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Comment j’ai été transformée en épouse libertine Chapitre 41

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Marie-Claude libertine 41 les suites du réveillon

Marie-Claude et moi avons décidé de fêter le passage de 2014 à 2015 en réveillonnant dans un grand restaurant de la région. Plutôt que de dîner en tête à tête nous avons demandé à être placés à une grande table pour nous amuser. Nous avons pris un taxi pour nous nous rendre à cette soirée festive.

A notre arrivée le maître d’hôtel slalome nous conduit à une table ronde de 8 personnes. Marie-Claude est heureuse de découvrir un couple Béatrice et Raymond propriétaire d’un commerce de vêtements féminins où elle fait des retouches, après avoir salué les autres convives nous prenons place face à eux. Marie-Claude à côté d’un homme et moi à sa droite de façon à alterner un homme une femme. En attendant que les autres tables se complètent nous faisons connaissance avec nos compagnons de table. Charles l’homme à gauche de Marie-Claude est haut fonctionnaire son épouse Stéphanie est comptable, le couple à ma droite Madeleine et Fernand sont enseignants. Les trois couples de notre table sont de bonne compagnie, sympathiques et ne manquent pas d’humour nous sommes là pour nous amuser.

Les produits de qualité mis en valeur par le chef sont servis accompagnés de grands crus. Nous passons un bon réveillon en profitant du spectacle. À minuit après avoir égrené les dernières secondes de l’année tout le monde se retrouve sur la piste de danse pour l’échange de vœux traditionnel.

Il y a un peu de désordre dans la salle. Certains hommes (ceux qui sont seuls mais aussi quelques-uns accompagnés) profitent de ce moment pour arracher les baisers de ces dames. Je me retrouve séparé de mon épouse et lorsque Marie-Claude fait son retour elle me confie que certains l’ont embrassée sur la bouche. Il en faut plus pour l’offusquer mais nous ne sommes pas là pour libertiner. L’un de ses hommes est son voisin de table qui l’a embrassé de force en la tripotant il lui a mis la main aux fesses et s’est montré grossier envers ma femme « tu dois être bonne ».

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L’ensemble musical continue de jouer quelques danseurs restent sur la piste d’autres regagnent leur table Nous nous retrouvons à la table et trinquons tous les huit à la nouvelle année et devisons sur divers sujets.

J’entraîne Marie-Claude sur la piste pour une marche, nous sommes suivis de Charles, Raymond et son épouse après deux danses nous revenons à table. Fernand avoue ne pas savoir danser. J’invite Madeleine à danser une valse. Elle danse plutôt bien je la remercie elle me retient pour le slow qui suit. Nous voyons Charles arriver tirant Marie-Claude par la main. En quelques secondes, telle une pieuvre il enserre mon épouse de ses bras et la plaque contre lui. J’entraîne Madeleine à l’écart et les observe à distance je danse sans les perdre de vue. Avec ce que Marie-Claude m’a dit, je ne suis pas surpris de voir son cavalier très entreprenant. Trois fois elle remonte les mains qui se posent sur ses fesses, collées à de Marie-Claude il l’embrasse dans le cou. Marie-Claude tente de s’écarter un peu, il la serre et l’embrasse sur la bouche, elle se dégage, le gifle et part vers notre table. Charles se retrouve comme un con au milieu de la piste. Il m’aperçoit et se dirige vers une autre table pour trouver une cavalière.

Madeleine : « Xavier vous avez vu je crois que Charles s’est fait jeter »

 Moi : « vous avez remarqué »

Madeleine « oui, il a essayé de m’embrasser sur la bouche tout à l’heure j’ai failli le gifler comme ça s’est fait».

 À la fin du slow nous regagnons la table. Ma femme est en pleine discussion avec Stéphanie la femme de Charles. Madeleine reprend sa place près de Fernand et moi près de Marie-Claude.

À haute voix elle me dit :

« Tu as vu ce goujat il se croit tout permis »

Moi : « Oui ! Avec Madeleine nous avons bien vu. Je vais régler ça à son retour »

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 Stéphanie : « excusez  l’alcool est responsable de son comportement.»

