Marie-Claude libertine 47 Où mène la route du rhum
Nous sommes le 16 octobre 2015 je rentre du travail il est dix-huit heures trente Marie-Claude ma petite épouse est encore dans sa pièce couture je vais l’embrasser elle travaille sur sa machine à coudre seulement vêtue de sa minijupe en daim fermée devant par 6 boutons à pression et d’un top en dentelle noire.
Elle s’excuse elle n’a pas vu l’heure passer et le dîner n’est pas prêt. Elle se précipite dans le frigo de la cuisine à la recherche d’idée pour le dîner. Je l’entends revenir vers le salon.
Elle : « je n’ai pas fait de course cet après-midi, car je dois y aller demain avec ma copine Geneviève, je peux faire quelque chose avec les restes en vitesse »
Moi : « Pas de problème je mange ce que tu veux »
Je vais dans la salle d’eau me rafraîchir et passer des vêtements décontractés un short et un débardeur.
Alors que je viens de sortir de la douche la sonnette de l’entrée retentie, Marie-Claude se dépêche d’aller ouvrir.
Le visiteur : « Bonsoir Marie-Claude puis je peux voir Xavier »
Marie-Claude embrasse le visiteur :
« Bonsoir Anite entre, Chéri ! C’est ton ami Anite l’éleveur de Berger Allemand!»
De la salle d’eau je crie :
« J’arrive »
Je me sèche rapidement puis enfile short et débardeur pour rejoindre le visiteur et Marie-Claude au salon. Anite est martiniquais c’est par le biais de son élevage canin que nous sommes devenus amis.
« Bonjour Anite ! Quand es-tu rentré des Antilles ? »
Lui : « Je suis rentré il y a deux jours après deux mois en famille, le retour est un peu dur à peine le temps de récupérer et de faire le point sur l’élevage avec l’employé qui gérait en mon absence. Comme je t’avais promis un peu de Rhum en cadeau je te l’apporte »
Il sort de son sac trois bouteilles de rhum vieux (celui que je préfère)
Moi : « Anite je te remercie pour ce cadeau et de t’être déplacé pour me l’apporter je crois que l’on va tout de suite le goûter, chérie tu apportes des verres »
Marie-Claude pose sur la table basse trois verres que je m’empresse de remplir. Anite est assis sur le canapé, Marie-Claude dans le fauteuil en face de lui et moi entre les deux dans l’autre fauteuil en bout de la table basse. Nous trinquons et dégustons notre premier verre.
Moi : « et comment va la petite famille ? »
Anite : « ils sont restés chez mes parents pour en profiter encore et rentreront le 06 octobre, je suis célibataire pour quelques jours encore »
Marie-Claude : « dans ce cas si tu n’as rien de prévu tu dînes avec nous ? »
Lui : « si je ne dérange pas j’accepte volontiers »
Je sers une seconde tournée puis me lève et vais en cuisine chercher des amuse-bouches antillais que j’ai toujours en avance au congélateur, un coup de micro-onde et c’est prêt. Lorsque je reviens avec mon plateau je trouve Marie-Claude assise de travers sur le canapé à côté d’Anite et tournée vers lui. Je fais le service avec le plateau. En se penchant pour prendre un friand Marie-Claude écarte les cuisses dévoilant son entrejambe vierge de culotte. Je n’ai aucun doute Anite a pu se rincer l’œil.
Je retourne en cuisine préparer le repas avec ce qu’il y a au frigo, quelques légumes un reste de pâtes des œufs durs et du jambon, je propose crudités et gratin de pâtes au jambon tout le monde est d’accord.
L’apéritif se prolonge et le niveau de la bouteille baisse progressivement nos esprits s’échauffent.
Moi : « Marie-Claude on mange dans la cuisine ? »
Devant son acquiescement je vais mettre la table dans la cuisine et surveille mon gratin.
