Marie-Claude libertine 53 La St Valentin 2/2
Nous sommes à une soirée St Valentin qui s’est transformée en gang bang pour Marie-Claude voici la suite du récit de cette soirée mémorable Marie-Claude vient de se restaurer tout en remuant sur le braquemart d’Oumar puis par un regard coquin et un sourire elle me fait comprendre que cela n’est pas fini.
Elle me dit : « pour toi tout va bien ? Veux-tu m’enculer avant que je ne sois épuisée. »
Moi : « volontiers, sais-tu où tu en es ce soir »
Elle : « non mais Agnès peut te le dire elle ne me quitte pas et veille à ce que je ne manque pas de bites elle m’a déjà envoyé son homme dans mes trois trous »
Sur ce je me glisse à genou dans son dos et ma queue trouve sans difficulté le chemin du ramoneur ouvert et lubrifié par le sperme des précédents visiteurs. Au travers de la paroi je sens la bite d’Oumar s’agiter je sodomise mon épouse tout en lui caressant les seins et lui pinçant les tétons. À chaque coup de reins résonne un floc en raison de la quantité de sperme déjà présente dans le fondement de mon épouse.
Marie-Claude caressée par plusieurs hommes est proche de l’orgasme lorsque José qui lui baise la bouche annonce son éjaculation Oumar arrivée à son point de rupture crache sa semence au fond de la chatte de ma femme qui se tend sous l’effet d’une nouvelle jouissance et à mon tour je me répands dans son rectum.
Marie-Claude se redresse laissant sur le pubis sombre d’Oumar une belle quantité de sperme blanchâtre. Nous descendons du lit central elle s’approche de moi et m’embrasse.
Elle: « chéri tu veux bien m’accompagner à la douche avec le jus que j’ai dans la chatte et dans le cul cela me coule de partout j’en ai plein les cuisses ».
Nous allons vers les douches Marie-Claude se met sous l’eau chaude de la douche je me plaque contre elle et me sert de la douchette pour laver ses orifices qui sont encore légèrement ouverts j’y glisse plusieurs doigts pour parfaire le nettoyage. Cette toilette a pour effet d’exciter ma chérie qui me demande se passer un peu d’eau fraîche sur ses parties intimes. Une fois séchés, nous retournons dans la salle en passant par le bar où Agnès nous rejoint elle embrasse Marie-Claude et lui dit :
« Bravo ma chérie ! Tu as baisé presque tous les hommes en couple il te reste Adrien et les barmans Sékou et Youssef pour accomplir ta totalité de la tâche qui t’incombe mais il faut reconnaître que c’est plus facile pour toi que pour José qui n’a baisé que sept femmes. »
Marie-Claude : « j’avoue que c’est plus facile et que j’y prends beaucoup de plaisir, si tu veux bien ma charge m’appelle »
Elle fait signe aux deux serveurs de s’approcher :
« Rejoignez-moi sur le lit rond », en se dirigeant vers le centre de la pièce :
« Adrien ! Vient baiser la Valentine avant qu’il ne soit trop tard »
En arrivant elle se jette sur le lit elle est bras tendus et cuisses écartées :
« Viens Adrien ».
Celui-ci arrive :
« À votre service très cher».
La tête d’Adrien vient entre les cuisses de mon épouse il la prend sous les genoux et entreprend la dégustation du sexe féminin il a la chance de trouver un berlingot tout propre et frais. Sa langue fouille le coquillage qui s’ouvre sous la caresse, sa bouche aspire les lèvres humides, ses doigts repoussent le capuchon du clitoris qui se retrouve entièrement libéré. Sa langue taquine le bouton bandé, ses dents mordillent délicatement le petit morceau de chair.
Marie-Claude est détendue elle profite des caresses, ses cuisses relevées par Adrien elle a posé ses pieds sur le lit et ses mains, accrochées à la chevelure de son suceur, le maintiennent contre sa chatte.
La dévergondée attire Youssef et Sékou qui sont à côté d’elle. Les deux hommes ont des bites au-dessus de la moyenne. Sékou présente une longue bite noire de plus de 22cm et d’un diamètre respectable d’au moins 4,5 cm, Youssef lui a une queue épaisse de plus de 5cm de diamètre mais un peu plus courte environ 19 cm.
