Premier gros dard pour Hélèna 53 ans
Sarmati, un copain docteur-sexologue vient de me contacter pour s’occuper d’un couple bourgeois voulant mes services de maître étalon, pour s’occuper de l’épouse avec son mari, afin de s’initier au candaulisme !
J’ai reçu le couple au bureau de ma salle de gym.
Moi : Abdou 38 ans maitre de gym, lui : Alain 58 ans, et Elle : Hélèna 53 ans.. très belle plante !
Je leur ai donné rendez-vous demain samedi après-midi à 14 h où il devait m’attendre chez eux pour une première séance.
Le lendemain 14 h, en quittant ma salle de gym, sans même prendre une douche, je me suis rendu cher eux.
J’ai sonné à la porte, ils m’ont ouvert, et on s’est embrassé.
J’ai demandé de prendre une douche, Hélèna est partie me chercher une serviette.
J’étais déjà nu sous la douche en train de se frictionner, lorsque Hélèna entra dans la salle de bain, pour poser la serviette sur le lavabo. Elle ne s’attendait vraiment pas à me voir déjà sous la douche, mon corps tapissé de mousse.
Elle lâcha un petit :
« oups, excuse-moi », ses joues devinrent écarlates de confusion. Moi, j’éclatai de rire et lui répondis que cela ne me gênait pas, qu’elle pouvait se rassurer, car il n’y avait pas de problème.
Mais voilà, c’était trop tard, Hélèna avait vu le loup et ses yeux avaient du mal à s’en détacher. Je sais qu’elle se dit, à ce moment, qu’elle n’avait jamais vu un engin aussi gros en vrai et que celui de son mari Alain à côté devait paraître bien petit.
Une fois, retournée dans la cuisine, je me cache juste à côté, je pouvais voir sur son visage qu’elle était troublée. Elle disait à son mari Alain :
« hum quel bel engin il a, ce maître entraineur Abdou » !
Elle avait les yeux brillants et son mari à côté d’elle bandait déjà visiblement.
Je la voyais en train de glisser sa main dans sa petite culotte qui devait être toute trempée.
En même temps le cocu excité aussi l’embrasser à pleine bouche.
Moi, recouvert uniquement par la serviette autour de la taille, arriva à ce moment derrière Hélèna et Alain.
— Hélèna dit confuse :
« Ma ître Abdou, excuse-moi encore pour tout à l’heure, je ne pensais pas que tu allais directement à la douche sans attendre la serviette ».
— Moi :
« Ne t’inquiète pas, tu n’es pas la première, et je n’espère pas la dernière, à me voir à poil. Est-ce que je me trompe si je te dis que j’ai eu l’impression que tes yeux étaient rivés sur mon membre à la salle de bain ? »
Les joues d’Hélèna se sont mises à rougir de plu bel et le cocu excité frotte sa petite bosse, et moi avec un grand sourire, laissa tomber la serviette sur le sol. J’étais là, face à son épouse, en train d’exhiber mes abdos et ma queue. Hélèna s’était figée telle une statue, face à cet apollon, ces yeux attirés sur cette queue noire face à elle.
– Moi :
« Ha, j’avais raison, tu es bien attiré par mon sexe, alors, approche-toi Hélèna. Tu peux toucher si tu veux. Tu as déjà touché la queue d’un black ? »
– Hélèna :
« Heu, non maître Abdou, je n’ai connu que mon mari »
– Son mari Alain :
« Hélèna, tu préfères qu’il remette la serviette, vraiment ? Allez, il est temps de faire des expériences, juste va toucher, au moins tu pourras dire que tu as déjà eu une belle queue de black dans la main »
Je me rapprochai de sa femme, je pris ses mains et les porta vers ma queue. Hélèna, rouge de honte et d’excitation, n’osait pas le regarder en face, mais elle se laissait guider pour caresser et branler cette queue.
– Moi :
« Alors, Hélèna, tu vois ce n’était pas difficile, comment tu la trouves cette belle bite ? »
– Hélèna :
« Oooh mon dieu qu’elle engin !!! Ce qu’elle est vraiment grosse cette bite et elle est si douce. C’est agréable de sentir comme elle durcit dans mes mains et c’est incroyable de voir comme elle devient encore plus grande ».
Je pris le visage de l’épouse entre mes mains et l’attira vers moi pour l’embrasser.
Ses yeux disaient qu’elle était hyper excitée et très contente en regardant son mari rouge de désir.
Ils avaient gagné et compris qu’ils allaient pouvoir se faire plaisir.
Alors, le mari sans trop attendre, attire sa femme qui me tira elle-même par mon engin, ver la chambre conjugale. Arrivé, je commençai debout, à lui ouvrir le chemisier pour lui peloter ses seins près devant son mari Alain près du lit. J’ai baissé son soutien-gorge pour mieux attraper ses tétons entre les doigts.