À mon retour dans le salon je trouve Anite la chemise ouverte sur son torse nu le pantalon sur les mollets, Marie-Claude accroupie cuisses écartées lui suce la queue. Cette bite est dans la moyenne mais le gland comme une prune rouge est énorme il déborde largement de la tige tel un champignon avec un gros chapeau sphérique sur un long stipe (pied) d’environ 3,5 diamètres et celui-ci semble comestible vu l’enthousiasme de mon épouse.
Moi : « c’est votre dîner ou la mise en bouche ? »
Marie-Claude : « c’est compris dans l’apéro, nous avons un peu de temps avant de passer à table ? »
Moi : « c’est prêt dans un quart d’heure »
Je bois un coup de rhum et retourne dans la cuisine finir la préparation du dîner j’entends Anite gémir et encourager Marie-Claude à le sucer bien à fond. Après quelques minutes je l’entends pousser un grognement de satisfaction et dire :
« Tu es une sacrée gourmande, tu as tout avalé, il y a longtemps que l’on ne m’a pas sucé comme ça. »
Marie-Claude lui répond : « c’était un plaisir je te remercie mais avant de passer dans la chambre passons à table ».
Ils arrivent dans la cuisine se tenant par la taille, Anite a rectifié sa tenue. Nous passons à table Marie-Claude prend place entre nous deux. Le repas est vite avalé, Anite me félicite pour ce dîner improvisé, ma petite cochonne semble impatiente de passer dans la chambre. Elle s’empresse de mettre la vaisselle dans le lave-vaisselle pendant que je finis de ranger et nettoyer la table.
Ma chérie peut enfin entraîner Anite dans la chambre. Les effets de l’alcool sont là les yeux sont brillant. Marie-Claude est totalement désinhibée elle prend à peine le temps d’ouvrir le lit puis, sous le regard surpris d’Anite, se déleste de ses vêtements et se jette nue sur le lit.
Elle : « hé bien Anite qu’attends-tu pour faire comme moi »
L’Antillais ne se fait pas prier il se met nu et rejoint mon intrépide épouse sur la couche pendant que je m’assure que tout le nécessaire est bien sur la table de chevet. Je récupère mon appareil photo et mets en marche la caméra que j’avais installée dans la pièce.
Marie-Claude me sourit : « chéri tu vas nous faire de belles photos ».
Anite après avoir embrassé mon épouse à pleine bouche, il lutine la poitrine passant d’un sein à l’autre mordillant doucement les tétons érigés. Après ces amuse-bouches il pivote pour venir déguster la chatte toute baveuse de ma cochonne.
Marie-Claude n’est pas en reste elle s’est emparée de la bite bandée de notre visiteur et tout en le masturbant la gourmande prend en bouche le membre gonflé et le suce avec gourmandise.
Ma belle attrape un préservatif et couvre l’objet de sa convoitise. Le signal est clair pour le coquin des îles il se redresse pour s’allonger sur l’impatiente.
Lui : « Madame veut que je la baise »
Elle : « oui je désire ardemment que tu bourres ma petite chatte, ça fait un moment que j’en meure envie »
La coquine replie les jambes ses pieds reposent sur les fesses du mâle qui prend enfin possession de la grotte intime de la petite salope. Le corps à corps est lancé Anite baise avec puissance la libertine les coups de queue sont violents et rapides. Sans quitter l’étui douillet le queutard enlace ma femme et bascule sur le dos laissant ainsi l’initiative à la dissolue.
La dévergondée se déchaîne sur le pivot de la joie à la recherche du plaisir tout à tour sautant sur le priape qui la pénètre ou frottant son clito sur le pubis de son amant. Ce dernier alterne baisers et caresses sur les seins gonflés de désir. Après plusieurs minutes de ce traitement Marie-Claude est proche de la jouissance se redresse et demande :
« Anite appuie sur mes hanches je suis prête à jouir »
Je me tiens prêt car je sais que dès que son baiseur va appuyer sur ses hanches elle va partir et je vais pouvoir saisir avec mon appareil l’instant de ce plaisir.