Ma Valentine attrape les joyeuses pour tirer les deux hommes vers elle. De chaque côté une femme branle chaque serveur et dirige sa bite vers la bouche de mon épouse qui se fait plaisir en suçant alternativement les deux braquemarts, les deux femmes profitent de ce que, Marie-Claude suce les couilles de l’un ou de l’autre pour prendre en bouche les queues tendues.
Adrien s’est redressé sur ses genoux, en maintenant les jambes de Marie-Claude sur ses épaules il la tire vers lui. Le bassin de ma chérie s’approche vers le sexe tendu de l’homme. Dans un mouvement régulier et lent la queue entre en contact avec les lèvres humides et sans être guidé pénètre dans l’accueillant fourreau. Le mâle se met à donner de violents coups de reins et à chaque fois que le chibre frappe le fond du vagin l’onde de choc agite les seins de ma bergère.
Marie-Claude tout à son plaisir de se faire limer le berlingot gémit de plus en plus elle en oublie les bites des serveurs pour le plus grand bonheur de deux femmes qui profitent de la situation pour sucer les queues délaissées.
Il faut dire que l’intensité avec laquelle Adrien tringle ma petite salope fait monter la température le couple est en sueur, Adrien le visage écarlate annonce :
« Je vais envoyer la purée ! Tu es prête petite Valentine »
Marie-Claude : « vas-y queutard crache ton foutre au fond de mon ventre »
Un râle accompagne la jouissance d’Adrien qui éjacule et donne encore quelques coups comme pour pousser sa semence au fond du vagin. Ma chérie n’a pas joui cette fois.
Marie-Claude s’adresse aux deux serveurs :
« Dites donc mes mignons ! C’est à vous, occupez-vous de moi maintenant, pensez-vous être capables de me faire grimper au rideau. »
Sékou : « tu ne vas pas être déçue nos zobs ne sont pas des merguez ! N’est-ce pas Youssef ? Avec Youssef on va te prendre en double tu vas déguster mais crois-moi tu vas aimer»
Youssef : « c’est sûr et si ça ne lui suffit pas Oumar et Ayoub, viendra en renfort »
Youssef s’allonge contre Marie-Claude, il lui caresser la chatte il y plonge les doigts, récupère un peu du mélange sperme cyprine qu’il dépose sur l’œillet de ma femme tout en perforant l’anneau brun de son index.
Youssef : « elle est prête le graissage de madame a été fait et ça va glisser tout seul »Il saisit ma libertine par le bras pour l’amener sur lui :
« À cheval poulette viens sur mon chibre! »
Marie-Claude, les mains en appui sur la poitrine du Maghrébin s’installe sur le sexe dressé et se laisse descendre avec bonheur sur le membre épais et dur de 19 cm. Derrière elle Sékou enjambe son collègue se met à genoux et guide son bâton de réglisse sur le petit anneau ridé qui s’ouvre sans difficulté tant il a été visité ce soir. Le membre de 22 cm disparaît peu à peu dans le fondement de ma chérie. Une fois à l’aise les deux hommes se mettent en mouvement ma femme est secouée entre les deux hommes le premier lui bourre la boite à plaisir le second lui ramone l’intestin.
Mon épouse démarre rapidement sous les coups de bites elle en redemande et encourage ses deux baiseurs :
« ouiii mes salops! Baisez-moi plus fort je suis une salope ! ouiii j’aime, je sens bien vos gosses bites. »
Les deux serveurs s’activent dans les deux orifices de mon intrépide épouse, l’un lui donnant des claques sur les fesses, l’autre lui malaxant les seins tout en pinçant les tétons. Elle apprécie de plus en plus le traitement qu’elle subit et le fait savoir :
« C’est bon continuez plus fort faites-moi jouir mes gaillards, encore ouiiiiiii je viens encore….»
