Marie-Claude Libertine 65 – Le ramoneur
Après avoir mis en vente notre maison de Bordeauxn nous avons vécu Marie-Claude et moi dans un gîte à une dizaine de kilomètres de Mulhouse. Marie-Claude travaille depuis le deux novembre elle est en CDD de huit mois.
Marie-Claude, impatiente de revoir notre fille Muriel à essayer de l’appeler, mais elle ne répond pas aux multiples coups de tél, ni à moi ni à sa mère. Marie-Claude laissa alors un SMS lui annonçant qu’ils sont de retour pour toujours en lui laissant l’adresse.
Deux heures après l’envoi, Marie-Claude reçoit la réponse :
« Maman et Papa laisser moi tranquille, je ne veux plus vous voir pour le moment, vous savez très bien pourquoi, je reste chez mamy, et ce n’est pas la peine de venir me chercher ».
Juste avant noël nous avons concrétisé l’achat de notre maison. La maison est située près du Jardin Zoologique et Botanique de Mulhouse, seul le rez-de-jardin était rénové (les toilettes, un cellier, une cuisine, la pièce à vivre, deux grandes chambres séparées par une salle d’eau commune).
Nous venons d’emménager dans notre nouvelle maison ou plutôt dans le rez-de-chaussée, le déménageur de Bordeaux nous a livré le contenu de notre box le quatre janvier 2016 dès le lever du jour. Une partie de nos affaires reste stockée dans un coin à l’étage en attendant que sa rénovation soit faite. Dans le rez-de-chaussée les meubles sont installés il nous reste le contenu de quelques cartons à ranger dans les meubles. Ayant envie de profiter de la grande cheminée dans la pièce de vie côté salon, je prends contact avec un chauffagiste pour qu’il vienne contrôler et entretenir la cheminée pour être en conformité pour mon assurance.
Le vendredi matin je suis occupé à déballer les derniers cartons de livres et autres classeurs et je les range dans la bibliothèque posée entre la cheminée et la fenêtre quand le ramoneur arrive pour effectuer l’entretien de la cheminée.
C’est un homme jeune dans la trentaine, brun, un mètre soixante-quinze corpulences moyennes. Il donne une poignée de main franche en se présentant Aurélien. Au premier contact l’homme me fait bonne impression avec son allure décontractée et son contact facile. Il est très agréable me pose des questions sur la maison, sur l’accès au toit pour aller vérifier l’état de la cheminée. Je l’accompagne à l’étage et lui montre la fenêtre de toit permettant l’accès à la cheminée. Nous redescendons et il se met au travail il protège la pièce en obturant l’âtre avec une bâche.
Je continue mon rangement, j’entends le frottement du hérisson résonner dans le conduit. Enfin il descend passer l’aspirateur dans l’âtre et effectue un dernier contrôle du conduit de cheminée. À la fin de son travail l’artisan ramasse son matériel. Pour ranger son aspirateur il tire le fil électrique celui-ci accroche un carton sur la table basse, le carton se renverse et une dizaine de photos tombent au sol. Je me baisse pour les ramasser il s’empresse de venir m’aider et constate que certaines photos sont très intimes. Tout en les regardant il fait un commentaire.
Aurélien : « Sur ces photos la femme a un corps magnifique elle est très jolie, c’est une amie ? »
Moi : « Non c’est mon épouse mais je suis de votre avis je la trouve jolie »
Aurélien : « Elle fait plus jeune que vous. Excusez-moi je ne voulais pas être indiscret ni inconvenant »
Moi : « Il n’y a pas de mal, elle serait flattée de tels compliments venant d’un homme de votre âge d’ailleurs si vous repassez le soir ou le samedi, vous ferez sa connaissance et vous verrez qu’elle est très avenante et sensible à la flatterie»
Lui : « dans ce cas au lieu de vous envoyer la facture et le certificat si vous permettez je vous les apporterai demain après-midi »
Je lui offre un verre nous parlons un long moment il m’interroge sur le projet d’aménagement de l’étage sur la raison de ma canne mais aussi de libertinage. Ce garçon me plaît de plus en plus il s’intéresse et est attentif aux autres. Il est temps pour lui de partir.