Moi : « Et vous le laissez faire ! Quand on ne sait pas se tenir avec l’alcool on s’abstient de boire »

Stéphanie baisse les yeux et ne répond pas. La pauvre femme se fait toute petite à la table.

Marie-Claude : « on ne va pas se gâcher la fête à cause d’un soudard. Madeleine permettez que j’invite Fernand ? »

Fernand encouragé par sa femme

« Je ne danse pas très bien vous n’avez pas peur pour vos pieds ? »

Marie-Claude « cela ne peut pas être plus désagréable qu’avec l’autre con »

Ils partent vers la piste. À leur retour Béatrice et Raymond se rend compte de la tension à la table. Madeleine leur explique discrètement la raison.

Le Charles revient à table pour s’asseoir. Je me lève l’attrape par le revers de sa veste :

« Tu présentes tes excuses à ma femme ou tu dégages avant que je m’énerve, tu sais pourquoi ! »

Surpris de ma réaction, il est pâle il prend ses affaires et se dirige vers la sortie suivie de sa femme qui râle.

Raymond « vous avez bien fait la fin de soirée n’en sera que meilleure pour nous tous »

 Quand Marie-Claude et Fernand reviennent ils ne sont pas surpris de l’absence du couple.

Madeleine « Xavier les a encouragés à partir »

Fernand : « en passant il a dit à Marie-Claude :

(Tu es une salope on se retrouvera) ».

Moi « il y a peu de chance qu’on le revoit »

 Madeleine invite Marie-Claude à danser elles vont sur la piste. Béatrice, Raymond, Fernand et moi continuons à discuter.

Fernand « vous n’avez pas peur qu’il cherche à se venger. »

Moi « il vaut mieux pour lui qu’il ne le fasse pas. Mais ne parlons plus de cela fêtons cette nouvelle année. »

Nous nous sommes si bien entendu et amusés tous les six qu’après avoir dansé jusqu’à quatre heures du matin nous avons échangé nos coordonnées avec la promesse de nous retrouver pour d’autres soirées.

Le lundi 05 janvier en sortant de son travail avec une de ses collègues Marie-Claude croise le fameux Charles qui lui lance.

« On va bientôt se revoir ».

Le soir même quand elle rentre elle est un peu inquiète et me raconte cette rencontre. Nous envisageons les scénarios possibles et établissons un plan au cas où. S’il la suit en ville elle doit essayer de l’attirer, elle enregistre un texto prêt à être envoyé pour me prévenir si besoin.

Le lendemain je rentre déjeuner avec elle. Ensuite je passe dans un magasin spécialisé acheter deux caméras de surveillance vidéo sonorisées. Le soir après mon travail j’installe le matériel. Je dissimule une caméra ayant une vue sur la salle à manger salon et un peu du couloir. Je place la seconde dans la chambre on ne sait jamais et je positionne une webcam dans la cuisine. Une fois le tout connecté je peux surveiller et enregistrer j’installe mon ordinateur portable sur la terrasse pour un contrôle le fonctionnement tout est OK.

 J’explique à Marie-Claude comment mettre le tout en marche en cas de besoin.

Le reste de la semaine se passe sans problème. Le mercredi de la semaine suivante il est à peine 09h00 un coup de sonnette Marie-Claude va discrètement regarder par le judas c’est Charles. Elle repart au fond du couloir et crie : « un instant s’il vous plaît » puis m’appelle afin que je rentre rapidement.

Marie-Claude qui est en peignoir enfile un string, une robe. Elle place mon ordinateur sur la terrasse et lance l’enregistrement.

Après quelques minutes le visiteur s’impatiente, il sonne à nouveau avec un plus d’insistance.

Elle : « oui, oui j’arrive »

 Elle met ses talons et s’approche de la porte en faisant claquer ses talons sur le plancher.
Elle ouvre la porte fait celle qui est surprise :

« Vous ! Mais que faites-vous ici ? Que voulez-vous ? »

Lui : « Je t’avais dit qu’on se reverrait ».