Elle se tend toute contractée et crie :
« oouiiiiii c’est bon appuie plus fort ooui »
Aussitôt la tension passée elle s’écroule, comme vidée, sur la poitrine de son amant. Celui-ci n’a pas joui mais affiche un sourire de satisfaction. Tout en serrant ma femme contre lui ses lèvres prennent celles de la jouisseuse et son bassin recommence à s’agiter le membre noir pilonne à nouveau la chatte de ma libertine.
Marie-Claude lui chuchote à l’oreille :
« Oh oui continue de me baiser je veux encore jouir de ta queue »
Lui : « ne t’inquiète pas c’est bien mon intention, c’est demandé si gentiment et puis ça fait trois mois que je ne baise qu’avec ma Martiniquaise»
Consciencieux il baise longuement ma bergère qui jouit une seconde fois, il change de position se met sur le dos.
Anite: « Marie-Claude vient me sucer que je jouisse dans ta bouche »
Marie-Claude : « je te dois bien ça mais j’espère que ce n’est pas fini »
Ma gourmande se met au travail avec application désireuse de goûter la liqueur de son partenaire du jour, comme elle sait si bien le faire elle alterne gorge profonde et dégustation du gland. L’îlien profite pleinement de la caresse buccale au point de maintenir la pression sur la tête de la suceuse au moment fatidique de l’orgasme pour que sa jouissance coule dans sa bouche. Il ne se doute pas de la gourmandise de mon épouse. Marie-Claude ingurgite avec appétit la liqueur comme pour étancher sa soif de sirop de corps d’homme.
Anite : « tu as l’air d’aimer ça, tu es expérimentée et j’aime ça, je peux profiter de ton corps plus longtemps ce soir»
Marie-Claude : « bien sûr la nuit ne fait que commencer j’espère que tu vas encore me baiser et me faire jouir plusieurs fois »
Ma coquine blottie dans les bras du Martiniquais caresse doucement le torse glabre, sa main descend progressivement vers le pubis puis les couilles avant de venir réveiller le membre de chair qui gonfle et se dresse à nouveau. L’aventureuse embrasse longuement son partenaire puis le regard brillant elle lui sourit.
Marie-Claude : « dis donc mon guerrier prêt pour un deuxième round »
Anite : « plutôt deux fois qu’une, laisse-moi dévorer ton petit bouton et t’envoyer au paradis»
Marie-Claude se met sur le dos cuisses écartées et invite mon ami à se mettre au travail pour soulager sa moule qui bave de désir. Anite s’allonge à plat ventre entre les jambes et se lance dans la dégustation du coquillage, en même temps ses doigts visitent la grotte intime. La réaction de la dévergondée ne se fait attendre elle gémit de bonheur encourageant le chaud lapin avant d’atteindre l’orgasme une vague de plaisir la fait crier avant qu’elle se relâche épuisée par ce moment intense.
Anite : « chose promise chose due ça t’a plu ma caille quand tu es prête à passer aux choses sérieuses, je m’occupe de tes trous ? »
Marie-Claude : « je n’attends que ça voir si tu peux encore me faire jouir avec ton goupillon »
Le résolu guide ma légitime pour la mettre à quatre pattes, il se place derrière à genou et plonge son chahuteur dans le baveux. Il met en œuvre son marteau à boules qui percute la matrice avec régularité variant seulement l’orientation de sa pénétration.
Marie-Claude : « ouiiiiiiii baise moi encore plus fort je viens, aaaaaah..ouiiiiii »
La jouissance de ma libertine lui donne plus d’appétit elle est en demande de sexe et le fait savoir à son baiseur.
Marie-Claude : « ne t’arrête pas baise moi encore je veux jouir sans fin »
Anite : « ta chatte est confortable mais si tu veux bien j’ai envie de te prendre au petit j’adore les petits culs »
Marie-Claude : « vas-y j’aime aussi, si tu me fais jouir encore je fais ce que tu veux »
L’Antillais lui trempe un peu sa bite dans la chatte tout en préparant l’œillet à la visite de son chibre. Quand elle se sent prête elle l’invite à passer à l’action. Le queutard présente son nœud sur le rider et pousse en écartant les fesses de la cochonne. Mon intrépide femelle recule et va à la rencontre du membre viril qui s’insinue dans son fondement.