Aurélien : « Bon, je vous dis à demain vous pouvez faire du feu en toute sécurité ».
Dès son départ je fais une flambée avant d’aller chercher mon épouse au travail. À notre retour Marie-Claude apprécie la chaleur du feu dans la cheminée.
Marie-Claude : « il nous faut acheter un bon gros tapis pour qu’on puisse se coucher pour profiter du spectacle et de la chaleur. »
J’attaque le nettoyage de l’étage afin d’effectuer le traçage pour les travaux d’aménagement. Il y aura deux chambres séparées par deux petites salles d’eau avec douche une pour chaque chambre. Des surfaces seront utilisées pour faire un bureau ainsi qu’une pièce de bricolage pour Marie-Claude pour le reste on verra plus tard.
Le lendemain samedi 07 après-midi vers 14h00 la sonnette retentie Marie-Claude vêtue d’une minirobe noire presque transparente ouvre la porte et fait entrer le visiteur.
Lui : « Bonjour madame je suis Aurélien le ramoneur je viens vous remettre la facture et le certificat de ramonage »
Marie-Claude : « Entrez nous allons vous régler tout de suite »
Je serre la main du chauffagiste et récupère l’enveloppe contenant les documents
Moi : « Bonjour Aurélien entrez pendant que je fais le chèque Marie-Claude va vous tenir compagnie n’est-ce pas ma chérie ? »
Marie-Claude : « bien sûr, suivez-moi »
Aurélien : « je vois que vous profitez de la cheminée il fait bon chez vous »
Marie-Claude : « ce sera dommage de ne pas en profiter en plus c’est agréable lorsqu’on est au salon »
L’homme suit mon épouse, il retire sa veste et s’assied près de Marie-Claude sur le canapé. Je vais dans la cuisine faire trois expressos et remplir le chèque. Avant que le café soit prêt je peux jeter un œil à ce qui se passe dans le salon.
Tout en parlant Aurélien s’approche doucement de ma femme, il la frôle et leurs jambes se touchent. À ce contact Marie-Claude ne recule pas au contraire, le jeune homme s’enhardi et l’embrasse, elle répond au baiser et pose sa main sur la bosse qui est apparue dans le pantalon, ils se caressent puis elle sort de sa prison la queue bandée. Elle trouve la bite digne d’intérêt et la prend en bouche pour la goûter. Marie-Claude se redresse et m’appelle.
Marie-Claude : « Xavier il vient ce café car nous avons autre chose à faire »
Moi : « Voilà ! Voilà ! Pas d’impatience l’après-midi ne fait que commencer »
J’arrive le plateau avec les cafés dans une main et le chèque dans l’autre. Marie-Claude fait le service et je donne le chèque à mon artisan qui le glisse dans sa veste. Tout en discutant nous buvons notre café, Marie-Claude et Aurélien ne cessent de se caresser ils échangent des regards gourmands pleins d’impatience.
Le café avalé l’impatiente conduit le jeune homme dans la chambre pour baiser celui qu’elle croit être sa prise alors que c’est le contraire. En effet c’est lui qui est venu pour la baiser longuement.
Arrivés dans la chambre ils se mettent nus et vont sur le lit ils prennent la position soixante-neuf et se sucent mutuellement, leurs mains ne restent pas inactives et partent à la découverte du corps de l’autre, les caresses se font plus précises et inquisitrices. Des gémissements de plaisir se font entendre.