Il pousse Marie-Claude, entre de force dans le couloir et referme la porte derrière lui

Elle : «Sortez ou j’appelle mon mari. »

Tout en la poussant vers le salon il ajoute « ton mec est à son travail je l’ai suivi ce matin. Maintenant tu vas payer pour m’avoir giflé et humilié au réveillon»

Elle : « c’est vous qui l’avez cherché alors partez et on en reste là »

Lui : « Certainement pas ! Un collègue présent à la soirée t’a reconnu il m’a dit que tu étais une vraie salope, il m’a raconté tes exploits libertins il paraît que tu suces aussi bien que tu baises ».

Près de la maison je donne un coup de klaxon pour la prévenir de mon arrivée. Je passe par le sous-sol et rejoins la terrasse sur l’écran d’ordinateur je vois que Marie-Claude a le visage tout rouge je ne sais pas si c’est de colère ou de honte.

Lui : « hé bien petite pimbêche tu fais moins la fière maintenant avec ce que je sais ?

 Ce n’est pas comme au jour de l’an ! Alors tu vas être gentille et venir sucer Raymond. (D’un ton sec) Maintenant ! »

Voyant qu’elle ne bouge pas, autoritaire il ajoute :

« Je ne suis pas assez clair ? Maintenant approche et vite !»

Finalement c’est lui qui s’approche de Marie-Claude, la tire par les cheveux pour l’attirer à lui et lui vole un baiser sur la bouche.

Elle : « s’il vous plaît arrêtez et soyer raisonnable partez ! »

Il soulève le bas de sa robe et lui touche les fesses

 « Tu aurais mieux fait de me laisser t’embrasser et peloter l’autre soir, tu aurais sûrement aimé et on n’en serait pas là aujourd’hui».

 Elle : « Je vous en prie c’est assez, laissez-moi s’il vous plaît ».

Lui : « ne crois pas que tu vas t’en tirer sans que je te saute et t’encule salope ! En plus il paraît que tu adores ça !

Elle : « Non arrêtez je vous en prie ne faites pas ça, partez ! »

Lui : « ça ne risque pas ! Si ton mec ne m’avait pas viré du réveillon je ne serai pas là et maintenant fais-moi visiter ta chambre que je te baise dans le lit de ce cornard il paraît qu’il aime que tu te fasses défoncer par des grosses bites ».

Il traîne Marie-Claude par le bras vers le couloir « c’est où ? »

En simulant des sanglots elle lui montre la chambre.

Grâce à la 2e caméra je les vois entrer dans la chambre. Raymond projette ma femme sur le lit.

Marie-Claude « Je ne veux pas ! Je vous prie d’arrêter avant qu’il ne soit trop tard. »

Lui « il fallait y penser avant, maintenant tu vas me sucer et après je te baise ».

Elle « mais je pourrais porter plainte »

Lui tout en dégrafant son pantalon pour sortir son sexe :

« Ma pauvre fille je peux te pourrir la vie. Qui penses-tu que l’on croira entre toi qui es une salope et un fonctionnaire de mon rang ».

Il relève la robe, arrache le string de Marie-Claude et la saisit d’une main par les cheveux et tire la tête de mon épouse vers sa bite bandée qu’il tient de l’autre:

« Regarde ma grosse bite ! Suce salope et ne mords pas ! »

 Marie-Claude prononce le mot magique :

« Mon Dieu aidez-moi »

J’entre dans la maison j’entends le gars dire

«Dieu ne peut rien pour toi ».

Je fais irruption dans la chambre au moment où il essaye de forcer la bouche de ma femme avec sa bite je le gifle violemment :

« Dieu non mais moi oui ! ».

Le pauvre type surpris lâche les cheveux de Marie-Claude qui se redresse en lui filant un coup de genou dans les valseuses. Il tombe et plié de douleur.

Moi : « mon pauvre Charles tu es filmé par deux caméras depuis que tu es entré regarde bien, à côté du cadre sur la droite la petite caméra il y a la même dans la plante verte près de l’entrée. Je pense que tes supérieurs et la police vont apprécier le film de tes exploits. »

Sonné Charles est tout pâle sa bite s’est transformée en petite saucisse, le regard dans le vide il tente :

« Je voulais laver la honte que j’ai subie au réveillon surtout après avoir appris qu’elle est moins farouche en club. Vous n’allez tout de même pas vous servir de ces images votre dame sera reconnaissable cela vous portera tort aussi»

Moi « oui mais elle est la victime ! Alors je suis au regret de te dire que si, cet enregistrement va servir ! Tu dois comprendre que lorsque c’est non c’est non. Maintenant tu te rhabilles et tu dégages. Profite de la fin de matinée pour imaginer ce qui va t’arriver»

 Sans un mot le mec dégage plus vite que son ombre.

