Marie-Claude libertine 8 (l’absence de son homme) transition
En octobre 2004 nous rentrons en métropole. Atterrissage vers 14 heures à Roissy CDG notre ami Boris (récit n° 2) informé grâce son nouveau poste d’adjoint au DRH de la société nous attendait. Nous avons laissé Muriel à mes parents qui sont heureux de la garder en vacances le temps que nous trouvions un lieu de chute.
Boris nous conduit à l’hôtel où il nous a réservé une suite. Sitôt installés, passage sous la douche et nous nous changeons relaxe et passons le reste de l’après-midi à lui conter nos aventures dans le pacifique.
Vers vingt heures pour aller dîner Boris et moi opte pour le classique costume sombre. Marie-Claude choisit une robe moulante asymétrique noire sans dessous pour éviter les marques disgracieuses. Sa tenue est complétée par des escarpins de 10 cm une pochette et une étole les trois de couleur rouge. Lorsqu’elle apparaît, Boris est subjugué et je la trouve magnifique : « chérie tu rayonnes par ta beauté et ton assurance » Nous descendons dans le restaurant de l’hôtel lorsque nous entrons les regards convergent vers Marie-Claude. Après le dîner nous montons tous les trois et passons la nuit ensemble. Mon épouse et moi avons bénéficié de l’excitation de notre ami il s’est occupé de nous deux toute la nuit.
Le lundi suivant je retrouve mon ancien poste en attendant la promotion promise par mon patron. Je suis rentré en métropole depuis un peu plus d’un an, je suis nommé en début 2005 chef de production sur un site de la société en Alsace.
En mars 2005 Je pars en reconnaissance pour trouver un logement et une école pour Muriel. Je trouve une maison en campagne à moins d’une demi-heure du boulot. Marie-Claude me rejoint avec Muriel. Nous faisons de nombreux travaux, un an plus tard la maison est beaucoup plus fonctionnelle. Au travail tout se passe pour le mieux j’assume mes responsabilités les résultats sont là.
Coté sexualité depuis notre retour beaucoup d’amour entre nous sans aventure notable d’autant que nous avons eu beaucoup de travail avec la maison, Muriel et mon job. Le 22 août 2005 jour de retour de congés je reçois un appel téléphonique du siège c’est Boris l’adjoint au DRH.
« Bonjour Xavier comment vas-tu et Marie-Claude. Au regard de tes résultats je vois que tu as bien pris tes marques »
« Oui ça va pour nous deux, les travaux sont finis depuis deux mois nous sommes enfin installés. »
« Je sais que tu vas râler mais Tu es désigné pour aller en Afrique réorganiser notre site de production qui n’obtient pas les résultats escomptés. Cela devrait te prendre de 1 à 2 mois au maximum. Ton départ est programmé pour le 31 août ! Ton passeport est à jour ? »
« Pour mon passeport tu sais bien qu’il est bon jusqu’en 2007 puisque tu en as une copie. Mais vous n’avez trouvé personne d’autre je commence seulement à obtenir les résultats de mon travail depuis un an ! »
« Décision du grand patron c’est lui qui a pris la décision et comme tu as les meilleurs résultats tu es le gagnant ! Tu es convoqué au siège le 30 tu as RDV chez le boss à 9 h pour les conditions matérielles et récupérer ton billet avec le dossier du site. Ensuite tu seras attendu à l’ambassade à 14 heures pour le visa » Le 31 août je m’envole vers l’Afrique pour un séjour de 1 à 2 mois en célibataire.
Durant cette période j’échange plusieurs fois par semaine des lettres enflammées avec Marie-Claude mon épouse.
Je suis aussi en contact avec Boris par téléphone ou par courriers pour le travail mais aussi en privé. Lui échange également avec Marie-Claude par courrier ou téléphone pour la soutenir.
Le 7 septembre Dans un courrier je demande à Boris d’aller voir Marie-Claude pour la prendre en photos. Conscient qu’elle serait probablement en manque de sexe je lui demande de me raconter cette visite.
Le même jour j’écris à mon épouse que Boris pourrait venir photographier sa nouvelle coupe de cheveux et je lui joins des photos de certaines poses en exemples dont certaines érotiques et lui demande de me raconter la visite de Boris.