Je l’entendais gémir, ma langue explorant sa bouche, ses tétons malaxés et caressés et cette grosse bite noire qui continuait à grossir dans ses mains.
– Hélèna :
« Oh maître Abdou, ta queue est tellement dure et grosse maintenant, j’adore. Tu rends ma culotte toute trempée, j’ai envie qu’on baise tous les deux maintenant ».
Elle était tellement excitée qu’elle se jeta sur le lit conjugal et je lui sautai dessus, ôta sa jupe et son tanga dans un mouvement maitrisé. Le chemisier ouvert, ses seins débordant de son soutif et la chatte libre, gourmande et offerte.
Je ne me fis pas prier, j’étais déjà à genoux en train de fouiller sa femme avec ma langue et mes doigts. Elle avait ses doigts qui s’enfonçaient dans mes épaules, pendant que je lui fourrais les siens dans sa chatte
– Hélèna :
« Ho, oui comme c’est bon, lèche-moi bien le minou, tu es vraiment un expert, je n’ai jamais été léchée comme çà ».
Le cocu, en ce moment assis à côté ne perde pas une miette et se masturba d’excitation.
– Moi :
« Je vais t’en faire des choses qu’on ne t’a jamais faites, ma coquine ».
À ces mots, je mis deux doigts dans sa chatte, qui était trempée max. Elle ne mouillait plus, elle dégoulinait de la cyprine à flot.
– Hélèna :
« Abdou, attend, arrête sinon je vais déjà jouir ».
– Moi :
« Oui, vas-y jouis, ce n’est que le début, je te ferai jouir encore, alors laisse-toi aller ».
– Hélèna :
« Alors, continue, ne t’arrête pas, fais-moi jouir mon maître étalon ».
Cela ne faisait même pas quelques minutes qu’on était dans cette chambre qu’elle était là à hurler de plaisir, sous mes coups de langue et mes doigts, et sous les vues de son mari surexcité. Je voyais Hélèna jouir, mouvoir son corps comme si elle était électrisée.
– Moi :
« Ça devait faire bien longtemps que tu n’avais pas jouis comme çà toi et ton mari qui ne pourrait me contredire ici, maintenant ! Je ne pense pas me tromper ! »
– Hélèna :
« Tu sais, après presque 20 ans de vie commune, il y a des choses qu’on ne fait plus, je n’arrive pas à me souvenir la dernière où je m’étais fait lécher le minou, ce dont je me souviens ce que ce n’a jamais été aussi bon. Ta longue bien langue sur mon clito m’a vite faite jouir ».
– Moi :
« Maintenant, c’est à toi Hélèna de venir t’occuper de moi, il est temps de venir sucer ta première vraie grosse queue ».
– Hélèna :
« Ma première tout court, je n’ai jamais sucé autre que mon mari, mais voir ton énorme queue noire toute bandée pour moi, j’ai envie, je vais et je veux te sucer maître Abdou ».
Hélèna s’approcha de ce gros chibre dressé vers le ciel et commença à le lécher, puis finalement à faire coulisser sa bouche dessus. Elle avait l’air d’une belle salope la bouche pleine de cette bite, et dire que cette salope pompe déjà très bien devant son mari.
– Moi :
« C’est bien ma cochonne, applique-toi. Continue, prends-la plus profondément que je me sente bien englouti. Tu as une belle bouche pulpeuse et tu pompes bien pour une débutante, ça se voit que tu es faite pour sucer des queues blacks comme la mienne, poupée ».
– Hélèna :
« Ho oui, la tienne est tellement grosse et belle que j’ai trop envie de la sucer encore et encore ».
J’entendais les slurp-slurp-slurp, preuve que cette grosse tige la faisait bien baver, elle avait la bouche grande ouverte pour tailler cette pipe.
Elle allait de bas en haut, je n’en revenais pas de la longueur qu’elle arrivait à s’enfiler, ça toucher le fond de sa gorge. C’est pour ça que ses yeux briller comme si elle s’apprêtait à pleurer, elle suçait en fond de gorge mon gros dard black.
– Moi :
« Tu aimes çà hein, petite salope ? ».
– Hélèna :
« Oh oui, j’adore, ta bite est tellement douce que c’est vraiment bon de la sucer et humm, j’adore lécher tes énormes couilles bien lourdes ».
– Moi :
« Allez, arrêtes de sucer ma petite salope, il est temps que tu découvres le plaisir d’être prise par un étalon black, je vais te baiser comme jamais personne ne t’a baisé, écarte tes cuisses, je vais te rentrer ma queue. Mais ne t’inquiète pas, je sens que tu auras souvent l’occasion de pouvoir jouer avec ta sucette chocolat ».