Marie-Claude me demande de visionner les images elle ajoute :

« S’il savait ce con qu’avec un peu de savoir-vivre et de meilleures manières il aurait peut-être pu me sauter avec sa belle queue. »

Vers 11h00 je téléphone au central de cette administration et demande le bureau de ce haut fonctionnaire, à sa secrétaire je demande de me passer Charles X pour motif personnel elle lui transfère mon appel. Je lui demande de me recevoir rapidement et obtiens un rendez-vous pour 14 heures le jour même A 14h00 je me trouve avec mon épouse dans le bureau de Charles X avec le CD. Après visionnage du CD Charles mort de trouille s’excuse. Il nous supplie pour que nous ne portions pas plainte et que le CD ne soit pas envoyé à ses supérieurs. Il demande ce qu’il doit faire

Moi : « je ne sais pas, j’ai peur que ce ne soit pas ta première fois et surtout je ne veux pas que cela se reproduise »

Lui : « Je le jure je vous donne ma parole que cela ne se produira plus ».

Moi : « nous ne portons pas plainte mais nous espérons ne plus jamais entendre parler de vous. Nous gardons l’enregistrement soyez sûr que nous n’hésiterons pas à nous en servir si besoin.

Le vendredi 27 février avec Marie-Claude nous organisons chez nous un repas avec les deux couples du réveillon. Marie-Claude porte une jupe cloche bleu roi au-dessus du genou et un petit pull moulant blanc col en v, la coquine s’abstient de sous-vêtement. Moi j’opte pour un jean noir et une chemisette bleu ciel.

Nos invités arrivent à quelques minutes d’intervalle vers 19h30. Madeleine porte une robe droite grenat très chic et Fernand un costume gris. Béatrice porte, sous une petite veste blanche, une robe portefeuille bicolore noire et blanche fermée avec une ceinture rouge comme ses escarpins, Raymond est en jeans 501 stone et chemise assortie.

À l’apéro Fernand évoque l’incident du réveillon, nous racontons la tentative de vengeance avortée de Charles.

Raymond dit : « c’est peut-être pour cela Stéphanie ne vient plus à la boutique. »

Nous passons à table, le repas est simple mais très convivial nous sommes tous les six heureux de nous revoir. Après le dîner nous dansons un peu.

Vers une heure du matin Fernand et Madeleine, devant préparer la rentrée scolaire du premier mars, nous quitte en nous remerciant et annonce que la prochaine soirée se fera chez eux.

Béatrice et Raymond n’étant pas pressés restent encore un peu, nous avons continué à danser et à discuter, à un moment Béatrice demande :

« Vous nous montreriez les images de Charles ? »

Raymond semble un peu gêné : « tu es bien curieuse »

Marie-Claude : « pourquoi pas ? Xavier tu peux aller chercher le CD»

 Je vais dans mon bureau et reviens avec le CD que je place dans le lecteur et allume la télé pendant que Marie-Claude arrête la chaîne hi-fi. Les images défilent à la fin devant le comportement de Charles

Béatrice commente: « c’est dommage qu’il soit aussi con car il a une belle queue, cela m’a excitée je suis tout humide.»

Raymond : « ta remarque n’était pas nécessaire »

Marie-Claude : « il n’y a rien de mal au contraire j’avais fait la même réflexion à Xavier en plus j’avais précisé qu’en d’autres circonstances j’aurais peut-être aimé qu’il me baise»

 Raymond reste bouche bée devant la réponse de Marie-Claude qui se lève et entraîne Béatrice vers la chambre.

Raymond et moi changeons de conversation, nous parlons des jours fériés du mois de mai en buvant un cognac puis des congés d’été en attendant le retour des femmes.

Elles reviennent après plus d’un quart d’heure elles sont tout sourire.