Le 13 septembre elle m’écrit « Boris vient d’appeler il m’a demandé de mes nouvelles et dit qu’il pensait venir bientôt pendre ma nouvelle tête en photo que tu étais d’accord.
Tu sais que pour les photos cela risque de devenir excitant car si je pose en sous-vêtements avec les cuisses écartées je doute que nous restions bien sages et je ne sais pas si je vais lui résister longtemps vu que je suis en manque de toi et de sexe.
Si cela se produit tu y seras pour quelque chose car tu sais bien que j’adore sa queue et qu’il me fait jouir intensément et cela fait plus d’un an qu’il ne m’a pas baisée.
Enfin on verra bien espérerons que les poses ne seront pas trop osées car plus j’écarterai les cuisses plus je vais mouiller.
Si en plus il bande et que je m’en aperçoive cela sera pire et il est probable que je reçoive sa grosse pine entre les cuisses et me fasse bourrer la chatte jusqu’à ce que nous jouissions ensemble, imagine la scène !
Rien que d’y penser je mouille maintenant il va falloir que je me branle car j’en ai vraiment envie. Ton corps me manque de plus en plus et le besoin de tes caresses se fait sentir.
Je commence à me masturber de plus en plus souvent et j’arrive de plus en plus à avoir du plaisir avec mes petits doigts j’imagine que c’est ta main qui me caresse cela m’aide beaucoup. Il est vrai que l’envie de me faire baiser profondément me traverse très souvent l’esprit, mon corps aussi réagit à ce manque. »
Dans son courrier 15 septembre Marie-Claude m’informe de la venue de Boris le mercredi suivant. Elle écrit aussi : Ce matin preuve que je suis en manque je viens te raconter le rêve que j’ai fait cette nuit : « Je dors dans mon lit et je suis réveillée par l’odeur d’une rose qui effleure mes seins et je sens la présence d’un homme entre mes jambes me suçant la chatte assez fort il insiste longuement sur mon clitoris.
J’aime car cela est très bon, tellement bon que je jouis une première fois.
Il me dit garde cette rose et sens son parfum pendant ce temps il continue à me sucer puis me caresse le sexe avec ses doigts. Je profite pleinement de ses caresses et jouis encore une fois.
Enfin il prend sa queue (assez belle) et me l’enfonce profondément dans la chatte. Lentement au début puis de plus en plus vite il me besogne tellement que nous jouissons ensemble.
Mais il ne s’arrête pas il continue de me baiser longuement, il est très résistant je jouis plusieurs fois sous ses coups de queue j’en redemande sans cesse.
Il ne débande toujours pas alors je prends sa bite en bouche. Je joue avec le gland que je suçote puis j’avale sa queue qui pénètre tout entière et bute au fond de ma gorge sans éprouver le désagrément d’avoir un haut-le-cœur.
Ma bouche est plus que remplie. Je suce longuement sa tige que je sens vibrer sous ma langue.
Il me tapisse l’arrière-gorge je ne peux qu’avaler si je ne veux pas étouffer.
Contrairement à d’habitude je ne répugne pas à ingurgiter son sperme dans lequel je retrouve le goût de la rose.
Son engin reste dur et gonflé ce gars semble inépuisable il me lève les jambes et présente son vit sur mon œillet qui n’as pas été visité depuis longtemps.
Il prend possession de mon cul avec douceur et je sens sa bite frotter les parois de mon intestin.
Il me besogne en me branlant le clito je ne tarde pas à jouir de nouveau il se vide en moi et se retire.
J’en veux encore mais il se lève, se rhabille en me disant qu’il avait aidé la nature en ajoutant un aphrodisiaque au parfum de la rose.
À ce moment-là je me suis réveillée. J’étais toute mouillée.
Je me suis branlée en regrettant que ce ne soit qu’un rêve et que tu ne sois pas là pour me baiser.
Dans ce rêve les sensations étaient tellement réelles. Je ne sais pas qui est cet insatiable et endurant amant.
Je n’ai vu que sa queue, ses mains et entendu sa voix que je n’ai pas reconnue.
Il faut vite que tu rentres ou que je trouve une bite aussi endurante… Je te promets de te raconter rapidement la visite de Boris car je sens qu’il y aura des tas de choses à raconter.
Impatiente de te lire et te retrouver…
Véronique
Ajouter un commentaire