Marie-Claude libertine 62 le médecin remplaçant
Après l’accident de mon mari Xavier (voir les récits précédents). Nous sommes en période de transition.
Aujourd’hui je vous raconte une aventure que Xavier a devinée ce matin-là à la vue de trace de sperme sur mon visage, les circonstances font que nous n’en avons jamais vraiment parlé il va donc découvrir avec vous les détails de cette matinée.
C’est en l’écrivant que je me suis rappelé que nous n’avons utilisé que le vouvoiement Le 10 octobre 2015 au réveil je me réveille avec un mal de gorge et une forte température, j’ai du mal à boire mon café et je ne peux rien manger, je me sens faible sans aucune énergie. Xavier insiste pour que je contrôle ma température ce que je fais, le thermomètre indique 40°9, dans ces conditions il veut annuler sa séance de kiné pour s’occuper de moi ce que je refuse.
Xavier m’envoie me coucher et appelle mon médecin traitant dès huit heures mais celui-ci est absent c’est donc le médecin remplaçant qui se présente à notre domicile une demi-heure plus tard.
Le docteur: « bonjour je suis le docteur Dumont le remplaçant du docteur Bartot votre médecin. »
Xavier : « Bonjour docteur si vous voulez me suivre mon épouse est dans la chambre.»
Dans la chambre je somnole j’ai du mal à émerger j’observe le docteur il est grand et noir, très noir. Xavier nous laisse et retourne dans le salon pour attendre la fin de la consultation.
Le docteur : « Bonjour madame j’ai consulté votre dossier au cabinet avant de venir tout va bien votre test VIH de la semaine dernière est bien négatif, voyons ce qui vous arrive »
Moi : « J’ai mal à la gorge et presque 41° de fièvre, je suis fatiguée»
Le médecin sort son stéthoscope me fait mettre assise pour m’ausculter. Il regarde le fond de ma gorge.
« C’est bien rouge tout ça »
Il sort un kit de test de sa sacoche passe son coton-tige au fond de ma gorge et diagnostique une angine bactérienne. Le docteur me fait allonger et repousse la couette sur mes genoux pour m’ausculter.
Il découvre que ma courte nuisette en satin rouge couvre à peine ma chatte. Je ne m’attendais pas à ça pour un mal de gorge. Il palpe mon ventre en m’interrogeant. Il me palpe également au niveau de l’aine ce qui fait remonter ma nuisette et dévoile mon sexe que je sens s’humidifier sous les gestes du praticien. Mes tétons durcissent, se dressent et marquent le tissu léger de ma nuisette, je vois son regard se poser sur ma poitrine.
Le thérapeute pose le brassard sur mon bras pour prendre la tension, mon bras repose sur sa cuisse et ma main entre par inadvertance en contact avec ses parties intimes. Je sens son sexe gonfler sous le dos de ma main et il semble volumineux. Ça m’excite terriblement un toubib black qui bande pour moi, j’accentue la pression de ma main pour mieux sentir la raideur.
Le doc, qui a bien senti ma main se faire plus lourde, annonce:
« Votre tension est bonne 13/8 »
Il sort un bloc de sa sacoche rédige une ordonnance (un antibiotique, du paracétamol pour faire baisser la fièvre et un sirop pour apaiser la gorge) il me demande si quelqu’un peut aller chercher les médicaments vous devez les prendre dès que possible.
Je lui réponds : « bien sûr mon mari va aller les chercher tout de suite avant de partir à sa séance de kiné de 10h»
J’appelle : « Xavier tu peux prendre ma carte vitale dans le tiroir du salon et aller à la pharmacie comme ça, j’aurai mes médicaments avant que tu partes chez ton kiné. Tu as le temps d’y aller à pied ça sera bon pour ta rééducation, le docteur termine sa consultation.»
En disant cela, je lui fais un clin d’œil espérant qu’il ait compris l’idée que j’ai derrière la tête car je ne peux pas résister devant un homme de couleur avec une grosse queue. Il prend la prescription et part à la pharmacie qui est à un bon quart d’heure à pied avec sa canne.
Le docteur : « En attendant avant de vous faire une feuille de maladie je vais compléter ma consultation. Je vais contrôler votre poitrine, il relève ma nuisette dessus ma tête je suis presque aveuglée alors je ferme les yeux. Il me fait une palpation sous les bras puis c’est au tour des seins en donnant un mouvement de rotation à la paume de sa main ce qui excite mes tétons si sensibles, il pince légèrement pour voir si j’ai mal mais cela a plutôt tendance à me faire mouiller.