Aurélien : « Tu mouilles comme une salope et en plus Tu suces bien »
Marie-Claude : « Peut-être parce que je suis une salope et que je meurs d’envie de me faire baiser »
Aurélien : « ça tombe bien je suis venu pour baiser une cochonne qui aime la bite »
Marie-Claude : «Alors ne perd pas de temps passe aux choses sérieuses »
Aurélien fait pivoter la cochonne pour la prendre en lui relevant les jambes ce qui lui permet en même temps de l’embrasser à pleine bouche. La bite couverte du coquin trouve la vulve humide et s’enfonce lentement dans l’antre d’amour. Avec entrain il laboure la terre promise pendant plus de quinze minutes mon épouse est emportée par deux orgasmes successifs avant que l’artisan jouisse dans son préservatif.
Les deux amants restent un moment allongés l’un contre l’autre. Marie-Claude ne veut pas se contenter de si peu elle caresse la verge en s’aidant de la bouche pour lui redonner sa rigidité. La gourmande coiffe la queue de son amant et passe au-dessus de lui pour le chevaucher.
Lui : « Tu en veux encore ? Tu es une sacrée gourmande. »
Elle : Tu t’imagines que je vais me satisfaire d’un petit coup vite fait »
Dans sa position favorite elle s’empale sur le braquemart tendu. Bien en selle la gazelle se lance dans un galop effréné qui dure de longues minutes. Le coquin profite de ses mains libres pour caresser le corps qui s’agite les doigts pétrissent la poitrine et pincent les tétons saillants et durs. La libertine se redresse soudain, le buste en extension ses muscles se tendent elle pousse un long gémissement son visage se crispe de plaisir, la jouissance dure de longues secondes avant qu’elle ne vienne embrasser son amant.
Marie-Claude reprend ses esprits elle se dégage et retire le chapeau du braquemart elle se penche sa bouche suce le gland turgescent une de ses mains branle le braquemart pendant que l’autre malaxe les testicules. Aurélien la main posée sur la tête de la suceuse encourage la vicieuse.
Lui : « oui aspire bien mon gland c’est booonnn, suce moi bien à fond avale toute ma bite salope »
La gourmande suce la bite du coquin et le branle jusqu’à ce qu’il crache son venin sous ses yeux malicieux qui adorent voir l’éjaculation elle reçoit le sperme du visage jusque sur l’épaule cela lui plaît vraiment.
Je vais dans le salon transférer les photos de mon appareil sur mon ordinateur. Au bout d’un quart d’heure Marie-Claude me rejoint en compagnie de Aurélien, elle a enfilé un déshabillé lui a remis son pantalon.
Nous en profitons pour boire un verre et en regardant leurs exploits sur l’écran, Marie-Claude ne peut s’empêcher de caresser à nouveau Aurélien qui se met à bander. Elle sort le colosse le suce de nouveau. Ils partent dans la chambre, elle se met à quatre pattes sur le lit.
Marie-Claude : « viens vite me baiser »
Aurélien : « ne sois pas impatiente j’aime bien prendre mon temps »
Il lui lèche l’œillet et la chatte avant de la bourrer en levrette. Après quelques minutes d’aller-retour dans la boîte à ouvrage mon épouse réclame.
Marie-Claude : « Encule-moi j’ai envie que ta bite me ramone le cul c’est bien ton métier»
Il retourne ma chérie lui relèvent les jambes et présentent son goupillon face au cercle brun. Lentement mais fermement dans un mouvement régulier il pénètre le conduit qui s’élargit au passage de l’outil du fumiste. En bon professionnel il ramone consciencieusement ma salope qui s’éclate une nouvelle fois, quand elle jouit bruyamment il se retire et éjacule abondamment sur les fesses de Marie-Claude.
Marie-Claude remercie Aurélien et ils vont tous les deux dans la salle d’eau faire une petite toilette. Ils reviennent au bout de vingt minutes.
De mon côté je mets les nouvelles photos sur l’ordinateur. À leur retour nous discutons en regardant les dernières vues. Aurélien nous apprend que son épouse est aussi une libertine nous lui proposons d’organiser une soirée avec son épouse et lui lorsque les travaux de l’étage de notre maison seront terminés. Cette rencontre qui aura lieu quelques mois plus tard.
À suivre !
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