Pour amener ma femme Olga à être une bonne salope, il a fallu, à Michel beaucoup de temps. Elevée dans un milieu très strict. Elle en avait garder des séquelles.
Pour dormir, elle ne portait de grosses chemises de nuit, qui lui arrivaient jusqu’aux chevilles. Ses jupes lui arrivaient mi- mollets, et son cordage était fermé, jusqu’au dernier bouton.
Très prude, elle se contentait de l’amour à la pépère, qui ne se pratiquait, que dans l’obscurité total. Jamais un extra, jamais une fellation, alors, ce qui est de la sodomie n’en parlons pas. Il ne lui a jamais fait un cunnilingus, ni un anilinctus. Pour elle c’était l’horreur, la descente aux enfers, l’humiliation totale.
Malgré ses tentatives, elle refusait ces attouchements humiliants, La patience de Michel commençait à s’user. Souvent il la menaçait de prendre une maitresse, mais rien n’y faisait. Peut-être qu’il s’y prenait mal ?
Il décide avec l’aide d’un couple d’amis qui fréquentent de temps en temps un club d’échangisme, de la décoincer. Sa femme a de l’affection pour ce couple, elle est très fusionnelle avec Luce la femme, et elle apprécie beaucoup Lucas son mari, mais elle ignore qu’ils vont dans club spécialisé, se défouler de temps en temps.
Michel avec l’accord de sa femme, les invite à diner, les amis complices, sont au courant des projets de Michel, et vont y participer. Comme Olga ne boit pratiquement jamais, Michel lui propose du champagne, elle accepte de trinquer avec eux. Rapidement, ses amis l’a mettent à l’aise en papotant avec elle. Souvent des éclats de rire fusent. Plusieurs fois, Luce trinque avec Olga qui sans savoir pour quoi, ne le refuse pas, rapidement, elle devient euphotique.
l’apéro prend fin. Le piège se referme, à table, Olga se retrouve volontairement à côté de Lucas, et Luce à côte de Michel. Lucas met de l’ambiance en racontant des blagues salaces, qui font rougir Olga. Luce aussi s’y met, elle parle de sexe ouvertement. Olga ne sait plus ou se mettre, elle est rouge comme une pivoine. Michel sert au fur et à mesure les plats.
Pendant le dessert, Luce enfonce le clou. Elle lève son verre et demande à Olga de trinquer. Elle se lève, les verres se cognent et se vident d’un trait. Olga fait la grimace, elle a horreur de l’alcool. Lucas l’encourage :
-Ce n’est que du champagne Olga, c’est la fête !
Olga se pince les lèvres sans répondre. Luce décide de passer à l’attaque. Elle regarde Michel et lui dit en lui faisant un clin d’œil :
-Tu dois être monté comme un poney mon salaud, tu as vu la bosse que tu as sur le bas- ventre, ou alors, tu bandes mon cochon !
Elle éclate de rire et plaque sa main sur le bas-ventre de Michel, elle ajoute :
-Mais c’est vrai il bande, Olga tu devrais faire quelque chose !
Olga rouge de honte, marmonne des mots inaudibles. Luce la regarde et dit :
-Je vais le calmer ton bonhomme, moi !
Elle extirpe du pantalon la verge et commence à la branler férocement, en disant :
-Tu vas cracher, salope, aller vide toi !
Olga est très mal, Luce lui dit :
-Viens voir Olga, le cochon va gicler, viens voir, viens voir !
Elle pousse une chaise à côte de celle de Michel. Lucas prend la relève et l’incite :
-Allons voir ça, Olga, aller viens !
Il lui prend la main et l’entraine, l’autre côté de la table. Elle se laisse tomber sur la chaise lourdement, en ravalant sa salive. Elle regarde la main agile branler la queue de son mari. Ses yeux sont rivés sur le manche de chair, elle frémit. Soudain, Luce décalotte l’engin et gobe le gland. Elle suce et tète comme une vorace. Les succions sont très bruyantes. Elle recrache le gland et en regardant Olga, elle lui dit :
-Aller à ton tour, branle-le il ne va pas tarder à gicler, vas-y, vas-y !
Luce saisit la main de son amie, et la pose sur le verge tendue de son mari. Et insiste :
-Vas-y, branle, sa queue ne mord pas, n’es pas peur, mais vas-y, vas-y !
Olga pas très rassurée, enserre la verge chaude dans sa main, la presse plusieurs fois, et machinalement l’agite de plus en plus vite. Ses yeux sont écarquillés, à chaque descente du poignet, elle décalotte le gland. Luce l’encourage :
-Prend-là en bouche, suce-là ma chérie, n’hésite pas, fais-le bon Dieu , mais léche, bordel !