Sékou : « on tient parole hein chaudasse ! Tu vois que tu aimes nos queues et nous aimons les chiennes comme toi. Défoncer à grands coups de bites une salope qui a la praline en délire pour nous c’est le pied. »
Marie-Claude : « oooooooooooohouiiiiiiiiiiiiii je jouis raaaaaaaaaaaaaaah »
Youssef : « profite bien petite dépravée ce n’est que le début. On va faire mieux encore je suis sûr que tu vas adorer ».
La jouisseuse peine à récupérer de son orgasme :
« C’est trop bon c’est fort vous me tuez de plaisir mes salops ».
Sékou toujours installé confortablement dans le fondement de mon épouse fait un grand signe à Oumar et Ayoub qui sont derrière le bar. Les deux hommes se rapprochent du lit central
Oumar : « on a besoin de nos services ? La p’tite dame en veut encore ? »
Sékou : « oui ! Je crois qu’il est temps de passer au bouquet final on va baiser cette nympho tous les quatre. »
Oumar : « OK mais cette fois son cul est pour moi ».
Les quatre gaillards se concertent tandis que Marie-Claude allongée à côté tente de récupérer et les écoutes.
Elle : « je ne vais pas pouvoir prendre toutes vos bites à la fois elles sont trop grosses ! »
Oumar : « Mais si tu as prouvé combien l’élasticité de tes trous te permet d’accueillir de gros calibres, et ce soir ils sont à la fois ouverts et lubrifiés. Allez les gars en place »
Youssef et Ayoub s’allongent sur le dos queue contre queue les jambes se croisent. Ils invitent Marie-Claude à venir s’empaler sur les deux dards dressés. Ma femme enjambe les corps et se laisse descendre sur ce mât double lorsqu’elle arrive au contact des glands elle écarte le plus possible ses lèvres humides. Elle laisse peser son corps tout entier sur les pieux mais cela ne passe pas. Elle se redresse, Agnès se précipite avec un flacon de lubrifiant et en enduit généreusement les deux braquemarts ainsi que la chatte et l’anus de ma gonzesse et Oumar plonge sa main enduite de lubrifiant dans la chatte peu à peu sa main disparaît entièrement.
Agnès : « vas-y princesse maintenant cela va bien glisser profite c’est cadeau »
Mon audacieuse épouse reprend sa position elle se pose à nouveau sur le double mât, Oumar pose ses mains sur les épaules pour peser également. Soudain l’orifice cède les deux bites pénètrent peu à peu la chatte écartelée les lèvres presque au contact avec les pubis des deux Maghrébins. Ma poupée souffle fort en se mordant la lèvre inférieure.
Elle : « oh lalala waouh c’est rentré je suis empalée sur deux grosses queues qui m’écartèlent. Je suis remplie mais je n’ose pas bouger j’ai peur d’être ouverte en deux».
Agnès : « tu vas voir tu vas y arriver avec l’aide d’Oumar »
Ce dernier enjambe les corps enchevêtrés il appuie sur le dos de Marie-Claude qui se penche vers l’avant puis lentement tenant son phallus bandé pointé vers le boudeur il plie les genoux pour venir placer le gland de son énorme verge noire sur l’anus lubrifié de ma libertine. Lorsqu’il impacte sa cible le gland commence à ouvrir la corolle sombre puis sous la pression le membre se tord. Le black guide alors son pieu des deux mains et augmente la pression sur l’œillet qui finit par céder et le gland chocolat disparaît dans le trou sombre.
Marie-Claude crie en gigotant: « ouille ouille aïe aïe !! Salop tu me casses le cul »
Oumar : « tais-toi, tu veux nos grosses bites ? Laisse-toi faire dans un instant tu vas adorer, détends-toi c’est moi qui vais donner la cadence ».
Lentement il pousse son sexe et pénètre au maximum le fondement féminin il temporise pour que Marie-Claude s’habitue à la présence simultanée des trois énormes verges en elle.
Tous les hommes et femmes de la soirée sont regroupés autour du lit rond pour assister au spectacle les queues sont dressées les mains s’activent sur les chattes ou les queues.
