Bonjour à tous,
Je m’appelle Martine et je suis animatrice sur le réseau de téléphone rose. Ce n’est pas un métier courant et beaucoup de personnes me demandent quel a été mon parcours pour arriver à faire jouir des hommes au téléphone.
Alors pour tout vous dire, je suis une femme mariée et j’ai perdu mon travail il y a quelques années suite à un plan social dans l’entreprise dans laquelle je travaillais depuis 10 ans. J’ai cherché un autre emploi en vain, c’est la crise pour tout le monde. Je suis de nature libertine et coquine dans ma vie privée et lors d’une navigation sur Internet, j’ai découvert que je pouvais combiner travail et plaisir. J’ai donc contacté la responsable qui m’expliquait que je pouvais travailler de la maison. Cela m’a beaucoup plu dès le début.
Le travail consistait à avoir des conversations érotiques avec des hommes et des femmes au téléphone tout en restant chez moi. La proposition était idéale vu que pour moi, passer du temps au téléphone à faire l’amour et à se faire du bien n’est absolument pas un travail, mais plutôt une passion. J’ai postulé il y a de cela 5 ans. Et cela fait autant de temps que je donne du plaisir et que j’en prends au téléphone rose.
Je prends aussi bien des appels d’hommes que des femmes lors de scénarios érotiques. Depuis peu, je me suis découvert un penchant bisexuel et j’ai eu l’occasion de faire l’amour avec une femme plus âgée que moi au téléphone. Elle a tout de suite compris que j’étais inexpérimentée, mais a été très patiente. Elle m’a conseillée et initiée au saphisme, pratique dont je retire énormément de plaisir.
Je ne considère pas qu’être animatrice de téléphone rose est un travail. On peut passer du temps avec des hommes et des femmes à faire l’amour au téléphone sans que cela devienne contraignant. À partir du moment où c’est le cas, il faut changer de métier. Si vous êtes un tant soit peu libertin et accro au sexe, je suis certaine que tout le monde peut prendre son pied au tél.
Je suis ravie de vous avoir confessé tout cela sur le blog, ça fait du bien d’en parler ! Je sais que ce n’est pas une histoire taboue, mais cela reste une confession intime.
Martine, 37 ans, Caen
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