Marie-Claude libertine 6 — (L’air du Pacifique 3) en extérieur
Après la première soirée mouvementée avec Stanley et John Marie-Claude et moi parlons sur le chemin du retour :
Marie-Claude : « Xavier j’avoue j’ai aimé leurs sexes mais un peu moins de me faire enculer et la façon dont ils nous parlaient. »
Moi : « si tu veux on arrête tu n’es pas obligée. » — « Mais ils m’ont fait jouir comme jamais ! La façon de nous parler s’il n’y a pas de coup je peux supporter et toi ?
— “Cela ne me gêne pas au contraire cela m’excite et j’ai même aimé te nettoyer ! Et ton cul ?
– ‘J’ai eu mal au début et du plaisir ensuite. Ça chauffe un peu mais Je vais m’habituer.’ – ‘Alors que fait-on ?’ — ‘je veux continuer ! Ils vont me donner du plaisir et nous faire vivre d’autres choses.’
En arrivant nous avons fait l’amour et jouîmes une dernière fois sous la douche avant de dormir quelques heures.
Le mardi suivant Stanley arrive à 20 heures avec un bouquet de fleurs, je le fais entrer et le conduit dans la pièce de vie Marie-Claude est avec Muriel curieuse elle dit.
‘Bonjour Monsieur’
Il répond ‘bonsoir mademoiselle’
Marie-Claude l’embrasse présente Muriel à Stanley, et Muriel part se coucher dans sa chambre au fond de l’appartement, elle verrouille la porte pendant que je sers l’apéro.
À son retour elle s’est changée. Le bermuda et le polo Lacoste sont remplacés par un petit haut blanc en voile qui ne cache rien de sa superbe poitrine une minijupe en Skaï noir sans culotte. Il lui caresse les fesses et l’embrasse sur la bouche :
‘Toujours aussi provocante ma petite pute’
Elle : ‘oui chéri pour toi ! C’est bien ce que tu voulais !’
Elle vide son verre.
Lui : ‘Tu apprends vite’
Nous passons à table pendant le repas à chaque passage Marie-Claude est tripotée et embrassée par l’invité.
À la fin du repas Stanley recule sa chaise sort sa bite en érection
‘La pute suce moi, toi lopette débarrasse !’
J’obtempère tout en les observant. Marie-Claude se penche sur le membre le prend en bouche le, lèche, le, suce des couilles au gland.
La table dégagée il se met debout relève mon épouse, la pousse sur la table il saisit ses chevilles et remonte les jambes. Au bord de la table les fesses encore blanches laissent apparaître l’œillet il se penche et sa langue va taquiner le fripé. Je reviens dans la pièce il tourne la tête vers moi avec un sourire :
‘Tu vois je vais l’enculer il faut toujours honorer la maîtresse de maison n’est-ce pas putain’
Elle : ‘oui chéri doucement s’il te plaît’
Il se plante dans la chatte déjà tout humide fait quelques va et viens.
‘Je vois que tu es prête salope’
Il crache dans ses doigts pour enduire la cible puis avec sa main il guide son braquemart, positionne le gland au centre de la cible et pousse. Lentement le dard pénètre l’entrée de service et disparaît peu à peu.
‘Hum’.
Marie-Claude se mord les doigts pour ne pas crier.
Lui ‘tu vois cela rentre plus facilement et ce sera de mieux en mieux’
Pendant de longues minutes il laboure consciencieusement le fondement de ma femme.
‘Tu es vraiment très confortable et serrée chaudasse je vais te graisser les intestins salope tiens aaaahhooohhh’.
Elle ‘qu’est-ce que tu m’as mis chéri’
Lui : ‘tu gardes mon jus dans ton cul OK ? Nettoie-moi la queue !’
Il se retire et présente sa tige elle se lance dans le nettoyage.
En s’adressant à moi ‘maintenant donne ton appareil photo pendant que tu gardes Muriel, Marie-Claude et moi on va faire des photos dehors ! D’accord ?’
Je regarde Marie-Claude elle me sourit
‘Oui ! Je te raconterai promis’.
