Marie-Claude libertine 45 Le dragueur
Ce samedi de mi-septembre 2015, je suis au travail toute la matinée Quand je rentre vers midi et demi j’embrasse Marie-Claude qui est toute guillerette, j’en suis heureux mais je l’interroge:
« Bonjour ma chérie tu es bien joyeuse, qu’est ce qui te rend d’aussi bonne humeur ? »
Elle : « vas vite te changer le déjeuner est prêt je vais te raconter pendant le repas »
Après un passage à la salle de bains pour me rafraîchir et me mettre en tenue décontractée je la rejoins à table. Nous commençons à manger à son regard coquin et son petit sourire je vois qu’elle a envie de se faire prier pour me dire ce qui la met en joie.
Moi : « alors raconte »
Elle se lance dans le récit de sa matinée :
[Je profite de la matinée pour faire du shopping rue Sainte Catherine sur le chemin du retour je me suis arrêté boire un rafraîchissement en terrasse près du grand théâtre. Sur la terrasse je suis abordée par un homme la quarantaine, menu, petit, disons, pas vraiment beau gosse mais beaucoup de bagou et d’audace, il s’assied près de moi. Son côté dragueur m’amuse beaucoup je le laisse me baratiner pour voir jusqu’où il peut aller. Peu à peu encouragé par l’écoute et mes sourires il me montre sa carte de visite et se présente :
« Max, je tiens un petit magasin de pièces auto en périphérie de la ville, et vous votre prénom ?»
Moi, tout en ramassant sa carte :
« Je m’appelle Marie-Claude et je suis mariée »
Lui : « Mais avec votre beauté et votre charme vous ne pouvez pas appartenir à un seul homme j’aimerais vous revoir plus longuement pour faire plus connaissance. »
Moi : « je ne dirais pas non car effectivement je n’appartiens à personne mais je suis très attaché à mon époux qui m’attend pour déjeuner, mais peut être un autre jour ou plus tard cet après-midi »
Lui : « si vous pouvez vous libérer cet après-midi nous pourrions nous retrouver à dix-sept heures à ma boutique, aujourd’hui elle exceptionnellement fermé. Je vous y attendrai tapez sur le rideau il ne sera pas entièrement fermé.
Moi : « je ne vous promets rien vous verrez si je ne suis pas à l’heure inutile de m’attendre»
Il est 11h30 je me lève et le salut en me dirigeant vers ma voiture garée un peu plus loin, je dois préparer le déjeuner. Voilà tu sais tout. ]
Je lui demande : « c’est pour ça que tu es si excitée, mais tu vois la suite comment ? »
Elle : « je ne sais pas trop si tu n’as rien de prévu tu pourrais m’accompagner cet après-midi voir sa réaction »
Moi : « Il est vrai que cela m’amusera beaucoup de voir comment il se sort de la situation mais tu veux juste l’embarrasser ou tu veux aller plus loin »
Elle : « on verra comment il réagit. »
Après un début d’après-midi dédié aux tâches hebdomadaires d’entretien de la maison vers 16h00 nous prenons une douche et nous préparons pour notre expédition. La tenue de Marie-Claude ne laisse guère de doute sur son intention l’absence de sous-vêtement un corsage de voile blanc qui dévoile sa poitrine et une jupe courte noire fermée devant par quatre boutons. Pour sortir elle se couvre avec un trench-coat beige.
Nous voilà partis vers le magasin du dragueur où nous arrivons un peu avant dix-sept heures. Nous sommes garés à trois places de la porte d’entrée, nous observons l’environnement, le rideau en métal de la porte est levé à mi-hauteur. Marie-Claude et moi quittons la voiture je me mets sur le côté pendant que ma femme secoue le rideau métallique soudain le rideau commence à remonter et la porte d’entrée s’ouvre le gars est souriant face à Marie-Claude puis me voyant sur le côté son sourire se fige.