Timidement, Olga approche sa tête, et donne quelques coups de langue maladroits sur le gland qui expulse quelques perles visqueuses. Une petite moue déforme son visage. Elle ouvre la bouche toute grande et en fermant les yeux, gobe le gland.
Elle tente d’imiter son amie, en suçant et en tétant du mieux qu’elle peut le gland large.
Michel n’en revient pas sa femme lui suce la bite. Il lui triture la chevelure pendant la fellation. Il grogne, souffle comme un dragon. Il se cabre en poussant un râle d’agonisant. Il envoie dans la bouche de sa femme un flot de sperme très épais.
Elle le repousse brutalement, en faisant une grimace affreuse, et en se pinçant les lèvres.
Ses yeux lancent des éclairs, un filet de sperme s’échappe à la commissure de ses lèvres. Elle se penche pour cracher.
Luce lui crie :
-Non ne crache, pas avale, avale, ma chérie !
Les yeux d’Olga s’ouvrent tout grands, ils sont pleins de larmes. La pauvrette tremble de tous ses membres. Elle déglutie très lentement, et avale le liquide visqueuse en plusieurs fois, en faisant à chaque déglutition une grimace. Luce lui demande :
-Alors comment que c’était !
En s’essuyant d’un revers de la main les lèvres, elle dit avec des trémolos dans la voix :
-C’est un peu gélatineux, mais pas si mauvais que cela, j’avoue !
Luce ajoute :
– Tu es prête à recommencer ma chérie ?
En ravalant sa salive Olga répond en rougissant encore plus répond :
-S’il le faut vraiment, heu oui pourquoi pas !
Luce la regard en souriant et dit:
-Recommence sur Lucas !
Olga sursaute et en faisant un pas en arrière dit :
-Mais tu n’y penses pas Luce, ce n’est pas mon mari, et je ne suis pas une pute, tu es folle !
Luce éclate de rire et dit :
-Pas besoin d’être une pute pour sucer une bonne bite, tu viens de faire un grand pas, continue vas au bout de tes envies secrètes, prends les jouissances que tu as droit, je suis certaine que tu as mouillée ta culotte en suçant Michel !
Olga baisse la tête et n’ose répondre. Lucas regarde son ami qui lui fait un signe discret de la tête. Il se lève, baisse son pantalon et son slip, sa verge se détend comme un ressort est oscille sur son bas-ventre. Olga a les yeux presque exorbités, elle regarde avec inquiétude, le manche de Lucas qui semble redoutable. Le coquin s’avance lentement vers elle. Olga retombe sur sa chaise, en déglutissant bruyamment.
Lucas est si près du visage d’Olga, qu’elle peut sentir l’odeur sauvage de sa verge. Sa main tremble mais doucement comme une grande timide, elle prend l’engin et l’enserre, sans faire de mouvement. Tous les yeux sont braqués sur elle. Puis très, très lentement, elle se met à branler la verge. Lucas serre les dents, il n’ose gémir pour ne pas troubler Olga, qui commence à augmenter la vitesse du branlage. Elle regarde le gland qu’elle décalotte à chaque descente de son poignet. Soudain, elle cesse d’agiter la verge dressée comme un mat. Elle fait comme avec son mari, elle donne quelques coups de langue sur le gland fortement décalotté.
La coquine devient plus audacieuse. Sa langue fait plusieurs fois le tour du gland, titille le frein un moment puis gobe l’engin, et se met à le sucer avec de plus en plus de voracité. Michel et Luce se regardent ils sont souriant. Olga progresse dans le bon sens, pourvu que cela continue. Lucas maintenant ne retient plus ses gémissements, il grogne comme une bête. la bouche d’Olga s’active sur le gland qui palpite dans sa bouche, elle reçoit sa récompense. D’une giclée puissante, Lucas lui remplit la bouche. Olga comme la fois précédente, repousse l’éjaculateur et se lève d’un bond. Elle pince les lèvres et en regardant Luce avale la crème onctueuse. Puis, elle ouvre la bouche toute grande pour montrer qu’elle a tout avalée.
Luce la félicite, mais comme il faut battre le fer quant’ il est chaud. Luce prend Olga par la main et l’entraine vers le canapé. Olga comme un automate la suit sans rechigner. Elle la bascule sur le canapé et lui retrousse la jupe. Elle s’agenouille face à elle, et saisit le haut de sa culotte. Elle tire dessus et l’entraine le long des longues jambes. Aucune réaction d’Olga, elle semble hypnotisée. Une fois la culotte retirée, Luce la regarde en souriant et dit :
-Oh, oh, tu as bien mouillée ma chérie, c’est bon ça !
