Marie-Claude libertine 46 Le séminaire mène au..…
Note : Les noms et prénoms ont été changés.
Le groupe auquel appartient ma société organise les 08 et 09 octobre 2015 un séminaire de deux jours auquel je suis convié. Fin septembre je reçois les directives, cela se passera porte de Versailles dans un hôtel quatre étoiles je découvre avec plaisir que Boris (notre ami et amant) directeur technique du groupe fait partie de la trentaine de participants neuf femmes et vingt et un hommes (la parité n’est pas encore de mise). Chacun est logé en chambre double pour trois nuits (du 07 au soir au 10 au matin) et peut être accompagné de son conjoint. Le programme chargé se déroule dans les salons de l’hôtel et se termine le 09 par un dîner de cohésion auquel sont conviés les conjoints présents. Je propose à Marie-Claude de profiter de l’occasion pour m’accompagner trois jours, elle ne se fait pas prier.
Le 07 au soir de l’arrivée nous dînons à trois Marie-Claude, Boris et moi avant de finir la nuit à trois dans notre chambre. Le séminaire se déroule bien les échanges sont riches chacun fait part de son expérience. Le PDG m’a plutôt à la bonne et m’invite à partager avec les collègues les méthodes m’ayant permis d’améliorer le rendement de mon site de production.
Le 08 au soir, après la longue journée de travail en groupe, Boris invite Carole (directrice du site d’Orléans) qu’il connaît bien à se joindre à nous pour le dîner. Carole Dubois, à peine la quarantaine une formation d’ingénieur art et métier, est fort agréable mais semble garder ses distances avec moi. Boris l’a raccompagnée et a passé la nuit avec elle. Marie-Claude et moi avons passé la nuit en amoureux ce qui nous a permis de nous reposer un peu.
Pendant la journée Marie-Claude fait du tourisme et quelques achats dans les boutiques parisiennes et se paie de bons restaurants. Elle a trouvé le temps de programmer une rencontre du côté de Sancerre avec deux hommes le 11.
Le 09 c’est la fin du séminaire il est 19h00. Le dîner est prévu à 21h00 dans un salon de l’hôtel.
Chacun regagne sa chambre pour se rafraîchir et se préparer. Marie-Claude étrenne une belle robe de soirée noire avec un décolleté généreux et largement fendue sur la jambe gauche. Elle complète sa tenue avec un re-dresse seins minimaliste noir en raison du décolleté, un string noir en dentelle, des escarpins noirs ainsi qu’une ceinture blanche à boucle dorée et une pochette blanche assortie.
Nous descendons pour le repas un peu avant l’heure, nous sommes accueillis par le boss (bel homme d’1 m 80 la soixantaine svelte cheveux poivre et sel) je fais les présentations :
« Monsieur le président, je vous présente mon épouse Marie-Claude, chérie Monsieur Moreau le PDG »
Monsieur Moreau : « Chère madame soyez la bienvenue vous êtes ravissantes. Xavier ce soir il n’y a pas de titre appelez-moi Gérard, excuser mon épouse elle règle un détail avec le directeur de l’hôtel. (Il se tourne vers ma femme) Marie-Claude votre beauté va illuminer la soirée. Xavier avec votre magnifique femme quel couple intéressant»
Marie-Claude: « merci vous êtes trop aimable.
Monsieur M : « Xavier votre épouse est trop modeste.»
Moi : « je vous remercie Monsieur Moreau je suis de votre avis mais ce sont les yeux de l’amour qui parlent »
Monsieur M : « je vous ai dit ce soir c’est Gérard mais rejoignez les autres nous nous reverrons plus tard »
À 21hoo nous ne sommes que six accompagnés de nos conjoints : Moreau le PDG et son épouse, Bricar le directeur régional Rhône-Alpes et sa femme, un collègue du site de Lyon et sa femme ainsi deux collègues féminines du site d’Ile de France et leurs maris.
Nous prenons place sur six tables rondes pour le repas les hommes seuls jouent des coudes pour se retrouver près des dames et loin du PDG. Après le discours d’usage le repas se déroule dans une ambiance décontractée.