Moi : «Alors les filles où étiez-vous tout ce temps ? Avec Raymond nous nous sommes sentis abandonnés. »

Béatrice moqueuse : « Les pauvres chéris ! En réalité Marie-Claude a eu peur que Stéphanie ait mal pris ma remarque sur Charles donc je l’ai rassurée et la conversation à dévier sur le cul et nous avons découvert que nous étions deux couples libertins et pourtant nous nous sommes jamais rencontrés en club ou au sauna libertin. »

Les deux femmes se lancent un regard complice. Béatrice vient s’asseoir sur mes genoux passant le bras derrière mon cou et m’embrasse sur la bouche, de son côté Marie-Claude fait de même avec Raymond.

Béatrice ajoute : « maintenant faisons connaissance plus intimement »

Marie-Claude : « Nous n’avons pas eu d’aventure depuis le début octobre dernier à Lyon où un accident de préservatif lors d’un gang bang avec des blacks a entraîné une période sans avant le contrôle que nous avons effectué récemment soit OK.

Ce sera un plaisir de reprendre le libertinage avec vous»

Je regarde Raymond qui s’est vite remis de la surprise car tout en embrassant Marie-Claude il a la main qui s’active sous sa jupe alors qu’elle a posé sa main sur la braguette.

Raymond : « pour nous aussi notre dernier test est OK. Si vous voulez vous passer de préservatif c’est d’accord »

De mon côté ma main, partie à l’aventure sous la robe portefeuille de Béatrice, découvre qu’aucune culotte ne couvre sa chatte humide.

Béatrice me glisse à l’oreille « je l’ai enlevée pour faire comme ta femme qui n’en a pas.»

Marie-Claude de son côté s’est déjà attaquée au ceinturon de Raymond pour libérer l’objet de sa convoitise.

Je fais déplacer Béatrice sur la banquette et me positionne entre ses cuisses. Je défais la ceinture rouge ouvre la robe laissant apparaître un soutien-gorge blanc en dentelle bien rempli et je découvre une belle moule avec un petit triangle brun bien toiletté. Ma bouche prend possession du précieux coquillage pendant que mes mains extraient les deux beaux seins bien fermes de leur prison.

Béatrice mouille beaucoup elle commence à gémir de plaisir sous ma langue ses mains sont posées sur ma nuque mi caresse mi fermeté. J’ai plaisir à m’abreuver à cette source délicieuse et sentir les contractions de plaisir de ma partenaire.

Peu à peu ses gémissements se transforment en encouragement à continuer :

« Oh oui encore ouiii je vais jouir ».

Je mets encore plus d’ardeur à solliciter son petit bouton tout en pinçotant ses tétons durcis. Soudain sous mes caresses elle s’est tendue en libérant une giclée importante de sa liqueur amoureuse et en criant :

« raaah ooohouiiii ..je jouis Raymond je jouis ! C’est trop bon ouiii…. Xavier ouiiiii…… »

 Après un instant de récupération ses deux mains glissent en caresse sur mes joues pour m’attirer vers son visage, Béatrice m’embrasse avec beaucoup de tendresse sur les lèvres en me remerciant. Elle se rend compte que ma barbe est trempée de sa jouissance.

« Excuse-moi je t’ai carrément douché mais c’était si bon ».

Moi : « c’était un plaisir pour moi de déguster cette ondée de plaisir dont la saveur est très agréable »

Raymond et Marie-Claude nous regardent avec un sourire complice Ils semblent ravis du spectacle que nous leur avons donné. Nous n’avons pas suivi la même progression car eux sont passés directement par la case levrette. Marie-Claude est en appui sur le fauteuil le cul tendu, derrière elle Raymond lui baise la chatte en lui malaxant les seins.

Raymond : « Marie-Claude tu as du retard sur Béatrice, Xavier est plutôt efficace avec bouche »

Marie-Claude : « oui il adore bouffer les chattes et il sait y faire on ne peut résister. À nous de leur montrer que nous aussi nous prenons du plaisir»

Raymond s’active dans la fente de mon épouse maintenant il lui met des petites claques sèches sur les fesses.

