Marie-Claude libertine 7 — (L’air du Pacifique. Fin)
Marie-Claude libertine 7 — (L’air du Pacifique. Fin) Après deux mois sans nouvelle Stanley débarque à la maison.
Il embrasse Marie-Claude :
« Je suis pressé ! Juste pour vous dire ce week-end ma femme va dans sa famille donc je viens dès son départ vendredi soir et je reste jusqu’à dimanche ! Pas de problème la choune ? ».
« Non ! On t’attend mais Muriel sera là ! »
Lui : « elle connaîtra mieux le tonton qu’elle a vu l’autre jour et on s’arrangera. Samedi soir nous irons à la garçonnière fait là garder ! »
Le vendredi soir il arrive vers 18 h avec une énorme langouste et des cigales de mer :
Bonjour tout le monde, la choune met ça au frais. Il l’embrasse et lui donne les crustacés.
Muriel saute autour fait voir Maman !
Marie-Claude : « je ne sais pas cuisiner ces bestioles »
Lui « je m’en chargerai ».
Nous passons à table il se place près de mon épouse et profite de la moindre occasion pour la caresser et l’embrasser affectueusement sur les joues. Dès que Muriel est couchée il rejoint Marie-Claude dans la cuisine lui retire sa culotte l’embrasse en lui caressant le clito. Chose nouvelle ce soir il est particulièrement doux et tendre nous parlons de notre séjour.
Vers 23 h 30 nous allons nous coucher tous les trois dans le même lit. La choune lui a prodigué les caresses demandées. Lui la prend à plusieurs reprises dans les deux trous avec douceur. Cette nuit elle a été sienne sans contrainte comme des amants ordinaires sans injures ni brutalité.
La journée du samedi est très agréable à 18 h 30 la baby sitter arrive va dans la cuisine pour faire manger Muriel nous disons au revoir. Marie-Claude va se changer et se maquiller. Elle nous rejoint vêtue d’une minirobe blanche sans sous-vêtement. Nous montons en voiture Marie-Claude et Stanley à l’arrière je conduis. Dans le rétroviseur je peux voir les amants se caresser tendrement et s’embrasser à pleine bouche.
Arrivé à destination Stanley descend :
« La putain je t’attends et toi lopette ferme la voiture et suis-nous ».
(Mister Hyde est de retour) Nous rentrons dans la garçonnière John est déjà là il passe la main sous la robe de Marie-Claude :
« Salut Stanley, bonjour la pute je vois que tu mouilles déjà !
Lopette va aider Francine dans la cuisine. »
Je m’approche et vois de dos une femme mince cheveux noirs mi-longs frisés. Sa robe en satin bleu motif à fleurs est longue mais fendue de chaque côté, elle est perchée sur des hauts talons. Lorsqu’elle se tourne vers moi j’aperçois le bas de soie tenu par des jarretelles, un visage teint mat, fin, typé métis, des yeux légèrement bridés finement maquillés.
Je lui dis « bonjour je m’appelle Xavier » elle m’embrasse je prends le plateau préparé et l’amène sur la table.
Stanley : « ma pute je te présente Francine roule lui une pelle et tu la caresses. »
Marie-Claude embrasse la fille, passe ses mains sous la robe et lui caresse les fesses
Lui : « caresse devant salope »
Ce que fait mon épouse qui surprise découvre une queue sous la robe.
« Je te présente Franci(s) qui est un raerae elle va participer ce soir ! C’est elle qui a préparé cet apéro dînatoire. La lopette fera le service pendant que nous te baiserons »
Ayant compris le message je fais le service en gardant un œil sur les activités des autres.
Marie-Claude est mise nue avant d’avoir vidé son verre. Elle est pliée la tête sur le bas-ventre de Stanley, Francine lui lèche l’œillet alors que John fouille sa chatte.
Après s’être dévêtus Les quatre se déplacent sur le lit. Marie-Claude embrasse Francine sur la bouche John sodomise ma femme et Stanley est branlé par Francine. Les bouches se séparent.
« Ma pute vient me sucer !
Francine va sucer Xavier ! »
Francine s’approche de moi baisse mon pantalon et commence à sucer ma petite queue raide. Sa bouche diabolique vient rapidement à bout de ma résistance et ne perd rien mon sperme. Elle avale tout et se dirige vers le lit pour embrasser mon épouse lui transmettre le goût de ma semence.
Sur le lit « Stanley ! Je gicle dans le cul de ta pute cette fois c’est moi qui fais le passage et le graissage » Stanley se met sur le dos :
« La pute viens t’asseoir sur mon chibre encule toi toute seule ! Francine si tu veux lui bouffer la chatte profite, en,. »Ma moitié monte et descend seule sur la tige plantée dans son œillet tandis que Francine lui lèche la moule. La bouche de la suceuse et le braquemart de Stanley conduis rapidement Marie-Claude au 7e ciel elle jouit bruyamment.
John : « lopette vient me sucer » Je me place entre ses jambes, je commence à lécher les couilles puis je lèche la tige en remontant pour avaler le gland puis la tige tout entière.
Marie-Claude demande à Stanley « baise-moi encore ! » sans hésiter il lui prend la chatte. Francine en profite pour se faire sucer « Stanley ! Tourne la pute qu’elle regarde sa lopette me pomper ! En plus il aime ça et suce plutôt bien » Il jouit planté au fond de ma bouche je sens son jus couler dans au fond de ma gorge. Je l’avale avec gourmandise Stanley : « pour te récompenser viens enculer Francine pendant que Marie-Claude suce sa bite Nous commençons lui se place entre les cuisses de mon épouse de son dard fouille le baveux. Et John place sa queue dans la bouche de Francine.
Je jouis le premier dans le cul de la dame à boule suivi par Marie-Claude qui jouit sur la bite de Stanley qui se vide en elle, c’est au tour de Francine qui arrose le visage de mon épouse et de John qui abreuve Francine de sa liqueur.
Une petite pause et les hostilités reprennent Stanley trouve un jeu : “Nous allons enfiler ma pute à tour de rôle jusqu’à ce qu’elle jouisse ! Pour commencer je prends sa bouche, Francine le cul, John la chatte, Xavier tu siffles nous, on tourne” Après quatre tours Marie-Claude grimpe aux rideaux longuement et bruyamment. Les trois bites giclent dans les trous de la dissolue.
John : “elle est un peu nymphomane la pute” Il est déjà une heure. Tout le monde passe sous la douche et c’est l’heure du départ. Une bise à tous et je ramène Stanley et mon épouse à la maison. “Xavier à compter d’aujourd’hui je reste l’amant de la choune avec le respect que vous méritez. Il n’y aura plus d’autre partenaire.” La baby-sitter nous attendait je la paie et la libère.
Stanley est resté avec nous et le reste de la nuit avec douceur il baisé mon épouse lui a procuré plusieurs orgasmes. Au matin il a cuisiné les crustacés et s’est montré charmant avec la famille.
Il vient régulièrement passer la journée ou la nuit avec nous et souvent avec un petit cadeau. Jusqu’à notre départ fin 2004 il est resté l’amant tendre attentionné et respectueux de Marie-Claude.
Il aimait mon épouse. Il lui a demandé de rester sur l’île. Elle a décliné Il nous a accompagnés à l’aéroport pour notre retour en métropole…
À suivre !
Véronique
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