Marie-Claude : « Rebonjour Max je te présente Xavier mon mari comme cela, je te confirme que j’y suis très attaché et même si je ne lui appartiens pas je ne lui cache rien de mes aventures. »
Moi : « enchanté de faire votre connaissance Max. »
Lui quelque peu gêné :
« Bonjour monsieur je suis désolé je ne voulais pas être inconvenant avec vous je suis parfois trop audacieux et je m’en excuse auprès de votre dame et de vous. »
Moi : « si je comprends bien c’était de l’esbroufe vous ne pensiez pas ce que vous lui avez dit ce matin »
Lui : « si je le pensais et la façon dont elle m’a répondu me laissait imaginer qu’elle ne serait pas contre »
Marie-Claude : « et je confirme que je ne suis pas contre ! Tu nous fais visiter et nous faisons connaissance de façon plus intime. Cela ne gênera nullement Xavier qui se fera un plaisir de nous regarder »
Max me lance un regard interrogateur auquel je réponds par un signe de tête, il s’écarte de la porte pour nous laisser entrer puis ferme la porte et baisse le rideau métallique.
Il nous conduit dans son bureau, la pièce est assez grande sur le mur du fond quelques étagères sur lesquelles trônent quelques miniatures automobiles devant des classeurs de factures commandes etc. Sur la droite un large plan de travail avec un écran et son clavier et diverses documentations de fournitures auto, sur la gauche un bureau équipé face à une paroi vitrée donnant sur le stockage des pièces et près du bureau un frigo.
Max attrape son fauteuil de bureau pour le mettre entre les deux chaises de bureau du plan de travail. Il nous offre une boisson Marie-Claude prend un jus de fruit max et moi de la bière. Nous discutons un moment Marie-Claude s’approche de lui commence à le caresser et se met à genoux entre ses jambes. Décidée, elle défait la ceinture du pantalon du dragueur et baisse la braguette avant de plonger la main dans le slip pour libérer le membre déjà bandé.
Le sexe libéré est de taille moyenne mais bien dur la coquine s’empresse de le prendre en bouche elle suce avec gourmandise sa découverte. Max en se contorsionnant descend son slip et son pantalon et les retire pour être plus à l’aise. Ce faisant il permet à mon épouse d’avoir accès à ses testicules.
Moi : « m’autorises-tu à prendre quelques photos pour notre collection »
Lui : « pas de souci si elles restent privées »
Je profite de cette autorisation pour sortir mon appareil et prends quelques clichés de Marie-Claude concentrée sur son ouvrage. L’homme est sur son fauteuil le bassin tendu pour mieux s’offrir à la caresse buccale les deux mains posées sur le crâne de la suceuse il tente de ralentir la cadence de succion tout en empêchant la bouche d’abandonner son vit. Le talent de ma libertine expérimentée a en quelques minutes raison de la résistance du coquin.
Max : « attention je vais envoyer la purée ouiiiarhhhhhhhhhhh »
Il se vide dans la bouche de sa pipeuse qui avale l’offrande avec gourmandise avant de se relever pour m’embrasser.
Elle : « tu en avais vraiment envie car tu as été rapide »
Max : « oui j’étais très excité, mais tu vas voir pour les prochains coups je serai plus endurant. »
Il se lève, embrasse Marie-Claude avant de la pousser sur son fauteuil puis se déleste du reste de ses vêtements et se place à genoux entre les cuisses bien ouvertes de ma belle. Il soulève la jupe et découvre la chatte humide libre de toute entrave. Il se penche sur le coquillage, de ses doigts il dégage le clito de ma femme et colle sa bouche sur la chatte avide de caresses. Je vois ses doigts branler le bouton gonflé qui reçoit régulièrement la visite de la langue taquine du commerçant. La cochonne éprouve de plus en plus de plaisir lorsque les doigts du branleur s’introduisent dans son puits d’amour. Je vois mon épouse s’offrir encore plus, ses mains appuient sur la tête du gourmand qui se régale de cette moule baveuse. Je la connais si bien que je sais que dans cet état elle est sur le point de jouir, ce qui est confirmé dans les minutes suivantes elle se cabre encore un peu plus et clame son plaisir : « ooohhouiiiiiiiiii je jouis que c’est bon ouuiiii »
Après ses cris de jouissance elle retombe sur le fauteuil éprouvée par son orgasme. Quelques secondes plus tard elle se redresse :
« Merci Max c’était délicieux »
En me regardant : « merci mon chéri, ça t’a plu »
Moi : « bien sûr tu sais que j’adore te voir ainsi j’ai fait quelques photos qui vont te plaire »
Max se relève, embrasse Marie-Claude :
« Je suis heureux que tu aies joui à ton tour, mais ce n’est que la mise en bouche ».
