Marie-Claude libertine 4 — (L’air du Pacifique) Bon anniversaire
Au printemps 2002 la société m’envoie dans le pacifique comme conseiller technique pour 2 ans. Muriel nous accompagne. Sur l’île paradisiaque pour les 27 ans de mon épouse en juillet, nous allons au restaurant fêter l’évènement. Marie-Claude porte une robe fuchsia (arrivant au-dessus du genou) un décolleté profond met en valeur la poitrine ferme et libre, un fendu jusqu’en haut de la cuisse et un petit string. Pour moi c’est un pantalon léger de toile beige et une chemisette Jaune.
Après le dîner bien arrosé, nous sommes un peu chauds. À pied nous longeons la plage, nous asseyions sur un banc je lui retire son string, le fendu de la robe me permet de la caresser sans entrave, la chérie commence à mouiller. Nous allons vers un bar dans un coin où une table est libre, nous prenons place face à face à et commandons 2 cognacs.
Un homme beau allure 1 m80 environ 35 ans quitte le bar s’approche et demande s’il peut s’asseoir avec nous. Nous consentons Marie-Claude se déplace légèrement, il s’installe à côté d’elle après avoir rapproché une chaise. Il engage la conversation « je m’appelle Stanley ! Vous êtes nouveaux sur l’île ? … Il nous explique en riant : “je suis assureur avec mon ami nous sommes abandonnés nos épouses ont une soirée entre filles”. Malgré le bruit nous discutons de notre séjour dans l’île, des habitants aussi la particularité de ce bar “il est fréquenté par des travestis, des rae-rae”.
La conversation bat son plein. Une nouvelle tournée de cognac arrive sur la table, Marie-Claude commence à avoir les joues rouges. Elle se penche sur la table pour me susurrer.
“Xavier il me caresse la cuisse”.
Je lui dis “laisse le faire”.
Je fais tomber un billet au sol. Je le ramasse et constate sous la table qu’il progresse entre les cuisses de ma belle et fait la connaissance de son intimité.
Elle me confirme lorsque je me redresse “il me branle le clito”. Je lui fais un clin d’œil que Stanley voit.
Il comprend sourit et demande si son copain John qui est timide peut se joindre à nous ce que nous acceptons. L’homme plus trapu s’approche et s’assied près de moi.
Après deux autres verres Stanley propose
“allons chez moi prendre le champagne en l’honneur de Marie-Claude”.
J’interroge Marie-Claude du regard.
Elle : “Pourquoi pas rien ne nous en empêche”.
Nous nous dirigeons tous les quatre vers le domicile de Stanley. Durant le trajet il confie que c’est plutôt sa garçonnière.
Arrivé dans le studio il débouche le champagne sert quatre coupes, nous fait visiter les lieux une petite cuisine, une douche, une grande pièce avec une table et un grand lit il termine par le balcon. Ma douce et moi regardons la ville, appuyés sur la rambarde en compagnie de John. Marie-Claude me donne un coup de coude je me retourne et vois Stanley agenouillé Il a remonté sa robe et lui prodigue une feuille de rose que la coquine apprécie. Après cette entrée en matière nous retournons dans l’appartement vider nos coupes.
Stanley s’adresse à Marie-Claude : “j’ai tout de suite remarqué l’absence de sous-vêtement sous ta robe fendue et pensé que tu étais une cochonne ou une allumeuse. J’ai décidé de tenter ma chance si ton homme t’exhibe il assume le risque.” La coquine répond :
“Xavier adore que je sois provocante, que je me fasse draguer et il adore me voir baiser.”
Lui en levant sa coupe :
“bon anniversaire Marie-Claude comme cadeau ce soir on va te faire ta fête. Buvons !”.
John : “à la vôtre”
Nous : “Santé !”
John : “Nous sommes sains, Je ne veux pas ramener de saloperie à ma femme ! Et vous ?”
Elle : “oui ! Nous n’avons pas ce genre de problème.”
Stanley me regarde : “Ce soir ta belette est pour nous ! Ce sera sans capotes ! Tu regardes, tu n’interviens pas ! OK ?”
D’une voix autoritaire il répète “OK”.
Moi : “oui j’ai compris elle est à vous, je reste observateur” C’est la première fois que je suis confronté à un homme autoritaire. Je ressens un sentiment bizarre teinté de crainte que cela ne dérape et d’excitation.
Il regarde ma femme :
“Toi allumeuse tu m’appelles chéri.”
Marie-Claude sollicitée par les deux coquins est rapidement nue. Elle se pâme sous les caresses et doigts inquisiteurs.
Ils se déshabillent et arborent fièrement des sexes bandés de bonne taille. Ils entraînent la miss sur le lit.
Tout émoustillé, je me pose sur une chaise et les regarde. Ma petite queue se dresse dans mon pantalon.