Plusieurs fois Marie-Claude me donne des coups de coude pour me signaler que de l’autre côté Sébastien du site de Toulouse jeune ingénieur de 34 ans la drague et lui fait du genou. Bien évidemment cela excite ma coquine à qui je demande de rester discrète.
Un peu après 23h30 Gérard Moreau m’appelle il me demande si je peux passer à son bureau demain matin, je réponds par l’affirmatif. Il me serre la main en me disant de profiter de la soirée avec votre dame. Son épouse et lui se lèvent, saluent chacun et partent avec Bricar et son épouse. Ils sont suivis par nombre de participants. Une demi-heure plus tard nous ne sommes que sept : Guilaine et son mari, Boris et Carole, Sébastien, Marie-Claude et moi. Je m’absente pour aller aux toilettes et j’en profite pour passer à la réception afin de réserver une chambre d’hôtel à Orléans pour le 10, je vois Guilaine et son mari entrer dans l’ascenseur. Quinze minutes plus tard en quittant la réception pour rejoindre le salon du dîner je croise Carole en compagnie de Boris qui va vers l’ascenseur. Boris s’arrête pour discuter un peu il me fait un clin d’œil et dit : « Nous allons nous coucher, Carole part de bonne heure demain matin, tu rejoins Marie-Claude? Elle est avec le don juan Sébastien et ils ont l’air bien complice ! »
Moi : « si nous sommes les derniers nous n’allons pas tarder à monter nous aussi »
Je me dirige vers le grand salon, je pousse discrètement la porte et découvre Marie-Claude et Sébastien enlacés qui se dévorent les lèvres. Je pense sur l’instant que ma chérie est peut-être en train de se venger du fait que notre amant Boris soit de nouveau parti avec Carole.
Ils sont trop occupés pour me voir j’ai le temps de les observer Marie-Claude une main derrière la nuque du jeune ingénieur l’autre posée sur la braguette. Le don juan n’est pas inactif il a une main sur le sein et l’autre sur la chatte de mon épouse dont la robe est troussée. Je lâche la porte qui claque en se refermant les faisant sursauter tous les deux.
Marie-Claude: « tu ne peux pas faire plus discret ? Il y a longtemps que tu es là ? »
Moi : « juste assez pour voir que la cohésion est totale je suppose que nous montons à trois ?»
Marie-Claude: « si ça ne te pose pas de problème, j’aimerais bien, mais pas toute la nuit juste un petit peu »
Je regarde Sébastien : « j’espère que tu sais tenir ta langue et que ça ne sortira pas d’ici ? »
Sébastien : « vous avez ma parole »
Nous montons tous trois dans notre chambre Marie-Claude impatiente se jette sur le chaud lapin et défait sa ceinture pour accéder à l’objet de son désir. L’homme retire sa veste et sa chemise, l’audacieux baisse la fermeture éclair dans le dos de la robe et dégrafe le redresse seins puis fait glisser les bretelles des deux vêtements, des épaules sur les bras. Marie-Claude dégage ses mains les vêtements tombent à ses pieds elle les enjambe et se met à genoux pour débarrasser Sébastien de son pantalon et son caleçon elle peut enfin goûter au membre gonflé qui jaillit sitôt libéré. La queue sans être énorme est de belle taille Marie-Claudes’empresse de la sucer. La bite lui déforme la bouche. Elle s’applique à la tâche mais l’amateur veux plus il la relève la pousse vers le lit où elle tombe assise avant de s’allonger sur le dos. Le galant attrape son pantalon pour en extraire un préservatif puis il se place entre les cuisses ouvertes de Marie-Claude pour lui dévorer la chatte sa langue fouille les petites et grandes lèvres avant de venir taquiner le clitoris. La lascive ne tarde pas à se contracter sous la caresse et sa jouissance explose dans un cri de plaisir à peine étouffé.
Sébastien tout en se hissant vers elle pour l’embrasser déchire l’étui du préservatif. Il embrasse la coquine en coiffant sa queue tendue, dans la position du missionnaire il pénètre d’un coup la chatte lubrifiée par la cyprine. Surpris par la brusque pénétration Marie-Claude est heureux de sentir son vagin rempli par une queue bien dure.