Il descend au niveau de l’aine et faisant des commentaires, auxquels je ne comprends rien, il me palpe encore longuement laissant ses doigts traîner sur mon pubis. Je mouille de plus en plus, il doit s’en rendre compte car un de ses doigts glisse sur mon clitoris et entre les lèvres humides pour descendre et entrer dans mon vagin. Je ne peux retenir un gémissement de contentement.
Les yeux fermés je sens à regret sa main m’abandonner mais j’entends le zip d’une fermeture éclair et un froissement de tissus.
Sa main prend la mienne et la pose sur son sexe chaud et bandé. Avec ma nuisette sur le visage je ne le vois pas, mais ma main qui n’en fait pas le tour sent bien le sexe imposant du médecin. Je branle doucement le membre qui durcit encore.
La main du toubib reprend possession de ma chatte ses doigts vont et viennent dans mon puits d’amour. Ma bouche laisse échapper d’un oui d’encouragement et de bonheur.
Je sens le matelas s’écraser sous le poids de cet audacieux qui se place entre mes cuisses, je suis interdite et excitée à la fois. L’homme de couleur s’allonge sur moi son énorme sexe vient se loger entre nos deux corps il a enfilé un préservatif je ne sais pas comment.
Un léger mouvement de sa part et sa bite démesurée trouvent le chemin de ma grotte. Le membre érectile écartèle mes parois et s’installe au fond de mon vagin puis le praticien entame la danse de l’amour. Les mouvements, du sexe qui me fouille, me conduisent à l’extase. Me faire baiser en étant privée de la vue stimule ma libido, ma jouissance est si forte qu’en dépit de mon mal de gorge je laisse échapper des cris de plaisir.
Le toubib me baise encore longuement je jouis une seconde fois. Lorsqu’il se retire il se met à genoux, baisse ma nuisette je découvre enfin le gourdin d’ébène qu’il branle pour éjaculer sur moi dans son autre main le préservatif usagé.
Je vois son visage crispé il est proche de l’orgasme je l’attire en me redressant. Il s’avance, le braquemart noir avec son gland violacé est à portée de mon visage. Sa main accélère et il éjecte plusieurs giclées de son jus, le premier m’atteint au visage, j’ouvre la bouche prestement pour ne rien perdre des jets suivants, sa semence est abondante et nonobstant mon mal à la gorge j’avale la totalité de la liqueur qui entre dans ma bouche.
Moi : « merci pour m’avoir fait jouir si fort et pour le sirop de corps d’homme on dit que c’est bon pour la gorge »
Il sourit : « merci à vous c’est agréable d’avoir une malade aussi réactive»
Il rectifie sa tenue en me regardant : « vous devriez essuyer votre visage votre mari va revenir je ne veux pas que nous ayons des problèmes »
Moi : « cela ne risque pas il adore quand je me fais baiser et c’est pour cela que je me fais tester si souvent »
Le docteur me caresse machinalement entre les cuisses sa main trouve mon bouton et je redémarre au quart de tour et en peu de temps je jouis pour la troisième foi. Le toubib me félicite pour mon lâcher prise.
Xavier arrive enfin, il passe par la cuisine et ramène un verre d’eau avec les médicaments. Il me donne le verre d’eau pour que je le prenne tout de suite les comprimés. En me le donnant il remarque les traces séchées sur mon visage qui a pris des couleurs.
Xavier : « je vois que la médecine fait des miracles de nos jours, je vous dois combien Docteur ? Je vais vous faire un chèque»
Moi : « Laisse chéri je m’en occupe ça va aller j’ai du liquide dans ma coiffeuse. Tu dois partir chez le kiné mon amour, il est presque dix heures tu vas être en retard pour ta séance de kiné.»
Xavier salue le médecin m’envoie un baiser et part pour sa séance de torture comme il dit. Je règle au docteur le prix de la visite en échange de la feuille de maladie, il range ses affaires referme sa sacoche et se prépare à partir mais je décide de tenter ma chance car il a aiguisé mon désir sexuel.
Moi : « vous êtes; pressés, vous avez d’autres visites ? »
Lui : « Pas dans l’immédiat beaucoup de patients préfèrent attendre le retour de leur médecin traitant»
Moi : « Alors dans ce cas venez près de moi vous m’avez ouvert l’appétit j’ai encore envie de jouir »
Il hésite mais en un tour de main le docteur se met nu et me rejoint dans mon lit. Son membre commence déjà à gonfler, ma main se charge de lui redonner la vigueur nécessaire. Il me retire ma nuisette, s’allonge près de moi, je me blottis contre son torse en enjambant ses hanches. Ma main guide l’énorme bite coiffée en moi, cette fois c’est moi qui le baise et je le vois réagir.