Anite : « j’y suis ton cul est confortable petite salope je vais te ramoner le fion si tu aimes je peux faire durer »
Marie-Claude : « ne t’en fais pas si tu t’y prends bien tu me feras jouir du cul plusieurs fois si tu veux »
Le mâle entame son va-et-vient dans le croupion de la belle qui offre sans manière sa porte dérobée parfois il quitte totalement pour mieux y revenir s’y réfugier profondément. Il sodomise longtemps la leste dissolue. Après de longues minutes de ramonage la charnelle sent son plaisir monter, les frissons annonciateurs de la jouissance sont intenses.
Marie-Claude : « je viens ! Je vais jouir du cul ! Plus fort Anite défonce, moi, le cul plus fort »
Anite : « c’est bien ma salope vas-y, moi aussi je vais jouir dommage pour ton cul il va chauffer, la capote va empêcher le graissage »
Marie-Claude : « ouiiiiii c’est bon viens avec moi je veux sentir ta queue cracher dans mon cul ouah»
Anite : « putain je gicle, han !Tiens prends ça petite garce, ouaaaaa ! »
Marie-Claude : « merci c’était bon, je suis à plat, une petite pause ?»
Après une petite pause la coquine retrouve vite son envie de jouer avec le sexe d’Anite tout d’abord avec la main puis avec la bouche dès que le membre a retrouvé sa raideur, lui se laisse faire les yeux fermés il savoure la caresse buccale la main posée sur la tête de la suceuse.
Marie-Claude suce la tige, le gland puis les couilles avant de remonter en léchant la tige. Lorsque la langue arrive au gland elle joue avec le frein ce qui est fatal Anite ne peut se retenir plus longtemps et une première giclée de sperme atterrit dans les cheveux de la gourmande qui se dépêche d’emboucher le gland pour ne rien perdre de sa récompense elle aspire la liqueur amère salée jusqu’à la dernière goutte. Elle se redresse c’est toute souriante et le regard espiègle qu’elle s’approche du coquin.
Marie-Claude : « alors mon lascar tu vois que moi aussi je peux te faire jouir plusieurs fois avec la bouche, ne dis pas que tu n’as pas aimé »
Anite : « bien au contraire, tu es vraiment douée j’adore et cela me donne envie de te baiser encore ta petite chatte mais cette fois ton homme va te prendre par-derrière n’est-ce pas Xavier. »
Moi : « Ce sera avec plaisir j’arrive »
Je pose l’appareil photo et m’approche des deux amants. Anite reste sur le dos mon épouse qui redonne toute sa raideur au sexe de son amant enjambe le corps de ce dernier et s’empale sur le sexe noir bandé, elle se penche sur la poitrine de l’Antillais ce faisant elle rend son petit ridé encore plus tentant. La bite à la main je me place derrière mon épouse et présente ma bite face au passage du ramoneur et lentement je pénètre le conduit étroit.
Marie-Claude accueille avec plaisir mon engin dans son fondement, je sens le braquemart d’Anite au travers de la fine paroi. Nous nous mettons en mouvements, mon écouvillon ramone sérieusement le conduit anal de ma bourgeoise qui a du mal à tenir sur sa monture qui rue sous elle. La libertine ainsi possédée prend beaucoup de plaisir et ne tarde pas à jouir lorsque je me répands au fond de son rectum et Anite au fond de sa chatte.
Marie-Claude reprend ses esprits :
« Merci mes cochons vous m’avez bien baisée j’ai apprécié cette petite soirée improvisée»
Anite : « c’est à moi de vous remercier tous les deux pour cette soirée »
Après un passage sous la douche nous prenons un dernier verre notre ami part et Marie-Claude et moi nous allons nous coucher il est près de deux heures, la nuit va être courte heureusement plus qu’une journée avant le week-end………….
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