Marie-Claude: « oui Sébastien je te sens bien, baise-moi bien à fond ! »
Le baiseur se meut lentement il va et vient dans le vagin accueillant. La pénétration de cette bite bien dure éveille la soif de plaisir de ma leste dissolue qui gémit sous les assauts de son amant occasionnel.
Marie-Claude: « vas-y, baise-moi plus fort bourre moi bien à fond fait moi jouir avec ta queue »
Sébastien : « tu aimes te faire baiser devant ton mec ? Tu es une belle salope tu m’excites un max » Le mâle se redresse retourne la cochonne et la prend en levrette. Étant à nouveau dans la chatte il saisit la salope par les hanches et la baise avec vigueur. L’énergique tire de plus en plus fort les hanches de ma moitié, en même temps il projette son bassin en avant en lui promettant de la baiser bien comme il faut.
Marie-Claude: « ouiii Sébastien défonce, moi, encore je viens ooooh ouiiiiiiiiaaaaaaaaaaah»
Alors que ma bergère jouit le queutard ne cesse de la, baiser et lorsqu’elle reprend pied il quitte la chatte pour planter son pieu dans l’anus qui lui fait de l’œil depuis un moment. L’aventureuse est surprise de la traîtrise de son amant qui a forcé sans délicatesse l’entrée du ramoneur.
Elle : « aie !Ouille ! Espèce de soudard tu aurais pu préparer mon petit trou ! »
Lui : « c’est bien toi qui m’as demandé de te défoncer ? Arrête de râler tu vas aimer ma bite dans ton cul »
Le guerrier défonce sans faiblesse le cul de mon épouse qui ne râle plus mais commence à gémir de plaisir.
Elle : « hum c’est bon ramone mon cul de salope ouiiiiiii Sébastien je viens je vais jouir du cul »
Lui : « tu es une vraie chienne tu m’excites un max je vais envoyer la purée »
Les deux amants jouissent de concert avant de se séparer. Sébastien retire son préservatif rempli, embrasse Marie-Claude et s’habille. Il nous remercie et nous quitte pour rejoindre sa chambre. C’est ce qui s’appelle un coup vite fait.
Marie-Claude et moi faisons l’amour avant de nous endormir. Le matin levé vers 7h30, nous prenons le petit-déjeuner après la douche. Vers 9h30 la voiture est chargée nous partons. Nous faisons le détour pour voir le PDG au siège où nous arrivons à 10h la secrétaire propose un café à Marie-Claude avant de m’introduire dans le bureau du Big Boss.
M : « Bonjour Xavier asseyez-vous, avez-vous passé une bonne fin de soirée ? »
Moi : « bonjour monsieur, une excellente soirée »
Lui : « je voulais vous voir car j’ai une mission à vous confier. Max Bricar a 65 ans et fait valoir ses droits à la retraite le 22 octobre. Nous avons choisi Carole Dubois pour lui succéder à la direction régionale de la région Rhône Alpes mais elle ne peut rejoindre que le 24 octobre. Vous connaissez la maison j’aimerais vous confier la charge de faire la transition entre les deux. Une semaine avec Max et une semaine avec Carole, je pense que cela devrait suffire pour assurer une bonne transition. Vous pourrez emmener votre épouse si vous voulez»
Moi : « vous me mettez en situation délicate comment le prendront-ils et quelles sont les conditions»
Lui : « vous étiez mon premier choix, Max avec qui je suis ami depuis longtemps vous apprécie au plus haut point et Carole le prend très bien puis qu’elle vous a choisi parmi les trois noms que je lui ai proposés»
Moi : « si vous permettez j’aimerais m’entretenir avec elle et aussi avec mon épouse avant de donner ma réponse »
Lui : « pas de problème, ne prenez pas trop de temps je dois officialiser cela pour la fin du mois. Ah j’oubliais votre salaire sera doublé pendant cette durée ainsi que les avantages qui y sont adossés.»