Oumar se met enfin en mouvement doucement d’abord puis il accélère, il pilonne énergiquement l’anus de mon épouse qui sous les coups de ce priape noir se retrouve en mouvement sur les deux chibres des Maghrébins. Les hommes ne se privent pas ils la traitent de tous les noms :
« Saute au paf, vicieuse, gourmande, salope, chienne etc.….. ».
Elle les entend cela l’excite, elle commence par gémir puis crie de plus en plus fort :
« Putain que c’est bon oui les gars je suis à vous ouiiii haaaaahooooouiiiiii…… »
Oumar : « Sékou ferme lui sa bouche qu’on la baise dans le calme»
Sékou vient plonger sa bite dans la bouche ouverte de ma bourgeoise et l’agrippant par les cheveux il lui baise la bouche en profondeur et sans délicatesse. Les quatre mâles se servent d’elle comme d’une poupée gonflable. Elle semble si fragile entre ces mâles musclés qui s’agitent en elle pour leur seul plaisir. Mais je vois les réactions de bonheur de Marie-Claude, elle est emportée par le plaisir d’être traitée ainsi, elle bave tente de respirer s’accroche aux couilles ou aux cuisses de Sékou le maintenant dans sa bouche. Plusieurs fois elle est emportée par la jouissance ce qui finit par déclencher celle de ses baiseurs qui se vident en elle dans des cris bestiaux.
Lorsque les corps se séparent Marie-Claude s’écroule sur le lit, allongée sur le dos elle sourit, les hommes autour encouragés par leurs femmes viennent se branler au-dessus d’elle pour la couvrir de sperme. Il ne faut que quelques secondes pour que les premières giclées de semence s’écrasent sur son ventre et sa chatte, certains visent ses seins d’autres ses cheveux ou son visage et les trois derniers viennent poser leurs bites au bord des lèvres de la bouche qui s’ouvre prête à recevoir l’offrande. Lorsque tout le monde est soulagé la majorité des participants se dirige vers le vestiaire. Marie-Claude se redresse péniblement, aidée par Agnès qui en profite pour lui rouler une pelle et lui lécher le visage profitant ainsi du goût des offrandes que Marie-Claude a reçues. Je vais à mon tour aider mon épouse Agnès me regarde en souriant :
« En tout cas ma chérie félicitation tu as assuré. Alors Xavier tu vois que j’avais raison quand elle est partie rien ne l’arrête, je suis sûre que s’il y avait d’autres bites elle serait partante.».
Marie-Claude : « vous êtes bien gentils, mais là je crois que j’ai ma dose. Chéri aide moi, récupérons nos affaires et partons »
Moi : « tu veux prendre une douche avant de partir ? »
Elle : « Non je reste comme ça pour que tu me nettoies à la maison j’en ai sur tout le corps dans le cul et la chatte »
Tous les invités nous saluent et félicitent Marie-Claude en partant. Lorsque nous partons à notre tour Agnès et son mari propose que nous nous revoyions uniquement tous les quatre (ce qui se fera deux fois).
Marie-Claude et moi sommes parmi les derniers à partir il est près de quatre heures. Épuisée, elle s’est endormie au bout de quelques kilomètres, après une demi-heure de route nous arrivons à la maison.
Marie-Claude se réveille quand le rideau du garage se lève. Aussitôt la voiture à l’abri et le garage refermé elle descend pour regagner la chambre ses vêtements posés négligemment sur la chaise elle ouvre le lit et m’invite à venir m’occuper d’elle.
J’embrasse sa bouche au goût de foutre prononcé et lèche son corps poisseux de sperme plus ou moins séché je nettoie de ma langue ses orifices d’où s’écoule encore le foutre abondant de ses nombreux baiseurs de la soirée pendant qu’elle me suce la queue. Nous jouissons une dernière fois avant d’aller prendre une bonne douche, la poire à lavement fait son œuvre et nous allons nous jeter dans les bras de Morphée dont nous ne sortirons que vers dix heures du matin.
Je me lève le premier pour préparer le petit-déjeuner lorsqu’elle arrive elle se laisse tomber sur sa chaise.
« Chéri je suis toute courbaturée j’ai les trous en feu je prends mon café et je retourne me coucher il faut que je récupère et repose ma petite chatte et mon petit trou du cul…
À suivre !
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