Ils partent il est 22 h 15 A minuit Marie-Claude revient seule :
‘Il m’a déposé, sa femme l’attend et il doit aller se doucher au studio. Muriel a été sage ?
Moi : ‘oui ils n’ont pas bougé. Alors raconte ! Où êtes-vous allé ?’
Marie-Claude raconte :
‘Nous sommes allés près de la plage au parcours de santé. La voiture garée sous un palmier je me suis assise sur le capot Stanley m’a fait prendre des poses cuisses écartées puis m’a demandé de retirer ma mini et mon petit haut. Il m’a couché sur la voiture pour me baiser la chatte qu’il a remplie de son jus.’
Lui : ‘laisse tes fringues dans la voiture, suis-moi la pute !’
Nous avançons sur le parcours le sperme coule entre mes jambes. Il me fait poser nue sur les stations du parcours sur les plots il m’a photographié de dessous ensuite plus loin je me suis couché sur une des poutres servant de haies il en a profité pour me sucer le clito. En revenant vers le parking plusieurs voitures étaient stationnées près de la sienne. Quelques silhouettes se déplacent.
‘Je crois que tu vas avoir des admirateurs ils ont dû voir les flashs ! Allons à l’espalier, monte deux barres et retourne-toi face à moi. Les mains sur la barre la plus haute écartent les jambes ! Très bien !’
Il prend deux photos, s’approche me suce les seins et la chatte. Dans l’ombre trois silhouettes se sont approchées et nous observent. Stanley me fait descendre me positionne en appui sur une barre de façon que mon dos soit horizontal.
Il se place derrière moi guide sa bite et m’embroche, ma chatte humide l’accueille. En tournant la tête je peux repérer quatre voyeurs la main agitée sur leur sexe.
Stanley : ‘regarde petite pute tu les excites ! Les gars approchez je vais l’enculer ! Vous pouvez la toucher’
Les quatre hommes s’avancent, un jeunot d’une vingtaine, deux la quarantaines un plus vieux la soixantaine. Je sens des mains partout sur mes seins, le clito, la bouche, les cheveux et le dos.
Mon amant se retire sa bite est tout de suite remplacée par des doigts qui s’agitent.
Stanley :
‘je vais te casser le, cul chienne ! (il regarde les mateurs et en désigne, un, la quarantaine qui a une grosse bite comme la sienne) toi tu te fais sucer et tu la tiens qu’elle branle les autres ! Vous pouvez la couvrir ce sperme !’
J’entends leurs commentaires : quelle salope en plus elle est bien foutue.
Mon chéri pointe son dard sur mon cul déjà ouvert et s’enfonce d’un coup sec. Je lâche la barre ma bouche est remplie par un sexe dur qui me baise la bouche. Tenue fermement on attrape mes mains et les pose sur deux queues une petite et raide et l’autre plus épaisse mais mole je commence à les branler. La petite queue crache rapidement dans ma main Excitée par la situation je mouille terriblement et ne tarde pas à avoir un orgasme.
Celui que je suce ‘quelle bonne suceuse cette traînée elle me fait monter la sauce’
Il se retire et m’arrose le visage. Stanley m’attrape par les cheveux et me redresse et se déchaîne pour se vider dans mon cul. Les deux autres m’ont arrosé les seins et la chatte.
Les hommes disparaissent sans un mot sauf celui qui m’a baisé la bouche qui a dit ‘merci cochonne ! À bientôt Stanley !’
Stanley m’a étalé le sperme sur le corps et nous sommes retournés vers la voiture où j’ai pu me rhabiller. Il n’a pas voulu me dire si c’était lui qui avait organisé cela et m’a ramené. Voilà ce qui s’est passé ! Fin de son récit.
Elle s’approche en plaçant sa main sur mon entrejambe
‘Mais il bande mon petit mari’
Moi : ‘tu m’as excité coquine ! As-tu aimé voir toutes ces queues, vicieuse !’
Elle : ‘oui mais cela n’était pas confortable. Maintenant je vais me doucher.’
Moi ‘pas tout de suite je te veux telle que tu es’
Après nos ébats nous avons pris une douche et nous nous sommes couchés…
A suivre !
Véronique
Ajouter un commentaire