Stanley est à genoux sur le lit, la queue tendue :
“Toi salope montre que comme tu suces bien”.
Il guide avec autorité la bouche de ma moitié vers sa trique, le gland franchit les lèvres et vient buter au fond de la gorge.
Ma poupée à un haut-le-cœur et recule. Stanley tient fermement la tête suceuse sur La tige enduite de salive.
Il lui baise la bouche tandis que John suce la chatte déjà humide. Il aspire le bouton, l’agace de la langue.
Stanley l’encourage : “John bouffe, lui, bien la chatte elle adore écoute la gémir ! Toi morue suce moi bien ! Les couilles aussi elles vont fournir de quoi t’abreuver.” John lève la tête : “elle est hyperchaude elle coule comme une fontaine, la garce va m’étouffer tellement elle me serre entre ses cuisses. Je crois que ça la stimule d’être bousculée la pouffe” Marie-Claude qui apprécie la caresse retient la bouche qui l’amène vers le plaisir elle se contracte, libère sa bouche pour exprimer son plaisir.
“aaahaahh continue je jouis… Oui !”.
Le temps de reprendre ses esprits “Merci John quel kif ! Viens m’enfiler !”
John remonte vers la poitrine de la dame, suce les tétons et de la main guide son membre et le plante dans la moule baveuse :
“Tu vas aimer mon marteau à boule salope”.
La queue de John va et vient rapidement dans la moule de ma femme. Il tringle la gourmande qui a la bouche déformée par la bite de Stanley.
Il me regarde : “Ta chaudasse est bonne je vais lui crépir la caverne ! ouahouooohhh je lâche la purée… Bon sang que c’est bon”
Marie-Claude la bouche libérée : “oui moioi aussiii… Quel pied !
Il met la dose le mec pour un timide bravo” Stanley n’est pas en reste il éjacule sur la joue et les seins de la dissolue : “aaaahh aahh Tiens mon offrande poulette”. Il rapproche sa bite “nettoie” elle gobe le gland pour le nettoyer.
Il me regarde en souriant et d’une voix autoritaire :
“Xavier ta gonzesse est couverte de sperme nettoie la ! (je sors un mouchoir) non ! Avec la langue t’aime la voir baiser, tu vas aimer le foutre qu’elle récolte… John ! Regarde le cocu a craché dans son futal excité de nous voir baiser sa gueuse.”.
Effectivement ma queue a beaucoup bavé j’ai joui et une grosse tache est apparue sur mon pantalon Il ajoute “enlève-le”. je me retrouve nu penaud de présenter un sexe de petite taille couvert de sécrétions John : “vu la taille Stanley tu comprends pourquoi elle veut de la vraie bite la belette.” Je m’approche et lèche le sperme sur la joue, les seins et la chatte de ma moitié. Le goût n’est pas désagréable.
Stanley : “t’aime ça cocu, regarde comme elle me suce. Elle en veut encore ta bourgeoise ? (sèchement) Réponds !”
Moi : “Oui elle en veut encore elle est gourmande.”
Stanley, dont le membre a repris de la vigueur, se glisse entre les cuisses :
“Admire je vais la faire crier de bonheur ta salope je vais lui aléser tous les trous”.
Malgré la taille de son braquemart Il le plante d’un coup dans le chaudron plein du sperme de John. Il entame la saillie on entend floc… Floc à chaque pénétration.
En même temps son pote dévore la bouche de la vicieuse, la caresse puis suce la poitrine aux tétons érigés qu’il mordille.
Stanley : “John tu l’as bien arrosée la pouliche popaul rentre tout seul. Elle est serrée sa chatte masse mon zob. Alors petite pute tu la sens bien ?”
Elle : “oui ! Je te sens bien, ton membre me remplit. C’est bon ! Encore ! Bourre-moi bien chéri !”
Après de longues minutes de baise elle crie sa jouissance “hum oui chéri je viens ! Plus fort n’arrête pas !”.
John qui bande lui fourre la bouche pour la faire taire. Elle est proche de perdre connaissance mais les types continuent de la baiser et jouissent de concert un dans la bouche, l’autre dans la chatte qui en est à sa 2e dose de sperme.
Stanley : “tu es une sacrée jouisseuse ma cochonne !
Xavier va la nettoyer même la chatte ! Fissa !
Nous, on reprend des forces la nuit n’est pas finie”.
Je m’exécute, ma bouche lèche le sperme de la bouche à la poitrine puis au minou gorgé de sécrétions. Je lèche, j’aspire le mélange des deux foutres et de cyprine. Finalement j’aime mon rôle de nettoyeur et j’en profite pour suçoter le bouton de ma douce.
Nous rejoignons les deux hommes pour un verre de champagne.
À suivre !
Véronique
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