Elle n’eut pas le temps de répondre, qu’elle sentait déjà son minou se faire élargir par mon énorme engin. Les frissons que cela lui procurait lui ont fait oublier son mari cocu présent à côté d’elle.
Sa femme était allongée sous un grand black qui était en train de s’avancer dans sa chatte avec son consentement même.
Elle poussa un : « ho ouiiiiiiiiii », lorsqu’elle sentit ma grosse bite commencer à bouger dans son corps. Elle avait pris mon large et long chibre, c’est dire combien elle devait tremper les draps. Au bout de quelques va-et-vient, Hélèna passa en mode furie-nymphomane, elle se mit à dire des choses que je n’imaginais pas possible de voir sortir de sa bouche de bourgeoise soumise.
« M aître Abdou, putain, oui, tu me remplis la chatte pour la première fois, humm je me sens toute ouverte avec ta queue, vas-y baise moi, baise-moi fort, fais de moi ta salope, mon maître chéri ! ».
Elle me faisait bander déjà avant quand je l’avais vue à la salle de bain et à la cuisine, alors maintenant, je vais la défoncer puisqu’elle le veut aussi, une vraie petite femme mariée pour black en rut. Ça doit lui changer de la nouille de son mari, je vais faire de sa chatte un vrai trou de femme.
Les floc-floc-floc de la chatte mouillée et baisée d’Hélèna remplissaient bruyamment la pièce ainsi que les claquements de mes couilles sur ses fesses devant son mari cocu. Elle gémissait sans s’arrêter pendant que je m’activais avec force dans sa chatte. Ses seins gonflés ballotaient dans tous les sens, elle était en train de se faire limer comme une vraie chienne en chaleur.
– Hélèna :
« Vas-y fort, bourrine-moi la chatte, mets-la-moi jusqu’au fond de mon vagin, mon mari n’est jamais allé aussi loin et aussi fort, et j’adore ça. Tu vas me faire jouir encore, je veux jouir pendant que tu me démonte sauvagement, ma chatte est toute à toi et n’attend que de se sentir limée.
— Moi :
“Ta chatte est trop bonne, blanc neige, elle est douce et j’ai l’impression que tu es étroite comme si je te dépucelais, pauvre Hélèna, ça doit être la première fois que tu sens vraiment ce que c’est une queue de mâle. Je vais te montrer comment un vrai mec se vide dans la chatte d’une femme mariée bourgeoise et insatisfaite. Je vais remplir tout ton vagin avec mon foutre, tu serais pleine comme jamais”.
— Hélèna :
“Ouiiii, je veux te sentir jouir dans ma chatte et je vais jouir avec toi”.
À ces mots, je me cambrais et mes accélérations de coups de butoir donnaient ma jouissance, et je vidais mes couilles dans sa chatte. Cela eut pour effet de faire partir Hélèna dans un immense orgasme, elle hurlait pendant que des flots de sperme envahissaient son intimité.
Hélèna criait des :
“oh oui, putain je jouis, je suis ta salope, tu m’excites tellement”. Pendant que je lui disais à quel point, c’était bon de se vider dans une femme mariée bourgeoise et a un corps aussi fort.
— Hélèna :
“Ho punaise, Abdou, je me sens totalement remplie, j’ai tellement de ton sperme qui s’écoule de ma chatte toute béante. Regarde çà, je n’ai jamais eu la chatte autant ouverte et si pleine de jus de mâle. Ma chatte est toute poisseuse de ton sperme”.
— Moi :
“Maintenant que tu as gouté à mon bâton caramel, je pense que tu vas en redemander, alors ma petite salope prépare toi à te sentir pleine et poisseuse régulièrement, car tu as besoin d’un vrai mec pour s’occuper de ton corps et te soulager. Je vais bien m’occuper de toi”.
Entre temps, Alain le cocu content, venait d’éjaculer de plaisir.
— Alain :
“Oui, maître Abdou, ma femme, je ne la saute que deux fois par mois ou moins, je veux qu’Hélèna, soit ta pute vaginal et anal, je sais maintenant qu’elle a besoin que tu viennes la baiser et l’enculer selon tes lois et on t’obéira dans tout”.
— Moi :
“Ok, demain à 20 h, notre rendez-vous anal.
Toi Hélèna ma salope folle de ma grosse queue, tu seras chatte rasée, jupe très courte, string sans culotte.
Et toi Alain, prépare ta femme comme il se doit”.
— Hèléna :
Ouiiiiii, maître Abdou, je serais totalement à toi, et mon mari chéri aussi ».
Enfin, Hélèna m’accompagne jusqu’à la sortie, devant la porte elle m’embrassa goulument en me serrant contre sexe-baveux et on se quitte.
À suivre :
Chapitre 2, pour le lendemain « anal ».
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