Moi : « je vous remercie et vous donne ma réponse la semaine prochaine »
Lui : « dans ce cas je vous libère »
Il se lève me raccompagne au secrétariat il salue mon épouse s’excuse de m’avoir retenu et ajoute qu’il espérait que je donne une réponse positive à sa proposition. Nous disons au revoir et regagnons notre voiture. 10h40 il est temps de sortir de la capitale pour rejoindre l’autoroute vers Orléans.
Sur le trajet je mets Marie-Claude au courant de la proposition du PDG et nous faisons le point sur les avantages et inconvénients de la situation. Même si je ne suis pas demandeur auprès d’autres femmes. Je perçois une petite pointe de jalousie chez mon épouse, me savoir une semaine seul avec Carole ne l’emballe guère.
Moi (ça m’amuse) :
« Pour apaiser tes craintes c’est peut-être la raison de son air distant et son refus de finir la soirée à quatre avec Boris lors du séminaire. (Je marque un silence) Tu veux peut-être venir avec moi ……. »
Après une fin de trajet silencieuse nous arrivons à l’hôtel vers midi et demi, nous prévenons la réception de notre arrivée et rejoignons le restaurant car la faim se fait sentir. Après le repas nous posons nos bagages dans la chambre et partons à la découverte de la vielle ville. Le soir nous dînons dans un restaurant asiatique avant de rentrer nous reposer avant la rencontre libertine de demain.
Après cette nuit à Orléans nous partons de bonne heure vers Sancerre où nous avons le rendez-vous libertin à midi trente. Pour cette occasion, Marie-Claude a choisi une jupe courte avec des chaînes sur le devant, dessous un collant en résille ouvert effet jarretelle avec ses escarpins noirs, pour le haut un petit bustier moulant en dentelle avec manche mettant en valeur sa poitrine libre. Vers 10 heures du côté de Blancafort dans le Cher nous décidons de nous arrêter au musée de la sorcellerie pour une visite surprenante avant de reprendre la route pour Sancerre. Nous sommes pile à l’heure chez René notre hôte. Il nous accueille avec son copain Jean nous faisons connaissance autour d’un apéritif. René la cinquantaine et Jean à peine quarante, les deux sont agréables nous partageons dans la cuisine un repas à base de produits locaux notamment un excellent jambon fumé un délicieux crottin de Chavignol accompagné par un vin de Sancerre blanc et un savoureux lichoux.
Après le repas nous passons dans le salon Marie-Claude se retrouve sur la banquette entre les deux hommes. Les mains de ma moitié partent à la découverte de la braguette des deux complices. Ceux-ci ne restent pas de bois René se lève et dégrafe son pantalon, Jean part à la conquête de la poitrine en débarrassant mon épouse de son top en dentelle. Le premier libère un sexe assez long d’épaisseur moyenne pour le présenter à la bouche de la coquine pendant que Jean dévore les seins libérés, et glisse la main sous la minijupe pour doigter la chatte de la mutine qui mouille de susciter autant d’intérêt.
Marie-Claude pose ses lèvres sur le gland offert sa langue taquine le méat avant de sucer la tige sur toute sa longueur. Tout cela en écartant bien les cuisses pour faciliter l’accès de la main aventureuse à son puits d’amour. Elle plonge la main dans le pantalon du second pour tâter l’autre queue à sa disposition. Les hostilités sont lancées René invite à passer dans la chambre Marie-Claude et les deux libertins se retrouvent nus sur le large lit.
L’amatrice découvre la queue de Jean plus petite que la bite de René sans être aussi petite que la mienne. Pour cette affamée les deux feront l’affaire. Dès que René est capuchonné et allongé sur le dos, ma coquine vient s’empaler sur le pivot de la joie en prenant appui sur ses épaules.
Ma chérie ondule des hanches en frottant son clito sur le pubis du queutard c’est une position qu’elle affectionne particulièrement car elle domine et dirige l’action cela lui permet également de garder la bouche disponible pour un autre partenaire. Il faut peu de temps à Jean pour venir baiser cette bouche. Après de longue minute Marie-Claude proche de l’orgasme abandonne la bite de Jean pour chevaucher frénétiquement le pieu qui la baise. René a saisi ma moitié par les hanches pour donner plus d’intensité à ses pénétrations ce qui entraîne la jouissance de la cavalière.