Sur le visage couleur charbon Je vois la lueur de ses yeux blancs avec l’iris marron qui me fixent. Sa bouche, aux lèvres lippues, entrouverte dévoile ses dents d’un blanc immaculé. Je me démène sur son chibre qui m’écartèle tant la chatte que mon clito n’a aucun mal à se frotter sur le pubis de mon amant. Je plonge mon regard dans le sien, je suis au bord du précipice de la jouissance.
Moi : « appuyez sur mes hanches je viens oouii je viens ! Aaaaahoooouiiiiiiiiiii ! »
Je m’écroule sur son torse un instant. Il reste sans bouger au fond de moi j’embrasse ses petits tétons. Lorsque je me redresse ses mains parcourent ma poitrine il me regarde réagir à ses caresses.
Le doc : « ça va mieux ? Vous avez encore envie ? Car moi j’ai envie de vous prendre en levrette »
Je n’éprouve pas le besoin de répondre, je me mets à quatre pattes près de lui, cette invitation est suffisamment claire. L’étalon black me saisit par les hanches et m’attire sur son pieu. Il me baise longuement, chaque parcelle de mon vagin entre en contact avec l’envahisseur après une dizaine de minutes de défonce minette un nouvel orgasme m’emporte. J’ai le buste penché en avant sur l’oreiller la tête sur mes bras pliés je suis immobile mais je suis toujours empalée sur le gourdin du généraliste.
Il lâche mes hanches pour s’intéresser à mon petit trou qu’il perce du pouce, il en masse les parois avant d’envoyer des renforts qui arrivent à plusieurs. Maintenant j’ai trois ou quatre doigts qui me taraudent l’œillet.
Le doc : « vous permettez que je vous prenne par le petit»
Moi : « Bien sûr ! J’aime aussi me faire défoncer le cul par une grosse queue vous pouvez y aller et me baiser vigoureusement ».
Le toubib n’hésite pas il sort son engin de ma chatte, il pose le gland sur mon anneau brun et s’enfonce fermement et régulièrement dans mon conduit. Il est au bout je sens enfin ses joyeuses entrer en contact avec mon périnée.
Tel le bûcheron qui donne des coups de hache, le docteur me donne de violents coups de bite ponctués de « han », de temps à autre les onomatopées sont entrecoupées de : salope, c’est bon, quel cul accueillant.
Les allers-retours de son marteau à boules me font le plus grand bien, je suis détendue je me fais défoncer le cul comme j’aime par une bonne grosse queue noire ce qui m’excite terriblement. Une fois encore je jouis lorsque je sens les contractions de la bite du docteur qui se vide au fond de mes intestins.
Le médecin se lève : « je vous remercie, puis-je me laver avant de partir ? »
Moi : « la salle d’eau est à droite, prenez une serviette dans le meuble ».
J’entends l’eau couler puis je le vois revenir pour s’habiller. Je l’observe son corps est sculpté et même au repos sa verge est imposante. Rhabillé, il me remercie me souhaite bon rétablissement et se dirige vers la porte.
Je l’interpelle : « peut être auront nous l’occasion de nous revoir à la prochaine absence de mon docteur »
Lui : « peu probable les remplacements c’est très aléatoire. Au revoir madame et merci de votre accueil »
Moi : « au revoir docteur et merci, claquez bien la porte derrière vous ! »
Il part j’entends la porte claquer, je regarde l’heure il est 10h30, je souris en pensant que finalement même avec le déplacement la consultation qui a duré deux heures est beaucoup moins chère qu’avec mon docteur habituel pour une petite demi-heure.
Je m’enfonce sous ma couette et rapidement je m’endors.
C’est Xavier qui me réveille à 13h pour me demander si je veux manger un peu il m’a préparé mes médicaments et un écrasé de pommes de terre avec du boudin antillais. J’avale à peine la moitié de mon repas avant de replonger dans les bras de Morphée jusqu’au soir. Je refais surface vers 21h Xavier m’apporte une soupe à peine tiède et mes médicaments, pendant que je mange ma soupe il me demande simplement :
« Alors le toubib t’a baisé »
Je lui réponds brièvement : « oui mais je te raconterai plus tard car là je veux juste dormir»
Je finis à peine ma soupe avant de m’endormir à nouveau. Je suis restée « out » deux jours et une fois remise ni lui ni moi ne reparlons du toubib.
Chéri, j’espère que la lecture des détails de cette petite aventure éveille en toi plein de bonnes choses mon amour !!
À suivre !
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