Marie-Claude : « oh oui baise moi plus fort j’aime ça »

Lui : « tu es une petite salope comme ma femme »

Béatrice : « Raymond tu parles soft ce soir ! Pour moi d’habitude c’est, grosse salope chienne j’en passe et des meilleures »

Moi : « il fait son timide mais ça ne va pas durer par contre maintenant si nous reprenions»

Béatrice : « laisse-moi te montrer que je suis une vraie salope, une suceuse de bite »

 Elle ouvre mon pantalon pour dégager ma queue. Elle se montre enthousiaste bien que ce soit un petit modèle il est raide et elle s’empresse de le prendre en bouche en totalité sans difficulté. Sa langue est agile et sait où aller pour donner du plaisir. Elle l’avale puis la libère pour venir gober les deux orphelines avant de faire remonter sa langue le long de la tige jusqu’au gland pour l’avaler à nouveau.

Je lutte pour ne pas jouir trop vite alors qu’elle veut le contraire

Moi « tu es donc si pressée que je te donne, mon jus cochonne »

Elle « oui je veux que tu m’arroses le fond de la gorge donne-moi ton sperme ».

Alors que j’essaie de résister Marie-Claude se met à crier son plaisir, je la regarde elle est emportée par un orgasme intense, Raymond l’embroche de plus en plus violemment. L’orgasme de Marie-Claude dure longtemps et Raymond dans un cri rauque jouit à son tour en disant :

« Ah ma salope je te remplis bien le bénitier »

Elle : « je sens bien tes giclées de sperme dans ma chatte j’adore »

Excité par la jouissance de nos conjoints je me déverse dans la bouche de Béatrice en disant:

« Voilà gourmande du bon sirop de corps d’homme »

Pendant un petit intermède nous buvons et nous parlons tous les quatre de nos pratiques de libertinage. Avec Marie-Claude nous parlons de nos accords et de nos préférences.

Moi : « Nous aimons réaliser des scénarios montés à l’insu de l’un ou l’autre. Je suis candauliste et j’aime voir Marie-Claude baiser avec d’autres hommes pour la voir prendre du plaisir. En général je suis assez doué pour la surprendre »

 Marie-Claude : « j’aime me faire draguer cela m’excite. J’ai eu une aventure qui a failli mal tourner donc maintenant je fais attention j’essaie de ne baiser qu’avec l’accord d’Xavier et si possible en sa présence. »

Béatrice : « et Xavier baise aussi avec d’autres femmes »

Moi : « cela est très rare en général je les honore avec ma bouche si nécessaire car j’adore cette pratique j’aime aussi me faire sucer et n’étant pas un super étalon je préfère me réserver pour Marie-Claude qui sait tant me donner »

Raymond : « Marie-Claude ça te gênera qu’il baise Béatrice ou une autre femme »

 Marie-Claude : « non mais je sais que ce n’est pas ce qu’il recherche, par contre il aime aussi me voir avec une femme »

Béatrice : « je suis bi alors si Raymond et moi on s’occupe de toi ça va lui plaire et à toi ?

 »Marie-Claude : « bien sûr à moi aussi j’adore les belles queues mais une bonne petite chatte je ne déteste pas. »

Raymond : « nous pratiquons surtout l’échangisme mais aussi les trios avec une autre femme ou un autre homme »

Marie-Claude : « nous avons peu de tabous hors la violence gratuite, je ne parle pas de rapport viril mais violence pouvant blesser, Xavier et moi sommes, bi et nous avons un amant commun depuis près de 30 ans »

Béatrice me regarde : « pendant que Marie-Claude et moi nous nous caressons tu sucerais Raymond avant qu’il nous rejoigne cela ne lui est jamais arrivé »

 Moi : « oui cela ne me gêne pas surtout en vous regardant tous les deux encore faut-il que Raymond le veuille.»

Raymond : « Je veux bien tenter l’expérience mais je ne sais pas si je vais pouvoir bander»

En nous regardant Marie-Claude prend Béatrice par la main et l’entraîne vers la chambre d’amis :

« Vous nous suivez ? »

Nous sommes dans la chambre Béatrice et Marie-Claude sont sur le lit s’embrassent et se caressent avant de se mettre tête bêche pour se brouter le minou réciproquement et on peut dire qu’elles y mettent du cœur Béatrice est sur Marie-Claude.