Marie-Claude: « ouiiiiiiiiii je viens ooui »
René : « moi aussi haaaaarr je lâche la purée »
Marie-Claude tombe sur le torse de son amant l’embrasse tout en expulsant le sexe ramolli. Les deux amants se séparent Marie-Claude bascule sur le côté et Jean, profite du moment de répit pour attraper un godemiché vibrant dans la table de chevet, se positionne pour se faire sucer la queue tout en remplissant la chatte de la belle du membre artificiel.
Pendant que ma femme suce la queue de Jean celui-ci lui la baise chatte avec le phallus artificiel, la coquine est plutôt heureuse de sentir ce membre de substitution aller et venir en elle cependant elle continue sa fellation avec application. Après plusieurs minutes Jean lâche le gode pour tenir la tête de Marie-Claude, il lui baise la bouche avec entrain avant de s’épandre au fond de sa gorge. La gourmande avale l’offrande et une fois la bouche vide elle réclame :
« Qui vient me bourrer la chatte ou le cul ? »
René qui a récupéré s’approche, il récupère le sexe artificiel et le plonge dans la chatte toute dégoulinante de cyprine après quelque aller-retour il pose le vibromasseur lubrifié sur le petit œillet et l’enfonce lentement et fermement dans l’anus accueillant.
René demande à Jean :
« Vient tenir le gode quand elle sera empalée sur ma bite tu lui baises le cul avec le vibro. »
René s’allonge sur le dos bite bandée et coiffée, il invite Marie-Claude à le chevaucher. La coquine vient s’emmancher sur la bite dressée elle ondule des hanches pour profiter pleinement du sexe de son amant, derrière elle Jean entame les vas et viens avec le gode il peine à se synchroniser avec le couple. René est lancé il trouve son rythme. Je vois à son visage que ma moitié emprunte le chemin du plaisir, elle émet des petits gémissements.
René : « elle est bonne ma queue, tu la sens bien petite cochonne tu aimes te faire baiser avec le vibro dans le cul»
Marie-Claude: « ouuiii j’aime baisez-moi plus fort ! Jean met le vibro à fond. René, je te sens bien»
René : « moi aussi je te sens bien et avec le gode je ne vais pas tenir longtemps »
Jean active la vibration au maximum et continu ainsi de baiser le cul de ma cochonne qui est à présent tendue prête à jouir sous l’action de cette double pénétration qui s’intensifie, soudain elle est emportée par un orgasme.
« ooooooooooooh ouiiiiiii c’est booon »
René continue de la baiser, Jean ôte le gode et se couvre le sexe pour passer à l’action.
René : « Jean prend ma place moi je l’encule »
Jean attire Marie-Claude sur sa queue alors que René passe derrière Marie-Claude et la sodomise. Les deux coquins s’activent disons que mon épouse baise Jean pendant que René percute le cul de la cochonne qui aime se faire prendre en double.
Elle : « aller René défonce moi mon cul de salope vas-y plus fort n’hésite pas j’aime »
René : « t’aime te faire casser le fion par une grosse bite salope, tu m’excites je crache »
Marie-Claude est emportée par un nouvel orgasme suivi par Jean. Les trois amants sur le lit reprennent leurs esprits.
René : « merci Marie-Claude c’était vraiment bon n’est-ce pas Jean ? »
Jean : « plutôt ! J’espère que tu as aimé Marie-Claude? »
Marie-Claude: « oui j’ai adoré j’ai joui de la chatte et du cul c’était très bien et toi chéri tu as aimé le spectacle »
Moi : « bien sûr j’adore te voir baiser et jouir. Il est temps de reprendre la route il est dix-sept heures passées »
Marie-Claude passe sous la douche et nous prenons congé de nos hôtes et en route vers Bordeaux où nous arrivons vers une heure du matin Marie-Claude a déjà commencé sa nuit.
À suivre !
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