sur une des deux assises prête à s’offrir pour de nouvelles saillies…
C’est Koffi qui le premier lui prend la chatte pour lubrifier sa bite avant de changer de trou. Sa bite est plus grosse que celle de Jacques et Jean-Philippe qui ont été les seuls à l’enculer aujourd’hui. Il force un peu le petit trou.
Marie-Claude grimace à peine mais son cul accueille la tige de l’Ivoirien qui va et vient dans le rectum accueillant.
Sadio décide de profiter de la bouche entrouverte de la gourmande il se place à califourchon sur le banc devant Marie-Claude qui plie les bras pour se mettre sur les coudes et se fait plaisir en prenant en bouche le Sénégalais. Elle suce avidement le mât dressé. Chaque coup de reins de Koffi projette la gourmande sur chibre du Sénégalais.
Marie-Claude la bouche pleine ne peut exprimer que par des
« Hum,hum »
Le plaisir d’être prise ainsi par le cul et la bouche surtout que Koffi et Sadio sont très actifs. Koffi jouit son membre ramolli sort du trou le préservatif garni de sa purée.
Sadio vient prendre la place mais le diamètre plus gros Ousman le Malien arrive avec du lubrifiant en verse un peu sur l’œillet de Marie-Claude et sur le mandrin de Sadio qui enduit son engin d’une main et de l’autre assouplit sa cible avec les doigts. Il présente son gland sur la pastille brune lentement le gland progresse et perce le petit anneau ridé.
Marie-Claude souffle elle sent la tension de son orifice sans aucune douleur d’autant que le patron lui astique le clito. Le mandrin de Sadio disparaît totalement les grosses couilles du Sénégalais entrent en contact avec la chatte humide. Il commence à ramoner le conduit anal lorsque Ousman vient se glisser sous mon épouse il guide son énorme sexe dressé vers la chatte luisante de mouille.
Cette nouvelle pénétration distend encore les chairs de ma cochonne qui se met à vocaliser Marie-Claude :
« OOOOOH houa ! Doucement tu m’écartèles la chatte avec ton braquemart, vous m’ouvrez en deux! Non aïe.aie.ouille houuuhooooouiiiii continue »
Cette fois elle est remplie par les bites de Sadio et Ousman elle s’habitue peu à peu à cette présence hors norme dans ses entrailles.
Les deux blacks se mettent en mouvement de façon concomitante. Sous les coups de reins des deux hommes la salope réagit à cet accouplement viril. Aucun doute elle aime être prise en double, son plaisir monte, sa tête s’agite au gré des coups de queues. Les mâles marquent leur domination sur ma femme soumise par la vigueur des pénétrations accompagnées de tapes sèches sur ses fesses et par des insultes la traitant de tous les noms :
« Espèce de chienne t’aimes te faire baiser par des blacks putain, Traînée. Tu vas en avoir des grosses bites cet après-midi»…
À suivre…
Ajouter un commentaire