Raymond et moi sommes au pied du lit. Béatrice me fait un clin d’œil et un signe de la tête l’air de dire

« Vas-y »

Je me tourne vers Raymond, voir nos deux femmes se donner du plaisir lui a redonné de la vigueur, je le pousse légèrement sur le côté afin que nos femmes puissent profiter du spectacle. Je me mets à genoux et prends son sexe en bouche je m’applique de façon à lui donner du plaisir tout en lui massant les couilles.

Je sens son sexe durcir et gonfler encore, est-ce le spectacle ou mes caresses ? Ma bouche va et vient sur le membre durci. Ma langue s’agite autour de son gland, mon regard se pose sur nos deux femmes qui commencent à gémir de plaisir puis se dirige vers le visage de Raymond qui de temps à autre ferme les yeux.

Au moment où les filles jouissent je sens les mains de Raymond se poser sur ma tête pour m’imposer le rythme. À présent il me baise la bouche, sa queue plonge au fond de ma gorge et son pubis vient au contact de mes lèvres.

« Xavier tu suces aussi bien qu’une femme, si tu continues je vais te graisser les amygdales »…

Nos épouses qui viennent de s’embrasser après leur orgasme nous regardent et chuchotent.

Béatrice : « Marie-Claude et moi sommes d’accord Xavier va jusqu’au bout ! »

Raymond : « ce que femme veut ».

Il plonge de plus en plus vite au fond de ma gorge j’ai du mal à reprendre mon souffle soudain il se retire laissant juste son gland au bord de mes lèvres. Une de ses mains se pose sur sa bite il se branle alors que je lui masse les boules. Quatre ou cinq allez retour suffisent avant qu’il plonge au fond de ma bouche pour éjaculer.

Je sens plusieurs giclées frapper mon palais et le fond de ma gorge je sens la sève masculine glisser sur ma langue, ma bouche se remplit. Je suis contraint d’avaler pour éviter qu’une partie ne glisse hors de ma bouche ».

Raymond : «putain quelle pipe je n’y crois pas ! Alors les filles contentes ? Il vous faudra attendre un peu pour que je m’occupe de vous. Merci Xavier c’était super»

Je finis de déglutir

 « Tout le plaisir est pour moi très heureux de voir que tu as su apprécier »

Lui : « je l’ai fait pour Béatrice mais honnêtement je ne pensais pas prendre autant de plaisir »

Marie-Claude (allongée sur le lit):

« Xavier chéri ! Si tu venais donner ta langue à ma chatte »

Je me déplace, j’attrape les jambes de mon épouse et la tire vers le bord. Je pose ses jambes dures mes épaules et commence un cunnilingus. Béatrice caresse d’une main la poitrine de ma compagne et de l’autre s’astique le clito.

Devant le spectacle, Raymond a un début d’érection il monte sur le lit pour se faire sucer par sa moitié. Une fois sa vigueur retrouvée il demande à Marie-Claude de se mettre à genoux. Je suis donc le mouvement et me retrouve sur le dos toujours la bouche collée à la chatte de mon épouse.

Raymond plante sa queue dans la chatte de Marie-Claude puis se retire et prend le chemin du ramoneur. Il encule ma coquine sans difficulté, il va et vient dans son petit cul accueillant.

Béatrice s’est approchée et après m’avoir sucé brièvement elle s’assied sur moi en guidant ma petite tige sur son anus. Ma verge étant moins grosse que celle de Raymond elle s’empale très facilement, elle redresse Marie-Claude pour l’embrasser et dit :

« Marie-Claude nous sommes deux enculées je vois que nous aimons ça toutes les deux

 » Nous parvenons successivement tous les quatre à l’orgasme.

Après un passage sous la douche il est plus de quatre heures nos invités prennent congé

 Béatrice précise :« S’il n’y a pas d’ouverture avec Fernand et Madeleine lors de la prochaine soirée nous finirons chez nous si vous voulez »

Marie-Claude et moi acquiesçons avant de les raccompagner à leur voiture.

Cette année 2014 sera-t-elle aussi libertine que 2013 ……?….

A suivre…

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