En effet lorsqu’il est debout nous pouvons constater que son sexe est bien bandé, il prend la main de Marie-Claude la fait lever et la guide vers le large plan de travail il fait pencher Marie-Claude vers l’avant se couvre rapidement le sexe d’une capote puis vient planter sa pine dans la chatte pendant qu’il la baise. La belle, en appui sur le plan de travail, va au-devant de la queue qui lui ramone la chatte. Les deux mains de son amant ont attrapé les seins qui s’agitent sous les coups de boutoir, il presse les mamelles en pinçant les tétons durcis.
Max besogne longuement mon épouse qui jouit une nouvelle fois en s’écroulant sur le plan de travail. Max toujours en érection se retire de la moule qui bave énormément il regarde la libertine les seins et la tête posés sur le plan de travail puis il l’aide à pivoter sur le dos en lui tenant les jambes. Il pose les jambes sur ses épaules, il revient pénétrer la chaude crevasse et s’active encore. Il laboure le sillon sans faiblesse pendant de longues minutes avant que mon épouse soit emportée par un nouvel orgasme sans retenue elle crie son plaisir :
« Oh ouiiiii je te sens bien encore ouiiiiiiii c’est bon oaaaaannnn ouiiiiii cette démonstration bruyante déclenche l’éjaculation du queutard qui dans un cri rauque se libère :
« Argh ma salope que tu es bonne »
Je vois les fesses et du baiseur se contracter au moment de la délivrance.
Avant de se dégager il pose les pieds de ma moitié sur le bord se penche entre les jambes pour venir lui rouler un patin. Elle la, main derrière la nuque de son amant répond avec intensité au baiser puis leurs lèvres se séparent il lui dit :
« Merci Marie-Claude, tu es super ta chatte est confortable et irrésistible j’ai adoré »
Elle : « j’ai aimé moi aussi ta façon de me faire jouir deux fois de suite je suppose que c’était le plat principal »
Lui « tu as raison et j’espère que tu as encore faim pour un dessert voire deux. »
Marie-Claude : « je garde toujours de la place pour le dessert mais j’ai une soif »
Max en me regardant :
« Vous aimez le champagne »
Moi : « oui, Marie-Claude adore cela nous convient »
Il sort de son frigo une bouteille de Taittinger (il ne se fout pas de nous le bougre) pose trois flûtes qu’il sert habilement sans faire mousser le précieux nectar. Nous trinquons à Marie-Claude et à cette rencontre libertine, mon épouse et moi nous délectons de l’excellent breuvage.
Tout en parlant je donne ma carte SD à Max afin qu’il charge les photos sur une clé USB nous en profitons pour les visionner sur le grand écran de son ordinateur il y a une trentaine de clichés dont un ou deux sont à supprimer les autres étant de bonne qualité expressifs et très érotiquement indécents.
Après cette pause qui dura près d’une demie heure Max propose :
« Marie-Claude es-tu partante pour le dessert »
La réponse ne se fait pas attendre :
« Bien sûr on ne va pas se priver »
Elle profite d’être assise pour attirer Max vers elle et de sa main droite se saisit de sa verge elle commence un mouvement de, va et viens tout en portant l’organe à sa bouche. La queue a retrouvé sa splendeur grosse et dure elle n’a plus besoin d’être tenue, la main se dirige donc vers les deux testicules pour les masser entre ses doigts.