Olga baisse la, tête honteuse, Luce lui ouvre les cuisses et avance sa tête dans le compas ouvert. Elle hume fortement les effluves que la vulve rejette, puis plaque sa bouche sur le puits qui déborde de cyprine. Au contact de la bouche sur sa vulve en feu, Olga se cabre en poussant un gémissant, qu’elle étouffe en se mordant la main. Luce enfonce sa langue profondément dans la gaine brulante, la fouille longuement avant de gober le clito qui est déjà bien gonflé. Luce suce et tète comme un affamée, Olga défaille, jamais elle n’a subit un tel attouchement buccal sur sa vulve. Elle s’agrippe en geignant à la chevelure de Luce, et instinctivement lui appuie sur la tête.
La chatte, rejette un flot de jus, que Luce s’empresse d’avaler, avant de reprend en bouche la boule magique qui fait grogner Olga. Elle suce et tète, elle s’acharne même sur le clito en le dévorant comme une goulue. Olga a les yeux fermés, elle geint comme une bête malade. Soudain, elle se tend comme un arc en appuyant fortement sur la tête de son amante, un hurlement resonne dans la pièce. Olga vient de jouir atrocement fort. Jamais pendant les courts ébats qu’elle a avec son mari, elle n’a joui si fort. Luce réussit à se redresser, elle est souriante. elle dit en regardant Michel :
-Je crois qu’elle à beaucoup de potentiel, c’est une bombe qui s’ignore, elle peut devenir une bonne salope avec un peu de volonté !
Luce se redresse et brusquement pendant qu’Olga halète fortement, elle lui ouvre brusquement le corsage en faisant sauter quelques boutons sur le sol. Elle ouvre les pans, et d’un geste habile dégrafe le soutien-gorge. Ses seins lourds s’affaissent sur son torse. Luce regarde en souriant les mamelons larges et épais, qui trônent aux centres d’aréoles fortement grenelées. Elle en aspire un et le tète férocement. Olga défaille, elle bafouille entre deux souffles :
-Mon Dieu, mon Dieu, mais qu’est-ce qui m’arrive oh, Luce, Luce !
Luce fait grossir les mamelons au maximum, en les roulant entre ses doigts, les étirant fortement, sans omettre de les presser puissamment. Olga grimace, elle geint mais ne refuse pas le traitement que lui inflige son amie. Michel et Lucas ont retirés leurs vêtements. Après quelques minutes de pétrissage et malaxage de seins, Luce se redresse, et dit en arborant un large sourire :
-Messieurs, elle est à point, je vous cède la place !
Michel invite Lucas à prendre sa femme. le bougre bande comme un poney, il se place entre les cuisses d’Olga et sans ménagement lui enfonce sa bite jusqu’au couilles dans le ventre. Elle se cabre en gémissant comme une bête blessé.
Michel depuis que Luce a dévergondée sa femme se sent une âme de voyeur. Il regarde sa femme qui gémit en s’agrippant à son amant. La verge puissante qui lui racle les parois sensibles du vagin, provoque chez elle des tressautements incontrôlables. le gland épais lui rabote le col de l’utérus, comme pour le pénétrer. Jamais Olga n’a ressentit un tel plaisir, ses sens sont en éveil, elle marmonne complétement déphasée:
-Oh Michel, Michel je suis devenue un putain, regarde comme Lucas me défonce, Oh mon Dieu comme c’est bon, oui, oui continue défonce moi, plus fort fais de moi ta pute, vas-y, vas-y, Tape fort, oui, oui. Michel, Michel, regarde, il me fait mourir, oh je vais jouir comme une grosse salope
Lucas accélère, ses coups de reins sont très très violents. A chaque enfoncement de sa bite dans le ventre de son amante, elle se cabre en grognant. Soudain, elle se cambre, une jouissance terrible lui déchirent les entrailles. Elle explose en hurlant. Elle s’accroche à Lucas en donnant des coups de reins terribles, elle grogne :
-Encore, encore Lucas, Lucas, transperce moi avec ta grosse bite, fais-moi encore jouir !
Lucas s’acharne sur sa proie, il la démonte avec rage, elle veut être défoncée, eh bien il s’y emploi. Il ressort entièrement sa verge de la vulve en feu, pour la replonger brutalement jusqu’aux couilles. Olga couine comme une truie que l’on égorge, la salope prend un pied d’enfer. Michel son mari est sur le cul, il n’en croit pas ses yeux, sa femme si prude réclame de la bite. Il bande comme une cerf, il monte rapidement sur le canapé et offre aux lèvres de la demandeuse sa bite gorgée de sang. Sans se poser de questions, Olga se met à téter le gland avec gourmandise. La salope se lâche totalement, elle suce comme une déesse, c’est sans complexe qu’elle dévore la bite de son mari.