Max se dégage recule pour s’asseoir dans son fauteuil de bureau :
« Viens t’asseoir sur ma bite s’il te plaît »
La coquine s’approche se tourne vers moi puis recule entre les cuisses de son amant du jour et elle s’empale sur le pivot de la joie, elle se déplace latéralement faisant ainsi pivoter le fauteuil face au bureau sur lequel elle peut prendre appui pour monter et descendre sur le chibre du chaud lapin.
Dans son dos le libidineux commence à s’intéresser au petit anneau brun il le caresse et son doigt pénètre peu à peu dans le chemin de l’interdit. Voyant que ma moitié ne refuse pas le doigt explorateur il l’attrape par les seins pour la coller à lui.il l’embrasse sur la joue en massant fermement la poitrine gonflée de désir et lui demande :
« Tu veux que je te sodomise j’ai l’impression que ton petit cul ne demande que cela ».
Elle : « oui encule moi j’adore aussi jouir du cul. »
Marie-Claude se lève un peu passe une main entre ses cuisses pour saisir le membre bandé. Elle le frotte contre sa raie avant de le replonger dans sa chatte pour le lubrifier un peu plus puis elle le présente face à son œillet. Lentement elle descend sur le membre qu’elle guide fermement, l’anus s’ouvre et progressivement la bite trouve sa place dans le fondement accueillant.
Max apprécie mais trouve la position malaisée il se redresse en tenant ma femme par la taille il dé cule puis la retourne et la couche sur son bureau en lui tenant les jambes par les cuisses. Sans hésitation sa bite pénètre à nouveau l’arrière-train et reprend le ramonage du conduit étroit. C’est l’enfileur qui fait le travail en attirant mon intrépide épouse sur son dard avec vigueur.
Marie-Claude qui aime se faire enculer profite de ses mains libres pour se branler le clito tout en écartant sa chatte pour l’exhiber à son amant qui se démène pour faire jouir cette salope qui se branle pendant qu’il l’encule. Après une dizaine de minutes c’est mon épouse qui jouit juste avant que son amant ne jouisse à son tour.
Max en sueur embrasse Marie-Claude en remerciement il lui propose d’aller se doucher dans l’espace sanitaire. Aussitôt, nue elle traverse le magasin des stocks pour se doucher elle ne prend pas la peine de fermer le rideau de la douche. Pendant ce temps tout en discutant Max et moi, traversons le magasin pour la rejoindre. J’ai mon appareil à la main et j’invite Max à rejoindre Marie-Claude sous la douche. Bien évidemment ils ne peuvent s’empêcher d’échanger quelques caresses et Marie-Claude entreprend de savonner son amant insistant bien sur la verge qui commence à redresser la tête une fois rincés les deux amants s’embrassent Marie-Claude se met à genoux pour sucer son amant tout en accompagnant sa pipe de caresses sur les couilles.
Max : « Marie-Claude tu es diabolique mais j’adore »
Encouragée par son amant ma femme s’applique à prodiguer une fellation de haute volée afin de laisser un souvenir impérissable à son amant qui profite avec plaisir de cette gâterie de dernière minute.
Max : « Marie-Claude je viens je vais décharger ! »
Marie-Claude ne lâche pas sa sucette elle l’avale même plus intensément afin de se régaler de la semence de son amant.
Dans un râle Max jouit et libère son jus au fond de la gorge de la gourmande.
« Bon sang que c’est bon de se faire sucer comme ça merci Marie-Claude. »
Il redresse la goulue et lui donne un baiser en la remerciant de nouveau. Les bonnes choses ayant une fin ils finissent de se rincer et se sécher pour revenir s’habiller. Marie-Claude et moi prenons congé de notre hôte pour rentrer à la maison. Dans la voiture ma chérie me dit sa satisfaction de ce cinq à sept improvisé. Elle a trouvé Max à la fois agréable avec du savoir vivre et aussi bon baiseur. Comme elle a sa carte elle me propose de le revoir à l’occasion. Nous avons revu Max plusieurs fois par la suite pour des soirées ou après-midi de libertinage.
À suivre !
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