Soudain elle recrache la verge, et en poussant un hurlement jouit une seconde fois. Lucas finit par lui déverser dans le ventre un flot de semence. Il donne encore quelques estocades avant de se retirer de l’antre en feu. Luce regarde la chatte béante rejeter le surplus de semence. Elle reprend place entre les cuisses de la soumise, et lui plaque sa bouche sur la source des plaisirs. Elle aspire le jus épais que la chatte saturée rejette.
Elle reprend en bouche le clito qui est méconnaissable, et le dévore férocement. Michel redonne sa bite à sucer. Olga est une autre femme, elle saisit d’une main le manche de chair, et en le décalottant à fond, le gobe.
C’est incroyable comme elle apprend vite. Sa bouche fait grimacer son mari, qui lui triture la chevelure. Une giclée la fait sursautée, elle repousse son mari et avale la totalité de la décharge. Luce lui malmène le clito, elle le mordille et l’étire au maximum. Olga défaille, elle se cambre pour bien offrir son fruit à la bouche vorace de son amie.
La langue se met à fouiller l’antre de l’enfer, passe plusieurs fois sur les grandes lèvres, pour poursuivre sa descente vers l’œillet brun. Au contact de la langue sur son anus, Olga pousse un long gémissement rauque. Elle se cabre en serrant les dents. Cet attouchement inconnu d’elle la fait rugir. Elle marmonne :
-Michel, Michel, empêche lâ, je deviens folle, oh mon Dieu, non pas ça, pas ça, c’est immonde !
Mais Luce ne l’écoute pas, elle passe de nombreuses fois sa langue sur le muscle rectal, et appuie la pointe de sa langue sur l’anneau ridé. Elle pousse fortement sur l’anus récalcitrant, qui finit pas céder.
La langue s’enfonce de quelques centimètres dans le conduit étroit, et le fouille comme elle le peut. Les grincements de dents d’Olga sont bruyants. Elle se tend comme un pont un jour de tempête, en rugissant, sans pour autant repousser son agresseur. Elle gémit, sa respiration s’accélère, son souffle devient court. Luce prend plaisir à fouiller la gaine étroite de son amie, elle veut lui faire connaitre les finesses de l’acte sexuel.
Sans convictions véritables, Olga bafouille :
-Oh, Luce mais qu’est ce que tu me fais ma chérie, c’est immonde de faire ça arrête, arrête, non, je ne veux pas non, non !
Luce ressort sa langue et aspire l’anus boursouflé le plus fort possible. Elle arrive avec insistance à le faire sortir de son logement de le sucer. Olga croit mourir de plaisir, elle hurle :
-Luce, Luce, non, non, je vais mourir, non pas ça, oh salope, tu me tues !
Une première jouissance anale la fait cabrer, elle retombe lourdement sur le canapé, en haletant fortement. Luce se redresse satisfaite de son exploit, elle sourit aux deux mâles en ruts, et dit :
-Mes chéris, il n’y a plus à hésiter, elle est prête à tout accepter, vu son état d’excitation !
La c’est Michel qui s’avance. Luce replie les jambes de son amie sur son ventre en les maintenant ouvertes. Michel frotte son gland contre la petite porte et pousse. Sa femme pousse un hurlement. sa bite s’enfonce progressivement dans la gaine étroite en la dilatant. Olga très courageuse malgré la douleur, subit sa première sodomie. Elle s’agrippe au canapé en geignant. La bite de son mari commence un très lent va-et-vient. Olga geint comme un animal tombé dans un piège. La vitesse de pénétration augmente. le pilonnage devient très, très violent, Olga pousse des râles rauques à chaque enfoncement de la bite dans ses entrailles. Peu à peu, le plaisir prend le dessus, elle agite sa croupe en soufflant comme un taureau près à charger.
Soudain elle se cambre, en poussant un hurlement inhumain. Cette nouvelle jouissance anale et plus intense que la première, Olga défaille, elle dit avec lots entre-coupés de souffles :
-Oh mon chéri c’est merveilleux, oh comme je t’aime !
Michel cherche maintenant son plaisir.
Il lui ramone le cul comme un soudard, pour enfin lui remplir de sa semence très épaisse. Il se retire, immédiatement Lucas prend la place. Olga sous les coups de boutoir de son amant jouit plusieurs fois. Lucas enfin lui remplit les entrailles de son jus visqueuse.
Michel est émerveillé du résultat, il n’en espérait pas moins. Sa femme est enfin prête pour devenir une bonne salope. les quatre se promettent de se revoir régulièrement pour des défonces mémorables. Depuis cette première orgie, Olga attend avec impatience le retour de ses amis. La salope espère de nouvelles jouissances avec ses amis.
Ses amis et son mari sont décidés de lui en offrir de merveilleuses, à la prochaine visite.
Linsee
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